Discussion:Positivisme

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Consultations de la page (vingt dernières années)[modifier le code]

pourquoi avoir laissé une place pour définir le positivisme logique dans cette page alors qu'il existe une page dédiée?

Article anglais contradit l'article francais[modifier le code]

L'article francais affirme que le positivisme est considere comme depasse alors que l'article anglais affirme le contraire: "The majority of articles published in leading American sociology and political science journals today are positivist (at least to the extent of being quantitative rather than qualitative)"— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 23.22.218.152 (discuter)

Dans l'esprit de ce qui est marqué, c'est le positivisme "originel", celui de Comte, qui est (en effet) quelque peu dépassé. Et d'ailleurs, en enchaînant sur « il n'en reste pas moins qu'un certain esprit positiviste subsiste à travers certaines formes de pensées », l'article français ne dit rien d'autre que l'article anglais. D'ailleurs ce n'est pas une référence, car cette phrase dans l'article anglais est sourcée uniquement par des sources primaires, et cette déduction (the majority of articles etc..) est un peu catégorique ; la réalité est plus complexe que cela. Je vais modifier. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 16 septembre 2013 à 17:44 (CEST)[répondre]

variante naïve[modifier le code]

Quelque chose cloche dans cette partie : d'après ce qui est écrit, je comprends que si les scientifiques n'avaient pas cherché de cause absolue à des problèmes précis, ils n'auraient pas trouvé de réponse. Or justement, tous les exemples cités sont ceux de scientifiques qui se sont posés des questions logiques et y ont apporté des réponses logiques, de l'ordre du comment et non du pourquoi. L'abandon du pourquoi n'aurait donc pas eu pour conséquence d'empêcher Einstein de formuler la relativité, bien au contraire. Einstein ???? http://www.aligningwithlife.com/wp-content/uploads/2012/02/EinsteinIntuitionSacredGift1.jpg et aussi This is Albert Einstein's position on "Einstein and Positivism":

“I am not a Positivist. Positivism states that what cannot be observed does not exist. This conception is scientifically indefensible, for it is impossible to make valid affirmations of what people ‘can’ or ‘cannot’ observe. One would have to say ‘only what we observe exists,’ which is obviously false.”

--Albert Einstein, The Quotable Einstein, ed. Alice Calaprice

approche étrange[modifier le code]

Je trouve que le paragraphe sonne plus comme un cours de philo (quelles critiques peut-on présenter pour cette interprétation du positivisme? Discutez) que comme un article encyclopédique. Sans doute du fait de l'absence de dates et de description objctive du courant (Comte n'était pas tout seul). En même temps, JDCJDR. Un jour, si j'ai le temps...

Distinction[modifier le code]

Il est très important de distinguer les deux phases du positivisme : positivime scientifique et religieux. Au demeurant, cette distinction était déjà faite dans l'article sur Auguste Comte que j'ai profondément remanié en fonction des études que j'ai faites sur ce courant. D'autre part, cet article devrait donner les nombreux développements et conséquences du positivisme sans les détailler, comme les personnélités qui ont été influencées par le positivisme, sans oublier le positivisme juridique sur lequel repose tout le droit français (Etat de droit). Pautard 15 janvier 2006 à 11:30 (CET)[répondre]

Putille-quoi?[modifier le code]

Je me suis permis de lever le "Putilla" ajouté par l'IP 213.97.37.237 en janvier, s'il y a une signification qui m'aurait échappée, n'hésitez pas à corriger :o Paglop 11 février 2006 à 10:57 (CET)[répondre]

Autres influences[modifier le code]

Une phrase me semble énigmatique : "Le positivisme a exercé une influence considérable dans la deuxième moitié"... de ? :) Paglop 11 février 2006 à 11:06 (CET)[répondre]

Néopositivisme contemporain[modifier le code]

J'ai remis "référence nécessaire" (pourquoi t'es-tu autoreverté, GB ?). J'ai du mal à comprendre l'association positivisme-scientisme, alors que par exemple en physique quantique, l'interprétation de Copenhague qui est d'obédience positiviste, exprime clairement que l'on ne doit pas et que l'on ne peut connaître complètement la réalité (ce qui est l'inverse du scientisme).--Jean-Christophe BENOIST 18 septembre 2006 à 22:21 (CEST)[répondre]

