Fiquefleur-Équainville

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Fiquefleur-Équainville
Fiquefleur-Équainville
L'église Saint-Georges de Fiquefleur
Logo monument historique Inscrit MH (1992).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville
Maire
Mandat
Michel Prentout
2020-2026
Code postal 27210
Code commune 27243
Démographie
Gentilé Equainvillais
Population
municipale
750 hab. (2021 en augmentation de 6,99 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 30″ nord, 0° 18′ 42″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 113 m
Superficie 9,8 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Honfleur
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beuzeville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Fiquefleur-Équainville

Fiquefleur-Équainville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Fiquefleur-Équainville est une commune située dans le Nord-Ouest du département de l'Eure et limitrophe de celui du Calvados. Selon l'atlas des paysages de Haute-Normandie, elle appartient à la région naturelle du Lieuvin[1]. Toutefois, l'Agreste, le service de la statistique et de la prospective du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, la classe au sein du pays d'Auge (en tant que région agricole)[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulleville à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 851,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fiquefleur-Équainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Honfleur, une agglomération inter-départementale regroupant 12 communes[14] et 21 768 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Honfleur, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,8 %), forêts (25,4 %), terres arables (15,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), eaux maritimes (0,2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Fiquefleur: Le nom est attesté sous les formes Fiquefleu au début du XIIIe siècle (cout. de la vicomté de l’Eau), Ficquefleu en 1221 (cartulaire de Beaumont-en-Auge)[23], Fliqueflue en 1255 (cartulaire de Beaumont-en-Auge), Fliquefleu au XIVe siècle (cartulaire de Grestain)[24].

Équainville: Le nom est attesté sous les formes Equainville en 1793[25], Équainville en 1801[25], Fiquefleur-Équainville en 1844[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les communes de Fiquefleur et d'Équainville fusionnent en 1844[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Michel Prentout DVD Chef d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 750 habitants[Note 3], en augmentation de 6,99 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
456463511427420423450573594
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
618633544525316532502542512
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
517523505435463404444437464
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
476462430477496563623641692
2018 2021 - - - - - - -
737750-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune de Fiquefleur-Équainville compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

  • L'église Saint-Georges (XIe, XVe, XVIe et XVIIe) Logo monument historique Inscrit MH (1992)[30]. Il s'agit d'un des plus anciens monuments romans de Normandie[30].
L'église Saint-Pierre d'Équainville.

Par ailleurs, de nombreux autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • L'église Saint-Pierre (XIIe, XIIIe, XIVe et XVIe)[31] ;
  • Le presbytère (XIXe) au lieu-dit Équainville[32] ;
  • La mairie (XIXe) au lieu-dit Équainville[33] ;
  • L'école (XIXe) au lieu-dit Équainville[34] ;
  • Trois manoirs : le premier du XVIIIe siècle au lieu-dit le Favril[35] ; le deuxième du XVIe siècle au lieu-dit la Rue[36] ; le troisième des XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles au lieu-dit la Loge[37] ;
  • Deux maisons : l'une du XIXe siècle au lieu-dit Équainville[38], l'autre du XVIIe siècle au lieu-dit le Haut-de-la-Côte de Fiquefleur[39] ;
  • Une demeure du XVIIIe siècle[40] ;
  • Deux fermes : l'une des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Vert Buisson[41], l'autre du XVIIIe siècle au lieu-dit les Monts-Hativets[42].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Terrain acquis par le conservatoire du littoral[modifier | modifier le code]

  • Rives de Seine sud - 27[43].

Natura 2000[modifier | modifier le code]

  • Estuaire de la Seine[44].
  • Estuaire et marais de la Basse Seine[45].

ZNIEFF de type 1[modifier | modifier le code]

Cette ZNIEFF s'étend également sur les communes de Fatouville-Grestain et de Berville-sur-Mer pour le département de l'Eure et sur les communes de La Rivière-Saint-Sauveur, Ablon et Honfleur pour le département du Calvados.

