Discussion:Zoothérapie

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Notez que[modifier le code]

Cette phrase "Au XXIe siècle les robots conçus à cette même fin représentent une piste de substitut, sans risque de maltraitance ou d'abandon."

Il y a prise de position sur la moindre importance de la souffrance de la machine par rapport a l'animal. Je sais que je prend parti aussi, mais on abandonne ou maltraite un robot bien plus facilement qu'un animal.

Amputé de la fin: "Au XXIe siècle les robots conçus à cette même fin représentent une piste de substitut".

Il n'y que "les robots de compagnie pourrais un jour avoir des rôle thérapeutique", ce qui me semble assez vrai.


Belle salade[modifier le code]

Bonjour, en lisant l'article, il me semble que sa forme actuelle mélange allègrement des notions bien différentes :
D'une part les conditions de mise en contact homme-animal :

  1. la zoothérapie encadrée par des professionnels, par mise en contact de personnes en difficulté avec des animaux
  2. l'adoption d'un animal de compagnie dans le but d'éduquer les enfants du foyer
  3. l'adoption d'un animal de compagnie dans le but d'avoir une présence affective
  4. l'adoption d'un animal de compagnie par une collectivité pour offrir un contact apaisant et récréatif avec la nature (hamster de la classe, aquarium du dentiste, bar à chat japonais...)

D'autre part l'aspect scientifique :

  1. la reconnaissance de l'animal comme élément anti-stress, palliatif affectif, stimulant physique ou intellectuel, ou encore facteur de responsabilisation selon les espèces et comparé à d'autres méthodes ou placebo
  2. l'évaluation quantitative du bénéfice de la présence d'un animal selon le panel d'individus. En effet les études devraient tenir compte de la diversité des personnes : certaines s'épanouissent à la mer, d'autres à la montagne, en ville ou à la campagne; certaines aiment le calme ou la solitude, d'autres ont besoin de compagnie humaine et d'animation; certaines sont naturellement sportives et d'autres non; certaines admirent la peinture quand d'autres préfèrent écouter de la poésie ou de la musique; certaines craquent pour les animaux autant que d'autres devant un bébé ou un chanteur de charme; et parmi les amateurs d'animaux, certains adorent les chiens alors que d'autres préfèrent les chats, les dauphins, les poneys ou même les rats, et enfin les petits toutous n'ont pas les mêmes adeptes que les gros molosses. On peut donc supposer que l'impact de la visite (au hasard) d'un Loulou de Poméranie au sein d'un groupe de personnes variées soit très délicat à mesurer...
  3. l'analyse en toute objectivité des causes et des effets. Est-ce l'animal qui favorise la sédentarité ou le fait d'être sédentaire qui facilite l'adoption d'un animal demandant une présence et des soins ? Est-ce le fait d'avoir la responsabilité d'un être vivant/mortel qui aide à comprendre la vie/la mort ou le fait que les zones urbaines soient si déconnectées de la nature qu'il serait nécessaire d'y réintroduire artificiellement l'animal ? Est-ce une vision urbaine qui accorde un prix excessif à la vie d'animaux qui, dans la nature, seraient continuellement stressés ou déjà dévorés ou est-ce que les animaux de compagnie sont forcément malheureux en captivité ?

Et enfin l'aspect éthique, qui n'a qu'un rapport indirect avec la zoothérapie puisque valable où que ce soit et qu'elles qu'en soient les raisons :

  1. la responsabilisation de l'homme face à l'adoption d'un animal, ou son abandon
  2. les conditions de détention, de commercialisation et le bien-être de l'animal en captivité

-- Amicalement, Salix [Converser] 4 décembre 2013 à 14:58 (CET)[répondre]
PS. Il me semble aussi que le principe de neutralité qui veut qu'« Un article doit éviter de faire à l'un des aspects d'un sujet une place disproportionnée et s'efforcer au contraire de donner à chacun celle qui correspond à son importance pour le sujet. » n'est plus vraiment respecté ici. -- Amicalement, Salix [Converser] 10 juin 2014 à 15:16 (CEST)[répondre]