En effet, je me suis autoreverté car j'ai vu dans un bouquin de philosophie (La philosophie de A à Z, éditions Hatier) un paragraphe qui confirme l'amalgame positivisme et scientisme. Cependant, tu as raison, il semble que les sources divergent sur ce point. Il va donc falloir éclaircir cette donnée. Comme toi, je suis d'accord, il existe une contradiction entre le positivisme considéré dogmatique et ce que celui-ci raconte. Décréter que le positivisme est un dogme scientiste, c'est dire un dogme ; c'est contradictoire... -- Giordano Bruno Contact - 18 septembre 2006 à 22:40 (CEST)[répondre]

Bonjour, j'ai démarré un paragraphe "courants épistémologiques" dans l'article Épistémologie en laissant vide la partie "positivo-réalisme". Certains (Giordano Bruno, Jean-Christophe BENOIST ?) seraient-ils intéressés à y insérer quelques lignes en modifiant éventuellement le titre s'il est bien montré que le positivisme n'est pas assimilable au réalisme ? Cdlt. Chrisd 19 septembre 2006 à 11:56 (CEST)[répondre]

Ce serait certes intéressant de faire la démarcation entre les courants philosophiques. Nous allons y réfléchir. Je peux cependant apporter quelques indices ce soir. Voici ce que je propose. Par définition, le positivisme est une attitude de confiance à la science expérimentale et ses méthodes s'oppose à la métaphysique tandis que le réalisme est une doctrine affirmant qu'une réalité existe au-delà de notre pensée, indépendamment de notre esprit. Bref, le positivisme c'est avoir confiance en des méthodes empiriques et le réalisme-objet se détache de l'observateur-sujet. En tel cas, il y a une corrélation entre positivisme et réalisme. Le positivo-réalisme est-il tautologique ? J'ai ensuite vérifié ce mot "positivo-réalisme" dans un moteur de recherche (Cliquer ici) et je n'ai trouvé aucune source. Il y a un problème de vérifiabilité dans le paragraphe de l'article Épistémologie. -- Giordano Bruno Contact - 19 septembre 2006 à 22:44 (CEST)[répondre]
Le "positivo-réalisme" ne me dit rien non plus. Mais je trouve en ce qui me concerne que c'est une anti-tautologie : les physiciens positivistes sont généralement anti-réalistes, dans le sens où le concept réalité n'est pas un fait expérimental. En conséquence, les positivistes n'accordent aucun sens au concept de réalité. Comme le dit Stephen Hawking, qui est un positiviste pur sucre, "Je ne demande pas qu'une théorie corresponde à la réalité, car je ne sais pas ce qu'est la réalité. Ce n'est pas quelque-chose que l'on peut tester avec du papier pH. Tout ce qui m'importe est que la théorie prévoit correctement le résultat d'une expérience". Voir l'article que j'ai écrit : Problème de la mesure quantique#Approche positiviste : la mécanique quantique n'est pas censée décrire la réalité --Jean-Christophe BENOIST 20 septembre 2006 à 00:02 (CEST)[répondre]


La réalité selon les physiciens est toujours un paradigme, car les sciences expérimentales s'approchent de la réalité sans jamais l'atteindre. La phrase de Hawking résume bien la situation. La mécanique quantique ne décrit pas la réalité, mais l'information que nous avons de cette réalité. Concernant le "positivo-réalisme", il me semble que ce mot a été forgé par l'auteur du paragraphe dans l'article Épistémologie, car ce mot n'est pas cité dans d'autres sources. Toutefois, le débat entre positivisme et réalisme est fort intéressant et mérite d'être traité. -- Giordano Bruno Contact - 20 septembre 2006 à 15:54 (CEST)[répondre]
Il est vrai que la réalité est toujours un paradigme pour un physicien, mais il y a tout de même des physiciens pour qui la notion de réalité a un sens (les réalistes) et ceux pour qui la notion de réalité n'a pas de sens (qui sont du côté des positivistes). C'est donc brouiller un peu les pistes de tous les mettres dans le même panier : "la réalité n'est qu'un paradigme". La différence entre ces deux types de physiciens est fondamentale. L'opposition réalisme vs positivisme persiste.. Même si je vois au moins un physicien qui est à la fois réaliste et positiviste : Bernard d'Espagnat; il pense que la réalité a un sens et existe, mais qu'elle est fondamentalement inconnaissable. Mais à ma connaissance, c'est une exception. --Jean-Christophe BENOIST 20 septembre 2006 à 20:50 (CEST)[répondre]
Ceux pour qui la notion de réalité n'a pas de sens ne sont pas tous du côté des positivistes, loin s'en faut ! Car les auteurs se réclamant du constructivisme ne sont ni positivistes, ni réalistes, plus ils s'y opposent. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'avais distingué constructivisme vs positivo-réalisme dans la page Épistémologie, mais encore une fois cela peut être revu. A noter également l'article Objectivisme, bien que je ne sois pas sur que ce courant ait beaucoup de sympathisants. Ceci dit l'idée est la même que le réalisme à savoir : poser qu'il existe une réalité en dehors du sujet. Chrisd 21 septembre 2006 à 08:13 (CEST)[répondre]
Oui en effet tu as raison, les constructivistes sont à part, mais je me demande si ce courant est bien représenté parmis les physiciens.. As tu un nom ou deux ? En tout cas, en maths, ils sont une très faible minorité. De plus, je suis d'accord que le constructivisme n'est pas le positivisme, mais il y a des affinités profondes entre ces deux courants, qui s'entendent bien; et notamment - justement - le rejet de la métaphysique et du réalisme. Bref, au total : que veut dire "positivo-réalisme" ? --Jean-Christophe BENOIST 21 septembre 2006 à 19:15 (CEST)[répondre]

