Discussion utilisateur:Thib Phil/Bac à sable 12

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Aérostation militaire[modifier le code]

Origines: guerres de la Révolution française[modifier le code]

Ballon à gaz de Coutelle, Blocus de Mayence, 1795.

Le comité de Salut Public décide même le , la construction d'un ballon à gaz capable d'emporter deux observateurs à des fins militaires. Jean-Marie-Joseph Coutelle, physicien, est le responsable, il a pour adjoint un autre physicien, Nicolas-Jacques Conté. Le ballon, L'entreprenant, est prêt le , et un essai en captif est effectué, à 682 mètres au-dessus de la Seine, Coutelle armé d'une lunette peut faire des observations à grande distance.

Le 2 avril, la première compagnie d'aérostiers est créée, Coutelle en est le chef. Ils partent pour rejoindre l'armée de Sambre-et-Meuse qui se bat à Maubeuge. Le 2 juin a lieu la première ascension d'observation sous le feu de l'artillerie autrichienne. Ils vont ensuite se déplacer jusque devant Charleroi avec le ballon gonflé pour faire des observations le 24 et le 25. Le 26, les Autrichiens capitulent à Charleroi. L'ennemi est désorienté et démoralisé de voir toutes ses actions à découvert.

Une deuxième compagnie est créée, ainsi qu'une école à Meudon et neuf ballons sont construits. La première compagnie est capturée à Wurtzbourg, le suite à la retraite de l'armée française. Les ballons captifs sont difficiles à déplacer, les fours en brique pour produire l'hydrogène sont long à construire, le gonflage durait de deux à trois jours, autant de facteurs défavorables.

Ils sont pourtant embarqués pour la campagne d'Égypte mais les deux navires où est tout le matériel coulent. De retour en France, Bonaparte démantèle les compagnies d'aérostiers et ferme l'école.

XIXème siècle[modifier le code]





L'aérostation militaire aux États-Unis : Deuxième Guerre séminole et Guerre de Sécession[modifier le code]





Guerre Franco-prussienne (1870-1871)[modifier le code]

Les ballons du Siège de Paris

Les ballons à gaz vont pourtant reprendre du service lors du siège de Paris par les Allemands en 1870. Nadar, qui a déjà auparavant réalisé la première photographie aérienne en ballon grâce aux frères Louis et Jules Godard, aéronautes accomplis (coopération entre 1858 et 1863), créé une « compagnie d'aérostiers » qui a pour charge de rompre le siège et de permettre d'envoyer du courrier à l'extérieur. Des personnalités politiques vont pouvoir aussi « s'échapper » comme Léon Gambetta. En un peu moins de 6 mois, 66 ballons vont transporter 11 tonnes de courrier. Cinq seulement seront pris par les Allemands, chiffre faible si on tient compte que la direction du voyage n'était pas complètement contrôlée et qu'il fallait compter avec les caprices des vents.

Aérostiers aux armées

Une compagnie d'aérostiers fut créée dans le cadre de l'armée de la Loire, organisée par Gaston Tissandier (lui-même échappé du siège de Paris en ballon), avec pour double but d'assister l'armée sur le champ de bataille et de tenter des vols vers Paris. Les deux échoueront.

L'aérostation militaire au tournant des XIXème et XXème siècles[modifier le code]

Premières armes de défense antiaérienne[modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier le code]

Observation aérienne et chasse aux « saucisses »[modifier le code]

1914 : le « ballon Caquot », utilisé par l'observation militaire alliée pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918). C'est un ballon captif inventé par Albert Caquot (1881-1976).
Les as français : Léon Bourjade le « grilleur de saucisses » - Michel Coiffard -
As alliés : Willy Coppens







Raids sur Londres[modifier le code]

Entre-deux-guerres[modifier le code]

Seconde Guerre mondiale[modifier le code]

Défense antiaérienne[modifier le code]






Formation des parachutistes[modifier le code]

Ballons incendiaires[modifier le code]








Télécommunications et météorologie militaires[modifier le code]













Équipages, personnels au sol et service des aérostats militaires[modifier le code]

Aérostation militaire après la Seconde Guerre mondiale[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

  • (en) John Christopher : Balloons at War - Gasbags, Flying Bombs and Cold War Secrets, The History Press Ltd ( Stroud, 2004 ) (ISBN 10-0752429957[à vérifier : ISBN invalide]) (ISBN 13-9780752429953[à vérifier : ISBN invalide])
  • (en) Jon Guttman : Balloon-busting Aces of World War 1

Liens externes[modifier le code]

Généralités[modifier le code]

Aérostation militaire en France[modifier le code]

Guerre de Sécession[modifier le code]

Raids des Zeppelins pendant la Première Guerre mondiale[modifier le code]

Notes et références[modifier le code]

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Références[modifier le code]

Télégraphie militaire[modifier le code]

Les débuts de la téléphonie militaire[modifier le code]

La télégraphie sans fil[modifier le code]

La Résistance pendant la seconde guerre mondiale[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

Articles connexes[modifier le code]

Liens externes[modifier le code]

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Cerfs-volants à usage militaire[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

Liens externes[modifier le code]

Notes et références[modifier le code]

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Références[modifier le code]

Tranchée (ouvrage militaire)[modifier le code]

{{ébauche|Histoire militaire}}

Les tranchées sont des ouvrages militaires servant à la fois de lignes de défense et de voies de progression ou de liaison creusées dans le sol établis dans le but de protéger les mouvements de troupes contre les actions ennemies. Escarpe et contre-escarpe sont souvent consolidés au moyen de palissades, clayonnages de bois ou de sacs de terre. Ces ouvrages sont parfois fortifiés ou couverts.