Cet article est une blague, surtout la section "Critique de la zoothérapie" où quelqu'un a visiblement étalé son point de vue sans aucune recherche de neutralité, voire même en étant fréquemment hors-sujet. Laurent (discuter) 30 septembre 2015 à 14:11 (CEST)[répondre]
je viens de lire l'article, puis la discussion ; il conserve une partie des défauts que lui reprochait à juste titre Salix. Il me semble que l'auteur principal de l'époque (auteur d'un livre qui présente son point de vue [1] et d'un autre livre qui traite du même sujet "Un vétérinaire en colère: Sur les chemins de la rédemption 21 sept. 2015") a, sans doute emporté par la passion, très abondamment traité une vision disons parfois "partielle et un peu partiale" du sujet, et ailleurs souvent hors sujet, bien documenté, mais hors sujet (cf. le titre, qui fait qu'on devrait se limiter aux aspects thérapeutiques de l'animal) ...et que si l'on passe en revue toutes les étude faites sur le sujet (ses sources commencent à dater un peu), on obtiendrait un article plus neutre et plus riche, sans dichotomiser le sujet (évitons que l'article devienne une scène de conflit inutile entre les pro-truc et les anti-cela ...sans jeter son bébé avec l'eau de son bain, une eau qui peut sans doute être mieux utilisée dans d'autres articles, en vérifiant l'équilibre des sources et des points de vue, et la neutralité des ajouts). Il y a des tas de choses ien argumentées, mais qui souffrent d'un "ton" et d'une forme encore peu encyclopétiques.

J'ai d'autres sujets en cours et je ne suis pas spécialiste de la zoothérapie et je ne me sens pas la force de bien retravailler cet article qui le mérite ; S'il y a un(e) volontaire compétent(e) dans les environs, il est bienvenu(e)  ? --Lamiot (discuter) 4 décembre 2022 à 21:29 (CET)[répondre]

Je confirme : incroyablement lourde et mélangeant tout, la section "critique", où l'auteur enchaîne des arguments dits scientifiques avec des affirmations du style : comme Hitler aimait les animaux, il faut s'en méfier... Quant à son credo comme quoi "rien n’est plus intéressant pour des êtres humains relativement normaux que le contact avec leurs semblables", il témoigne de ce que cette section est écrite par une sorte d'anthopocentriste radical un peu illuminé... Dommage que ça gâche un article qui pourrait être intéressant.
Je rajouterais que les notes 102 et 103 sont des chiffres répertoriant le nombre de morsures de façon générale, et pas le nombre de morsures dans le cadre de la zoothérapie, contrairement à ce que l'auteur laisse sous-entendre. Il faut savoir qu'un animal présentant des signes d'agressivité est interdit en thérapie. Une amie s'est vu refuser l'accréditation de son chien, qui ne montre aucun signe d'agressivité, parce qu'un vétérinaire phobique des chiens a réalisé l'évaluation comportementale de l'animal à l'âge de deux mois, sans l'accord de mon amie, et a noté "futur mordeur" sur son passeport. Les chiens catégorisés sont également interdis au contact des enfants. Quant aux conditions de vie, une majorité de zoothérapeutes sont très soucieux du bien-être de leurs animaux, et j'en connais plusieurs qui dépensent tellement pour eux qu'ils ne rentrent que difficilement dans leurs frais. Bref, de grosses confusions sont faites ici entre la zoothérapie, les parents qui collent une bestiole entre les mains de leurs enfants sans réfléchir, et l'exploitation animale par des pseudo-professionnels (il en existe dans tous les domaines, malheureusement). Et je ne parlerais pas des corrélations douteuses entre le fait d'avoir un animal et le fait de "ne pas être plus heureux que les autres"... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.250.27.218 (discuter), le 28 mars 2019

Déplacé depuis l'article car TI hors-sujet[modifier le code]

Bonjour, d'accord avec le constat. Une partie de la section critique (notamment sur les "dangers") a été rédigée sous forme de TI, avec qui plus est des considérations hors-sujet. Je déplace ici ce qui me saute aux yeux. Asterix757 (discuter) 30 mars 2019 à 01:10 (CET) + d'autres paragraphes manifestement TI après relecture. Asterix757 (discuter) 30 mars 2019 à 20:41 (CET)[répondre]

« L'efficacité de cette thérapie s'appuie uniquement sur l'autorité des intervenants et des institutions qui en font la promotion à l'aide d'une pléthore de déclarations sensationnalistes et sans fondement scientifique. Le mot fraude est sans doute un peu fort, mais disons que la méthode soulève une forte suspicion de non-neutralité, voire de malfaisance, du même ordre que celle soulevée par de plus en plus de chercheurs, notamment du domaine de la médecine et de la pharmacologie humaines[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8]. Selon Beck et Katcher les études de David Lee sur les effets de la zoothérapie sur les délinquants et les prisonniers, par exemple, « ont été montées en épingle par les médias à partir de films documentaires, de communiqués personnels ou de documents internes, fournis par les chercheurs eux-mêmes et qui n‘ont donc jamais été soumis à la critique scientifique[9]. » Sur son site Internet, la FACCO cite des « études » présentées dans des conférences internationales organisées par des associations fédérées appartenant à cette industrie. Il n’est pas spécifié, par contre, si ces études ont été publiées dans des revues scientifiques en bonne et due forme[10].

