Discussion:Saint Calice

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Soumis au Wikipédia:Comité de lecture...

Traduction en espagnol[modifier le code]

Illustrations[modifier le code]

J'ai demandé sur Wikipedia:demander une illustration :

Michel BUZE 30 décembre 2005 à 14:24 (CET)[répondre]

Son nom espagnol est Santo Caliz, en français on parle plutôt du Graal pour le "Saint Calice" mais comme ce n'est pas tout à fait pareil, renommer l'article calice du Saint Graal (nom que j'ai vu sur l'article http://www.opusdei.com/art.php?w=59&p=8822 ) serait peut être un meilleur nom... Michel BUZE 28 janvier 2006 à 14:09 (CET)[répondre]

Autres infos à intégrer[modifier le code]

Utilisateur:Michel_BUZE/tests/Saint Calice

Vase de la basilique Sainte-Sophie de Constatinople rapporté ensuite à la Cathédrale de Troyes[modifier le code]

En 1999, un pélerin russe appelé Antonius (Antoine), qui deviendra plus tard l’archevêque de Novgorod, parcourait les sanctuaires de l’empire d’Orient dressant un catalogue des principales reliques rencontrées.

Un manuscrit (qui ne fut publié qu’en 1872), nous apprend que lors de sa visite à la basilique Sainte-Sophie, il avait remarqué un petit vase de marbre d’apparence, dont on disait qu’il avait été utilisé par Jésus Christ le Jeudi Saint lorsqu’il célébra la dernière Cène.

"Catinum parvum marmoreum, quo usus est Christus, quum coenam cum discipulis celebravit feria quinta majori" (Niore. Antonius, Novgorodensis archiepiscopus; liber qui dicitur Peregrinus, seu Descriptio SS. Locorum Caesareae ciritatis. Ed. Paulus Sawaïtov. Petroburgi, 1872. Voir aussi M. Sreznevski 1875. Spicilège de l’Académie de Saintt-Pétersbourg, tome XII p. 340-349. Voir aussi M. le comte de Riant : Exuriae sacrae Constantinopolitanae. Tome II page 218-230).

En vue d'une Quatrième croisade contre les musulmans en Égypte, une armée croisée fut constituée par le comte Thibaut III de Champagne et comptait un grand nombre de Champenois dont, à leur tête, en qualité de grand aumonier de l’armée latine, l’évêque de Troyes, déjà âgé, Garnier de Trainel.

En 1202, de part l’alliance des croisés avec les Vénitienns, la croisade sera détournée de son but initial pour attaquer les byzantins orthodoxes à Constantinople, la ville aux nombreuses reliques, surtout depuis la chute de Jérusalem, et qui méritait le titre de ville sainte.

En 1204, les croisés firent main basse sur les trésors (reliques et pierreries) de Constantinople et il fallut l’intervention énergique du légat du Saint-Siège, Pierre de Capoue, pour que cette razzia s’interrompe et que le butin soit remis entre les mains de Garnier de Trainel devenu le gardien des “biens” de l’Eglise. Garnier, que la mort attendait en cette ville, avait amassé un inestimable trésor qu’il s’apprêtait, à son tour, à détourner sinon à son profit, du moins pour celui de sa bonne ville de Troyes. Ce sont ses chapelains qui s’en chargèrent, ramenant avec eux une part considérable de ce trésor dans laquelle on trouvait un morceau considérable de la vraie Croix, du sang du Christ, mais aussi le chef de saint Philippe, le bras de saint Jacques le Majeur ou le corps entier de sainte Hélène vierge. (Mentionné dans les inventaires des églises de Troyes).

Le Vase de la Cène était, assurément, le plus précieux des trésors. Les inventaires des églises de Troyes le mentionnent ainsi : “Un fort beau vase de jaspe, entouré d’un bord d’argent sur lequel il y a quatre vers grecs iambiques qui sont gravés en lettres majuscules antiques : “Est vas in quo duo pisces fuerunt ante Dominum Jesum Christum in mensa portati, et depost illud vas fuit in quo Corpus Domini deportabatur.” (“Ce vase est celui où deux poissons furent apportés sur la table devant N.S Jésus Christ et, depuis, le corps du Seigneur y était déposé.”)

Il en reste le témoignage dans les verrières exécutées sous Nicolas de Brie (verrière 10, la seconde à droite du chœur).

En janvier 1794 tous les reliquaires et reliques furent livrés aux flammes révolutionnaires.

