Domart-sur-la-Luce

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Domart sur la Luce)

Domart-sur-la-Luce
Domart-sur-la-Luce
La mairie.
Blason de Domart-sur-la-Luce
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Joël Wallet
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80242
Démographie
Gentilé Domédardiens
Population
municipale
404 hab. (2021 en diminution de 7,55 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 01″ nord, 2° 28′ 59″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 104 m
Superficie 8,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives [4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Domart-sur-la-Luce
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Domart-sur-la-Luce
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Domart-sur-la-Luce
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Domart-sur-la-Luce
Liens
Site web http://www.domart-sur-la-luce.fr

Domart-sur-la-Luce est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
La Luce à Domart
La Luce à Domart
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : la Luce à Domart

Le village picard de Domart-sur-la-Luce est situé dans l'Amiénois, à 15 km au sud-est d'Amiens.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Le sol et le sous-sol de la commune sont de formations secondaire, tertiaire et quaternaire. Le limon des plateaux recouvre les trois quarts du territoire. Les argiles siliceuses recouvrent la partie du territoire où a été bâti le village. Sous le limon, on rencontre la craie. La vallée de la Luce présente un sol tourbeux[1].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est pour l'essentiel celui d'un plateau dans la partie au nord de la Luce. Ce plateau est coupé par un vallon qui part de Gentelles et rejoint Domart. Le vallée de la Luce traverse le territoire d'est en ouest. Le point culminant de la commune est situé sur le plateau à une altitude de 110 m. Le cours de la Luce est situé à une altitude de 39 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Luce affluent de la rive droite de l'Avre lui même affluent de la rive gauche de la Somme.

À la fin du XIXe siècle, la nappe phréatique était située entre 5 et 10 m au-dessous du niveau du sol[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Domart-sur-la-Luce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,9 %), forêts (5,2 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune présente un habitat groupé. Le village de Domart d'une part et le hameau de Hourges rattaché à la commune de Domart-sur-la-Luce au XIXe siècle. Les deux entités ne forme qu'une seule agglomération.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Domart et Hourges sont situés sur et l'ancienne route nationale 334 (actuelle Route départementale 934) qui relie Amiens à Roye. De Roye, par l'autoroute A 1, on rejoint Paris, Lille et le Benelux.

En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens)[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

On trouve plusieurs formes pour désigner Domart-sur-la-Luce dans les textes anciens : Dommedardus (1105), Domeart super Muciam (1220), Dommart, Domart (1301), Dommard, Dommart, Domart-sur-la-Luce (1507)[1].

Domart est un hagiotoponyme caché, le nom de Domart vient de saint Médard, appelé tout d’abord Sanctus Médardus puis Dominus Médardus, Domeart et enfin Domart[15].

La Luce est une petite rivière du département de la Somme, un sous-affluent de la Somme.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Des silex taillés et polis ont été retrouvés dans la commune[1].

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Des armes de bronze et de fer ont été mises au jour[1].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des vestiges gallo-romains, poteries, monnaies etc. ont été localisés[1].

La via Agrippa[16], voie romaine reliant Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer) par Augusta Suessionum (Soissons) et Samarobriva (Amiens) – dite localement Chaussée Brunehaut passait sur l'actuel territoire de Domart. Cette route, transformée, est l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934).

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Une nécropole mérovingienne a été mise au jour dans le village.

Le premier seigneur connu, Ibert ou Aubert[1], remonte à 1154[16].

Au XIIe siècle, la vigne était cultivée sur le territoire de Domart comme en témoignent les lieux-dits : « Les Vignes », « Vigne-Herbet ».

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1550, le seigneur de Domart était François de Béthune, père de Sully, ministre du roi Henri IV. Il vendit en 1554, la seigneurie à Jean de Baynast, écuyer, seigneur de Thiepval.

