Fernand Quignon
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Ferdinand Just Quignon |
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Fernand Quignon, pseudonyme de Ferdinand Just Quignon, né le à Paris[1] et mort dans la même ville le est un peintre français.
Biographie[modifier | modifier le code]
Ferdinand Just Quignon naît le , rue Saint-Sébastien dans l'ancien 8e arrondissement de Paris (actuel 11e arrondissement), fils de Napoléon Joseph Alexandre Quignon, ébéniste d'art, et de Victorine Félicité Tallot. Il décide de changer de prénom et se fait appeler Fernand Quignon.
Il devient membre de la Société des artistes français en 1888 et il expose à leur Salon[2]. Il obtient une médaille de troisième classe en 1888, une médaille de bronze à l'Exposition universelle de Paris de 1889, une médaille de deuxième classe en 1891 et une médaille d'argent hors-concours [2].
Il meurt le à son domicile du 83 bis, boulevard Richard-Lenoir dans le 11e arrondissement de Paris[3],[2],[4].
Œuvres dans les collections publiques[modifier | modifier le code]
Argentine[modifier | modifier le code]
- Buenos Aires, musée national des Beaux-Arts : Les Blés.
France[modifier | modifier le code]
- Auvers-sur-Oise, musée Daubigny :
- Disiaux au soleil ;
- Soir couchant sur la plaine de Nesles ;
- Les Toits rouges ;
- La Ferme de Fontenelle-Sainfoins.
- Berck, musée de France d'Opale Sud :
- Les Petits malades de l'hôpital maritime ;
- Bateau à l'échouage
- L'Église de Berckville.
- Boulogne-sur-Mer, château de Boulogne-sur-Mer : Pêcheurs de crevettes.
- Carcassonne, musée des Beaux-Arts : Le Sault à Ris.
- Le Havre, musée d'Art moderne André-Malraux :
- Luzernes en fleurs ;
- Trèfles et coquelicots.
- L'Isle-Adam, musée d'Art et d'Histoire Louis-Senlecq :
- L'Église d'Audinghen ;
- Derniers rayons au hameau, 1900 ;
- Avoines au Val de Nesles.
- Montauban, musée Ingres-Bourdelle : Barques de pêche sur une plage, 1889, localisation actuelle inconnue.
- Montreuil-sur-Mer, musée d'Art et d'Histoire Roger-Rodière :
- Les Tranchées à Nesles ;
- Les Champs ont refleuri, dessin.
- Nantes, musée des Beaux-Arts :
- Paris :
- Musée d'Orsay :
- Petit Palais :
- Messidor ;
- Étude de seigle ;
- Seigles mûrs.
- Pont-Aven, musée de Pont-Aven : L'Enseigne de la pension Gloanec, 1882 ou 1883, en collaboration avec Hermanus-Franciscus Van den Anker.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Archives reconstituées de Paris.
- (en) « Fernand Quignon », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit
, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
- « acte de décès n°404 », sur archives.paris.fr (consulté le ), p. 4.
- Il est enregistré sur son acte de décès sous son prénom de naissance Ferdinand.
- « Avoines en fleur - Fernand Quignon | Musée d'Orsay », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )
- « Le Blé noir. Paysage - Fernand Quignon | Musée d'Orsay », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )
- « Derniers rayons du hameau - Fernand Quignon | Musée d'Orsay », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )
- « La Moisson - Fernand Quignon | Musée d'Orsay », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Brigitte Potiez-Soth, Fernand Quignon (1854–1941) : Catalogue raisonné, 288 p.
Article connexe[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Site du Comité Fernand Quignon.
