Estézargues

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Estézargues
Estézargues
Vue générale.
Blason de Estézargues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes du Pont du Gard
Maire
Mandat
Martine Laguérie
2020-2026
Code postal 30390
Code commune 30107
Démographie
Population
municipale
605 hab. (2021 en augmentation de 13,3 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 28″ nord, 4° 38′ 16″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 232 m
Superficie 11,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Avignon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Redessan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Estézargues
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Estézargues
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Estézargues
Liens
Site web mairie-estezargues.fr

Estézargues est une commune française située dans l'est du département du Gard, en région Occitanie. Bien que située au cœur du Gard rhodanien du Sud, elle n'en fait cependant pas partie administrativement.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par divers petits cours d'eau. Située à proximité du débouché des gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Estézargues est une commune rurale qui compte 605 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon. Ses habitants sont appelés les Estezarguais ou Estezarguaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Estézargues est une commune située à 26 km de Nîmes et 16 km d'Avignon, dont elle intègre l'aire urbaine. Son territoire s'étend sur un axe nord-sud en forme d'aiguille : une partie sud où on retrouve le village et la nationale 100, et une partie nord beaucoup plus sauvage et inhabitée où on retrouve des garrigues et qui est traversée par l'autoroute A9.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie et relief[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pujaut à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 672,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la RN100 et par l'autoroute A9 (sortie 23 Remoulins). Ligne de bus 115, 125 et 150.

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[9],[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[11] : la « chênaie de la Grand Combe » (306 ha), couvrant 2 communes du département[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Estézargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[I 1],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48,9 %), forêts (30,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Estézargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 2002, 2003, 2004 et 2010[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Estézargues.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 51,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 235 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 234 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Occitan Estezargue, du roman Estressargues, Estrairanegues, du bas latin Stresanicæ, Strazanicæ, Strayranice, Estranhanicæ[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La découverte de silex datant de 1800 av. J.-C. indique que la région a été habitée depuis la Préhistoire.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Une représentation de Bacchus et d'Ariane datant du IIe ou IIIe siècle a été trouvée en 1896 à Estézargues. Des vases antiques ont également été mis au jour. Le village a été créé plus tard à partir de plusieurs fermes.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le village porte son nom actuel depuis 1620.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1989 Jean-Marie Granier DVD agriculteur
2001 2008 Doris Roulet DVD  
2008 En cours Martine Laguérie DVD Retraitée de l'enseignement
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 605 habitants[Note 4], en augmentation de 13,3 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
232217263272290279296294308
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
317302300292259221211198187
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
192203183152150152149153181
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
204200213228276384433440482
2017 2021 - - - - - - -
579605-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 214 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 564 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 320 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 8,7 % 6,4 % 5,3 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 364 personnes, parmi lesquelles on compte 82,7 % d'actifs (77,4 % ayant un emploi et 5,3 % de chômeurs) et 17,3 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Avignon, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 128 emplois en 2018, contre 119 en 2013 et 105 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 290, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,3 %[I 10].

Sur ces 290 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 64 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

36 établissements[Note 7] sont implantés à Estézargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 36
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
3 8,3 % (7,9 %)
Construction 4 11,1 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
7 19,4 % (30 %)
Activités immobilières 3 8,3 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
10 27,8 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
5 13,9 % (13,5 %)
Autres activités de services 4 11,1 % (8,8 %)

Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,8 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 36 entreprises implantées à Estézargues), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la vallée du Rhône, une petite région agricole occupant la frange est du département du Gard[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 23 20 21 25
SAU[Note 10] (ha) 414 456 544 649

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 20 en 2000 puis à 21 en 2010[29] et enfin à 25 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 1 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[30],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 414 ha en 1988 à 649 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à 26 ha[29].

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

Lavoir.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

Église de Saint-Gérard.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Karen Keren[pourquoi ?], de son vrai nom Corinne Kehren, née le 29 juin 1959 à Relizane (Algérie) est une auteure-compositrice-interprète de chansons de variétés françaises et internationales depuis 2000.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Estézargues Blason
De vair au pal losangé d'or et d'azur[31].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Estézargues » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Estézargues » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Estézargues » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Estézargues » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Estézargues et Pujaut », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Pujaut » (commune de Pujaut) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Pujaut » (commune de Pujaut) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  8. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le ).
  10. « Gorges du Gardon - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Estézargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF la « chênaie de la Grand Combe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Estézargues », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Estézargues », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 1060, t. 1
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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