Enfin, les enfants élevés avec des animaux ne sont pas meilleurs que les autres moralement et spirituellement, au moins une étude le confirme[11]. Si on tient compte, par ailleurs, des penchants animaliers de Hitler[12], Pol Pot, Charles Manson et Jim Jones, il n’est pas absurde de penser que ce terrain est fort glissant. Si vous pensez par ailleurs que le rapport aux animaux peut apprendre aux enfants à mieux aimer autrui, les autres espèces et la nature, encore là, détrompez-vous. Le problème se situe dans le concept même d’animal de compagnie. Comme en fait foi une documentation fort étoffée (voir ci-dessous, les abandons et les effets sur les animaux, la nature, les enfants et la société en général), Il est en effet parfois cruel d’être bon[13].

=== Danger pour les animaux et la nature ===

Cette forme de néopathie s’estompe rapidement, une fois passé l’intérêt du nouveau. Les animaux ont un effet placebo indéniable chez environ 30 % des gens, comme tous les autres placebos, à une différence près : contrairement à la prière et au cachet de sucre, les animaux sont des êtres vivants qui ne répondent pas toujours aux caprices et aux attentes de leurs maître. Un fait qui expliquerait en partie le nombre phénoménal d’abandons. Selon un sondage réalisé en 2008 par la firme Léger Marketing (un sondage refait par la même firme en 2014 avec les mêmes résultats) les Québécois, par exemple, ont fait détruire en 2007, 575 000 chiens et chats, soit 25 % d’un cheptel de 2,3 millions[14]. Ces chiffres n’incluent ni les animaux exotiques, qui sont aussi nombreux que les autres catégories d’animaux de compagnie, ni les animaux qui sont détruits au tout venant dans les cliniques vétérinaires et ni ceux qui meurent de leur belle mort. En comparaison, au Québec, chez les humains, on dénombrait en 1998, 55 000 décès toutes causes confondues dans l’ensemble de la population québécoise, soit 0,78 % de la population par année, c’est-à-dire 32 fois moins que le nombre d’« enfants » abandonnés dans les fourrières pour être détruits. « Des chiffres, selon l’Association des médecins vétérinaires du Québec, qui ont de quoi laisser perplexe (sic)[15],[16],[17],[18],[19],[20],[21]. »

Les soutiens financiers de l’industrie de la zoothérapie sont notamment accordés aux études sur les bienfaits de la zoothérapie sur le bien-être animal[22]. Il est en effet important pour une question d'image que les animaux soient bien traités. Or, les conditions de vie des animaux de compagnie s’apparentent bien plus à un esclavage qu’au paradis familial que les médias nous renvoient en boucle fermée[23],[24],[25]. Leurs propriétaires ne leur accordent souvent qu’une attention minimale et les laissent seuls durant de longues périodes dans un espace trop réduit. Les soins sont souvent inadaptés et conduisent à l'abandon ou à une mort prématurée de l'animal. La situation est encore pire pour les animaux sauvages capturés adultes, tels les oiseaux et les reptiles, et privés soudain d'une liberté nécessaire à leur bien-être. Un grand nombre meurt dans d’horribles conditions durant leur transport, faute de soins et de nourriture appropriée, de stress ou à la suite de mauvais traitements. Arrivés chez le consommateur, ils ne s’habitueront probablement jamais à être emprisonnés dans une cage, à la merci du bon vouloir d’un maître qui ignore souvent tout de ses besoins réels. Sans parler des retombées écologiques multiples et d’envergure planétaire[26],[27],[28],[29],[30],[24],[31],[32],[33],[34],[35],[36] quand cet engouement encourage le braconnage d'espèces menacées ou la diffusion d'espèces invasives.

