Évricourt

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Évricourt
Évricourt
Mairie du village
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Michel Debonne
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60227
Démographie
Gentilé Ebroïciens, Ebroïciennes
Population
municipale
224 hab. (2021 en augmentation de 3,7 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 07″ nord, 2° 54′ 23″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 163 m
Superficie km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Évricourt
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Évricourt

Évricourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont les Ebroaldiens ou Ebroïciens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Évricourt est un village périurbain du Noyonnais dans l'Oise, situé au pied du mont de Cuy et dans la vallée de la Divette, à 7 km à l'ouest de Noyon, 20 km au sud-est de Roye, 16 km à l'ouest de Chauny, 32 km au nord-ouest de Soissons et 22 km au nord-est de Compiègne.

Il est aisément accessible depuis les grands axes du secteur : les anciennes RN 32 et RN 334) actuelles RD 1032 et 934). L'autoroute A1 peut être rejointe à Roye.

En 1850, Louis Graves indiquait que « cette petite commune est située au pied du mont de Cuy, dans la vallée de la Divette ; son territoire très-borné comprend une superficie presque circulaire sur la pente de la colline; le chef-lieu est rapproché de la limite méridionale qui est déterminée par la rivière[2] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Cuy Suzoy Rose des vents
Thiescourt N
O    Évricourt    E
S
Cannectancourt Ville

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le moulin d'Epinoy dans les sannées 1920.

Le territoire communal est limité au sud par le lit de la Divette, un affluent de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine.

Le moulin à eau d'Épinoy est attesté au XIIIe siècle et constituait une propriété du chapitre de la cathédrale Notre-Dame de Noyon. Il broyait alors du blé. Incendié, il est reconstruit en 1855 par son propriétaire, M. Reneufve, puis est reconverti à la fin du XIXe siècle par Armand Lepage pour fournir l'énergie d'une fabrique de roues en bois qui cesse dans les années 1930. Le moulin est endommagé durant les guerres, et sa roue motrice est remplacée par une turbine. Après l’arrêt de l’activité, le moulin devient une habitation[1],[3].

Dans le cadre de la remise en fond de vallée du lit de la Divette, des travaux de restitution de son lit ont été menées en 2019 dans le secteur du moulin d'Épinoy afin de rétablir la dynamique de la rivière, et donc permettra le libre écoulement des sédiments, faciliter le passage des poissons et le stockage des eaux en période de crue[4],[5]

Une pisciculture y aménagée afin d’accueillir des truitelles qui, élevées par les bénévoles, peuplent ensuite l’affluent une fois qu’elles ont atteint la taille de 25 centimètres[6].

La rivière est bordée de zones humides et de marais[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 716 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 17 km à vol d'oiseau[10], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Évricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,3 %), forêts (23,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones urbanisées (8,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte un hameau, Épinoy, sur la Divette. En 1850, il comptait quinze maisons[2].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 95, alors qu'il était de 89 en 2014 et de 82 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 90,5 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,1 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Évricourt en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,3 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Évricourt en 2019.
Typologie Évricourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,5 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 5,3 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 675 et 6307 du réseau interurbain de l'Oise[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été désignée comme Ebraldocurtis en 775, Evericourt en 1570.

Il s'agit d'une dénomination constituée à partir d'un nom de personne, dérivé de “Ebroald” en germain ou en latin “Evri”, et de “curtis” en latin, en français moderne Court, signifiant le domaine d’Ebroaldo[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Autrefois, au centre du territoire communal se trouvait Dive-le-Franc, dont la seigneurie est donnée, en 1390 , à la cathédrale de Noyon, par Garnier-Gérault, curé de Saint-Jean-en-Grève, à Paris. Louis Graves indiquait en 1850 : « On prétend que ce lieu était le véritable centre du pays, et qu'Evricourt n'a été bâti qu'après la destruction de Dive-le-Franc, qui a disparu en entier; on retrouve à peine quelques vestiges de fondations sur son emplacement[2] ».

Au Haut Moyen Âge, l'Abbaye de Saint Denis possédait des biens à Evricourt, dont elle avait été dépouillée ; Pépin le Bref, maire du palais, par un jugement rendu en 751, après la vérification de ses titres, et après une enquête contradictoire, ordonnela restitution à l'abbaye de ce qui lui appartenait[21].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse d'Évricourt relevait du bailliage, de l'élection de Noyon et de la Généralité de Soissons. Les grosses dîmes étaient perçues par les chanoines de la cathédrale Notre-Dame de Noyon[21].