La majeure partie de cette ZNIEFF est occupée par une saulaie-bétulaie sur sable et par des fourrés dunaires à Argousiers. Leur localisation sur les alluvions récentes de la Seine font de cette zone un site naturel quasiment unique en Normandie. Ce milieu est complétée par des canaux, des mares, des prairies humides pâturées, des phragmitaies, des petits secteurs de dunes fixées et des mégaphorbiaies.

Du point de vue floristique, ce site abrite des espèces botaniques rares à très rares voire protégées au niveau régional ou même national : le Lotier à feuilles étroites (Lotus corniculatus ssp. tenuifolius), l'Ophioglosse langue-de-serpent (Ophioglossum vulgatum), la Pyrole des dunes (Pyrola rotundifolia var. arenaria), la Menthe pouliot (Mentha pulegium), le Polypogon de Montpellier (Polypogon monspeliensis), le Saule argenté (Salix repens arenaria), le Troscart des marais (Triglochin palustre), la Corrigiole des rives (Corrigiola littoralis), la Laîche arrondie (Carex diandra), l'Amarante blanche (Amaranthus albus), l'Amaranthe à feuilles marginées (Amaranthus blitoides), le Plantain des sables (Plantago arenaria), etc.
Des orchidées occupent également cette zone : l'Epipactis des marais (Epipactis palustris), l'Orchis à fleurs lâches (Orchis laxiflora), le Souchet brun (Cyperus fuscus), la Lentille d'eau sans racine (Wolffia arrhiza), la Patience maritime (Rumex maritimus), la Patience des marais (Rumex palustris) et la Belladone (Atropa belladonna), etc.

Du point de vue faunistique, est à relever la présence d'orthoptères dont notamment la Courtillière (Gryllotalpa gryllotalpa) et le Tétrix des vasières (Tetrix ceperoi) et de papillons dont certaines espèces très rares, voire protégées au niveau national (le Sphinx de l'épilobe (Proserpinus proserpina), Euxoa cursoria, Parastichtis suspecta, Apamea oblonga, Chorthodes extrema, Arenostola phragmitidis, Chilodes maritimus, etc.).

Enfin, la diversité offerte par ces milieux est favorable à la nidification de nombreux oiseaux tels que la Bouscarle de Cetti (Cettia cetti), le Loriot (Oriolus oriolus), l'Hirondelle de rivage (Riparia riparia), le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis), le Râle d'eau (Rallus aquaticus), le Vanneau huppé (Vanellus vanellus), le petit Gravelot (Charadrius dubius), le Martin-pêcheur (Alcedo atthis), le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos), le Phragmite des joncs (Acrocephalus schoenobaenus), etc.

Sites classés[modifier | modifier le code]

Site inscrit[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  2. « Zonages », sur Agreste (consulté le ).
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  7. « Orthodromie entre Fiquefleur-Équainville et Boulleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Boulleville » (commune de Boulleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Boulleville » (commune de Boulleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Honfleur », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. Jean Renaud, Les Vikings et la Normandie, Editions Ouest-France, , p. 168.
  24. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 84.
  25. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 77.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. a et b « Église paroissiale Saint-Georges-de-Fiquefleur », notice no PA00099641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Église Paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00054633, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Presbytère », notice no IA00054638, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Mairie », notice no IA00054631, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « École », notice no IA00054632, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Manoir », notice no IA00054637, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Manoir », notice no IA00054636, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Manoir », notice no IA00054630, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Maison », notice no IA00054642, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Maison », notice no IA00054641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Demeure », notice no IA00054635, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Ferme », notice no IA00054640, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Ferme », notice no IA00054639, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Rives de Seine sud - 27 », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  44. « Estuaire de la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  45. « Estuaire et marais de la Basse Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  46. « Les alluvions », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  47. « L'église, l'if géant et le cimetière de Fiquefleur », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
  48. « L'église et le cimetière d'Équainville », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
  49. « La rive gauche de l'embouchure de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).