Élise Lucet

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Élise Lucet
Image illustrative de l’article Élise Lucet
Élise Lucet en 2015.

Naissance (60 ans)
Rouen, France
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Journaliste de télévision
Années d'activité Depuis 1983
Médias actuels
Fonction principale Présentatrice du journal du 19/20 en semaine (1988-2005)

Présentatrice de Pièces à conviction (2000-2011)

Présentatrice du Journal de 13 heures de France 2 en semaine (2005-2016)

Présentatrice de Cash investigation (depuis 2012)

Présentatrice d'Envoyé spécial (depuis 2016)

Historique
Télévision France 3 (1983-2005)
France 2 (depuis 2005)

Élise Lucet, née le à Rouen (Seine-Maritime), est une journaliste d'investigation, rédactrice en chef, présentatrice de télévision[1] et productrice française.

Après une vingtaine d'années passées à France 3, dont une partie en tant que présentatrice du 19/20, elle présente ensuite pendant onze ans, le Journal de 13 heures de France 2 du lundi au vendredi, ce jusqu'au .

Spécialisée dans le journalisme d'investigation, elle produit et présente Pièces à conviction de 2000 à 2011, le magazine Cash investigation à partir de 2012 et le magazine Envoyé spécial depuis 2016 sur France 2.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et jeunesse[modifier | modifier le code]

Élise Lucet est la fille de Michel Lucet, enseignant et artiste plus connu sous le nom d'Eusèbe[2],[3] (1934-2022)[4], et d'une directrice d'école[5]. Outre sa carrière d'enseignant, son père a enregistré trois disques avec Pierre Nicolas, sous le pseudonyme du chanteur poète Eusèbe[6]. Elle a une sœur, Sophie Lucet, auteure du roman Poussin de haie qui retrace l'histoire de sa famille sur quatre générations du côté maternel[7]. À l'âge de 14 ans, elle exprime à sa mère le désir de devenir journaliste en voyant Christine Ockrent à la télévision[5].

Titulaire d'un baccalauréat scientifique obtenu à l'oral de rattrapage[8],[9], elle entre à l'université de Caen et en ressort au bout de trois semaines. Elle part par la suite à Calgary comme jeune fille au pair. Elle y découvre la radio d'étudiants de ses amis et y fait des interventions. De retour en France, le hasard lui permet de faire un stage à Radio France Caen.

Carrière à la télévision[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

De 1983 à 1986, Élise Lucet travaille pour FR3 Caen[10], sous la direction d'Henri Sannier. Elle passe ensuite chez Sygma TV puis France Inter jusqu'en 1987[10]. De 1987 à 1988, elle collabore à l'émission La Marche du siècle de Jean-Marie Cavada sur Antenne 2[10].

En 1988, elle intègre la rédaction nationale de FR3[10] où elle présente parfois des flashes d’information et le journal 19/20[10].

Présentatrice du 19/20 sur FR3/France 3 (1990-2005)[modifier | modifier le code]

À partir du 12 mars 1990[11], elle présente le 19/20, le journal d'information de fin de journée sur FR3, en duo avec Paul Amar jusqu'en 1992[10] et Marc Autheman de 1992 à 1994[10] puis en solo jusqu'en 2005[12]. En 1997[10], elle devient rédactrice en chef de cette édition[13].

Parallèlement, elle présente plusieurs émissions, toujours sur France 3. De 1994 à 2000[12], elle est rédactrice en chef et présentatrice d'une émission scientifique, Nimbus, devenue Science 3 en 1995[1] puis Les Aventuriers de la science en 1999[10]. Elle présente également des reportages ponctuels, à l'instar de Viols d'enfants : la fin du silence ?, sur le sujet des réseaux pédocriminels sataniques, dont le débat en fin d'émission provoque des remous[14]. Elle effectue un reportage sur un vol parabolique en apesanteur à bord d'un avion Airbus A300 ZERO-G.

Présentatrice de Pièces à conviction (2000-2011)[modifier | modifier le code]

À partir d’[15], elle produit et présente Pièces à conviction, un magazine d'investigation diffusé en seconde partie de soirée. C'est à ce titre qu'elle présente notamment le reportage Uranium, le scandale de la France contaminée, diffusé en février 2009, dans laquelle elle intervient d'ailleurs. Elle dirige le magazine jusqu’en 2011 et la création de Cash investigation, car selon elle « les citoyens ont vraiment soif d’information fouillée »[16], l’affaire Jérôme Cahuzac, révélée par Médiapart, apportant en plus ensuite « un déclic dans l’opinion publique »[16].