La seigneurie de Domart, resta dans la famille de Baynast jusque 1750. La terre de Domart fut vendue ensuite et échut pour finir à Eugène de Savoie-Carignan qui mourut à Domart et fut inhumé dans l'église en 1785[17].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Entre 1795 et 1800, Domart a absorbé l'ancienne commune d'Hourges[18].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Domart-sur-la-Luce fut meurtrie par la Première Guerre mondiale. Elle connut l'invasion allemande d'août-septembre 1914 puis fut située à l'arrière du front jusqu'au printemps 1917 où les Allemands se replièrent sur la Ligne Hindenburg. En mars 1918, l'armée allemande lança sa dernière offensive, perça le front allié et fonça en direction d'Amiens. L'avancée allemande fut stoppée à la Bataille de Villers-Bretonneux des 24-25-26 avril 1918. Domart était située dans la zone des combats au cours de la Bataille d'Amiens du 8 au qui repoussa les Allemands vers l'est[19],[20],[21],[22] ou vers leur arrière, pendant la Première Guerre mondiale.

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Le village, totalement détruit à l'issue du conflit[23], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24]. Le village fut reconstruit durant l'entre-deux-guerres.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le , au cours de la Bataille de France, un Bréguet 693 fut abattu au-dessus du village. Deux officiers trouvèrent la mort. Une plaque commémorative rappelle ce tragique événement sur la façade de l'église[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[18], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du 4 décembre 1992 et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du 6 mai 1996.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[26], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[27],[28]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[29] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[30] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[31], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1878 1888 Jules Humé    
1888 1890 M. Dequirot-Pillon   (démission)
1890 1896 Louis Petit    
1896 1901 Philogène Dequirot   Décédé en fonction après sa réélection en 1901
avril 1901 mai 1901 Sulpicien Dequirot    
1901 1904 Armand Sellier    
1904 1912 Ernest Moirez    
1912 1925 Hector Hordé    
1925 1925 Alexandre Scellier   Décédé en fonction 5 jours après son élection
1925 1929 Henri Woussen    
1929 1965 Hector Hordé    
1965 1983 André Couteau    
mars 1983 mars 1989 Jean Marc Hordé    
mars 1989 mars 2001 Gilles Lefebvre    
mars 2001 mars 2008 Jacques Marquet    
mars 2008[33] 2014 Gérard Dufour    
2014 mai 2020[34] Frédéric Binet   Juriste
mai 2020[35] En cours
(au 30 mai 2020)
Joël Wallet    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

En 2021, la commune comptait 404 habitants[Note 3], en diminution de 7,55 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
476530526552632654674700689
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
678673610583551574586566570
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
558505451210265274274282284
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
287264261338375425422423439
2018 2021 - - - - - - -
410404-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le village fait partie du regroupement pédagogique intercommunal de la Luce qui comprend les écoles de Thennes, Démuin et Berteaucourt-lès-Thennes. Les villages associés d'Hangard, Ignaucourt et Aubercourt ne disposent pas de classe sur leur territoire.

Le regroupement est géré par un syndicat intercommunal scolaire dont le siège est situé à Démuin.

Une garderie à Domart accueille les écoliers des sept villages constituant le RPI[39].

Vie associative[modifier | modifier le code]

En 2019, la commune compte huit associations[40] :

  • comité des fêtes, émanation du conseil municipal ;
  • l'association cinématographique proVOCATION ;
  • club Gardons la Forme ;
  • amicale des Ainés ;
  • association sportive Domart Football ;
  • ATT Domart sur la Luce (Tennis de Table) ;
  • Domart en Culturel ;
  • société de chasse des Ulysses ;
  • l'association de pêche locale Ches Pétcheux d’Zentailles organise des concours dans l'étang communal.

