Festival du court métrage de Clermont-Ferrand

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Festival du court métrage de Clermont-Ferrand
Image illustrative de l’article Festival du court métrage de Clermont-Ferrand
Public lors d'une séance de projection en 2017.

Date de création
Voir les festivals par année
Créateur Sauve qui peut le court métrage
Prix principal Voir le Palmarès du festival du court métrage de Clermont-Ferrand
Président Éric Roux (depuis 2020)
Édition courante Festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2024
Durée 8 jours
Lieu Clermont-Ferrand, Drapeau de la France France
Siège social La Jetée
6, place Michel-de-L'Hospital
63058 Clermont-Ferrand CEDEX 1
Site web clermont-filmfest.org

Le festival du court métrage de Clermont-Ferrand aussi connu sous l'appellation festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, est une manifestation cinématographique consacrée au court métrage. En matière d’audience, c'est le deuxième festival de cinéma en France après le festival de Cannes[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant même la création du festival, des initiatives ponctuelles ont été menées. Entre 1979 et 1981, le Cercle cinématographique universitaire de Clermont-Ferrand (CCUC) organise des semaines du court métrage[2],[3]. Devant le succès rencontré par cette initiative, l'association Sauve qui peut le court métrage est créée le [4] afin d'encourager la création d'une manifestation pour mettre en valeur le film court.

Le festival en tant que tel naît ainsi en 1982. La manifestation prend rapidement une grande ampleur, et d'initiative bénévole, le festival s'institutionnalise.

Le premier Marché du Film Court à l'intention des professionnels est organisé en 1986, donnant au festival un intérêt économique[5].

En 1988, le festival s'ouvre à l'échelle internationale[6].

En 1995, la fréquentation passe la barre des 100 000 personnes. En parallèle, la Commission du Film Auvergne est créée en 1997 afin de faciliter les initiatives de tournage dans la région[7].

En 2002 s'est ajoutée à la compétition une catégorie consacrée au cinéma numérique[8]. Depuis, cette compétition a pris le nom de « labo » et rassemble non pas les films numériques, mais ceux présentant un aspect expérimental remarqué[8].

En 2009 est créé Euro Connection, plateforme de rencontre des producteurs, diffuseurs et financeurs européens qui souhaitent développer des projets de court métrage sous la forme de coproductions européennes[9]. Le festival du court métrage de Clermont-Ferrand a été élu Meilleur Festival International lors de la cérémonie des FILMAD Awards qui s'est tenue à Madrid, le 22 décembre 2009[10].

Organisation[modifier | modifier le code]

À partir de 2012, chaque année, le festival reçoit plus de 7 000 inscriptions de courts métrages produits dans le monde entier (dont près de 1 700 productions françaises), pour environ 170 films présentés en compétition[11].

Le festival propose chaque année trois compétitions (nationale, internationale et labo), une section jeunes publics, une rétrospective thématique[12] et un focus consacré à un pays[13]. De nombreux autres programmes (Regards d'Afrique, Décibels !, Collections, Carte Blanche, Films en Région, etc.) viennent compléter le panorama proposé aux spectateurs.

Le Vercingétorix est un trophée remis aux lauréats du grand prix, prix spécial du jury et prix du public pour chacune des compétitions (internationale, labo, nationale). Il a été réalisé d'après une œuvre de Roland Cognet[14].

Le festival du court métrage de Clermont-Ferrand qualifie pour les Oscars, les César et le European Short Film Audience Award.

Lieux[modifier | modifier le code]

La Maison de la Culture qui accueille une grande partie du festival.

Le festival se déroule sur plus d'une quinzaine de lieux à Clermont-Ferrand : le théâtre de la Comédie, la Maison de la Culture, la salle Varda de l'Université Clermont Auvergne, le cinéma le Capitole, la salle Conchon, la salle des Frères Lumières du CROUS[15], la Jetée, le cinéma le Rio, l'ESACM, l'Opéra...

En 2021, exceptionnellement et en raison de l'épidémie de COVID 19 mondiale, le festival s'est tenu en version numérique[16].

Portée et influence du festival[modifier | modifier le code]

Fréquentation[modifier | modifier le code]

En 2010, entre 400 et 500 courts métrages sont projetés sur 450 séances dans 13 salles différentes, et en amont, 6500 films sont reçus et visionnés par l'équipe d'organisation[17].

En 2019, parmi les 3 500 professionnels accrédités figurent par exemple des représentants du Short Film Corner du Festival de Cannes et, pour la première fois, des représentants de Netflix États-Unis en recherche de nouveaux talents[18].

