EuropaCorp

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EuropaCorp
logo de EuropaCorp
Logo de EuropaCorp

Création (32 ans)[1],[2]
Dates clés 2007
Fondateurs Luc Besson
Pierre-Ange Le Pogam
Personnages clés Luc Besson
Forme juridique Société anonyme
Action Euronext : EUROPACORP
Siège social Saint-Denis
Drapeau de la France France
Direction Jean-Marc LACARRERE (depuis mars 2024)
Actionnaires Vine Alternative Investments : 60,2 %
Luc Besson : 10,6 %
Fundamental Films : 9,36 %
Falcon Investment : 6,29 %
Famille Lambert : 2,40 %
Habert Dassault Finance : 1,62 %
BPCE : 0,54 %
Aviva Investors France : 0,35 %
EuropaCorp : 0,04 %
Inversis Gestión : 0,01 %
Activité Producteur de cinéma et Distributeur
Société mère Vine Alternative Investisments
Filiales EuropaCorp Distribution
EuropaCorp Home Entertainment
Effectif 54 personnes
SIREN 384 824 041
Site web www.europacorp.com

Capitalisation 31 millions € (Janvier 2019)
Fonds propres en diminution 22,9 millions € (2019) en 2015-16
Dette 182 millions €
Chiffre d'affaires 145 millions € (2019)[3]
Résultat net en diminution -109 millions € (2019) en 2015-16

EuropaCorp, anciennement appelée Leeloo Productions de 1992 à 2000, est une société de production de cinéma française fondée par Luc Besson et Pierre-Ange Le Pogam, qui réunit les activités de production, distribution salle, vidéo, VàD, la vente de droits TV pour la France, la vente des droits internationaux, mais aussi partenariats et licences, production et édition de musique, édition de livres, et production de films publicitaires.

Le siège social d'EuropaCorp se situe à Saint-Denis dans la Cité du cinéma. Depuis , EuropaCorp est coté en bourse sur Euronext Paris. En difficulté financière, EuropaCorp est sauvée de la faillite par la société américaine Vine Alternative Investments qui rachète la société de production en [4].

Histoire[modifier | modifier le code]

Luc Besson, cofondateur d'EuropaCorp.

En 1985, Luc Besson et Pierre-Ange Le Pogam ont travaillé pour la première fois ensemble sur le film Subway, réalisé par Luc Besson. Pierre-Ange le Pogam était alors directeur de la distribution pour Gaumont.

Leur collaboration a continué jusqu'en 1999, avec de gros succès en salles en France pour chacun des films réalisés par Luc Besson (Le Grand Bleu, Nikita, Léon, Le Cinquième Élément, Jeanne d'Arc). De son côté, Pierre-Ange Le Pogam développait le département ventes internationales de Gaumont en proposant de nouvelles méthodes promotionnelles, qu’il mit en application pour la première fois sur le film Le Cinquième Élément, quatrième plus grand succès international français à ce jour derrière Lucy, Intouchables et Taken 2.

Pierre-Ange Le Pogam est nommé directeur adjoint chez Gaumont en 1997. Le , les deux s’associent et créent EuropaCorp[5].

La société aurait dû, au départ, regrouper les sociétés de production ARP Sélection et Leeloo Productions[5], mais elle ne sera que la continuation de la seconde[1],[6], créée par Luc Besson en 1992[1],[7].

En 2000, Leeloo Productions change de nom pour EuropaCorp[1],[2].

En , EuropaCorp est introduit en Bourse sur le marché Eurolist d’Euronext avec un prix de 15,50 euros par action[8].

Le CSA retient en la candidature d'EuropaCorp TV à la suite d'un appel d'offres concernant l'attribution d'un canal pour la télévision mobile personnelle (TMP).

En 2011, des pertes de 30 millions d’euros sont enregistrées en partie à cause des résultats médiocres à l’international de la série de films Arthur et les Minimoys[8].

En , les résultats de l'exercice sont négatifs ce qui était déjà le cas des deux années précédentes. L'action d’Europacorp descend sous la barre des 1,50  en , ce qui représente une baisse de 90 % par rapport à son prix d'introduction[8].

Sur l’exercice 2011-2012, le résultat opérationnel s’élève à + 6,8 millions d’euros contre une perte de 47,4 millions d’euros lors de l’exercice précédent. Le bénéfice net s’élève à 0,1 million d’euros[9].

