Durenque

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Durenque
Durenque
Village de Durenque.
Blason de Durenque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes du Réquistanais
Maire
Mandat
Régine Nespoulous
2020-2026
Code postal 12170
Code commune 12092
Démographie
Gentilé Durenquois(e)
Population
municipale
524 hab. (2021 en diminution de 0,95 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 06′ 38″ nord, 2° 37′ 08″ est
Altitude Min. 553 m
Max. 908 m
Superficie 33,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Monts du Réquistanais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Durenque
Liens
Site web https://durenque.fr/accueil/

Durenque est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située en Aveyron, la commune de Durenque est au confluent des deux régions naturelles que sont le Ségala et le Lévézou.

La commune de Durenque est composée du bourg central où vivent environ la moitié des habitants tandis que l'autre moitié vit dans des hameaux et lieux-dits tels que Cannac, Le Verdier, Fournols, La Carradie, Le Vitarel,

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Alrance, Auriac-Lagast, Lestrade-et-Thouels, Réquista, La Selve et Villefranche-de-Panat.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Durenque.

La commune est drainée par le Giffou, la Durenque, le Glandou, le Cône, la Nédouze, le Jabru, le ravin de Montméja, le ruisseau de Canals, le ruisseau de la Niade, le ruisseau de la Salvetat, le ruisseau de Mazet, le ruisseau d'Escorbis et par divers petits cours d'eau[1].

Le Giffou, d'une longueur totale de 46,2 km, prend sa source dans la commune de Villefranche-de-Panat et se jette dans le Céor à Saint-Just-sur-Viaur, après avoir arrosé 9 communes[2].

La Durenque, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source près du lieu-dit Crassous dans la commune de Durenque[3]. Elle passe au Moulin de Roupeyrac, maison natale du poète François Fabié et rejoint le Giffou au Moulin de Clary près de la ville de Réquista.

Le Glandou, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Auriac-Lagast et se jette dans le Céor à Cassagnes-Bégonhès, après avoir arrosé 4 communes[4].

Le Cône, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune d'Auriac-Lagast et se jette dans le Giffou à Rullac-Saint-Cirq, après avoir arrosé 5 communes[5].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[6].

La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[7],[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[9],[10].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 006 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 092,0 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Statistiques 1991-2020 et records DURENQUE_SAPC (12) - alt : 812m, lat : 44°06'42"N, lon : 2°38'40"E
Records établis sur la période du 01-11-2007 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,1 −0,3 2,3 5,1 7,9 11,6 13,8 13,8 10,9 8 4,2 1,2 6,5
Température moyenne (°C) 2,7 3,1 6,2 9,4 12,4 16,6 19,2 19,2 15,7 11,7 7 4 10,6
Température maximale moyenne (°C) 5,4 6,5 10 13,6 17 21,6 24,6 24,6 20,5 15,4 9,8 6,8 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−10,7
18.01.17
−16,9
08.02.12
−10,1
09.03.10
−5,6
03.04.22
−1,6
05.05.19
3,2
05.06.14
4,6
15.07.16
5
31.08.10
2,6
27.09.20
−3,8
29.10.12
−7,5
26.11.13
−13,5
26.12.10
−16,9
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19,1
01.01.22
21,5
26.02.19
22,7
29.03.23
24,6
14.04.15
30
21.05.22
35,5
17.06.22
35,9
17.07.22
37,6
23.08.23
30
16.09.19
29,5
01.10.23
20,9
02.11.20
19,4
31.12.21
37,6
2023
Précipitations (mm) 113 67,4 93,5 109,5 121,3 71,9 63,3 57,5 73,9 88,7 123,5 108,5 1 092
Source : « Fiche 12092001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Durenque comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[16], l'« Agrosystème de Ginestous et de la Niade » (1 810 ha), couvrant 5 communes du département[17] , et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16], la « Vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[18].

Forêts[modifier | modifier le code]

La forêt du Lagast se compose d'un seul massif d'une superficie de 233 ha, dont 89 ha appelés forêt dominicale du Lagast sont gérés par l'ONF. Elle est implantée sur la commune de Durenque mais également les communes d'Auriac-Lagast et Alrance. Elle est classée espace naturel sensible de l'Aveyron du fait de l'importance et la richesse de sa faune et de sa flore qui lui vaut d'être un écosystème protégé. Cette forêt est composée en majorité de hêtres communs et de sapins pectinés. D'autres espèces végétales évolues dans cette forêt comme la bruyère, la callune ou encore la myrtille commune. Du côté de la faune, évoluent, entre autres l'écureuil roux, le pic noir et le blaireau d'Europe L' humus et les champignons sont également présents dans cet écosystème. Des sentiers balisés et une pyramide à son sommet (928 m) rendent cette forêt agréable pour la randonnée pédestre.

