Discussion:Système de positionnement par satellites

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Euh... cet article fait référence aux systèmes de positionnement... Mais il ne mentionne que ceux par satellite ; il en existe (ou existait) un tas d'autres : gonio, rana...

be...ajoute...ajoute...

Merci, anonyme IP; je vais mettre ça dans mon pense-bête
Alvaro 23 avr 2003 à 23:51 (CEST)

Il n'y a pas de différence fondamentale entre "système de positionnemment" et "système de navigation" ; s'il y a couplage à une carte, c'est plutôt de "système intégré de navigation" qu'il faudrait parler - et encore, "intégré" suppose généralement que le système de pilotage soit directement commandé par le système de localisation. --CLV 21 mai 2006 à 10:06 (CEST)[répondre]

Bonjour J'ai remanié la partie "systèmes existants" de façon à bien séparer les systèmes terrestres des systèmes par satellite.Lady9206 9 novembre 2006 à 23:47 (CET)[répondre]

cohérence des articles[modifier le code]

j'ai supprimé la phrase sur les autres systemes "non satellite" car ils sont décrits dans un autre article "radionavigation plus général et plus complet sur ce sujet, ajouter le lien interne suffirait--Michco 10 novembre 2007 à 18:02 (CET)[répondre]

clarification[modifier le code]

(question posée sur l'articletélécommunications)

J'ai parcouru rapidement aujourd'hui seulement l'article français GPS de Wikipedia. Est-ce que l'on peut essayer d'améliorer la situation ? Si possible, j'aimerais que l'on me comprenne bien. On peut vérifier si l'usage du mot "GPS" est vraiment libre : c'est un nom de marque. Quelques personnes ont proposé comme sigle GNSS : Global Navigation Satellite System. C'est une appellation plus juste, surtout pour ceux qui ne travaillent pas sur la géolocalisation (positioning system). Donc,GPS est un GNSS, comme Galileo.

En ce qui concerne les applications du GNSS, il faudrait distinguer les applications du système et celles commercialisées. Prenons mon dernier exemple : SAR. L'individu s'abonne à SAR. Comment est l'architecture ? système de couplage etc. Bon courage.--GéGé twin (d) 11 juin 2008 à 19:55 (CEST)[répondre]

a priori GPS n'est pas un nom de marque, mais le nom d'un système spatial des USA d'usage libre, qu'utilisent des centaines de fournisseurs de récepteurs , de calculateurs de voiture, d'avion, de navires etc
Le SAR est un nom général des systèmes de localisation de détresse, incluant aussi bien SARSAT qui est indépendant de tout GNSS, que les balises inmarsat utilisant le GPS, ou d'autres systèmes. Donc en s'abonnant a un service SAR, tout dépend duquel on parle: le SAR SARSAT ou le SAR inmarsat, ou un système APRS VHF organisé pour un rallye ou autre.
Pour Galiléo (commercial), je ne sais pas ce qui est proposé aujourd'hui (galiléo (satellites) sera opérationnele dans 10 ans au moins)--Michco (d) 11 juin 2008 à 22:49 (CEST)[répondre]

L'article GPS a assez bonne allure, mais celui sur le GNSS ,traduit dans le titre français en système de positionnement par satellites est vraiment faible (euphémisme), et ne correspond pas vraiment au concept GNSS, plûtot a un résumé doublon de celui du GPS que faire? faire un article traduit du GNSS anglais qui est mieux centré? changer le titre? fusionner sur GPS?--Michco (d) 13 juin 2008 à 23:25 (CEST)[répondre]