En 1940 Himmler, le capitaine Günter Alquen et une vingtaine de soldats SS, ont cherché le Graal au Château de Montségur et à Montserrat.

Wolfram von Eschembach

[Robert de Boron]][modifier le code]

A la Cene, le juesdi Le pein, le vin y benéi, Et leur dis que ma char menjoient Ou pein, ou vin mon sanc buvoient:

Nychodemus se courouça ... A Pilate s'en vont clamer ... Et Jhesu de la crouiz osterent. Joseph entre ses braz le prist ... A son veissel et si l'a pris, Et lau li sans couloit l'a mis, Qu'avis li fu que mieuz seroient Les goutes ki dedenz cherroient

Alphonse V d'Aragon[modifier le code]

Le "Santo Cáliz" est une relique célèbre, historiquement intéressante et plutôt bien documentée. Il mérite incontestablement un article. Mais il y faudrait quand même un tout petit peu de recul. Quand et dans quelles conditions se développe le culte de la relique ? Comment et à travers quels textes s'est mis en place la floraison de légendes qui l'entoure ? Quelle place occupe-t-elle dans les dévotions locales ? ... Ici, on dirait qu'on s'est contenté de résumer un livret pour pélerins bon public.

Avec des affirmations pour le moins étonnantes ( Des indices clairs (???) font penser que le Calice a été utilisé par les premiers papes pour célébrer l'Eucharistie )

paroles de la Consécration, dans le Missel romain de Saint Pie V, HOC EST ENIM CORPUS MEUM : Accipiens et HUNC PRAECLARUM CALICEM in sanctas ac venerabiles manus suas => II prit LE calice...

- et des théories pour le moins aventureuses (des épisodes de la Reconquista comme source de Chrétien de Troyes et de Wolfram ! ). Il est possible qu'un érudit local à Valence y croit encore, mais pour un article d'encyclopédie, on a le droit de se montrer un peu plus exigeant... - achille-41 6 décembre 2005 à 21:58 (CET)[répondre]

Réponse[modifier le code]

C'est bel et bien un résumé des différentes sources données en liens... ( + http://www.zenit.org/french/archives/9908/ZF990806.html#item3 ) Car ce sont les seules infos que j'ai pour l'instant... Je ne demande pas mieux qu'un article plus encyclopédique... J'invite tous ceux qui peuvent à participer... Michel BUZE 6 décembre 2005 à 22:09 (CET)[répondre]

Au Moyen Âge plus de vingt coupes prétendaient être le Saint Calice.

Une des plus célèbres est le "Sacro Catino" (anciennement appelé Sagradale). Il aurait été rapporté, par les croisés, du temple construit par Hérode Ier le Grand en l'honneur d'Auguste à Jérusalem en la Cathédrale de Gênes (Italie) en 1099.

Non seulement, le Christ aurait bu dans le Sacro Catino, mais avant cela il aurait été offert par la reine de Saba (Yémen, Arabie) au roi Salomon pour garnir son temple construit pour abriter l'arche d'alliance, coffre contenant la table des Dix Commandements reçue par Moïse.

D'après Hérodote, cette coupe d'émeraude se trouvait dans le temple d'Héraclès à Agrigente. Durant les guerres napoleoniennes, il fut dérobé à la cathédrale et emmené à Paris, où il fut étudié par une comission de l'Académie des sciences de l'Institut de France) qui conclu qu'il était fait en cristal bizantin et non pas en émeraude. Il fut rendu en 1815.

Table d'émeraude[modifier le code]

Le fameux vase vert de la cathédrale de Gênes fut ainsi considéré comme fait d'une émeraude massive jusqu'au XIXe siècle. Une légende raconte que ce "vase d'émeraude" faisait partie du trésor que la reine de Saba offrit à Salomon, et que le Christ avait plus tard bu dedans au cours de la sainte Cène (ce qui rejoint la légende du Graal d'émeraude).