Évolution du nombre total de spectateurs[19] du Festival[20]
1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986
1 200[2]1 800[2]3 000[2]-----
1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994
16 000[21]25 000[21]28 000[21]40 000[22]50 000[22]62 000[22]75 000[22]-
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002
100 000-115 000[23]118 000[24]120 000[24]-129 000[25]-
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
-135 000130 000140 000133 000137 000[26]135 000144 000
2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
149 000144 000154 000160 000[27]160 000162 000161 000165 000
2019 2020 2021 2022 2023 2024 - -
165 700[28]172 000[29]-100 000[29]160 000[30]166 000[31]--

Découvertes[modifier | modifier le code]

Le festival a permis de découvrir des réalisateurs qui se sont ensuite lancés dans le long métrage avec succès, parmi lesquels :

François Ozon a fait la connaissance de son actrice fétiche, Ludivine Sagnier, dans le court-métrage Acide aminé de Guillaume Bréaud à Clermont-Ferrand en 1999[34].

Le Marché du Film Court[modifier | modifier le code]

En parallèle du festival se tient chaque année sur 5 jours le Marché du Film Court, qui réunit en un seul lieu toutes les catégories professionnelles du secteur (réalisateurs, producteurs, diffuseurs, acheteurs, écoles de cinéma, organismes nationaux, etc.)[35].

Le Prix du Queer métrage[modifier | modifier le code]

Inspiré par le Teddy Award décerné à la Berlinale depuis 1987, le Prix du Queer métrage est Coproduit par la Queer Palm, en partenariat avec Titra Film et têtu. Il récompense des films s'emparant de thématiques LGBTQI+ et des œuvres engagées témoignant d'"un monde résistant aux normes"[36]. Les courts métrages primés sont :

Sponsors et médias[modifier | modifier le code]

Pour l'édition 2022, les partenaires médias étaient l'hebdomadaire culturel Télérama, la station Radio Nova, la revue des Cahiers du cinéma, les chaînes de télévisions d'Arte et France Télévisions, le quotidien L'Humanité, la magazine Têtu, le média en ligne Konbini et la plateforme de cinéma jeunesse Benshi. Parmi les partenaires officiels figurent aussi des médias tels que Canal+ ou YouTube[39].

Retombées économiques[modifier | modifier le code]

En 2017, les chercheurs Xavier Hollandts et Daniela Borodak ont interrogé 989 personnes sur l’ensemble des sites du festival sur une semaine et en ont déduit un impact positif global de 11 millions d’euros, répartis en 7,3 millions d’euros d’impact primaire et de 3,7 millions d’euros d’impact secondaire. En 2017, 51 % des visiteurs étaient des non locaux, 17 % des professionnels. Les visiteurs non locaux ont dépensé 6,2 millions d’euros dont 1 451 198  pour l’hébergement, 1 441 599  € pour la restauration, 2 450 284  dans les commerces, 83 745  € pour le transport et enfin 802 760  pour les sorties[40]. Ils ont particulièrement mis en évidence l'importance de la part des professionnels du cinéma : même s’ils ne représentent que 17 % des participants, ils génèrent 56 % des flux de l’impact primaire : 73 % des dépenses d’hébergement, 53 % des dépenses de loisirs, et 52 % des dépenses de restauration[41].

« Chaque euro investi dans le territoire rapporterait 22 € pour le territoire »

— Xavier Hollandts et Daniela Borodak, La Montagne, 23 avril 2019

Autour du festival[modifier | modifier le code]

La Jetée[modifier | modifier le code]

Depuis 2000, les bureaux du festival sont regroupés dans un bâtiment réaménagé et agrandi par l'architecte Vincent Speller[42] : La Jetée, nom donné en référence au film de Chris Marker : La Jetée.

Ce lieu abrite également :

  • la Commission du Film Auvergne. Depuis 1997 la Commission du Film Auvergne offre un service gratuit pour tout type de production désireuse de tourner dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.
  • le pôle d'éducation aux images Auvergne. La Jetée est une des dix-sept structures implantées dans neuf régions pôles régionaux d’éducation artistique et de formation au cinéma et à l’audiovisuel qui poursuivent des actions de sensibilisation et d’éducation artistique au cinéma et à l’audiovisuel, autour de trois axes principaux : l’animation du réseau régional, les ressources et la formation[43].
  • le Centre de documentation du cinéma et du court métrage de La Jetée. Bibliothèque spécialisée membre du réseau des bibliothèques et médiathèques de Clermont Auvergne Métropole, ce centre est ouvert à tous et conserve plus de 150 000 courts métrages en libre accès sur des postes de consultation, 18 000 documents traitant de cinéma (livres et revues de 1920 à nos jours), des ressources pédagogiques, catalogues de festivals, les archives télé et radio de l'INA[44]. Sa spécialisation court-métrage en fait un lieu unique en Europe[45].