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité économique de la commune est encore dominée par l'agriculture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église comprend un vitrail réalisé par le maître verrier beauvaisien René Houille. Il représente « la Passion d’un soldat français agonisant dans les bras du Christ venu le consoler. La mort, la souffrance sont sublimées, idéalisées[43] ».
  • Vallée de la Luce.
  • Bois de Domart et d'Hourges.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Eugène de Savoie-Carignan, prince de Carignan, décédé le et inhumé dans l'église Saint-Médard.
  • Capitaine Jean Chocheprat et du sous-lieutenant Robert Pascaly, aviateurs militaires français abattus pendant la bataille de France le à bord de leur Bréguet 693 nº86 au-dessus du territoire communal. Une plaque sur l’église de Domart-sur-la-Luce inaugurée en 2019 honore leur mémoire[44].
  • La photographe Marie-Hélène Dhénin est née à Domart-sur-la Luce le 25 novembre 1945.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Ce blason a été adopté par le conseil municipal en 2009. Il reprend les armes du dernier seigneur de Domart-sur-la-Luce, Elisabeth-Anne Magon de Boisgarin, veuve d'Eugène de Savoie-Carignan, décédé au château de Domart en 1785. Le sculpteur Yves Caron, habitant de Domart, a sculpté les armoiries de la commune sur une pierre scellée au-dessus de la porte l'entrée de la mairie[45].

Blasonnement :

  • D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un lion d'or couronné d'argent.

Ornement extérieur :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Notice géographique et historique sur la commune de Domart-sur-la-Luce, rédigée le 13 décembre 1898 par M. Théolle, instituteur, Amiens, Archives départementales de la Somme - Lire en ligne
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Domart-sur-la-Luce et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  15. « Histoire de Domart-en-Ponthieu », sur le site officiel de la ville, avant 2005 (consulté le ).
  16. a b et c « Présentation de la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Commune, sur domart-sur-la-luce.fr (consulté le ).
  17. Père Daire, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire du doyenné de Fouilloy, repris, corrigé et annoté par Alcius Ledieu en 1911 ; Paris, Res Universis, 1993 (ISBN 2-87 760-989-8), p. 105
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : Domart-sur-la-Luce (près). Obusier de 18 bombardé ; effet de tir direct », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : Domart-sur-la-Luce (près). Pendant l'offensive allemande. Tommy conduisant un prisonnier allemand à l'arrière », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Domart-sur-la-Luce (près). Pendant l'offensive allemande. Batterie d'obusiers britanniques de 6 en action à la corne d'un bois », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Domart-sur-la-Luce (près et au nord-ouest). Cote 105. Poste de commandement et observatoire d'artillerie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
  24. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17584.
  25. « Une plaque en hommage à deux pilotes tués en 1940 », Courrier picard,‎ , p. 15.
  26. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  27. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  28. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  29. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  30. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  31. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  32. « Les maires de Domart-sur-la-Luce », sur francegenweb.org (consulté le ).
  33. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  34. Anne Kanaan, « Des vœux qui virent au règlement de comptes à Domart-sur-la-Luce : Manque de projets, ego, querelles politiciennes… lors de ses vœux, le maire de la commune a laissé apparaître la vision d’une équipe municipale divisée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire sortant élu en 2014, Frédéric Binet, un juriste de 57 ans, déclare : « Il est hors de question que je reparte dans ces conditions et avec cette équipe. Je suis en train de constituer une liste et je me porte candidat pour les élections de mars ».
  35. « Domart-sur-la-Luce a un nouveau maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Joël Wallet est le nouveau maire. Alain Lartigau est son premier adjoint et Bernard Chovaux le second ».
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Sur le site de la mairie de Thennes.
  40. « Les associations sur le site de la commune » (consulté le ).
  41. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Domart-sur-la-Luce, Canton de Moreuil, d'après nature, 1 juin 1875 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  42. Section photographique de l'armée, « Photo : Domart-sur-la-Luce. L'église et la place de l'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    À noter devant l'église un autobus parisien de la CGO, réquisitionné par l'Armée comme transport de troupes.
  43. « Églises reconstruites : Exemples de reconstructions d’après guerre », Picardia, l'encyclopédie picarde - Région Picardie (consulté le ).
  44. « Une plaque en hommage à deux pilotes tués en 1940 à Domart-sur-la-Luce », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. « Le blason dans l'Armorial de France ».