En conséquence, il est décidé l'arrêt des films d'animation, de la production de films publicitaires, de l'édition littéraire et de la filiale japonaise. De plus, au début de l'année 2013, le groupe Habert Dassault Finances et la BPCE entrent au capital, réduisant la part de Luc Besson[10]. Le publicitaire Christophe Lambert décide également de ne plus lancer un film s'il n'est pas pré-vendu à 80 % (à l'international ou aux chaînes de télévision), de développer une activité de séries télévisées dont les recettes sont plus récurrentes et sécurisées (grâce à EuropaCorp Télévision), et enfin de maîtriser toute la chaîne d'un film, de la page blanche à la salle de cinéma[11].

En , la société chinoise basée à Shanghai Fundamental Films accepte de distribuer quinze films d’EuropaCorp sur le territoire chinois, en échange d'une coproduction assurée sur trois d’entre eux[12].

En , Europacorp et le studio hollywoodien Relativity Media (coproducteur des films à succès comme The Social Network ou Fast and Furious 6) décident de créer une entreprise commune qui permettra la distribution de films sur le marché américain[13]. Cette décision fait suite à la bonne entente entre les deux entreprises sur leurs deux coproductions (Malavita et 3 Days to Kill). La nouvelle société sera conjointement supervisée par Tucker Tooley (président de Relativity) et Christophe Lambert (directeur général d'EuropaCorp)[14].

Le , Luc Besson annonce à Cannes une levée de fonds de 450 millions de dollars sur cinq ans auprès de JPMorgan Chase, SunTrust Banks et OneWest Bank afin de développer des productions internationales[15].

Le , EuropaCorp annonce être entré en discussion exclusive avec les cinémas Gaumont Pathé pour la vente de son activité d'exploitation cinématographique qui comprend le multiplexe d'Aéroville à Tremblay-en-France et le projet de multiplexe de La Joliette à Marseille[16]. L'accord est finalisé le pour un montant de 21 millions d'euros[17]. EuropaCorp se recentre donc sur ses activités cœur de métier que sont la production et la distribution de films et de séries dans le monde.

En , le tribunal de commerce de Bobigny place EuropaCorp en procédure de sauvegarde, compte-tenu de sa situation financière, après l'échec commercial du film Valérian et la Cité des mille planètes[18],[19].

Le , la direction d'EuropaCorp révèle que ses créanciers sont en discussion avec le groupe Pathé pour une éventuelle reprise[20],[21]. Cependant, les créanciers d'EuropaCorp refusent l'offre de l'entreprise de Jérôme Seydoux[22].

Le , il est officiellement annoncé le rachat d’EuropaCorp par la société américaine Vine Alternative Investments[4]. Luc Besson abandonne la gestion d’EuropaCorp, mais reste en tant que directeur artistique pour une durée de 5 ans[23]. En , c'est Axel Duroux qui est nommé directeur général de la société par le conseil d'administration[24],[25].

Actionnariat[modifier | modifier le code]

Actionnaires en [26]
Nom Actions %
Vine Alternative Investments 73 444 492 59,9 %
Luc Besson 15 600 226 12,7 %
Fundamental Films 11 428 572 9,32 %
Falcon Investment 7 680 230 6,26 %
BPCE 659 202 0,54 %
Habert Dassault Finance 398 309 0,32 %
Estate of Christophe Lambert 271 128 0,22 %
EuropaCorp 83 718 0,068 %
Inversis Gestión 23 726 0,019 %

Organisation[modifier | modifier le code]

Structure[modifier | modifier le code]

EuropaCorp est une société à conseil d’administration présidée par Luc Besson.

Jean-Julien Baronnet en est le directeur général de à , avant d'être remplacé par le publicitaire Christophe Lambert, lui-même remplacé par Marc Shmuger en 2016. Le , Emmanuelle Mignon, conseillère auprès du président de la République Nicolas Sarkozy, devient secrétaire générale du groupe jusqu'en 2012[27].

Au , la société est détenue à 31,57 % par Luc Besson via sa holding Front Line et 0,01 % par lui directement, à 7,15 % par les héritiers de Christophe Lambert via Lambert Capital BV, à 5,76 % par le groupe Habert Dassault Finances, à 2,49 % par Equitis Gestion et à 1,61 % par BPCE[28].