GNSS mérite bien un article propre, qui serait d'ailleurs intitulé GNSS et pas système de positionnement par satellites, puisqu'il va au delà : sauvetage, distribution de l'heure, géodésie, études scientifiques,etc. GPS est une composante de GNSS, il ne faut surtout pas fusionner les articles. L'article GNSS pourrait, comme l'article anglais, présenter brièvement les systèmes existant (GPS, Glonass, SBAS) qui constituent GNSS1; et parler des évolutions de GNSS1 à GNSS2 qui, lui, incluera Galileo (Europe), QZSS (Japon), les satellites GPS II-F et GPS III (Etats-Unis), les systèmes Compass (Chine) et IRNSS (Inde), les satellites Glonass-K (Russie) , EGNOS-2 et (on y réfléchit déjà) Galileo 2. J'ai assisté récemment à une présentation sur Galileo où cette structure et toute cette évolution ont bien été présentées. Pourquoi en effet ne pas commencer par un adaptation de l'article anglais ? Il faudrait aussi faire ressortir les aspects compatibilité et collaboration internationale que l'existence simultanée de tous ces systèmes va impliquer. Il n'y aura plus d'excuses pour se perdre....(GPS est bien un acronyme, pas un nom de marque; GPS est et demeure à la base un système militaire américain).Lady9206 (d) 14 juin 2008 à 10:11 (CEST)[répondre]
d'accord , je peux commencer par la traduc séparément des parties gnss de l'article anglais, si tu peux préparer le plan, j'y collerais les morceaux traduits. Je commence par mettre le panneaux "travaux"Émoticône--Michco (d) 14 juin 2008 à 11:18 (CEST)[répondre]

premier (ou second) pb: le bon titre? quel est la traduction française officielle (OACI..) de GNSS?--Michco (d) 14 juin 2008 à 11:23 (CEST)[répondre]

essai introduction[modifier le code]

pour éviter le charcutage multiple, je propose de mettre en brouillon les nouveaux paragraphes avant édition, puis d'éditer aprés modifs éventuelles. Voici la première partie, traduite de l'article anglais--Michco (d) 14 juin 2008 à 12:55 (CEST)[répondre]

essai introd[modifier le code]

GNSS (Global Navigation Satellite System) est le nom général des systèmes de navigation satellitaires fournissant une couverture globale de géopositionnement à usage civil. Les GNSS utilisent les constellations existantes de satellite de navigation, et des systèmes satellitaires complémentaires d’amélioration de performance, comme EGNOS, ou des compléments au sol, comme le DGPS.

Jusqu’en 2007, le système étatsunien des satellites NAVSTAR , constituant le GPS, est la seule constellation totalement opérationnelle. Le système russe GLONASS est en cours de restauration opérationnelle.

Le système de l’union européenne Galileo est la seconde génération de GNSS en phase de développement, deux satellites de validation ayant été lancés, il est planifié opérationnel en 2013. La Chine a prévu d’étendre son système régional Beidou en système global. L’Inde développe le système IRNSS, planifié pour être opérationnel vers 2012.

Un GNSS permet à des récepteurs portables de déterminer leur position sur la terre en longitude latitude et altitude, avec une précision variant de quelques dizaines de mètres à quelques mètres selon les corrections et le temps d’intégration utilisé. Des récepteurs fixes peuvent déterminer leur position avec une précision centimétrique.

Les services utilisant ces systèmes sont principalement la navigation maritime, aérienne, et routière, la topographie, la synchronisation du temps.

Ces systèmes passifs peuvent être complétés par des émetteurs de radiolocalisation pour des applications de suivi logistique (APRS), de sauvetage (SAR), d’étude océanographique, de biologie (radiotracking),

commentaires[modifier le code]

Bonjour, est-ce que, dans l'introduction, on ne pourrait pas caser l'expression : "Intérêt stratégique des GNSS". Je crois (je n'en suis pas sûr) que GLONASS devait être abandonné, et puis non, le projet a été relancé. Pour le projet Européen, cela doit être similaire. L'intérêt commercial des GNSS, quant à lui, est évident, et on cite souvent le chiffre d'affaires quotidien du système GPS. --GéGé twin (d) 15 juin 2008 à 23:39 (CEST)[répondre]

✔️mis en article--Michco (d) 16 juin 2008 à 14:44 (CEST)[répondre]

essai définitions[modifier le code]