Interessant !!![modifier le code]

http://apostolicos.en.telepolis.com/5-JACA_(Aragon).html


Extrait d'un livre posté sur un forum[modifier le code]

http://www.renneslechateau.com/forums//viewtopic.php?p=304&sid=ed4e1649acb5a965962d83cf35435db0

Chrétien de Troyes (+ avant 1190), le premier auteur de fiction ; avoir exploité la « matière » arthurienne, divulguée par l'Historic Regum Britanniae (1138) de Geoffroy de Monmouth, et popularisée par le Brut (1155) de Wace, sa traduction, ou plutôt son adaptation en français (c'est à Wace que revient l'introduction de la Table Ronde absente chez Monmouth

Plus tard, à l'époque wisigothique, quand Huesca fut érigée en siége épiscopal (VIe siècle), le sacré calice fut déposé dans l'église Saint Pierre (San Pedro el Viejo),

Grail of the Last Supper[modifier le code]

http://www.pyreneesguide.com/articles.asp?cID=56&sID=396&aID=1208

250 - The Santo Caliz is present in Rome. During the first times of Christianity the only person able to celebrate public Mass was the Pope. All the Popes at that time used this chalice as the true Chalice of Our Lord. They were celebrating Mass with this Chalice, saying the words: "Accipiens et HUNC PRAECLARUM CALICEM in sanctas ac venerabiles manus suas...". Nobody knows who moved the Holy Grail from Jerusalem to Rome, probably St Peter or perhaps St Mark did (Eusèbe de Césarée) Eus. He, III, 39, 16; Irénée de Lyon Iren. Haer. III, 1, 1, etc). It could have been moved to Rome when the Jerusalem Church preponderance was over after the first Hebrew war.


553 - The Cathedral of Huesca is built and the Holy Grail is placed inside it.


830 - The Holy Grail looks be in the monastery S. Pedro de Siresa (Valle de Hecho) because the Kings and Counts of Aragon and Navarra are making considerable contributions to "el culto a las santas reliquias" (the worship to the sacred relics). The name of Holy Grail was explicitly omitted.

1071 - In this year probably the Holy Grail arrives at San Juan de la Peña.

1190 - Christien de Troyes writes "Li Contes del Graal" (aka "Perseval"), a tale with 9324 verses where the 'Saint Graal' appears: "Quant ele fu laiens entree/Atot le graal qu'ele tint/Une si grans clartez i vint/Qu'ausi perdirent les chandoiles/Lor clarté come les estoiles/Font quant solaus lieve ou la lune/"

1209 - Wolfram von Eschembach writes "Parzival" a tale which story line is basing on Spanish traditions, mentioning towns such as Zazamanca (Salamanca ?) and Araguz (Zaragoza ?). Later this tale inspired Richard Wagner to write the opera "Parsifal".

1322 - Abulfat Mahomet, sultan of Egypt, claims have acquired from Jerusalem the cup used by Jesus Chist at the Last Supper, then Jaime II, king of Valencia and Aragon, buys the sultan this chalice and places it in Palace Alfajeria of Zaragoza. According to the J. A. Onate's hypothesis this cup is converted into the Santo Caliz foot by king Martin 'el Humano'.


1437 - Juan, king of Navarre, Alfonso's brother and right-hand, is requesting funds to support the conquest of Napoles, then he, in the name of his brother, must place in deposit the Holy Grail in the Saint Cathedral of Valencia. Years later, king Alfonso V and other kings of Aragon were trying rescue it but they weren't able to raise enough amount. Finally the Cathedral of Valencia gave Aragon kingdom 40,000 'gold ducates' for be the perpetual custody of this Holy relic.

1585 - The procession of Santo Caliz is established by S. Juan de Ribera.

1608 - Honorato Figuerola, Canon of Valencia, dies donating a part of his inheritance to establish an annual celebration to Santo Caliz. The Holy Grail day is on 14th September.

1882 - Richard Wagner writes the opera 'Parsifal' locating the Grail 'castle' at southern Pyrenees.

1916 - It's built the 'Capilla del Santo Caliz', inside the Cathedral. The Holy Grail is placed there, the exact place where is today.

1918 - The Archbishop, D. Salvador Barrera, approves the statute of the "Real Hermandad del Santo Caliz".

1940 - Hitler, that is interested in the Holy Grail lore, sends his right-hand Himmler to monastery of Monserrat (Catalunya - Spain) where they were thinking the Grail was, to take it, fortunately they didn't know it had just been placed at the Cathedral of Valencia.

1951 - Marcelino Olaechea creates the "Cofradia del Santo Cáliz" the articles of this Brotherhood are deposited in the Vatican.

1959 - Pope John XXIII sings the document awarding indulgence to pilgrims that are going to Valencia Cathedral to pray to Santo Caliz. Vatican Reg.#2164/59.

1960 - Antonio Beltran, head of departament of Archaeology of Universidad de Zaragoza, in collaboration with other European colleagues, does an exhaustive study of the Santo Caliz. The conclusion maintains that "There is no evidence against the possibility this Chalice would have been used by Jesus Christ at the Last Supper".