=== Danger pour les enfants et la société en général ===

Les blessures infligées par les animaux sont un danger particulièrement grave pour les jeunes enfants. Aux États-Unis, par exemple, on rapporte plus de 5 millions de morsures par année[37]. Selon le Centre de documentation et d’information de l’assurance (France CDIA), il y aurait 500 000 cas de morsures déclarés en France, entrainant 60 000 hospitalisations par année[38]. Ces chiffres ne sont qu’un pâle reflet de la réalité, car ne sont pas inclus les incidents mineurs qui ne nécessitent pas de soins ou qui ne font pas l’objet d’une plainte comme c’est notamment le cas lorsque la victime est le maître ou un membre de sa famille. Selon la vétérinaire Bonnie Beaver, Il est possible que le nombre réel de morsures soit 50 fois plus élevé que le nombre rapporté[39]. Il n’existe malheureusement aucune statistique relativement aux blessures ou aux agressions attribuables à d’autres espèces, comme le dauphin, le chat, le perroquet, le cheval, les rongeurs, les lagomorphes, le furet, l’iguane, des animaux qui peuvent infliger des blessures parfois très graves. La plupart des victimes sont des garçons de moins de treize ans et le visage est la cible la plus fréquente[40]. Les chiens de type molossoïde comme le pitbull ne sont pas les seules races dangereuses. Madame Dinoire la première greffée du visage a été mordue par un labrador[41].

Selon les scientifiques A. M. Beck, et A. H. Katcher de même que les scientifiques Lilienfeld, Scott O. et Hal Arkowitz, également cités ci-dessus, ces thérapies ont ce que les économistes nomment un « coût d’opportunité » : l’argent et l’énergie que les parents dépensent sur une « thérapie » qui ne donne aucun résultat tangible ne sont plus disponibles pour investir dans des moyens plus éprouvés et sécuritaires comme ceux qui sont offerts par l’assistance publique et divers autres organismes à vocation caritative.

Les enfants, et leurs parents, la cible préférée des zoothérapeutes, sont particulièrement vulnérables à des idées comme celles-ci véhiculées dans les médias : « La présence valorisante et stimulante d’un animal, et plus particulièrement d’un chien, en milieu scolaire peut être un déclencheur de bonne conduite, mais aussi un modificateur comportemental pour les jeunes », écrit dans le quotidien La Presse du 23 août 2003 le vétérinaire chroniqueur François Lubrina, dans un article sur Zoothérapie Québec, un groupe de psychologues solidement implanté dans les écoles primaires du Québec à la façon des multinationales comme Coca Cola, avec leur slogan « Vivre sans un animal! Vous n'y pensez pas! Un animal c'est indispensable! En leur compagnie, tous les jours, les gens esseulés retrouvent un peu de vie, de joie et d'affection »[42].

En ce qui concerne la solitude, ce substitut ne règle pas les problèmes sous-jacents, et peut même les exacerber en donnant l’illusion que le problème est réglé ou est en voie de l’être[43],[44],[45]. En devenant à la fois contents d'eux et coupés de leurs émotions, ceux qui trouvent un réconfort psychologique en s’évadant dans un substitut quelconque au lieu d’assumer leurs problèmes et les régler à la source, se privent d'une vulnérabilité indispensable à leur maturation psychologique. Ce qui peut se traduire, dès lors où cette fuite en avant se systématise à grande échelle à tous les échelons de la société, par une infantilisation massive de la population et un immobilisme dangereux qui peut conduire à la morosité et à un malaise social généralisé[46],[47]. Comme le dit l’ethnologue Jean-Pierre Digard, « la projection de ses émotions et de ses attentes sur un animal qui ne peut vous démentir peut en outre favoriser une hyperdépendance émotionnelle et la perte d’intérêt pour toute relation avec un partenaire social[48].

Enfin, comme le pense notamment l’ethnologue français André G. Haudricourt, « la domination des hommes sur les créatures inférieures a fourni l’analogie mentale sur laquelle bien des arrangements politiques et sociaux sont fondés.[…] C’est ainsi que la domestication est devenue l’archétype d’autres formes de subordination sociale[49]. » Selon cette version des choses, la condition animale est une transposition de la condition humaine, selon le mot de l’ethnologue français Jean-Pierre Digard, « le moule en creux et en relief ou le contretype, en positif et en négatif, des relations entre les hommes[50]. » Dès lors, ce qu’un enfant risque d’apprendre à travers la zoothérapie, ce sont les règles de la domination. Au lieu d’instiller le respect et l’amour des autres espèces et de la nature, il apprendra à les mépriser. Toutes ses relations futures seront fondées sur ces traits de caractère. À l’intérieur des limites permises par la société, il agira avec ses semblables, en essence et non dans la forme, comme il agit avec les animaux. Ce qui veut dire qu'il traitera son futur conjoint, ses futurs enfants, employés, amis, citoyens et sur une échelle plus grande, les autres races, les autres nations et l’environnement, comme des animaux. Et c’est précisément le problème : les méfaits de cette relation de propriétaire à propriété passeront inaperçus, car il n’aura pas dans sa psychologie d’autres points de références comportementales pouvant servir de comparaison. »