Polémiques[modifier | modifier le code]

En 2004, le jury, à l'unanimité, par l'intermédiaire de son porte-parole Mathieu Amalric déclencha la polémique en n'attribuant pas de grands prix à la sélection française se plaignant d'une sélection médiocre et peu innovante[46],[47].

En 2023, Laurent Wauquiez est critiqué en raison de la réduction de moitié (de 210 000 à 100 000 euros) de la subvention apportée au festival par le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes[48],[49].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Le Festival du court métrage peut-il encore progresser ? », sur La Montagne, (consulté le ).
  2. a b c et d « 1979: l'année où le festival du Court-Métrage est né... », sur 7 Jours à Clermont, (consulté le )
  3. « Clermont-Ferrand : du ciné-club au festival | CNC », sur cnc.fr (consulté le )
  4. « PSS / Centre du Court Métrage La Jetée (Clermont-Ferrand, France) », sur www.pss-archi.eu (consulté le )
  5. Thierry Méranger, Le court métrage, , p. 44
  6. « Retour sur le Festival International du Court Métrage à Clermont-Ferrand | Cine Region », sur www.cine-region.fr (consulté le )
  7. Catherine Bédarida, « Les régions s'organisent pour attirer les tournages de films », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. a et b « Le Labo à Clermont-Ferrand : 20 ans déjà ! », sur Brefcinema | Le meilleur du court métrage en VOD (consulté le )
  9. « Clermont ISFF | Euro Connection | Clermont ISFF » (consulté le )
  10. Page web de la 1re édition FILMAD http://www.filmad.org/noticias.php?id=62&n=el-festival-internacional-de-cine-de-gijon-y-clermont-fer
  11. « Clermont-Ferrand : 38e édition du festival du court métrage »
  12. Les rétrospectives thématiques sont : animation allemande (1982), animation américaine (1983), animation française (1984), animation polonaise (1985), animation japonaise (1987), 10 ans de festival (1988), peinture (1989), animation expérimentale (1990), danse (1991), architecture (1992), bouffe (1993), anges et autres volatiles (1994), un siècle en courts (1995), érotisme et sexe (1996), fantastique (1997), 20 ans de courts métrages français (1998), polar (1999), bandes dessinées (2000), sadomasochisme et fétichisme (2001), vache (2002), Venise (2003), piscine (2004), boxe (2005), Noël (2006), super héros (2007), chiens (2008), comédies musicales (2009), zombies (2010), contes (2011), mouches (2012), particules imaginaires (2013), fuite (2014), vélo (2015), espace (2016), humour noir (2017), nourriture (2018), short in translation (2019), mondes paysans (2020), danse (2022), libido (2023)
  13. Royaume Uni (1981), Suisse (1982), États-Unis (1983), Algérie (1984), Espagne (1985), Brésil (1987), Australie (1989), URSS (1990), Royaume-Uni (1991), Pays nordiques (1992), États-Unis (1993), Iran (1994), Irlande (1996), Amériques, Europe, Océanie (1997), Italie (1999), Afrique sub-saharienne (2000), Corée du Sud (2001), Chine et Hong Kong (2002), Algérie (2003), Brésil (2004), Norvège (2005), Royaume-Uni (2006), Belgique (2007), Asie du sud-est (2008), Pays-Bas (2009), Maroc (2010), Nouvelle-Zélande (2011), Cuba (2012), Inde (2013), États-Unis (2014), Chine (2015), Suède (2016), Colombie (2017), Suisse (2018), Canada (2019), Pologne (2020), Espagne (2022), Taïwan (2023)
  14. Festival du court métrage 2023 Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, , p. 67
  15. C'est dans la salle rebaptisée aujourd'hui "des Frères Lumières" qu'eurent lieu les premières projection en 1979.
  16. Solenne Barlot, « COVID 19 : le festival du court-métrage de Clermont-Ferrand sera 100% numérique », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le )
  17. Grands festivals en Auvergne, p. 56
  18. Cyril Michaud, « Les passionnés de court-métrage ont rendez-vous au festival de Clermont-Ferrand », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  19. entrée décomptée dans l'une des salles participant au festival.
  20. Par défaut la source est l'association Sauve qui peut le court métrage.
  21. a b et c 11 e festival du court-métrage, , p. 5.
  22. a b c et d Moïse Rotat et Bénédicte Dubust, « L'Auvergne fait son cinéma », L'Express, no 2228,‎ 17-23 mars 1994, p. 11.
  23. Denis Couderc, « Pathé lance un multiplexe à Clermont-Ferrand », Les Echos,‎ .
  24. a et b Yves-Marie Labe, « Le court métrage intéresse les agences », Le Monde,‎ .
  25. Sylvie Jolivet, « Clermont-Ferrand, capitale du court-métrage », Les Echos,‎ .
  26. Dépêche TV5.org
  27. Journal La Montagne 9 février 2014
  28. « Plein champ : quelques chiffres », sur cinema-auvergne.fr,
  29. a et b « Plein champ : quelques chiffresLe 44e festival du court-métrage de Clermont-Ferrand se termine avec plus de 100.000 entrées », sur France Bleu, (consulté le )
  30. « Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand : le Somalien Mo Harawe décroche le Grand Prix international », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
  31. « Festival de Clermont-Ferrand : le court s'en sort avec les honneurs », sur https://www.humanite.fr/, (consulté le )
  32. a b c d e et f [1]
  33. [2]
  34. « Clermont-Ferrand, le "Cannes du court-métrage" », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. « Clermont FilmFest : Le marché du film court, un espace dédié aux professionnels – Cied » (consulté le )
  36. Maud Turcan, « A Clermont-Ferrand, pourquoi le Festival du court métrage a-t-il créé un prix du meilleur Queer métrage ? », sur La Montagne, (consulté le )
  37. « Festival du Court-Métrage - Le Queer Métrage, un prix pour "la tolérance" », sur Radio RVA, (consulté le )
  38. « cinéma - Festival de Clermont-Ferrand : le prix du Queer métrage au film lesbien "Un corps brûlant" », sur Têtu (magazine), (consulté le )
  39. « Clermont ISFF | Partenaires | Clermont ISFF » (consulté le ).
  40. Centre France, « Etude - Festival du court métrage de Clermont-Ferrand : onze millions d'euros de retombées économiques », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  41. (en) Daniela Borodak et Xavier Hollandts, « Les festivals de cinéma, ça rapporte ! », sur The Conversation (consulté le )
  42. « La Jetée », Vieilles maisons françaises,‎ , p. 52
  43. « Les pôles régionaux d'éducation aux images », sur Le fil des images (consulté le ).
  44. Le Centre de documentation du cinéma et du court métrage : La Jetée, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, sans date, 4 p.
  45. Marc Lemonier, Guide des lieux cultes du cinéma en France, Horay, , 423 p. (ISBN 2-7058-0421-8), p. 43.
  46. « Top 10 des prix de festivals les plus controversés », sur Accréds,
  47. « Mathieu Amalric », sur Format Court,
  48. « Laurent Wauquiez critiqué après de nouvelles coupes dans les subventions culturelles régionales à Lyon », sur LEFIGARO, (consulté le )
  49. « Une "guillotine politique", la Région réduit la subvention au Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Livres[modifier | modifier le code]