1979 - The last restoration of 'Capilla del Santo Caliz', the Holy Grail home.


1994 - The Holy Grail makes a new pilgrimage to Jaca and San Juan de la Pena.

1996 - Members of 'Cofradia del Santo Caliz' go on pilgrimage to Basilica S. Lorenzo in Rome to thank the sending of the Holy Grail to Spain.

Source: Juan C. Gorostizaga, from its website "The Grail of the Last Supper"

Site touristique aragonais[modifier le code]

http://www.aquiaragon.com/fr/actividades/index.asp?idAct=121&idSeccion=3&idTipo=92&idloc=41

on a créé tout un monde littéraire et spirituel sur le Saint Graal. Pour certains, il s’agit d’un récipient magique qui a des pouvoirs surnaturels ; pour d’autres, le plus grand intérêt est la recherche de l’immortalité. Pour les chrétiens, c’est la plus importante des reliques ; pour les théosophes, le calice représente le pouvoir d’atteindre la vérité et la sagesse ; pour les mystiques, la découverte des secrets de l’âme, et pour les héritiers des alchimistes médiévaux, le Graal est la pierre philosophale.

Après la Dernière Cène, les apôtres Pierre et Marc transportèrent le Saint Calice à Rome où il resta au moins deux siècles.

Le voyage qu’on propose parcourt certains points de la route que la relique suivit dans notre communauté: Monastère de Loreto, San Pedro el Viejo, San Juan de la Peña, Santa Cruz de la Serós, Jaca et San Adrián de Sásave.

Au IIIe siècle, Saint Laurent, diacre à Rome, fut nommé responsable des biens ecclésiastiques par le Pape Sixte II et décida alors de sauvegarder la Coupe dans une petite ferme (torre, en Aragon) connue actuellement comme l’ermitage de la Vierge de Loreto. Pour y arriver, on doit prendre un chemin qui part du camping San Jorge, à la ville de Huesca.

San Pedro el Viejo, un monastère construit à Huesca pour abriter cette précieuse relique, constitue la deuxième étape de notre parcours.

Situé en plein quartier historique, le monastère fut construit sur une primitive église wisigothique, mozarabe ensuite. Il fait partie du style roman européen qui s’est étendu de par le continent grâce au Chemin de Saint-Jacques. La décoration, du même type que celle existant sur tout le parcours, est composée de motifs floraux, du « ajedrezado jaqués » (damier en relief) et des chrismes qui surveillent les portiques d’entrée au temple. Le cloître, un bijou du roman aragonais et l’un des plus anciens de l’Espagne, présente des chapiteaux réalisés par le Maître de San Juan de la Peña avec des personnages remarquables pour leurs "yeux d’insecte", uniques en Europe.

On se dirigera après vers les Pyrénées, où se trouve notre suivant arrêt, le monastère de San Juan de la Peña.

Il existe un parchemin de 1339 qui raconte le pèlerinage du Graal dans plusieurs enceintes sacrées de la contrée avant d’arriver dans ce monastère, où il resterait pendant quelques siècles.

Le monastère a des éléments susceptibles de faire partie de la tradition du Graal comme le thème récurrent des moines gardiens ; des moines qui, d’après la légende, vivaient pendant plus de cent ans grâce à la contemplation du Calice.

Alfonso I « El Batallador » fut un des premiers monarques aragonais à protéger ce monastère car il était chevalier templier du Graal. Selon la tradition orale, après la bataille de Fraga, le roi, mortellement blessé, se réfugia dans le monastère et survit mystérieusement., rajeuni et guerrier.

L’emplacement du monastère sous un rocher imposant contribue aussi à augmenter son énigme. Au centre de son claustre spectaculaire, il y a une fontaine en forme de calice, ce qui serait en rapport avec le fait que le Graal contint aussi l’eau qui jaillit de la blessure du Christ

Mis à part les légendes, ça vaut la peine de visiter ce bijou du patrimoine aragonais, où l’on peut se joindre aux visites guidées.

À sept kilomètres de San Juan de la Peña, sur la route aboutissant sur la nationale de Jaca, il y a la localité de Santa Cruz de la Serós et ses typiques cheminées tronconiques. Le village a deux églises, celle de Santa María et celle de San Caprasio. Les murs de la première ont un petit habitacle où, apparemment, dormit le Graal ou, au moins, c’est ce que pensent les voisins.

