Épron

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Épron
Épron
L'église Saint-Ursin.
Blason de Épron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Caen la Mer
Maire
Mandat
Franck Guéguéniat (PRG)
2020-2026
Code postal 14610
Code commune 14242
Démographie
Gentilé Épronnais
Population
municipale
1 672 hab. (2021 en augmentation de 2,2 % par rapport à 2015)
Densité 1 177 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 19″ nord, 0° 22′ 16″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 60 m
Superficie 1,42 km2
Unité urbaine Caen
(banlieue)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Caen-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Épron
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Épron
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Épron
Liens
Site web www.mairie-epron.fr

Épron est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 672 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est au nord de la plaine de Caen et appartient à la communauté d'agglomération Caen la Mer. Son bourg est à 4,5 km au nord de Caen — dont la commune est limitrophe —, à 9 km au sud de Douvres-la-Délivrande et à 13 km au sud-ouest d'Ouistreham[1].

Le territoire est traversé par la route départementale no 7 reliant Caen au sud à Douvres-la-Délivrande et la Côte de Nacre au nord. Elle partage le territoire en deux parties comparables dont la quasi-totalité du bourg occupe la partie occidentale. Deux départementales se raccordent à cet axe : la D 177 traverse le sud du village et permet de rejoindre la colline aux Oiseaux au sud-ouest, et la D 226b mène à l'est à Lébisey (Hérouville-Saint-Clair). L'accès au boulevard périphérique de Caen est à 2 km au sud (échangeur n°5), permettant de rejoindre les grands axes rayonnant de Caen.

Aucun cours d'eau notable ne parcourt la commune. Épron est dans le bassin de l'Orne, par son affluent le Dan qui reçoit les eaux sortant du territoire par l'est et collectées par « le Vallon » au sud de Biéville-Beuville.

Le point culminant (60 m) se situe en limite sud. Le point le plus bas (25 m) est à l'est du territoire (le Vallon).

Carte de la commune.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune d'Épron est desservie par la ligne 7 du réseau Twisto (Épron Mairie ou Caen Campus 2 <> Caen Gambetta).

Les lignes 3 (Caen<>Courseulles sur mer) et 4 (Caen<>Cresserons) des bus verts du Calvados ont un arrêt dans la commune (le long de la RD7).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 674 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Carpiquet à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Épron est une commune urbaine[Note 2],[10]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Caen, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[13] et 205 163 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (41,8 %), terres arables (36,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est attesté sous les formes Esperon en 1206[19] et 1207 (cartulaire de l'abbaye d’Ardenne)[20],[21] ; Esperon vers 1220 (Livre Pierre du Thillay, p. 64)[19] ; Esperun en 1286 (AC, H 208)[19] ; Esperone vers 1350 (pouillé Bayeux)[19] ; Sanctus Ursinus de Hesperone XIVe siècle (taxat. decim. dioc. Baioc.)[20].

Il s'agit d'une formation toponymique mal éclaircie, les mentions disponibles étant trop récentes. Certaines sont identiques à celles d’Épron, hameau et moulin de la commune de Saint-Martin-de-Saint-Maixent (Deux-Sèvres, Esperum 1130, Esperons 1269; Esperon 1363 et 1528[22]).

Selon Albert Dauzat, il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine basé sur un nom de personne latin Asperius suivi du suffixe -onem, explication reprise sans commentaire par René Lepelley qui remplace nom d'homme latin par nom de personne roman et -onem par suffixe latin de propriété -o / -onis[23], considéré aussi comme gaulois par les celtisants.

Remarque : l'évolution d’Asp- (Asperius) en Esp- (Esperon) est conjecturelle, car aucune attestation ancienne ne la valide. Par ailleurs, François de Beaurepaire a démontré qu'en Normandie, l'appellatif vieux norrois lundr « bosquet, petit bois » (voir la Londe) en seconde position -lund, évoluait parfois en -ron, par exemple dans Yébleron (pays de Caux, Eblelont vers 1210 ; Yebleront en 1316)[24]. Cela semble également être le cas dans Cresserons, nom d’une commune située à 9 km d'Épron mentionné sous les formes Crisselon en 1234; Crisseron en 1258[20]. Bien que cette évolution soit un peu précoce et qu’il faille aussi rejeter la forme du XIVe siècle, il est possible qu'Épron représente un ancien *Espelont, type toponymique attesté à plusieurs reprises dans la toponymie normande comme par exemple : Épelont (Saint-Valery-en-Caux, Espelont 1238), Épelont (Bermonville, Espelonc vers 1379) et Eperonde (L') (Mesnières-en-Bray, Ventes d'Esperonde 1540; L'Esperonde, bois taillis séparé de la forêt du Hellet, 1732). Ce dernier remonte au vieux norrois espi « peuplier tremble » + lundr « bosquet, petit bois », d'où le sens global de « petit bois de trembles ».

Le gentilé est Épronnais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , la 59th Staffordshire Division entre dans Épron, occupée par la 21e Panzer Division. Les pertes seront lourdes des deux côtés. Par vingt fois, le village sera pris et repris[25], deux cent mille obus le bombardent.

