Fléchy

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Fléchy
Fléchy
L'église Saint-Fuscien
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Jean-Christophe Vitte
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60237
Démographie
Gentilé Fléchissois, Fléchissoises
Population
municipale
87 hab. (2021 en diminution de 10,31 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 35″ nord, 2° 13′ 59″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 169 m
Superficie 4,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Fléchy
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Fléchy
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Fléchy

Fléchy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Fléchissois et les Fléchissoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Louis Graves décrivait en 1843 ce village-rue picardsitué dans un creux de vallées comme une « petite commune à territoire ovalaire appuyé vers l'ouest aux coteaux boisés du canton de Crèvecœur, à pentes tendant à l'est vers la vallée de la Noye. La superficie est tourmentée, découverte[2] ». Elle est située à 26 km au sud-ouest d'Amiens et à 30 km au nord-est de Beauvais.

L'autoroute A16 limite à l'ouest le territoire communal, et le village est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 1.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune jouxte Bonneuil au nord, Esquennoy à l'est, Villers-Vicomte au sud, Cormeilles , Blancfossé à l'ouest.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fléchy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), forêts (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 45, alors qu'il était de 46 en 2014 et de 49 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 75,6 % étaient des résidences principales, 8,9 % des résidences secondaires et 15,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fléchy en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,9 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,5 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Fléchy en 2019.
Typologie Fléchy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 75,6 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,9 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 15,6 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 615, 616 et 6122 du réseau interurbain de l'Oise[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village s'est appelé Flecciae en 1230, Fléchie, Fleschies, Flechyes en 1278, Flechies (Fleceiœ)[2].

Fléchy représenterait l'évolution d'un hypothétique *Flacciacum, basé, soit sur flacca , bas latin , « flaque , flache , terrain humide »[16], soit sur le nom de personne latin Flaccius, suivi du suffixe -(i)acum[17] de localisation, d'origine gauloise.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des vestiges de tuiles romaines, des médailles et des constructions souterraines ont été découvertes au lieu-dit le dessus de la fosse Beauroy[2].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Un moulin à vent était signalé à Fléchy en 1776, visible depuis Esquennoy[18].

Le village a été détruit à plusieurs reprises par des incendies. L'un d'eux, survenu en 1773, consuma les trois-quarts du village et détruisit l'accès à des muches (souterrains-refuges) situées Rue blanche, protégées par une porte garnie de meurtrières[2].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au milieu du XIXe siècle, la population vivait des travaux agricoles et de la confection des étoffes de laine, et disposait déjà d'une école. Une carrière et un moulin à vent étaient exploités dans la commune[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fiin 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales..

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[21], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[22].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[23], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [24].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995[25] 2014 Jean Feuillet[26] DVD Agriculteur
2014[27] En cours
(au 13 septembre 2022)
Jean-Christophe Vitte   Chauffeur routier[28]
Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 87 habitants[Note 2], en diminution de 10,31 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
304313355343324336335333295
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
276295296273235202220205193
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
174163165144148141129140132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
110103102958685878997
2014 2019 2021 - - - - - -
968987------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 52 hommes pour 40 femmes, soit un taux de 56,52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
14,0 
75-89 ans
10,3 
12,0 
60-74 ans
23,1 
26,0 
45-59 ans
20,5 
12,0 
30-44 ans
20,5 
8,0 
15-29 ans
17,9 
28,0 
0-14 ans
7,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Le calvaire et sa base sculptée, face à l'église.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Fuscien-et-Saint-Gentier, datée de 1568 et bâtie d’un seul jet en pierres crayeuses bien appareillées, située en retrait de la Rue principale, sur une petite butte[35].
    À l'intérieur se trouvent des lambris du XVIe siècle. Un groupe sculpté en chêne du début du XVIe siècle représentant saint Julien l'Hospitalier et sainte Basilisse transportant saint Jacques dans une barque[36] ainsi qu'une statue d'une Vierge à l'Enfant en calcaire, de la fin du XVe siècle[37] sont classés monuments historiques.
  • Chapelle des Brabans, reconstruite en 1786 dans le cimetière. On y trouva sous l'ancienne porte une pierre creuse contenant une monnaie d'argent au millésime do 1555[2].
  • Calvaire, à l'intersection entre la route départementale 34 et la rue Blanche.
  • Calvaire, rue principale, face à l'église, avec son socle sculpté.
  • Puits-fontaine, près de ce calvaire

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le nom de certains seigneur de Fléchy nous est parvenu :

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Fléchy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fléchy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fléchy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Fléchy », Découvrir les communes de notre territoire, sur cc-oisepicarde.fr (consulté le ).
  2. a b c d e f g et h Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , p. 70-71.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Fléchy et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Transports en commun à Fléchy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. Michel Roblin, Le terroir de l'Oise aux époques gallo-romaine et franque : peuplement, défrichement, environnement, Picard, , p. 115.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 291a
  18. Louis Denis, Le conducteur français : Route de Paris à Amiens, Paris, Ribou, libraire, , 70 p. (lire en ligne), p. 52.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  22. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  23. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  24. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  25. « Les derniers vœux du Sivom », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « L'occasion de mettre à l'honneur huit maires du canton, à commencer par le vétéran, Jean Feuillet. Il est élu depuis 1971 et maire de Fléchy depuis 1995. « La République n'a pas prévu de médailles honorant 42 années de mandat. » Le Sivom lui a donc offert un cadeau. L'élu cédera son fauteuil en mars ».
  26. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le bonhomme picard du 2 avril 2008
  27. « Fléchy », Cartes de France (consulté le ).
  28. « Municipales : ces maires de l’Oise ne sont jamais là... mais sont omniprésents : Chaque semaine, «Le Parisien» dresse le portrait d’un maire pas comme les autres en Ile-de-France et dans l’Oise. Rencontre avec deux maires de l’Oise, Jean-Christophe Vitte qui est chauffeur routier, élu à Fléchy et Jean-Louis Castier, le maire de Quesnel-Aubry, qui travaille sur une exploitation agricole en Russie. », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Répertoire national des maires » [csv], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fléchy (60237) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  35. Dominique Vermand, « Fléchy, église Saint-Fuscien », Diocèse : Amiens, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  36. « Groupe sculpté : Saint Julien l'Hospitalier et sainte Basilisse transportant saint Jacques dans une barque », notice no PM60000789, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « Statue (petite nature) : Vierge à l'Enfant », notice no PM60000788, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.