L’autre église, San Caprasio, située à l’entrée du village, est un exemple magnifique du roman lombard du XIe siècle. Le Calice Sacré ne passa pas par là mais le saint qui lui donne son nom fut un moine qui élaborait des potions et des breuvages. En plus, cette église fut construite selon des paramètres astrologiques qui ont comme résultat le numéro sept, symbole médiéval du cosmos qui reliait le ciel et la terre dans ses combinaisons.

La route continue vers un autre bijou du patrimoine artistique aragonais, la cathédrale de Jaca.

La tradition dit qu’elle fut aussi construite pour abriter le Graal. En tout cas, on peut y observer des éléments artistiques de premier ordre. On passera ensuite à la dernière étape de cet itinéraire qui nous mènera jusqu’à San Adrián de Sásave.

On quittera Jaca par la route N-330 et, après avoir passé Castiello de Jaca, on prendra une route secondaire en direction de Borau pour arriver au monastère de San Adrián.

Il est situé sur la confluence de deux ravins qui, la plupart de l’année, sont inondés par les eaux. Pendant son temps de splendeur, il fut à l’origine du Comté d’Aragon et un siège épiscopal. Il s’agissait, donc, d’une grande enceinte où la Sainte Coupe serait restée pendant plus de trente ans. Aujourd’hui, il n’y a qu’un petit ermitage mais qui est plein de symbolisme médiéval et de mystère.

lance de Longinus[modifier le code]

They gave him vinegar to drink with gall, and that Longinus the soldier pierced his side with a spear Gospel of Nicodemus 7.8. Then Longinus, a certain soldier, took a spear and pierced his side, and presently there came forth blood and water.

Recorded in John 19:34, but the soldier's name is not mentioned. This fulfilled "...they shall look upon me whom they have pierced..." (Zechariah 12:10) Michel BUZE 24 décembre 2005 à 18:39 (CET)[répondre]

CHAPTER 8 http://ministries.tliquest.net/theology/apocryphas/nt/nicodem.htm

(Matthew 27:57-60)

  1. Le soir étant venu, arriva un homme riche d'Arimathée, nommé Joseph, lequel était aussi disciple de Jésus.
  2. Il se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus. Et Pilate ordonna de le remettre.
  3. Joseph prit le corps, l'enveloppa d'un linceul blanc,
  4. et le déposa dans un sépulcre neuf, qu'il s'était fait tailler dans le roc. Puis il roula une grande pierre à l'entrée du sépulcre, et il s'en alla.

(Mark 15:42-46)

  1. Le soir étant venu, comme c'était la préparation, c'est-à-dire, la veille du sabbat,
  2. arriva Joseph d'Arimathée, conseiller de distinction, qui lui-même attendait aussi le royaume de Dieu. Il osa se rendre vers Pilate, pour demander le corps de Jésus.
  3. Pilate s'étonna qu'il fût mort si tôt; fit venir le centenier et lui demanda s'il était mort depuis longtemps.
  4. S'en étant assuré par le centenier, il donna le corps à Joseph.
  5. Et Joseph, ayant acheté un linceul, descendit Jésus de la croix, l'enveloppa du linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc. Puis il roula une pierre à l'entrée du sépulcre.
  6. Marie de Magdala, et Marie, mère de Joses, regardaient où on le mettait.

(Luke 23:50-54)

  1. Il y avait un conseiller, nommé Joseph, homme bon et juste,
  2. qui n'avait point participé à la décision et aux actes des autres; il était d'Arimathée, ville des Juifs, et il attendait le royaume de Dieu.
  3. Cet homme se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus.
  4. Il le descendit de la croix, l'enveloppa d'un linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n'avait encore été mis.
  5. C'était le jour de la préparation, et le sabbat allait commencer.
  6. Les femmes qui étaient venues de la Galilée avec Jésus accompagnèrent Joseph, virent le sépulcre et la manière dont le corps de Jésus y fut déposé,
  7. et, s'en étant retournées, elles préparèrent des aromates et des parfums. Puis elles se reposèrent le jour du sabbat, selon la loi.

(John 19:38-42)

  1. Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge, et, l'ayant fixée à une branche d'hysope, ils l'approchèrent de sa bouche.
  2. Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit: Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l'esprit.
  1. Après cela, Joseph d'Arimathée, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate la permission de prendre le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Il vint donc, et prit le corps de Jésus.
  2. Nicodème, qui auparavant était allé de nuit vers Jésus, vint aussi, apportant un mélange d'environ cent livres de myrrhe et d'aloès.
  3. Ils prirent donc le corps de Jésus, et l'enveloppèrent de bandes, avec les aromates, comme c'est la coutume d'ensevelir chez les Juifs.
  4. Or, il y avait un jardin dans le lieu où Jésus avait été crucifié, et dans le jardin un sépulcre neuf, où personne encore n'avait été mis.
  5. Ce fut là qu'ils déposèrent Jésus, à cause de la préparation des Juifs, parce que le sépulcre était proche.