Village de la radio[modifier | modifier le code]

Épron est appelée « le village de la radio » car sa reconstruction après la guerre a été parrainée par la Radiodiffusion française, en . En été cette année-là, les animateurs Jean Nohain et Francis Bernard suivent le Tour de France pour la radio et traversent des régions où les séquelles de la guerre sont encore visibles[26]. La radio demande alors aux auditeurs de désigner quel département, selon eux, a été le plus sinistré durant la guerre : le Calvados l'emporte, du fait que sur près de 800 communes, seule une vingtaine ont échappé à la destruction[26],[27]. Le préfet du département se voit alors confier la tâche de dresser la liste des dix communes les plus touchées[26] : Authie, Touffréville, Soumont, Truttemer-le-Grand, Pontécoulant, May-sur-Orne, Maltot, Cheux, Noyers-Bocage et Épron ; début décembre, c'est le nom d'Épron qui est tiré[27]. Un appel aux dons lancé par la radio permet d'obtenir plusieurs millions d'anciens francs en billets de 5, 10 et 20[26]. Le , Jean Nohain, le ministre de la Reconstruction et le directeur de la RTF Wladimir Porché lancent les travaux qui reconstruiront tout le village (y compris le clocher de l'église Saint-Ursin, typique des XIe et XIIe siècles, relativement épargnée par les combats) sur le tracé d'antan en quelques mois[27].

Un film documentaire, Au fil des ondes, est sorti en 1951. En souvenir de ce partenariat, la commune a donné le nom de Jean-Nohain à un square, la place de la Mairie a été baptisée place Francis-Bernard (chef du service des relations avec la presse à la RTF, à l'origine du parrainage[28]) et une rue du nom de la RTF. Peuplé d'environ 200 habitants à sa reconstruction, le village en compte aujourd'hui[Quand ?] deux milliers et les projets d'aménagement pourraient faire doubler la population en quelques années[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1949 1983 Maurice Vaubert   Cadre de l'Équipement
1983 Mars 2001 Bernard Jaeckert UDF puis RPR Retraité de l'Apave
Mars 2001[29] En cours Franck Guéguéniat[30] PRG Personnel de direction de l'Éducation nationale
Conseiller régional
Vice-Président du Parti radical de Gauche
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[30].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 1 672 habitants[Note 4], en augmentation de 2,2 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Épron a compté jusqu'à 1 755 habitants en 1999.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
125156161188199212208214212
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
192174152126110121124132106
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
120121989390196225134184
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2673255688581 4251 7551 6341 5981 600
2018 2021 - - - - - - -
1 6331 672-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le Grand accélérateur national d'ions lourds est en grande partie situé sur le territoire communal. Le , Spiral 2 est inaugurée par le président de la République, François Hollande en présence des ministres de la Recherche et des Affaires européennes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Distinction[modifier | modifier le code]

Candidat au palmarès 2019 du Concours départemental des villes et villages fleuris, Épron a reçu le 3ème prix dans la 3ème catégorie (communes de plus de 5 000 habitants) le 14 octobre 2019[35].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le chemin de la 59th Staffordshire-Division.
  • Église Saint-Ursin, reconstruite après la Seconde Guerre mondiale.
  • Chemin de la 59th-Staffordshire-Division. Le , dans le cadre de l'opération Charnwood, la 59th Staffordshire Division britannique, emprunta ce chemin venant de Cambes-en-Plaine pour entrer dans Épron.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Manifestations[modifier | modifier le code]

Chaque année est organisée la foire aux greniers d'Épron, une des plus importantes du nord de Caen, dans la cour du foyer du père Robert et dans les rues alentour. En 2005, une série de concerts de groupes locaux (Utopia…) est appelée Épr'on The Rock.

À chaque printemps depuis 2002, la commune organise durant un week-end le printemps de la peinture et des arts. Lieu d'éveil culturel, il accueille près d'une quarantaine d'exposants.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Michel de Boüard (1909-1989), historien et archéologue, résistant et déporté. Un square, inauguré le , porte désormais son nom.
  • La commune accueille aussi depuis 2012 une préparation militaire de la Marine nationale intitulée « Amiral Hamelin ». 25 jeunes y sont formés chaque année.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Épron Blason
D'argent à la croix au pied fiché de sable chargée en abîme d'une molette d'éperon du champ, au comble cousu aussi du champ chargé de l'inscription EPRON en lettres capitales aussi de sable[36].
Détails
Armes parlantes.
Armes adoptées par délibération municipale du 9 décembre 1988.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Épron et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Caen-Carpiquet » (commune de Carpiquet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Caen-Carpiquet » (commune de Carpiquet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 171
  20. a b et c Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados, Paris, 1883, pp. 106 et 91.
  21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse (Réédition Guénégaud), , p. 267a
  22. Bélisaire Ledain, Dictionnaire topographique des Deux-Sèvres, Poitiers, 1902, p. 107.
  23. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (BNF 36174448), p. 116
  24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 166.
  25. « 1949 : La radio reconstruit un village », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  26. a b c et d Christian David, « 70e anniversaire du D-Day: Epron, le village de la radio »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lexpress.fr, (consulté le ).
  27. a b c et d Aude Dassonville, « Epron, l'histoire d'un village sauvé par la radio », sur telerama.fr, (consulté le ).
  28. « Epron - Village de la radio »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ), sur le site de la commune.
  29. « Franck Guéguéniat briguera un troisième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Épron. Franck Guéguéniat est réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Concours des villes et villages fleuris »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur calvados.fr (consulté le ).
  36. « Épron », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

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