La forêt de Roupeyrac s'étend sur plusieurs centaines d'hectares au départ du Moulin de Roupeyrac. Elle est aussi marquée par une biodiversité importante. Sa faune est notamment appréciée des chasseurs car on y trouve de nombreuses espèces comme des chevreuils, des cerfs, des faisans ou des sangliers. D'autres espèces y vivent comme le hérisson, le hibou ou encore le coucou qui donne son nom au lieu-dit Chante-coucou. Côté flore, la forêt est composée principalement de chênes et de hêtres communs. Un sentier poétique y est installé avec des poèmes de François Fabié pour allier littérature et nature.

Biodiversité agricole[modifier | modifier le code]

Il ne faut pas oublier la biodiversité agricole qui fait vivre de nombreuses espèces animales et végétales. On trouve l'élevage ovin (brebis de Lacaune), et l'élevage bovin (Limousines, Aubrac, Prim'Holstein et Blondes d'Aquitaine). Il est important de noter également la présence de porcs et de chevaux. Côté basse-cour, évoluent encore dans certaines familles coqs, poules, canards, oies, lapins, dindes, dindons ou encore pigeons. La présence de quelques ruches permet aux abeilles de prospérer. La culture de blé, orge, seigle, triticale, luzerne, sarrasin, pomme de terres et autres plantes potagères permet de garder une flore importante en plus des arbres et haies présents le long des champs.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Durenque est une commune rurale[Note 3],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Durenque.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,5 %), prairies (43,1 %), forêts (9,9 %), zones urbanisées (0,9 %), terres arables (0,5 %)[21].

Planification[modifier | modifier le code]

La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[22].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La majorité du transport au sein de la commune est fait par automobile. Le village de Durenque possède une aire de covoiturage.

La ligne d'autocar liO 219 rejoignant Réquista à Rodez possède un arrêt à Durenque.

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Luc-Primaube, l'aérodrome le plus proche est l'aérodrome de Cassagnes-Bégonhès, tandis que l'aéroport le plus près est l'aéroport de Rodez-Aveyron, à visée nationale et internationale.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Durenque est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zones inondables de la commune de Durenque.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Giffou. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[25]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Céor-Giffou[26], approuvé le 9 février 2016[27].

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[28].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[23], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[29]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[30]

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Durenque est classée à risque moyen à élevé[31]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[32] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

La découverte d'une statue-menhir permet d'affirmer que l'occupation du sol Durenquois remonte au moins au Néolithique. Il y a eu un dolmen sur les terres de Durenque. Le statue-menhir de Durenque est exposée au Musée François Fabié.

Des sarcophages, peut-être d'origine mérovingienne, ont été découverts dans l'ancien cimetière près de l'église, et les premières pierres du château datent certainement de l'époque carolingienne.

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Le village s'étoffa peu à peu autour de son fort dans une féodalité assez souple. La seigneurie de Durenque a appartenu pendant des siècles à la famille d'Arpajon. Le plus ancien seigneur répertorié est Bernard II d'Arpajon qui régna au XIIIe siècle. La seigneurie restera dans la famille des siècles avec notamment Hugues IV d'Arpajon, qui avait le titre de Prieur de Durenque. Jean V d'Arpajon, à la suite du décès de son frère Samuel Ier d'Arpajon, décide de vendre la seigneurie et le , elle est vendue 50 000 livres à la famille de Buisson de Bournazel. Cette famille était la plus riche et puissante du Rouergue, jusqu'à la Révolution française. Le dernier seigneur de Durenque fut Claude de Buisson de Bournazel, jusqu'à sa mort en 1792.

Durenque semble être resté à la limite, voire en dehors des grandes zones de conflits religieux cathares et protestants. Le "Vieux Durenque" aurait-il néanmoins servi d'abri aux hérétiques chassés par le pillage et la persécution? Les fondations semblent en effet profiler le contour d'une fortification. Certains pensent qu'il fut le refuge de Durenquois fuyant l'épidémie de peste qui sévit au XIVe siècle.

De la Révolution à aujourd'hui[modifier | modifier le code]

Le château de Durenque fut mis à sac lors d'une émeute en 1793. Une tour circulaire resta en position dominante jusqu'au siècle dernier, mais il ne subsiste aujourd'hui qu'un carré de murs. Le village de Durenque, a eu en effet un élan révolutionnaire porté par Jacques-François Loiseleur-Deslongchamps, premier maire du village et fervent montagnard.