Isaiah 53:9)

http://grand-grimoire.com/modules.php?name=News&file=article&sid=27 http://membres.lycos.fr/univcirem/Quetgraal.htm http://www.arimathie.be/articles.php?lng=fr&pg=488 http://www.fluvium.org/textos/cultura/cul157.htm

Sur la Cène : http://www.lecoindelenigme.com/bizarreries.htm

http://google.fr/search?q=cache:FFXM-VJI8qIJ:www.rencontre-kherialogie.com/index.php Jean Philippe Camus Doctorant en Histoire Médiévale à l’UNSA


La pensée médiévale considérait que tout fait tangible du monde réel renfermait des symboles et dissimulait un secret d’ordre spirituel. La légende du Graal s’inscrit parfaitement dans cette conception. Pour Denys l’Aéropagite : « Le calice par sa rondeur et son large évasement, est le symbole de la Providence qui embrasse indistinctement toutes les créatures dans sa sollicitude, et qui n’a ni commencement ni fin. »[1] Le mot Graal qui fut employé pour la première fois par Chrestien de Troyes était un nom connu à son époque. Bien que l’étymologie de ce nom demeure incertaine, certains l’ont rapproché du mot grec cratère, on peut affirmer que généralement, les mots dérivant de Graal désignent des récipients à ouverture large. Le Graal s’inscrit dans la catégorie des objets nourriciers renfermant des vertus de fertilité et de jeunesse éternelle comme le chaudron de Ceridwen, déesse de la poésie chez les Bretons, la corne d’abondance de Bran ou encore la coupe de Djemchid, roi mythique de la Perse. Les éléments composant la légende du Graal plongent leurs racines dans les traditions indo-européeennes. Il n’est donc pas surprenant d’en voir la résurgence dans les contes médiévaux.


Présence des vases sacrés dans l’Histoire


D’après la tradition chrétienne, le Graal serait le calice qui servit à la Cène et dans lequel Joseph d’Arimathie recueillit le sang et l’eau qui s’écoulaient de la blessure occasionnée par la lance du centurion romain Longinus venue percer les flancs du Christ lors de sa Passion. Pour Robert de Boron, chroniqueur médiéval, le Graal aurait ensuite été transporté par Joseph d’Arimathie et Nicomède en Angleterre. Faut-il y voir au niveau symbolique, la preuve d’un lien certain entre la sagesse celtique et le Christianisme naissant ? Dans tous les cas, la tradition celtique ne disparut pas totalement et rapidement lors de l’évangélisation de la Gaule et de la Grande Bretagne, des foyers résistèrent pendant plusieurs siècles. Ainsi l’Irlande, le pays de Galles, le Cornwall, l’Ecosse mais aussi l’Armorique conservèrent pendant longtemps un certain nombre de traditions : fixation de la date de Pâques, tonsure, certaines coutumes liturgiques. De plus, les poètes, descendants directs des anciens bardes, qui s’étaient ralliés au Christianisme, véhiculèrent toute une tradition celtique mythologique et merveilleuse. L’un des genres littéraires les plus célèbres d’Irlande était celui des imrama, récits de voyages fantastiques peuplés de monstres et d’autres trésors secrets où les voyageurs étaient à la recherche d’une pénitence imposée ou volontaire. La littérature irlandaise est relativement bien connue mais aucun texte n’a servi de base à l’élaboration des récits sur le Graal. De l’avis même du professeur Kenneth Jackson de l’Université d’Edimbourg, l’origine exclusivement celtique des romans du Graal est loin d’être prouvée car de nombreux thèmes ( la coupe, la lance ou encore la montagne par exemple ) se retrouvent dans d’autres mythologies.