à partir de l'article anglais, mais un coup de main serait utile, notemment je bute sur le terme RTK, et les termes français officiels--Michco (d) 14 juin 2008 à 19:08 (CEST)[répondre]

chap2: définitions aéronautiques[modifier le code]

Les systèmes GNSS capable de fournir une précision et une intégrité compatible avec les exigences de la navigation civile sont définis ainsi:[1]

  • GNSS-1 est la première génération, combinant l’utilisation ds systèmes GPS et GLONASS), avec des systèmes d’augmentation satellitaires (SBAS) ou terrestres (GBAS).

Aux états Unis, le complément satellitaire est le WAAS, en Europe, c’est le European Geostationary Navigation Overlay Service (EGNOS), et au japon, le Multi-Functional Satellite Augmentation System (MSAS). Les systèmes complémentaires terrestresn (GBAS) sont généralement locaux, comme le ‘’Local Area Augmentation System’’ (LAAS). Les performances du GNSS1 sont compatibles avec la navigation « en route » (suivi des couloirs aériens et des espacements) et éventuellement d’approche si un système LAAS est disponible.

  • GNSS-2 est la seconde génération de systèmes, capable de fournir tous les services civils, dont l’exemple le plus avancé est le Galileo européen. Ces systèmes procureront simultanément la précision et l’intégrité nécessaire à la navigation civile dans toutes les phases de vol.

Le système GPS en développement doit inclure également la porteuse L5 d’intégrité, le mettant ainsi au niveau GNSS2.

  • Les systèmes de base sont les constellations opérationnelles existantes ou en déploiement: GPS, Galileo et GLONASS.
  • Les systèmes d’augmentation satellitaires globaux: Omnistar et StarFire.
  • Les systèmes d’augmentation satellitaires régionaux ( SBAS) incluent le WAAS américain, l’ EGNOS européen, le MSAS japonais, et le GAGAN indien.
  • Les systèmes de navigation satellitaires régionaux tels que le QZSS japonais, le IRNSS indien et le Beidou chinois.
  • Les systèmes d’augmentation terrestres continentaux (GBAS) par exemple l’australien GRAS et le service DGPS du ministère des transports américain.
  • Les GBAS régionaux comme le réseau CORS .
  • Les GBAS locaux utilisant une seule station de référence fonctionnant en corrections cinématiques] (RTK).

commentaires[modifier le code]

✔️mis dans l'article--Michco (d) 15 juin 2008 à 18:53 (CEST)[répondre]

plan et contenu[modifier le code]

la traduc avance, et donnera de la matière en plus de l'article d'origine mais il faut un bon plan, car le domaine est touffus.. par exemple:

  • ✔️introd
  • principe général
  • ✔️définitions: traduc faite
  • ✔️historique: traduc en cours
  • ✔️fontionnement
  • ✔️le problème civil-militaire
  • systèmes spatiaux existants (et en cours..):traduc à faire
  • systèmes spatiaux futurs: traduc à faire
  • systèmes d'augmentation terrestres: a trier mieux
  • les récepteurs (et navigateurs): a créer
  • applications:a compléter
  • aspect économique: a créer
  • glossaire et acronymes (!!)

donnez votre point de vue--Michco (d) 15 juin 2008 à 19:02 (CEST)[répondre]

traduc histoire et fonctionnement[modifier le code]

✔️mis en article

Historique[modifier le code]

Les systèmes de radionavigation terrestres[modifier le code]

Le systèmes satellitaires ont été précédés par les systèmes terrestres de radionavigation , comme le Decca, le Loran et l’Oméga, qui utilisaient des émetteurs terrestres et non des satellites. Certains de ces systèmes sont encore opérationnels, particulièrement en aéronautique, en raison de leur fiabilité et de leur précision locale, comme l’ILS ou l’ADF.