Le XIXe siècle a vu la naissance du célèbre ''poète et chantre du Rouergue'' François Fabié. Cet enseignant et poète fut notamment professeur de Lettres Modernes aux lycée Charlemagne et proviseur du lycée Colbert. Il n'oubliera pas son enfance et sa région natale qu'il évoque très souvent dans ses recueils de poésie qui inspireront entre autres Marcel Pagnol.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Durenque est membre de la communauté de communes du Réquistanais[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Réquista. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Monts du Réquistanais pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[35].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Durenque, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[36] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[37]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice[38] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 76,8 %[39]. Régine Nespoulous, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [40].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[41]. Trois sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes du Réquistanais[42].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 Jacques-François Loiseleur-Deslongchamps   Géographe
1792 1795 Pierre-Jean Cadars    
1795 1798 François Galtier    
1798 1799 Georges Alibert    
1799 1801 Gabriel Delran    
1801 1810 Jean-Luc Milhac    
1810 1813 Henri Milhac    
1813 1826 Jean-Amans Vigroux    
1826 1832 Pierre-Jean Carrière    
1832 1834 Henri Milhac    
1834 1837 Antoine Alauze    
1837 1848 Denis Milhac    
1848 1853 Henri Milhac    
1853 1855 Thimotée Angles    
1855 1878 Henri Milhac    
1878 1883 Thimotée Angles    
1883 1884 Joseph Alauze    
1884 1889 Honoré Dellac    
1889 1889 Denis Coste    
1889 1892 Frédéric Fabié    
1892 1896 Joseph Angles    
1896 1900 Léon Canac    
1900 1908 Camille Fabre    
1908 1909 Antoine Genieys    
1909 1919 Camille Fabre    
1919 1935 Marius Fabre    
1935 1959 Marius Massol    
1959 1975 Roger Nespoulous    
1975 2001 Marius Cadars    
2001 2008 Aimé Alvernhe    
2008 2014 Vincent Baldet   Patron d'une PME
2014 En cours Régine Nespoulous[43],[44]   Agricultrice sur moyenne exploitation
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

En 2021, la commune comptait 524 habitants[Note 4], en diminution de 0,95 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
8005949471 0101 0681 0651 0039531 031
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 0101 0051 0071 0009909859851 0271 003
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
891917956951882915920862811
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
805724607566560548535523524
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (28,8 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,8 % la même année, alors qu'il est de 34,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 269 hommes pour 255 femmes, soit un taux de 51,34 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,33 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 5]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
0,4 
12,3 
75-89 ans
14,9 
21,6 
60-74 ans
25,1 
19,4 
45-59 ans
18,0 
16,8 
30-44 ans
15,7 
10,4 
15-29 ans
11,0 
17,9 
0-14 ans
14,9 
Pyramide des âges du département de l'Aveyron en 2020 en pourcentage[49]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
2,9 
10,2 
75-89 ans
13,6 
20,9 
60-74 ans
21 
20,9 
45-59 ans
20,3 
16,4 
30-44 ans
15,6 
14,9 
15-29 ans
12,2 
15,5 
0-14 ans
14,4 

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 225 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 496 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 040 [I 6] (20 640  dans le département[I 7]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 8] 2,5 % 3,5 % 7,2 %
Département[I 9] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 280 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (69,2 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 6],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 11]. Elle compte 162 emplois en 2018, contre 156 en 2013 et 176 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 201, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51 %[I 12].

Sur ces 201 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 105 travaillent dans la commune, soit 52 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 58,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 15,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 25,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

78 établissements[Note 7] sont implantés à Durenque au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité[Note 8],[I 15].

Secteur d'activité Commune
Nombre %
Ensemble 78 100,0 %
Industrie manufacturière,

industries extractives et autres

44 56,4 %
Construction 3 3,8 %
Commerce de gros et de détail,

transports, hébergement et restauration

9 11,5 %
Information et communication 2 2,6 %
Activités financières et d'assurance 2 2,6 %
Activités immobilières 2 2,6 %
Activités spécialisées, scientifiques et techniques

et activités de services administratifs et de soutien

7 9,0 %
Administration publique, enseignement, santé

humaine et action sociale

4 5,1 %
Autres activités de service 5 6,4 %

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 56,4 % du nombre total d'établissements de la commune (44 sur les 78 entreprises implantées à Durenque), contre 17,7 % au niveau départemental[I 16]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou autres herbivores.