La tradition de la coupe se retrouve en effet dans toutes les mythologies et toutes les religions. En Orient, le vase pouvait symboliser la sagesse et le salut. Les Chaldéens parlaient d’un vase d’où s’échappait l’arbre de vie et la coupe de Djemschid en Perse, signifiait le salut et l’abondance. Les vases sacrés symbolisaient l’organe féminin. On retrouve cette notion dans le vase cosmogonique de Platon, la coupe d’Hermès et de Salomon, l’urne des anciens cultes à mystère. Les Parses possédaient un vase pyrogène tandis que les Egyptiens figuraient Serapis avec un vase sur la tête nommé gardal. Dans les récits mythiques, la coupe représentait la partie féminine de la génération et la lance, l’organe masculin, symbole qui ne se retrouve pas exclusivement dans les histoires celtiques. Ainsi, chez les Grecs, la lance d’Achille avait le pouvoir de guérir les blessures dont elle était à l’origine. Dans le symbolisme traditionnel, la lance figure la force cosmique et l’axe du monde, comparable à la montagne dont le sommet représente le point sacré où Dieu descend et rencontre l’homme qui monte. Ce thème de la montagne sacré est présent dans toutes les traditions et chaque peuple à la sienne : l’Himalaya, le Fouziyama, l’Olympe, le Sinaï, l’Aboy en Iran. Dans toutes les traditions, le vase représente l’univers, la lumière, la féminité. C’est la mère qui contient l’enfant, la Vierge engendrant le Christ, le corps qui contient l’âme. Le vase est l’endroit où se passe toute action. « Le Graal figurativement est le calice avec l’hostie, le vin, la chair et le sang du Christ ; mystiquement c’est l’homme quand il est devenu le vaisseau où se déverse l’Esprit Saint ; hermétiquement, c’est la substance parfaite, la pierre philosophale qui dispense la quintessence de la vie. »[2]


L’histoire du Graal fit son apparition à la fin du XIIème siècle, à une époque de croisade donc de contacts, certes souvent violents, entre l’Occident et l’Orient. Trois romans chrétiens sont à l’origine de la légende : « Perceval Li Gallois » ou « conte del Graal » écrit vers 1180 par Chrestien de Troyes, « l’Estoire dou Graal » de Robert de Boron, rédigé quelques années après et « Parzival » de Wolgram von Eschenbach, composé entre les années 1200 et 1205.


Chrestien de Troyes


L’auteur du premier roman sur le Graal est né à Troyes dans les années 1140 et vécut à la Cour des comtes de Champagne. Clerc cultivé, il fit une carrière d’écrivain entre 1160 et environ 1185 où ses écrits s’inspiraient de la foi chrétienne et des idées de la féodalité. On y parlait de chevalerie, d’amour et de courtoisie. «  Le problème reste à l’intérieur du monde de la chevalerie ; c’est celui de l’intégration dans la vie chevaleresque d’aventure et d’amour, des devoirs individuels envers Dieu, maître suprême du chevalier. »[3] D’après Chrestien, le sujet de Perceval lui aurait été suggéré par un livre appartenant à Philippe de Flandre, comte d’Alsace dont le père Thierry d’Alsace, s’était croisé sous l’influence de saint Bernard. On suppose que c’est dans une ville de Flandre que Chrestien a composé son œuvre. L’histoire de Perceval est mystérieuse. Il vit avec sa mère dans la forêt et connaît le langage des animaux et des oiseaux donc des esprits. Un jour, apercevant les chevaliers du roi Arthur, il décide de les suivre, abandonnant sa mère qui meurt en le voyant s’éloigner. Perceval va alors commencer une longue suite d’exploits. Il délivre la princesse Blanchefleur qui s’unira à lui. Il combat le chevalier Vermeil tenant à la main une coupe d’or rouge et donc les armes, le destrier et les cheveux sont de la même couleur. Enfin, il fait la connaissance du Roi Pêcheur, impuissant, dont le pays reste stérile en raison de sa maladie qui lui donnera une épée au pommeau d’or en lui déclarant : « Cette épée vous était réservée et destinée. » Lors d’un repas, Perceval assiste à une étrange procession où un valet porte une lance dont la pointe laisse couler des gouttes de sang suivi de serviteurs portant des torches et d’une dame tenant un plat d’argent. Une jeune femme rayonnante et présentant le Graal, ferme le cortège. Perceval ne posera aucune question, non encore assez initié pour comprendre le sens du Graal. Pourquoi la lance saigne-t-elle ? Que fait-on du Graal et à qui le mène-t-on ? Le lendemain, Perceval rencontre une parente en larmes, un chevalier mort sur ses genoux. La jeune fille lui reproche son échec. Il aperçoit alors trois gouttes de sang sur la neige provenant d’une oie blessée par un faucon qui lui font penser à la lance et à sa femme, Blanchefleur.