  1. Slaves of Our Affection. The Myth of the Happy Pet
  2. Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur au CNRS (2010). Cholestérol, mensonges et propagandes. Thierry Soucart, en ligne, page consultée le 20 juin 2011)
  3. (en) David Michaels (2008). Doubt is Their Product. How Industry’s Assault on Science Threatens your Health. Oxford University Press
  4. (en) Bruce Psaty (2006) « Recent trials in hypertension: Compelling science or commercial speech? » Journal of the American Medical Association
  5. (en) Richard Smith « Medical Journals Are an Extension of the Marketing Arm of Pharmaceutical Companies » en ligne, page consultée le 20 juin 2011.
  6. (en) JP. Kassirer (2005) On the Take: How Medicine’s Complicity with Big Business Can Endanger your Health. New York: Oxford University Press
  7. (en) Richard Smith (2005). « Medical Journals Are an Extension of the Marketing Arm of Pharmaceutical Companies. » en ligne, page consultée le 20 juin 2011
  8. (en) S. Rampton et J. Stauber (2001). Trust us, We’re experts! How Industry Manipulates Science, and Gambles with your future. New York : Center for media and democracy.
  9. (en) A.M Beck et A.H. Katcher (1984) « A new look at pet-facilitated therapy. » Journal of the American Veterinary Association; vol. 184, no 4
  10. FACCO. Site cité.
  11. Beth Daly et L.L. Morton (2003). « Children with Pets Do Not Show Higher Empathy: A Challenge to Current Views. » Anthrozoös; 16(4), p. 298
  12. Steven Pinker (2011). « The rights revolution. »The better angels of our nature. Why violence has declined. Viking, p. 462
  13. West, Patrick (2004). Conspicuous Compassion: Why Sometimes it Really is Cruel to be Kind. Civitas,
  14. Sondage léger publié sur le site Veterinet: www.veterinet.net/services/nouvelle.asp?categ=3.4&no=674 (consulté en août 2011)
  15. (en) Anna Chur-Hansen, Cindy Stern et Helen Winefield (2010) « Gaps in the évidence about companion animals and human health: some suggestions for progress. » International Journal of Evidence-Based Healthcare; vol. 8, no 3, p. 140–146
  16. (en) Scott O. Lilienfeld and Hal Arkowitz (2008). « Is Animal Assisted Therapy Really the Cat's Meow? The jury's out on whether animals can initiate long-lasting improvements in mental health. » Scientific American, no 5. [En ligne] http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=is-animal-assisted-therapy
  17. (en) Andrew Gilbey et al. (2007). « A Longitudinal Test of the Belief that Companion Animal Ownership Can Help Reduce Loneliness. » Anthrozoös; vol. 20, no 4
  18. K.A. Kruger & J.A. Serpell. Art. cité
  19. (en) Leena K. Koivusilta et Ansa Ojanlatva (2006). « To have or not to have a pet for better health? » [En ligne]. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1762431/ (page consultée le 20 juin 2011)
  20. (en) Lana Kaiser et Coll. (2004). « Can a week of therapeutic riding make a différence? A pilot study. » Anthrozoös, 17 (1), p. 63-72
  21. (en) Monika Kehoe (1990). « Loneliness and the aging homosexual: Is pet therapy an answer. » Journal of Homosexuality; vol. 20, no 3 et 4.
  22. Jean-Pierre Diggard (2005). Les Français et leurs animaux: Ethnologie d’un phénomène de société. Fayard; p. 128.
  23. Sergio Dalla Bernardina (2006). « Épilogue en forme de satire. Du commerce avec les bêtes d'un Terrien civilisé.» L’éloquence des bêtes. Métailié
  24. a et b (en) Leslie Irvine (2004). « Pampered or Enslaved? The Moral Dilemmas of Pets. » International Journal of Sociology and Social Policy, vol. 24, no 4, p. 5-16
  25. (en) Marjorie Spiegel (1996) The Dreaded Comparison. Human and Animal slavery. Mirror Books