  • Daniela Borodak, P. Piré-Lechalard, C. Dos Santos, A. Albert-Cromarias et E. Bourlier-Bargues, Enquête sur le public du Festival du court Métrage, Clermont-Ferrand,
  • Daniela Borodak et Xavier Hollandts, Etude d’impact économique du Festival du Court Métrage sur son territoire, Clermont-Ferrand,
  • Christian Izalguier, Grands festivals en Auvergne, Issoire, Christian Izalguier, , 183 p. (ISBN 9782953877700), p. 54-59.
  • 20 ans de courts métrages à Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, , 79 p.
  • Richard Raskin et Gilles Colpart, Grands témoins pour films courts, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage,
  • William Sloane et Bernard Chardère, Grands témoins pour films courts, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage,

Articles[modifier | modifier le code]

  • Clarisse Fabre, « Antoine Lopez quitte "La Jetée" clermontoise », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Géraldine Messina, « Etude - Festival du court métrage de Clermont-Ferrand : onze millions d'euros de retombées économiques », La Montagne.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Macha Séry, « Clermont-Ferrand, le "Cannes du court-métrage" », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )

Vidéos[modifier | modifier le code]

Périodiques[modifier | modifier le code]

  • Ça suit son court ... : hors-série quotidien du Festival du court métrage de Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, 1996-.... (ISSN 1277-6122)
  • Marché du film court., Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, 1981-2012 (ISSN 1294-9779)
  • Le Quotidien : festival du court métrage Clermont-Ferrand..., Paris, Éd. Scope, 2006-2011.
  • Sur un plateau : lettre d'information de la Commission du film d'Auvergne, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, 2001-2011. (ISSN 1637-5580)

Catalogues[modifier | modifier le code]

  • Catalogues du festival publiés depuis 1979. (ISSN 1295-9510)
  • 5e festival du court métrage de Clermont-Ferrand : au (catalogue), Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, , 77 p., in-8o (présentation en ligne, lire en ligne Accès limité)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]