Filiales[modifier | modifier le code]

Filiales d'EuropaCorp[modifier | modifier le code]

  • EuropaCorp Home Entertainment (ex-EuropaCorp Diffusion), est chargée de l’édition sur support vidéo en France.
  • EuropaCorp Distribution, exerce une activité de distribution de films auprès des salles en France.
  • EuropaCorp Music Publishing, est chargée de l’édition et l'exploitation d’œuvres musicales.
  • Intervista, est chargée de l’édition de livres (notamment liés à l’univers du cinéma).
  • Dog Productions, est chargée de la production de films publicitaires.
  • EuropaCorp TV, créé le , chargée de gérer l'activité potentielle de télévision sur mobile.
  • Ydéo, prend en charge pour la France l’élaboration des plans marketing du groupe concernant les sorties en salles et en vidéo.
  • Blue Advertainment, chargée de la communication de la marque.
  • EuropaCorp Films USA, chargée du développement de projets de longs métrages aux États-Unis.
  • EuropaCorp Télévision (ex-Cipango), société de production de fictions télévisuelles.
  • Valerian Holding, chargée de la production et de la distribution du film Valérian et la Cité des mille planètes.
  • Roissy Films, société de distribution de films et production, acquise pour 22 millions d'euros[29]. Le catalogue de la société est revendu en 2019 à Gaumont[30]
  • Sofica EuropaCorp, société pour le financement du cinéma et de l’audiovisuel, détenue à 99,50 % par EuropaCorp.
  • Orchestra.
  • EuropaCorp Aéroville.

EuropaCorp, actionnaire minoritaire[modifier | modifier le code]

  • Pass Pass la Cam' Productions, société de production cinématographique, détenue à 40 % par EuropaCorp.

Abandons[modifier | modifier le code]

  • Septième Choc, avait pour activité principale l’édition de bandes dessinées (liquidée en )[31].
  • EuropaGlénat, avait pour activité essentielle la vente de droits d’exploitation cinématographique issue de l’univers de la bande-dessinée (déconsolidée en )[32].
  • EuropaCorp Japan, avait pour activité principale la distribution de films au Japon[33].
  • SCI Les Studios de Paris, société qui détient des studios de la Cité du cinéma, détenue à 40 % par EuropaCorp jusqu'en 2022, date à laquelle Tarak Ben Ammar en devient l'unique actionnaire[34].

Direction[modifier | modifier le code]

direction actuelle
anciens membres

Conseil d'administration[modifier | modifier le code]

Au
  • Luc Besson, président du conseil d'administration
  • Deborah Carlson
  • James Moore (représentant Vine Investments)
  • Alexandra Voss
  • Jacques-Henri Eyraud

International[modifier | modifier le code]

EuropaCorp a notamment produit les films français à succès au box-office mondial : Lucy (463 millions $[35]), Taken 2 (376 millions $[36]), Taken 3 (326 millions $[37]), Taken (227 millions $[38]), Valérian et la Cité des mille planètes (226 millions $), Le Transporteur 3 (109 millions $[39]), Arthur et les Minimoys (108 millions $[40]) ou Hitman (100 millions $[41]).

Trois productions EuropaCorp ont déjà été à la tête du box-office américain : Le Transporteur 2 à l'été 2005, Taken début 2009 et Taken 2 pendant deux semaines en octobre 2012.

Plusieurs talents internationalement reconnus sont apparus au casting de productions EuropaCorp : Jet Li, Morgan Freeman, Penélope Cruz, Salma Hayek, Tommy Lee Jones, John Malkovich, Jason Statham, David Duchovny, Brittany Murphy, Liam Neeson, Madonna, Robert De Niro, Lou Reed, Jim Carrey, Ewan McGregor

Cité du Cinéma[modifier | modifier le code]

Le , EuropaCorp a rejoint la Cité du cinéma, située à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Elle abrite neuf plateaux de tournage de 600 à 2 200 m2, et plus de 51 000 m2 de bureaux, ateliers, locaux de formation[42]. Le studio est locataire des bureaux de l’ensemble tertiaire financé par la Caisse des dépôts (75 %) et Vinci Immobilier (25 %)[42].