Pour conquérir le Graal, il convient en premier lieu d’en connaître le sens christique en identifiant le sang s’écoulant de la lance avec le sang versé par le Christ pour le rachat du genre humain, donnant la force de dominer les passions égoïstes. Pendant cinq ans, Perceval va douter et être en contact avec le mal. Un Vendredi Saint, il arrivera à la cabane d’un ermite qui l’absoudra de ses fautes et lui expliquera ses erreurs tout en lui donnant de précieux conseils et des révélations sur « bien des noms de Notre seigneur et parmi eux les plus grands que nommer ne doit bouche d’homme, si ce n’est en péril de mort » . Nous pouvons noter que cette notion d’invocation des noms divins ne peut être que d’origine judaïque. La seconde exigence pour conquérir le Graal est de transformer l’amour féminin en amour divin. C’est exactement la voie spirituelle que prendront certains troubadours de cette époque abandonnant les charmes du siècle pour la rigueur de la règle monastique. La dernière condition pour mériter le Graal est de vivre l’expérience de la mort. Perceval l’a fait à quatre reprises, avec sa mère, le chevalier Vermeil, avec sa parente et des chevaliers qu’il croise dans une forêt où il chasse un Vendredi Saint.


Je ne connaissais pas ou tres peu l'histoire du calice,les questions que je me pose et que je vous pose sont les suivantes:Le calice est une coupe dans laquelle aurait bu le Christ lors de son dernier repas,qui donc aurait amene un objet aussi luxueux au repas et pourquoi ? Que faisait il en sa possession ? puisqu'il aurait ete offert a Salomon par la reine de Saba.Pourquoi ne parle-t-on pas plus souvent de cet objet puisque son authenticite est etablie. Loupiat 11 février 2006 à 18:26 (CET)[répondre]

Wikipédia:Comité de lecture[modifier le code]

Saint Graal vous parlera sans doute plus, cet article concerne la relique de la coupe de la Cène...
Déjà, je ne suis pas sûr que ce soit le meilleur titre qui est la traduction de l'espagnol "Santo Caliz" qui est le nom donné à la relique conservée à Valence...
Malheureusement il parait difficile de trouver la bibliographie dans une bibliothèque française, j'ai donc écrit cet article d'après les sites web que j'ai trouvé.
Néanmoins cet article est devenu une "référence" sur le sujet en français et il est souvent cité par des sites qui parlent du Graal, il est donc important qu'il soit "nickel".
A noter que la partie "lien avec le Graal" reste à compléter (voir : Graal#Légendes autour de Joseph d'Arimathée).
De plus il faut qu'on (/je) le traduise en espagnol (il existe aussi en anglais, mais c'est tout !), alors avant de le faire je veux m'appuyer sur une base solide... Merci ! Michel BUZE 8 avril 2007 à 17:17 (CEST)[répondre]

Demande prise en charge Requête prise en charge par Pseudomoi
--Pseudomoi (m'écrire) 26 juin 2007 à 17:43 (CEST)[répondre]

Commentaires du relecteur

  • Première lecture : il semble y avoir des problèmes de mise en page
comme l'article me semble plutôt rédigé je modifie la mise en page et je fait la relecture plus tard. --Pseudomoi (m'écrire) 26 juin 2007 à 17:47 (CEST)[répondre]
  • Seconde lecture
  • Remarques préliminaires :
Introduction : il faudrait présenter succinctement les différentes entre Saint Graal et Saint Calice.
Plan de l'article : il faudrait présenter les différentes reliques revendiquant le titre de Saint calice avant de passer à la relique espagnole. il faudrait aussi étudier l'impact de cette relique avant de la localiser (légendes populaire et intérêt religieux avant reliques)
  • Section Le calice pour l'église :
y ajouter des éléments sur son importance pour l'église (déclarations officielles), commentaire sur l'eucharistie.
si possible : faire une carte avec les différentes reliques ayant le titre de Saint calice et leur état (disparu, cassé,...).
  • Section suivante :
présenter les différentes reliques possibles avec lieu, date et situation actuelle.
  • Section le calice de Valence :
préciser en quoi ce calice est plus important que les autres.
faire des plus long paragraphe avec phrase de transition. On peut utiliser le modèle {{paragraphe}} pour faire des différences sans faire un sous-titre.
utiliser les balises <ref> </ref> pour rendre l'article plus lisible (voir : Aide:note).
bonne continuation sur l'article
--Pseudomoi (m'écrire) 27 juin 2007 à 16:41 (CEST)[répondre]