Le système “TRANSIT”[modifier le code]

Le système TRANSIT fut le premier système satellitaire global opérationnel, déployé en 1960-70. Il utilisait l’effet doppler, permettant le calcul du gisement du satellite, et non le temps d’arrivée comme les systèmes modernes, qui calculent la distance au satellite. Le nombre de satellites était d’une dizaine, ne permettant un point que toutes les heures en moyenne.

Le signal à 400MHz du Transit contenait les éphémérides ( la position orbitale précise ) du satellite, indispensable pour le calcul du point. Ces éphémérides étaient déterminées par le US Naval Observatory (USNO) qui mettait à jour ces données à bord des satellites.

fonctionnement[modifier le code]

Les systèmes actuels sont plus directs pour l’utilisateur: Le satellite transmet un signal contenant sa position et l’instant exact d’émission. Ce message est superposé au code qui contient la référence temporelle. La synchronisation des signaux est obtenue par des horloges atomiques à bord de chaque satellite. Le récepteur compare l’instant d’arrivée vis-à-vis de son horloge propre, avec l’instant d’émission indiqué et mesure ainsi la distance du satellite. Ces mesures sont répétées sur tous les satellites visible et permettent de calculer une position continuement. Chaque mesure de distance, quel que soit le système utilisé (constellation basse ou géostationnaire ou balise locale) place le récepteur sur une sphère centrés sur l’émetteur. En utilisant au moins trois émetteurs, ces sphères on un seul point d’intersection. Ce principe simple se complique cependant:

  • L’horloge locale du récepteur est rarement de précision atomique, seuls les différences de temps sont donc précises, ce qui demande quatre balises ou satellites pour faire un point au lieu de trois (si on connaît l’altitude, trois balises suffisent )
  • Les récepteurs sont mobiles , et les mesures sont donc effectuées en des points différents.
  • Les ondes radio ont une vitesse légèrement variable selon les couches ionosphériques traversées.

Le récepteur intègre donc ces diverses erreurs, utilisant des corrections et des mesures de divers satellites ou balises , puis des techniques d’intégration et de filtrage comme les filtre de Kalman, pour obtenir le point le plus probable et sa précision estimée, sa vitesse et le temps universel.

Pour les applications demandant une sécurité absolue du point (atterrissage sans visibilité, anticollision..) les signaux de navigation sont complétés par un signal dit d’«intégrité» qui permet d’éliminer toute mesure issue d’un émetteur en défaut temporaire ou prolongé.

traduc usage civil et militaire[modifier le code]

traduction faite--Michco (d) 16 juin 2008 à 14:05 (CEST)[répondre]

Usage civil et militaire[modifier le code]

Les systèmes de navigation satellitaires ont été développés d’abord pour le besoin militaire. Ils permettent en effet une précision inégalée dans le guidage des missiles au but, augmentant leur efficacité et réduisant les risques de dégâts collatéraux. Ces systèmes permettent également aux forces terrestres de se positionner avec précision, réduisant les incertitudes tactiques, aux marines et aux forces aériennes de naviguer avec précision, indépendamment de tout support au sol.

Satellite navigation using a laptop and a GPS receiver

Ainsi, les satellites de navigation agissent en multiplicateur de puissance militaire, et dans les conflits trés médiatisés, réduisent les retentissements des pertes civiles. Toute nation ayant des ambitions militaire souhaite donc se doter de ces systèmes. La possibilité de distribuer des signaux de radionavigation inclut également la possibilité de les interdire d’emploi sur certaines zones sans une clé de décryptage. Le signal civil du GPS était muni jusqu’en 1990 d’un code d’étalement aléatoire de précision, pour éviter son emploi militaire (‘’selective availability’’ ), qui réduisait la précision à 100m au lieu des 10m actuels. Les usages civils des GNSS sont multiples :

  • La navigation, depuis les récepteurs portables de randonnée jusqu’aux centrales de navigation des aéronefs et navires
  • Le transfert de temps et la synchronisation
  • La surveillance, en liaison avec un émetteur APRS
  • La topographie et le cadastre
  • Le sauvetage, en liaison avec un émetteur de détresses Search and rescue
  • La géophysique
  • Le suivi des animaux

commentaires[modifier le code]

doublon partiel avec l'ancien texte, a fusionner un peu--Michco (d) 16 juin 2008 à 14:05 (CEST)[répondre]

