Discussion:Si c'est un homme

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Questions de fond[modifier le code]

primo levi a t'il perdu son humanité ????


nn les nazis n'y sont pas arrivés car durant son internement dans le camps, il a révé, des souvenir sont remontés à la surface. PL a gardé une partie de son humanité ds lecamp. Cela montre qu'à la fin les camps de concentration et d'extermination commencaient à ne plus remplir leur role: la déshumanisation pr avoir de meilleurs "esclave".


si c'est un homme est-il un roman autobiographique ???

Pour moi, oui c'est un roman autobiographique. Primo Lévi a vécu cette terrible situation, puis il utilise le pronom je, nous, etc....

C'est un récit autobiographique. --jodelet 2 août 2007 à 04:12 (CEST)[répondre]

Projet Juifs et judaïsme[modifier le code]

Bonjour, j'ai quelque scrupule à intégrer cet article dans le projet Juifs et judaïsme. Je pense qu'il y a sa place, mais je crains que cela ne restreigne sa portée, qui est juive mais aussi universelle. Si quelqu'un a une objection à ce propos, merci de m'en faire par ici et sur ma PdD personnelle--'Inyan m'écrire 18 septembre 2007 à 13:32 (CEST)[répondre]

A mon avis il n'y a pas trop de rapport, sinon indirect (par la Shoah). Dans mon souvenir, Levi ne parle quasiment jamais de sa judéité... Alors si ce projet est prévu pour englober tout ce qui est en rapport avec la Shoah et le nazisme, cet article en fait partie, dans le cas contraire, non. Markadet ∇∆∇∆ 18 septembre 2007 à 15:10 (CEST)[répondre]

bonjour, que cette phrase soit le symbole du désespoir des déportés OK, de la folie concentrationnaire, aussi dramatique soit la scène, ne peut en constituer un symbole spécifique comme arbeit macht frei.Cordialement Littlejazzman (d) 26 janvier 2011 à 04:38 (CET)[répondre]

Report (sera, bsd, réintroduit ultérieurement)[modifier le code]

Primo Levi déclarera : « Si je n’avais pas vécu l’épisode d’Auschwitz, je n’aurais probablement jamais écrit »[1]. Toutefois, il avait déjà écrit deux histoies courtes avant sa déportation et fait part, au cours de celle-ci, de sa volonté d’écrire un roman sur l’atome de carbone. Quoiqu’il en soit, c

Une première traduction française est publiée en 1961 mais elle se fonde sur la version d'origine de 1947 et sa qualité est jugée médiocre par Primo Levi lui-même. Ce n'est qu'en 1987 que sort la traduction définitive en français[2].

Il fut traduit et publié en allemand par les Éditions Carl Hanser en 1991. Cette traduction a un statut particulier :

« Il ne s'agissait pas, en quelque sorte, d'une traduction, mais plutôt d'une restauration : la sienne était, ou je voulais qu'elle fût, une restitutio in pristinum, une retraduction, un retour à la langue dans laquelle les faits s'étaient produits et qui était la leur. Ce devait être, plus qu'un livre, une bande de magnétophone. »

— Les Naufragés et les rescapés, 1986 (traduction 1989).

  1. Irena Prosenc Segula, « Primo Levi commentateur de sa propre résilience », Études littéraires, no 1,‎ , p. 69-76 (lire en ligne)
  2. P. Levi, Si c'est un homme, traduction de Martine Schruoffeneger, Julliard, 1987 ; puis réédité en 2002, augmenté d'une interview de l'auteur par Philip Roth et deux autres textes inédits.