Discussion:Régicide

question moi aussi

Vous écrivez : "Le terme de régicide a été surtout employé au moment de la Restauration pour désigner les conventionnels qui avaient voté la mort de Louis XVI et qui ont fait ultérieurement l'objet d'une loi d'indignité et de bannissement." Pouvez vous précisez exactement quelle loi (et ses références) s'est appliquée aux conventionnels. je ne le trouve pas. Il est dit plus loin : "Toutefois, le 24 juin 1795, le futur Louis XVIII, alors comte de Provence, à l'annonce de la mort de Louis XVII au Temple, envoya de Vérone un manifeste dans lequel il prévoyait en cas de retour au pouvoir le rétablissement des anciennes institutions politiques et religieuses ainsi que la « punition des régicides »" Bien qu'il y ait ici explicitement des références, n'est-ce pas en contradiction avec la phrase plus haut? La punition des régicides a t-elle ou non une existence réelle ou fut-elle juste un fantasme? --Laurent Marlin (discuter) 14 août 2013 à 14:23 (CEST) Laurent Marlin

petite question

Le régicide désigne soit l’assassinat d'un roi, soit la peine de mort prononcée contre lui par une assemblée législative érigée en tribunal d'exception.

Pourquoi on a Lazare Carnot dans la liste ? Il était roi ? Otourly (d) 28 août 2010 à 11:04 (CEST)

Euh mal lu... Otourly (d) 28 août 2010 à 11:06 (CEST)

euh vous savez d'ou vient le mot régicide du latin ou du grec??????--Angelas (d) 21 septembre 2011 à 09:33 (CEST)

Il est tendancieux de qualifier de "régicide" l'exécution de Louis XVI

Lorsque Louis XVI a été exécuté, la République avait été proclamée depuis déjà quatre mois. Juridiquement parlant, il n'était plus "roi". La qualification de "régicide" est une interprétation édictée à la restauration par les royalistes, dans leur refus de reconnaître l'abolition de la monarchie.

Cette position tendancieuse est de la même veine que la numérotation des rois après la restauration. Ainsi, le frère de Louis XVI a régné sous le nom de "Louis XVIII", alors qu'il n'y a jamais eu en droit de "Louis XVII". Nonobstant la réalité politique et juridique de la France, ils considéraient que les bourbons avaient régné sans discontinuer de 1792 à 1814. De même, il y a un "Napoléon III" sans qu'aucun "Napoléon II" ait jamais régné. Dans la querelle entre "légitimistes", orléanistes et bonapartistes, la numérotation des prétendants devient un vrai casse-tête, chaque camp ignorant délibérément le champion de l'autre... mais tous s'accordant à ne pas reconnaître la succession des régimes républicains qui se sont succédé depuis 1875.

régicide, restauration, Carnot

Sous la seconde restauration la loi du 12 janvier 1816 punit de bannissement les anciens conventionnels qui avaient voté la mort du roi en 1793 puis ont soutenu Napoléon Ier en 1815 pendant les Cent-Jours. Lazare Carnot en faisait partie. Il fut exilé à l'instar de la plupart des anciens députés régicides encore en vie, dont quelques uns figurent sur la liste sélective des 20 : David, Barère, Fouché, Merlin de Douai, Cambon, Sieyes 77.207.84.71. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 77.207.84.71 (discuter), le 17 février 2018 à 10:58 (CET)

Développement de l'article

Bonjour,

Pour l'instant l'article ressemble beaucoup à une liste précédée de quelques définitions. Pour le développer, ne pourrait-on pas :

- le renommer en tyranicide vu que l'article n'existe pas, - introduire une première section (voire plusieurs) sur la question du tyranicide (légitimation, refus) à travers les âges (je commence àlire des choses sur la période moderne).

Certes tout régicide n'est pas nécessairement un tyranicide, mais cette remarque pourrait faire l'objet d'une section ou sous-section.

Cordialement, SRLVR (discuter) 14 mars 2019 à 20:09 (CET)

Pas de remarque ? SRLVR (discuter) 24 mars 2019 à 14:45 (CET)

Sanction

« Dans la France de l'Ancien Régime, un régicide ou même une tentative de régicide est puni par l'écartèlement. C'est ainsi qu'au XVIII^e siècle, Robert-François Damiens, qui avait simplement tenté d'assassiner Louis XV, fut reconnu coupable de parricide sur la personne du Roi, et fut à ce titre condamné au supplice du régicide : il fut écartelé sur la place de Grève comme l'avait été Ravaillac, en vertu d'une sentence qui reprenait presque mot à mot les termes de la sentence portée contre Ravaillac.

Cette peine accessoire, destinée à renforcer l'horreur du crime par celle du châtiment, est abolie avec le régime de Louis-Philippe. »

Bonjour Cardmazarin , le paragraphe ainsi rédigé n'a aucun sens : "cette peine accessoire...", mais comment peut-on savoir de quelle peine accessoire il est question puisque vous avez supprimé le passage qui en parlait pour introduire un cas particulier. Les cas particuliers ont toute leur place au dessus, mais pas dans "Sanction". J'annule donc vos modifications, libre à vous de créer une section Louis XV au dessus pour parler du régicide Damien. Cdlt, --PMMESJ (discuter) 24 février 2021 à 08:34 (CET)