En 2002, dans le cadre de l'élection présidentielle, elle coprésente, avec Christine Ockrent et Jérôme Cathala, Quand je serai président, une série de trois émissions diffusées en première partie de soirée[17].

Présentatrice du journal de 13 heures sur France 2 (2005-2016)[modifier | modifier le code]

En , elle quitte le 19/20 pour présenter du lundi au vendredi le Journal de 13 heures sur France 2, dès le lundi [18]. Entre et , elle prend un congé de maternité : Françoise Laborde la remplace[19].

Parallèlement, elle présente plusieurs émissions sur France Télévisions. Jusqu'en , elle poursuit la présentation de Pièces à conviction sur France 3, avant que le groupe France Télévisions ne souhaite que chaque visage soit clairement associé à une seule de ses chaînes[20]. Patricia Loison la remplace en [20].

Elle présente les soirées électorales sur France 2 aux côtés de David Pujadas en 2007[21], 2008[22], 2010[23] et 2012[24]. En , elle présente une émission spéciale consacrée aux personnes âgées, À nos 100 ans !, diffusée en première partie de soirée sur France 2[25].

Après onze ans au journal de 13 heures, Élise Lucet présente son dernier journal télévisé le vendredi pour présenter en , Les Jeudis de l'info[26]. Elle doit réformer les magazines Envoyé spécial et Complément d'enquête pour faire une soirée thématique cohérente[pas clair] tout en continuant Cash investigation[27]. Après elle, le journal de 13 heures est présenté par Nathanaël de Rincquesen et Marie-Sophie Lacarrau jusqu'à la fin de la saison. Cette dernière reprend ensuite le journal de 13 heures pour la saison 2016 - 2017[28].

Présentatrice de Cash investigation (depuis 2012)[modifier | modifier le code]

À partir d', elle anime un magazine d'enquête sur des sujets de société ou d'économie, d’une durée de 60 à 70 minutes, intitulé Cash Investigation. Le magazine est initialement diffusé en deuxième partie de soirée sur France 2[29],[30]. Depuis la rentrée 2014, l'émission est retransmise en première partie de soirée, à 20 h 50 sur France 2.

Le succès et la popularité de l'émission vont grandissant[réf. nécessaire] : elle fait la une du magazine Télé 7 jours (première édition de ) auquel elle accorde une interview[31]. Elle confie que « la quête de vérité » est sa première motivation, en dépit de certaines pressions extérieures : elle qualifie son émission de « grain de sable qui empêche la machine de tourner » et donc « réveille les consciences ».

Présentatrice d’Envoyé spécial (depuis 2016)[modifier | modifier le code]

Elle est chargée de présenter le magazine Envoyé spécial à partir de 2016[32]. Sa rémunération est estimée à 25 000 euros par mois[33]. Élise Lucet confirme que cette tranche de rémunération est exacte mais variable selon les mois. Elle regrette néanmoins la divulgation de son salaire à son insu mais déclare que « cela fait partie du job »[34].

Fin , l'institut de sondage IFOP révèle qu'Élise Lucet est considérée en France comme la journaliste la plus influente en 2019 parmi les autres femmes journalistes[35]. Elle devance Anne-Claire Coudray et Laurence Ferrari[36],[37].

En , le numéro d'Envoyé spécial consacré aux témoignages de victimes de Nicolas Hulot bat des records d'audience.

En février 2023, à quelques semaines de la date commémorative de la guerre en Ukraine, le 24 février, la journaliste se rend en Ukraine, proche du front et à Kiev notamment avec l'équipe d'Envoyé Spécial pour connaître les réactions du peuple ukrainien, déterminé, en cette période de guerre[38],[39].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Elle a été la compagne de Jean-Marie Cavada pendant une dizaine d'années[40],[41].

En , elle épouse Martin Bourgeois, un antiquaire. Ils ont une fille, nommée Rose, née en . Son mari meurt en d'une leucémie[42], il était âgé de 42 ans[43].

Engagements[modifier | modifier le code]

De 1996 à 1997, elle préside le Press club de France[44].

De à [45], elle soutient durant toute leur captivité Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier. Au moment de leur enlèvement, les deux journalistes préparaient un reportage en Afghanistan pour l'émission Pièces à conviction, qu'elle présentait alors.