EuropaCorp est actionnaire minoritaire (40 %) sur les studios[31], dits Studios de Paris, aux côtés de Quinta, Euro Media Group, et FrontLine. C’est Euro Media Group, expert européen dans la gestion des studios, qui a la responsabilité d’exploiter les Studios de Paris[43]. En septembre 2023, EuropaCorp quitte la Cité du Cinéma pour se ré-installer dans Paris en raison de l'organisation des Jeux Olympiques 2024.

Multiplexe nouvelle génération[modifier | modifier le code]

Le , le premier multiplexe nouvelle génération de la société a ouvert ses portes, situé dans le centre commercial d'AérovilleTremblay-en-France et Roissy-en-France), il accueille 12 salles de cinéma pour 2 500 places au total : deux salles lounge de projection avec bar privatif, une salle live dédiée à la retransmission de spectacles vivants avec une piste de danse, deux salles au son immersif, une salle de spectacles gratuits avec des écrans à 360 degrés, un Europastore (boutique de produits liés à l'univers du cinéma), un système de réservation de fauteuils numérotés, un service à la place[10].

Fin 2016, EuropaCorp vend ses salles de cinéma[16].

Filmographie[modifier | modifier le code]

Sous le nom de Leeloo Productions[modifier | modifier le code]

EuropaCorp est la continuité de la société créée en 1992 par Luc Besson, sous la dénomination de Leeloo Productions[1],[7]. Elle a véritablement lancé son activité de production et de coproduction de films de long métrage en 1998.

Sous le nom d'EuropaCorp[modifier | modifier le code]

Cette liste comprend les films qui ont été produits ou qui vont être produits par EuropaCorp (coproductions comprises), classés par année de début d'exploitation.

Années 2000[modifier | modifier le code]

Années 2010[modifier | modifier le code]

Années 2020[modifier | modifier le code]

Logos d'entreprise[modifier | modifier le code]

Le logo animé apparaît dès 2001 dans le premier film produit par EuropaCorp, Le Baiser mortel du dragon. Il montre un océan en pleine nuit où viennent apparaître, au-dessus de l'eau, des dauphins, laissant ensuite place à un ovale bleu turquoise sortant de l'eau qui ressemble à un cocon voire à une chrysalide, et qui soudain disparait pour se transformer en fée[44][source insuffisante]. Le logo graphique est cette dernière image arrêtée de la fée avec ses deux grandes ailes déployées au-dessus du nom de la marque. Ces deux logos reliés par la même image représentent l'identité visuelle de l'entreprise depuis 2001.

Box-office international[modifier | modifier le code]

Légende :