  26. Charles Danten, médecin vétérinaire (2011). « Le mythe de l’animal roi. » Québec sceptique no 75, [en ligne]. http://www.sceptiques.qc.ca/ressources/revue/articles/rsum-des-articles-no.-75 (site consultée le 20 août 2011
  27. Charles Danten (2011) Zoothérapie- Le mythe de l'animal-roi, [en ligne]. http://charles-danten.blog4ever.com/blog/index-511128.html
  28. Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (2008) Éthique animale. PUF
  29. (en) Stuart Spencer (2006). « History and Ethics of Keeping Pets: Comparison with Farm Animals. » Journal of Agricultural and Environmental Ethics, vol. 19, p. 17-25
  30. (en) David Sztybel (2006). « Can the Treatment of Animals Be Compared to the Holocaust? » Ethics and the environment, 11(1)
  31. Patrick West. Ouvr. cité
  32. (en) Nibert D. (2002). Animal Rights/Human Rights. Entanglement of Oppression and Liberation. Lanham, Rowman & Littlefield Publishers
  33. (en) Swabe Joanna (1998). « Animals as a Natural Resource: Ambivalence in the Human-Animal Relationship in a Veterinary Practice. » Animals, Disease, and Human Society. Human-animal Relations and the Rise of Veterinary Medicine. Routledge
  34. (en) Michael W. Fox (1990). Inhumane Society: The American Way of Exploiting Animals. St. Martin’s Press
  35. (en) Yi-Fu Tuan (1984). « Animal Pets: Cruelty and Affection. » Dominance and Affection: The Making of Pets. Yale University Press
  36. (en) S. Wolfensohn (1981). « The things we do to dogs » New Scientist, p. 404-407
  37. (en) 5 millions de morsures par année
  38. 500 000 cas de morsures déclarés en France, entrainant 60 000 hospitalisations par année
  39. (en) Bonnie V. Beaver (1997) « Human-canine interactions: A summary of perspectives. » Journal of the American Veterinary Medical Association 210(8).
  40. « Épidémiologie des morsures de chiens » Encyclopédie médicale Doctissimo [En ligne]. Adresse URL: http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_1248_morsures_chien04.htm (page consultée le 2 décembre 2013).
  41. Mme Dinoire la première greffée du visage a été mordue par un labrador
  42. Dépliant de Zoothérapie Québec, un groupe de psychologues qui fait une promotion agressive de la zoothérapie notamment dans les petites écoles.
  43. Andrew Gilbey et al. (2007). « A Longitudinal Test of the Belief that Companion Animal Ownership Can Help Reduce Loneliness. » Anthrozoös; 20 (4): 345-353
  44. Leena K. Koivusilta et Ansa Ojanlatva. Art. cité.
  45. Harold Herzog. Art. cité.
  46. Anderson Digby et Roger Mullen, éditors (1998). Faking it: The Sentimentalisation of Modern Society. Social Affair Unit
  47. Erich Fromm (1941). Escape from Freedom. London: Routledge.
  48. Jean-Pierre Digard. Ouvr. cité.
  49. André G. Haudricourt (1962) « Domestication des animaux, culture des plantes et traitement d’autrui. » L’Homme 2(1):40-50 ; voir aussi à ce propos (en) Beth Daly et L.L. Morton (2003) « Children with Pets Do Not Show Higher Empathy: A Challenge to Current Views » Anthrozoös 16(4):298, (en) Nibert D. (2002) Animal Rights/Human Rights. Entanglement of Oppression and Liberation. Lanham, Rowman & Littlefield Publishers, Marjorie Spiegel (1996) La comparaison redoutée : l’esclavage des animaux et des humains [The Dreaded Comparison: Human and Animal Slavery], Mirror books, Yi-Fu Tuan. Ouvr. cité.
  50. Jean-Pierre Digard. Ouvr. cité: 128.

Cet article est un torchon ![modifier le code]

Il devrait être supprimé et remplacé par la traduction de l'article en anglais : https://en.wikipedia.org/wiki/Animal-assisted_therapy ... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Danielojost (discuter), le 22 septembre 2017 à 17:38 (CEST)[répondre]