En , elle lance une pétition en ligne pour s'opposer à un projet de directive européenne qui viendrait protéger le secret des affaires et qui, selon elle, pourrait fortement remettre en question la possibilité de mener des enquêtes journalistiques sur les pratiques des entreprises[46]. La pétition qu'elle lance au niveau français et européen reçoit un fort écho avec (en ) plus de 500 000 signatures[47],[48]. Malgré cela, les membres de la commission des affaires juridiques (JURI) ont adopté cette directive le [49],[50]. La directive a été adoptée par le Parlement européen le et devra être transposée dans un délai de deux ans par les États membres dans leur droit interne[51].

Le , après l'enquête sur la pédophilie dans l'Église catholique, Élise Lucet interpelle le pape François lors d'une audience générale place Saint-Pierre à Rome : « Dans le cas Grassi, avez-vous tenté d'influencer la justice argentine ? », lui demande la journaliste. Le pontife, manifestement surpris, répond : « Pas du tout »[52].

Le , plus de 70 célébrités se mobilisent à l'appel de l'association Urgence Homophobie. Élise Lucet est l'une d'elles et apparaît dans le clip de la chanson De l'amour[53],[54],[55].

Elle participe à l'émission Aux arbres citoyens, prime-time imaginé par Cyril Dion et diffusé sur France 2 en novembre 2022, qui permet de récolter 1,8 million d'euros de dons, pour la lutte contre le dérèglement climatique et le maintien de la biodiversité[56],[57].

Poursuites judiciaires[modifier | modifier le code]

En 2018, Élise Lucet déclare que chaque émission de Cash investigation suscite une ou deux procédures judiciaires. Élise Lucet est souvent mise en examen avec le journaliste-réalisateur qui a fait le film, mais aussi avec Delphine Ernotte, en tant que directrice de la publication de France Télévisions[58].

Distinctions et décorations[modifier | modifier le code]

Le , Élise Lucet est nommée au grade de Chevalier de la Légion d'honneur Chevalier de la Légion d'honneur au titre de « journaliste ; 24 ans d'activités professionnelles »[59]. Elle est faite « chevalier de la Légion d'honneur » le [60].

En 2014, elle reçoit le « Laurier du magazine télé » du club audiovisuel de Paris pour Cash investigation[61] et le « grand prix de la Presse internationale (télévision) » pour « l’ensemble de sa carrière dans l’information internationale et pour l’excellence et le courage dans le traitement des sujets internationaux dans l’émission Cash investigation »[62].

En 2015, l'association d'anti-corruption Anticor lui décerne le Prix d'éthique[63].

Controverse[modifier | modifier le code]

En , un reportage sur le glyphosate est signalé plus de 500 fois au CSA en raison de son traitement non contradictoire[64], conduisant France Télévisions à publier un communiqué de presse[65].

En , une polémique oppose Élise Lucet à la journaliste de L'Opinion Emmanuelle Ducros[66] à la suite d'un article de Checknews de Libération[67],[68],[69] qui allègue qu'Emmanuelle Ducros aurait fait des « ménages » (terme qui désigne des prestations payées hors journalisme).