  •  : indique les films en cours de diffusion.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e [PDF] Europacorp-investors.com ; p. 33 "Créée par Luc Besson en 1992 sous la dénomination Leeloo Productions" Consulté le
  2. a et b [PDF] Info-financiere.fr ; document de références p 33 Consulté le 28 septembre 2013.
  3. [1]
  4. a et b « EuropaCorp : Le groupe de Luc Besson passe sous pavillon américain », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. a et b « EUROPACORP. », sur rafcart.free.fr (consulté le )
  6. « Leeloo Productions », sur unifrance.org (consulté le )
  7. a et b « LES FILMS DU DAUPHIN », sur rafcart.free.fr (consulté le )
  8. a b et c Emmanuel Schafroth, « Quand les placements plaisir virent au cauchemar », Yahoo Finance France,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. « Europacorp crève l'écran après ses résultats annuels », sur EasyBourse, (consulté le )
  10. a et b Hebdomadaire Le Point du , no 2138 p. 91 Dossier « Besson & Cie, la résurrection »
  11. Hebdomadaire "Le Point" du , no 2138 p. 92 Dossier "Besson & Cie, la résurrection".
  12. Nicolas Condom, « Le Transporteur : Déjà le reboot », sur Brain Damaged, (consulté le )
  13. Enguérand Renault, « Europacorp met un pied à Hollywood », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  14. « EUROPACORP crée une coentreprise avec Relativity Media aux Etats-Unis », sur Capital.fr, (consulté le )
  15. « Europacorp lève des fonds pour conquérir l'international », Challenges,‎ (lire en ligne)
  16. a et b « EuropaCorp, la société de Luc Besson, vend ses salles de cinéma », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
  17. « L'histoire mouvementée des salles de cinéma de Luc Besson », BFM Business,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. Alexandre Debouté, « À bout de souffle financièrement, EuropaCorp est placée en sauvegarde », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  19. « « Luc Besson perdu dans les étoiles après la chute de sa société EuropaCorp » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. « Europacorp, au bord de la faillite, pourrait être rachetée par Pathé », sur Le Huffington Post, (consulté le )
  21. « Cinéma : Pathé intéressé par une prise de participation dans Europacorp », sur Europe 1 (consulté le )
  22. CRIBLÉ DE DETTES, LUC BESSON CÈDE SA SOCIÉTÉ EUROPACORP À UN FONDS AMÉRICAIN, CNEWS, (consulté le sur le site de CNEWS)
  23. « EuropaCorp peut redémarrer avec Vine majoritaire au capital », sur Les Échos, (consulté le )
  24. « EUROPACORP : Axel Duroux nommé Directeur général », sur Capital.fr, (consulté le )
  25. « Axel Duroux, à la tête d'Europacorp », sur Les Echos, (consulté le )
  26. Zone Bourse, « EuropaCorp », sur Zone bourse (consulté le ).
  27. « Emmanuelle Mignon chez Luc Besson », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  28. [PDF] EuropaCorp-investors.com ; dossier de références 2015/2016 Consulté le .
  29. Roissy Films Lefigaro.fr ; le mauvais scénario boursier Consulté le .
  30. La société de Luc Besson vend un catalogue de films à Gaumont, lemonde.fr,
  31. a et b [PDF] EuropaCorp-investors.com ; dossier de références p. 28 et 29 Consulté le .
  32. [PDF] EuropaCorp-investors.com ; rapport financier 2011-2012, p. 13 Consulté le .
  33. [PDF] Inetbdif.amf-france.org, rapport "EuropaCorp" du , p. 32 Consulté le .
  34. Le producteur tunisien Tarak Ben Ammar s'empare des Studios de Paris de Luc Besson, franetvinfo.fr, 6 mars 2022.
  35. « Lucy (2014) », sur boxofficemojo.com (consulté le )
  36. « Taken 2 (2012) », sur boxofficemojo.com (consulté le )
  37. « Taken 3 (2015) », sur boxofficemojo.com (consulté le )
  38. « Taken (2009) », sur boxofficemojo.com (consulté le )
  39. « Transporter 3 (2008) », sur boxofficemojo.com (consulté le )
  40. « Arthur and the Invisibles (2006) », sur boxofficemojo.com (consulté le )
  41. « Hitman (2007) », sur boxofficemojo.com (consulté le )
  42. a et b [PDF]Caissedesdepots.fr ; pdf publicitaire, p. 22 et 23 Consulté le .
  43. [PDF]Nguyen.pav.free.fr ; intro en bourse Euro Media Groupe, p. 18 Consulté le .
  44. PATRICE498, « [vidéo] EuropaCorp logo - Original Version », (consulté le )
  45. JPBox-Office.com ; Site Box-Office page France pour chaque film Consulté le .
  46. Unifrance.org ; Site des films français dans le monde Consulté le .
  47. a b c d e f g h i j et k [PDF]Unifrance.org ; bilan 2014 Consulté le .
  48. a et b Unifrance.org ; premier résultats 2015 Consulté le .
  49. Unifrance.org ; page d'accueil - mois d' Valérian 20 686 785 entrées Consulté le .
  50. a b c et d [PDF]Unifrance.org ; bilan 2009 page 10 et 11 Consulté le .
  51. Cyril Coantiec, « Lucy : le plus gros succès français à l'étranger depuis 20 ans », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  52. [PDF]Unifrance.org ; bilan 2012 page 14 et 15 Consulté le .
  53. « Box-office français dans le monde - Avril 2011 », UniFrance,‎ (lire en ligne, consulté le )
  54. Fiche Unifrance -bilan Consulté le
  55. Estimation par 8,22 $ ; le billet moyen pour le film "Malavita" d'Europacorp sorti 5 mois avant.
  56. a et b [PDF]Unifrance.org ; bilan 2010 page 12 Consulté le .
  57. Unifrance.org ; bilan Consulté le .

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Gaspard Delon et Ana Vinuela (dir.), « Europacorp, une major française ? », Cahiers de champs visuels, no 18-19, 2020, 248 p.

Liens externes[modifier | modifier le code]