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 55 en 2020[Carte 2]. La surface agricole utilisée moyenne par exploitation est de 58,8 ha[51].

Vie de la commune[modifier | modifier le code]

Éducation[modifier | modifier le code]

Le village de Durenque possède une école maternelle et primaire publique : l'école François Fabié. Actuellement deux postes et demi sont occupés pour une cinquantaine d'élèves.

Les collèges les plus proches se trouvent à Réquista ou Cassagnes-Bégognhès. Les lycées les plus proches se trouvent à Saint-Affrique ou Rodez.

Santé[modifier | modifier le code]

La commune de Durenque possède un cabinet infirmier.

Les médecins généralistes les plus proches se trouvent à Villefranche-de-Panat ou Réquista. Réquista possède une maison de santé, où en plus des médecins généralistes se trouvent chirurgien-dentiste, kinésithérapeute, ostéopathe, orthophoniste, sage-femme et diététicienne.

Un vétérinaire exerce au village de Durenque.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Moulin de Roupeyrac

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

François Fabié, poète natif du village.
  • Justin Bessou (1845-1918), homme d'église et romancier occitan qui fut curé à Lebous, dont une partie de la paroisse s'étend sur la commune.
  • Amado Boudou[52] (1962-), vice-président (2011-2015) de la République d'Argentine dont la famille était originaire de la commune d'où elle est partie en 1903 pour s'installer à Pigüé, en Argentine.
  • Jean Boudou (1920-1975), romancier occitan qui fut, à deux périodes, instituteur à Durenque.
  • François Fabié (1846-1928), né au Moulin de Roupeyrac, poète chantre du Rouergue possédant un musée et une école à son nom sur la commune.
  • Nicolaï Greschny (1912-1985), peintre fréquiste qui réalisa la fresque de l'Église de Cannac.
  • Jacques-François Loiseleur-Deslongchamps (1747-1843), ingénieur géographe de Louis XV et homme politique révolutionnaire qui fut le premier maire de Durenque.
  • Pierre Vaysse (1865-1939), enseignant parisien et créateur du journal Le Rouergue né sur la commune.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Durenque Blason
Coupé : au 1er parti d’argent, à une plume d’écrivain d’azur, cantonnée en chef dextre d’une anille de sable et d’or, à un buisson de sinople, au 2e de gueules à une harpe d’or accostée de deux fleurs de lys de jardin d’argent[53].
Détails
Le coupé permet de mettre en avant deux composantes importantes du village : la partie supérieure pour sa géographie, l'inférieure son histoire.

La géographie de la commune est partagée entre les causses du Lévézou (en argent) et les schistes du Ségala (en or).

Le premier carré d’argent est chargé d’une plume d’écrivain et d’une anille afin d’honorer la mémoire de François Fabie, écrivain local dont la maison du moulin de Roupeyrac est convertie en musée. La plume est d’azur pour l’étang réservoir du moulin.

Le second carré d’or est aux armes de la famille Buisson-Bournazel, la dernière à posséder la baronnie de Durenque. La reprise intégrale des armes de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments. Le buisson offre également l’avantage de représenter les forêts qui couvrent le territoire communal.

La partie inférieure, de gueules à la harpe d’or, est aux armes de la famille d’Arpajon ancien, illustre famille de la région qui a possédé la baronnie de Durenque pendant longtemps. La remarque concernant la reprise des blasons de famille est valable ici aussi.

Les fleurs de lys de jardin d’argent sont le symbole de Thérèse, la sainte patronne du village. Ils sont visibles sur l’un des vitraux de l’église.

Les ornements sont deux gerbes de seigle d'or mises en sautoir par la pointe et liées de gueules afin d'honorer l'activité agricole de Durenque, en faisant référence au Ségala.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Dominique Azam), Requistar : Connac, Durenca, Ledèrgas, Rutlac La Sèlva, Sent-Jan / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Requistar, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 310 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-46-7, ISSN 1151-8375, BNF 37644301)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Durenque » (consulté le ).
  5. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Durenque (12092) », (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Durenque » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Durenque » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Durenque » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Durenque » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche communale de Durenque », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  2. Sandre, « le Giffou »
  3. Sandre, « la Durenque »
  4. Sandre, « le Glandou »
  5. Sandre, « le Cône »
  6. « Les outils de gestion de la rivière »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le ).
  7. « SAGE du Viaur - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
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  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  49. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Aveyron (12) », (consulté le ).
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  52. Amado Boudou
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