En 1850, on comptait sur le territoire communal un moulin à eau et deux moulins à vent[2].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

L'ancien hameau de Marquency, qui comptait quelques maisons, a été détruit durant la Première Guerre mondiale. Le lieu-dit les Aulnes de Marquecy, situé au nord du village, est le seul souvenir de ce hameau[1].

Le village est occupé par l'armée allemande dès le jusqu'au lors de son repli sur la ligne Hindenburg loirs de l'Opération Alberich. Les hommes restés sur place sont déportés en Allemagne au début de cette occupation. L'armée française devient alors maître du village, qui reste en zone avancée sous contrôle militaire strict. Il est réoccupé par les Allemands de juin à fin, août 1918[22],[23].

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lassigny[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Thourotte

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Évricourt est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989[27] juillet 2020[28] Alain Bonte   Agriculteur retraité
juillet 2020[29] En cours
(au 2 décembre 2021)
Michel Debonne    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Thiescourt et Cannectancourt dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école Marquecy d'Évricourt est dotée depuis 2021 d'un accueil périscolaire[30].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 224 habitants[Note 3], en augmentation de 3,7 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
213216233228240237215210204
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
201203211181166154146146134
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1171321199310389868993
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
104117105148188199209210201
2017 2021 - - - - - - -
224224-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Sulpice
  • Église Saint-Sulpice, partiellement détruite pendant la Première Guerre mondiale et réparée à l'identique, datedu XVIe siècle
    L’intérieur dispose d'un mobilier complet, en pierre et plâtre moulé, de style néo-roman ou composite, très richement orné, ainsi qu'une sainte Catherine en bois, XVIe siècle[34]
  • L'arbre de la liberté, un marronnier planté en 2021 aux abords de l’école d’Évricourt[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Évricourt Blason
D'azur à l'arbre au naturel.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Évricourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Évricourt » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Évricourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Évricourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Évricourt », Les 48 communes, sur https://www.cc-pays-sources.fr (consulté le ).
  2. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 57-58, sur Google Livres.
  3. Benoît Dufournier et Bertrand Fournier, « Ancien moulin à blé du chapitre de la cathédrale, dit Moulin d'Espinoy puis fabrique de roues en bois : Dossier IA60001101 réalisé en 1999 », sur Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
  4. « Le lit de la Divette repositionné à Évricourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce chantier, d’un montant de 800 000 euros entièrement financés par l’Agence de l’eau, est prévu en plusieurs étapes ».
  5. « À Évricourt, le nouveau lit de la Divette est prêt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. « Une pollution tue 640 kilos de truites à Évricourt : Un déversement dans la Divette, près de Noyon, a notamment impacté la pisciculture animée par des bénévoles », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « À Évricourt, des jeunes ont restauré le marais pour partir en vacances », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Évricourt et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. « Transports en commun à Évricourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  21. a b et c Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 206, sur Gallica
  22. Edouard Brissy, « Evricourt (Oise). Abri allemand dans une ferme. [légende d'origine] », sur https://imagesdefense.gouv.fr/, (consulté le ).
  23. « Evricourt dans la Grande guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, sur Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise. (consulté le ).
  24. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  25. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Marie-Christine Leroy, « À 72 ans, le maire d’Évricourt garde le bâton de pèlerin : Alain Bonte, premier magistrat d’Évricourt depuis cinq mandats, vient de conclure un périple de 1 700 kilomètres en cinq ans, jusqu’à Saint-Jacques-de-Compostelle. Il ne veut pas raccrocher. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Mais non, le maire d’Évricourt n’a pas oublié le village dont il s’occupe depuis cinq mandats, et même sept en comptant son ancien rôle de conseiller municipal ».
  28. « À Sermaize, le maire Marcel Dausque passe la main », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dans la commune d’Évricourt, le maire, Alain Bonte, ne s’est lui non plus pas représenté, après cinq mandats de premier magistrat ».
  29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  30. « À Évricourt, le jeune accueil périscolaire prend de la vitesse », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Dominique Vermand, « Evricourt, église Saint-Sulpice : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  35. « Un « arbre de la liberté » planté à l’école d’Évricourt : Le syndicat intercommunal à vocation multiple, à l’origine de ce projet citoyen, souhaite également que l’espace vert soit utilisé par les enfants pour des activités autour de l’environnement », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce projet, émis par les élus du Syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) qui unit le village à Thiescourt et Cannectancourt, avait été proposé aux enseignantes, afin d’offrir un symbole des valeurs de la République ».