Dans le cadre de l'affaire Hulot, la diffusion de témoignages de victimes amène Nicolas Hulot à dénoncer ce qu'il appelle un « tribunal médiatique »[70]. Élise Lucet répond que c'est « au service public d’enquêter sur ces affaires » : recueil de témoignages, vérification, recoupement, proposition d'interview à Nicolas Hulot, approché depuis 17 jours (mais ce dernier exigeait qu'on lui communique l’identité exacte de ses accusatrices[71]), en mettant en œuvre la rigueur qui a fait sa popularité et celle de ses enquêtes télévisées.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Élise Lucet », sur ozap.com (consulté le ).
  2. « L'artiste bas-normand Michel Lucet (papa d'Élise) de son nom d'artiste Eusèbe en concert », sur francebleu.fr.
  3. « Le chanteur musicien Michel Lucet », sur ouest-france.fr.
  4. « Caen. Le poète et chanteur, Michel Lucet, est mort », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  5. a et b Stéphane Calmeyn, « Face à face avec Élise Lucet », Sélection du Reader's Digest,‎ , p. 72-79.
  6. « Rencontre avec le chanteur poète Eusèbe », sur ouest-france.fr, .
  7. Sophie Lucet, Poussin de Haie : roman, Paris, Albin Michel, , 294 p. (ISBN 2-226-13098-5).
  8. « Elise Lucet : « Pas question de se laisser dicter notre conduite par des communicants », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  9. Pascale Krémer, « Élise Lucet : « Je ne voulais pas apprendre le monde dans les livres » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  10. a b c d e f g h et i « Élise Lucet », sur gala.fr (consulté le ).
  11. « 19/20 du 12 Mars 1990 sur FR3 »
  12. a et b Carole Prévost, « Les Stars de l'info : Élise Lucet », sur tvmag.lefigaro.fr, .
  13. « Élise Lucet », sur staragora.com (consulté le ).
  14. « Le charnier d'enfants n'était qu'une rumeur », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  15. Aude Dassonville, « Les « Pièces à conviction » d'Élise Lucet », sur leparisien.fr, .
  16. a et b Élise Lucet « L’investigation s’apprête à vivre des années difficiles », article d'Audrey Loussouarn dans L'Humanité le 12 octobre 2016 [1]
  17. « Bonne audience pour « Quand je serai président » », sur ladepeche.fr, .
  18. Charlotte Moreau, « Élise Lucet face à Pernaut », sur leparisien.fr, .
  19. Emmanuel Galiero, « Élise Lucet bientôt en congé maternité », sur tvmag.lefigaro.fr, .
  20. a et b « Patricia Loison : aux commandes de Pièces à conviction dès le sur France 3 », sur tele.premiere.fr, .
  21. Julien Lalande, « France 2 : Élise Lucet et David Pujadas présenteront la soirée électorale », sur ozap.com, .
  22. « Grève à France 2 : pas de journal à la mi-journée », sur lci.tf1.fr, .
  23. Emmanuel Berretta, « David Pujadas et Élise Lucet se replient en régie finale », sur lepoint.fr, .
  24. Hélène Reitzaum et Philippe Larroque, « Lucet : l'investigation, ça se passe à France Télévisions », sur lefigaro.fr, .
  25. Raphaëlle Baillot, « Élise Lucet : « Il faut se préparer à la vieillesse » », sur 20minutes.fr, .
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  31. « À la une de Télé 7 Jours : L'interview Cash d'Élise Lucet », sur programme-television.org, .
  32. « Élise Lucet va passer du 13 Heures de France 2 à « Envoyé spécial » », sur huffingtonpost.fr (consulté le ).
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  35. « Élise Lucet élue journaliste la plus influente en 2019 devant Anne-Claire Coudray et Laurence Ferrari », sur ozap.com (consulté le ).
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  38. « L’Ukraine, un an après | L'Humanité », sur www.humanite.fr, (consulté le )
  39. « «C'était très émouvant»: Élise Lucet raconte les coulisses d'«Envoyé Spécial» en Ukraine », sur TVMAG, (consulté le )
  40. « Biographie de Jean-Marie Cavada », sur programme-tv.net (consulté le ).
  41. « Biographie d'Élise Lucet », sur voici.fr (consulté le ).
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  66. Élise Lucet, « (1) La journaliste Emmanuelle Ducros a-t-elle été rémunérée par des lobbys de l'industrie agro-alimentaire ? - Libération https://www.liberation.fr/checknews/2019/06/27/la-journaliste-emmanuelle-ducros-a-t-elle-ete-remuneree-par-des-lobbys-de-l-industrie-agro-alimentai_1734758 … », sur @EliseLucet, 2019t06:53 (consulté le ).
  67. « L'Opinion » accuse Libération de « s'attaquer » à une de ses journalistes pour des raisons « idéologiques », sur ozap.com (consulté le ).
  68. « La journaliste Emmanuelle Ducros a-t-elle été rémunérée par des lobbys de l'industrie agro-alimentaire ? », sur Libération.fr, (consulté le ).
  69. « « Checknews » et Emmanuelle Ducros : lettre ouverte à Libération et Facebook », sur L'Opinion, (consulté le ).
  70. Titiou Lecoq, « Après le «Envoyé spécial» sur Nicolas Hulot, l'insupportable accusation de «tribunal médiatique» », sur Slate.fr, .
  71. « Il n’y a pas de prescription dans le journalisme » : Élise Lucet se défend de faire un procès médiatique à Nicolas Hulot par Émilie Paul dans Le Figaro le 26/11/2021.

Liens externes[modifier | modifier le code]