Les tranchées sont organisées en systèmes ou en réseaux. Différents secteurs de tranchées peuvent être reliés entre eux par des boyaux, passages en général très étroits permettant tout au plus la circulation d'un ou deux individu(s) de front. Un système ou réseau de tranchées défensif exigeant des garnisons plus ou moins permanentes comme ce fut le cas lors de la Première Guerre mondiale s'organise en espaces de vie et en espaces de combats. Ces derniers peuvent inclure des alvéoles plus ou moins fortifiées pour mitrailleuses ou mortiers ainsi que des soutes à munitions.

Si le terme « guerre des tranchées » reste indissociablement lié à la Première Guerre mondiale, leur usage dans l'art de la guerre est bien antérieur à cette époque.

De l'Antiquité au 19ème siècle[modifier le code]

Tranchées dans la guerre de siège : sapes et mines ( tranchées couvertes ) : Antiquité, Moyen Âge
Aux XVIIe – XVIIIe siècles, des tranchées ont été creusées pour le siège des places-fortes et des villes. La poliorcétique est alors savamment organisée : les tranchées sont construites selon trois séries de parallèles avant de prendre la place. Cette approche est notamment codifiée par Sébastien Le Prestre de Vauban.

Les tranchées dans les conflits du 19ème et du début du 20ème siècle[modifier le code]

Au XIXe siècle et au début du XXe, plusieurs conflits se distinguent par l'emploi des tranchées :

Durant la Première Guerre mondiale[modifier le code]

Durant la Deuxième Guerre mondiale[modifier le code]

Les leçons de la Première Guerre mondiale[modifier le code]

Ligne Maginot - Ligne Siegfried : les « espaces intermédiaires »

Fronts européens[modifier le code]

  • Campagnes de 1940
  • Opération Barbarossa
  • Front de l'Est 1941-1944
  • Défense du Reich
  • Front italien

Afrique du Nord[modifier le code]

Bataille du Pacifique[modifier le code]

Vastitude du TO en Chine rend tranchées inutiles.
Jungle en Asie => idem
Pacifique : les défenses et fortif japs

Après la Deuxième Guerre mondiale[modifier le code]

Corée et Indochine
Guerre du Vietnam
Guerre israélo-arabe de 1973

- Sinaï : la ligne Bar-Lev.

- Golan.

Guerre Iran-Irak

La guerre Iran-Irak (1980-1988) présentait des similitudes avec la guerre de 1914-1918 : des deux côtés, il y avait une infanterie nombreuse équipée d'armes individuelles modernes, mais très peu d'aviation et d'entraînement aux opérations combinant plusieurs armes, et relativement peu de blindés. Les tactiques utilisées incluaient largement celles de la Première Guerre mondiale : des tranchées munies de fil de fer barbelé et séparées par des no man's land, les charges à la baïonnette et les armes chimiques comme le gaz moutarde.

Guerre des Malouines (1982)
Première Guerre du Golfe

Galerie d'images[modifier le code]

Références[modifier le code]


Bibliographie[modifier le code]

Voir aussi[modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier le code]

Liens externes[modifier le code]

Wanty[modifier le code]

Catégorie:Architecture militaire Catégorie:Art de la guerre

Cynophilie militaire[modifier le code]

Archerie militaire[modifier le code]

Vélocipédie militaire[modifier le code]

Motocyclisme militaire[modifier le code]

















Première Guerre mondiale[modifier le code]

Entre-deux-guerres[modifier le code]

Deuxième Guerre mondiale[modifier le code]

Après 1945[modifier le code]

France : la Vespa 150 TAP[modifier le code]

Quads[modifier le code]

Guérilla irakienne[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

  • Pat Ware : An Illustrated History of Military Motorcycles, Anness Publishing, Londres 2012, (ISBN 10-1780192029[à vérifier : ISBN invalide]) (ISBN 13-9781780192024[à vérifier : ISBN invalide])

« This title covers 100 years of wartime motorcycles, from the first machines of World War I to diesel-powered types and quad bikes. It provides a country-by-country overview of military motorcycles in France, Belgium, Germany, Italy, Great Britain, the USA, the USSR and Japan. »

— Note de l'éditeur

Liens externes[modifier le code]

Guerre et économie de la fin du Moyen-âge à la Révolution industrielle[modifier le code]

Fournitures de guerre[modifier le code]

Gestion financière[modifier le code]

Les armées en campagne[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

Articles connexes[modifier le code]

Notes et références[modifier le code]

Notes.[modifier le code]

Références[modifier le code]