✔️à compléter en explicitant les usages civils--Michco (d) 16 juin 2008 à 14:46 (CEST)[répondre]

fusion générale[modifier le code]

un premier jet cohérent, il reste:

  • corriger des liens rouges
  • peut-être fignoler plan et redites
  • augmenter les systèmes d'augmentation: proncipes de chaque
  • améliorer chapitre par chapitre
  • images
  • sourcer
  • biblio
  • .....ouf! je part en vacances, aux suivants!

--Michco (d) 17 juin 2008 à 19:37 (CEST)[répondre]

autres systèmes[modifier le code]

j'ai ajouté les liens et les principes d'argos et sarsat, afin d'avoir une vue générale du positionnement par satellitee--Michco (d) 28 août 2008 à 16:20 (CEST)[répondre]

Doublon, le contenu de GNSS est déjà dans Système de positionnement par satellites. Je propose de transformer GNSS en page de redirection. Léna (d) 15 juillet 2009 à 13:26 (CEST)[répondre]

Erreur de programmation GPS concernant la ville de Barjols,précisément pour la rue des Audiffren.[modifier le code]

Bonsoir, les riverains de la rue des Audiffren, à Barjols ( Var) subissent ,jour et nuit, une erreur d'orientation GPS.En effet,la rue des Audiffren n'est pas une route principale.Les personnes étrangères au village sont systématiquement orientées,par le GPS, vers cette petite rue qui n'est pas conçue pour le trafic auto-routier.Je vous prie de bien vouloir corriger vos données satellites ou autres. Lydie Tincq, riveraine.

Bonjour madame
Je crains fort que wikipédia n'ait aucun moyen de régler ce problème : il s'agit d'une encyclopédie sur internet sans autre prétention que celle de donner des définitions des concepts les plus connus et en aucun cas de calculer un itinéraire.
Je vous suggère de vous adresser aux principaux fournisseurs de solution GPS, (tomtom) et de cartographie en ligne (mappy, google, michelin, etc... ) afin de leur signaler ce problème.
Cordialement v_atekor (d) 7 septembre 2012 à 22:40 (CEST)[répondre]

Affirmation à propos de l'intersection de 3 sphères[modifier le code]

Bonjour,

il est écrit dans le paragraphe sur le calcul de la position ([1]) :

   "L'intersection de 3 sphères permet d'identifier un point unique dans l'espace."

Il est possible que l'intersection de 3 sphères distinctes donne un point unique dans l'espace, mais le plus souvent, l'intersection de 3 sphères donnera deux points dans l'espace. En effet, l'intersection des deux premières sphères donne un cercle. L'intersection de ce cercle avec une troisième sphère donne (le plus souvent) deux points. Une quatrième sphère, distincte bien sûr des trois précédentes, est nécessaire pour trouver l'intersection correcte.

L'article en question ne traite certes pas de géométrie, mais l'affirmation pourrait certainement être reformulée pour éviter toute confusion.

Merci pour votre contribution à Wikipédia, et à cet article passionnant.

corrélation[modifier le code]

Salut,

Me semble que cet article devrait utiliser le mot corrélation pour expliquer le fonctionnement du positionnement par satellite.

Comme le fait ce cours de Normale Sup : m2_geopositionnement_2.pdf

37.164.148.83 (discuter) 26 décembre 2021 à 21:11 (CET)[répondre]

Les récepteurs GPS font de la corrélation de la même manière que l'application Shazam qui calcule des empreintes du morceau qu'elle entend (avec toutes les perturbations de l'environnement) et les corrèle avec les empreintes qu'elle connaît. 90.108.96.210 (discuter) 27 décembre 2021 à 23:38 (CET)[répondre]