Jean-Louis Le Moigne expose clairement dans « Le constructivisme » (ma principale source) en quoi le courant constructiviste est différent du paradigme classique qu’il appelle NRP pour Naturalisme, Réalisme et Positivisme. Car malgré la multiplicité des courants NRP, aucun ne remet en cause les « bases de la connaissance (que sont) les trois axiomes d’Aristote fondant la logique déductive et les quatre préceptes de Descartes fondant le raisonnement analytique » (1996, rapport de l’Académie des Sciences et du CADAS de l’Institut de France, consacré à « l’appareil d’information sur la science et la technique »). Parmi les physiciens on pourra citer Gaston Bachelard évidemment, qui en appelle dès 1934 à une « épistémologie non cartesienne », et ‎Mioara Mugur-Schächter, qui est issue de la physique quantique. Mais « qui a besoin de l’épistémologie ? » (titre d'un o). Justement pas les physiciens, assurés qu’ils sont de la validité des connaissances qu’ils produisent par l’épistémologie classique pour laquelle la physique est la science « dure » par excellence. Depuis les années 50, hormis la physique quantique qui est déjà un sacré challenge pour l’épistémologie classique, la recherche en épistémologie se trouve du côté des « nouvelles sciences », que Herbert Simon appellera les « sciences de l’artificiel » et qui regroupe : cybernétique (N. Wiener), informatique, sciences de l’organisation et de la décision, sciences de la cognition, systémique etc. En effet, ces disciplines n’ont pas de place dans le paradigme classique, avec la méthode expérimentale et la réfutabilité, du fait du caractère abstrait de leur objet d’étude (information, décision, communication, computation etc). Ainsi, Mario Bunge souligne (1977) « le défi de la science des systèmes à l’épistémologie classique », car cette discipline « ne conduit pas à des prédictions précises et (ses) énoncés ne sont ni confirmables ni réfutables », avant d’ajouter que « la systémique ne fait que donner « le coup de grâce » aux épistémologies et méthodologies classiques ». Ainsi, plusieurs auteurs ont développé une alternative leur permettant d’asseoir leur discipline : c’est le constructivisme. Au passage le constructivisme réhabilite les sciences « appliquées » qui sont mal considérées par les tenants des sciences dures, comme par exemple l’ingénierie qui est appelée dans l’académie, au lieu de « sciences d’ingénierie », « science pour l’ingénieur » après avoir été la « science physique pour l’ingénieur ». A noter que le projet d’établissement 2002 du CNRS (Centre National pour la Recherche Scientifique) français fait une ouverture nette aux idées du constructivisme, il s’intitule « Construire une politique scientifique » et on peut y lire : « S’attacher à la complexité… c’est reconnaître que la modélisation se construit comme un point de vue pris sur le réel à partir duquel un travail de mise en ordre, partiel et continuellement remaniable, peut être mis en œuvre. L’exploration de la complexité se présente comme le projet de maintenir ouverte en permanence dans le travail d’explications scientifiques lui-même, la reconnaissance de la dimension de l’imprédictibilité ». Chrisd 24 septembre 2006 à 10:53 (CEST)[répondre]

Merci Chrisd pour ta réponse développée et très intéressante. Elle ne me semble répondre qu'indirectement à la question posée (qu'est-ce que le positivo-réalisme). Ce que je déduis des propos ci-dessus est que le "positivo-réalisme" est en fait le "naturalo-positivo-réalisme" qui se caractérise par un attachement à la logique aristotélicienne et cartésienne, et aux paradigmes séculaires concernant la nature de la connaissance et de la science. Dans ces conditions, le "naturalo-positivo-réalisme" semble défini plutôt par négation que de manière positive, par opposition au constructivisme, finalement. Cette définition "en négatif" laisse nécessairement un champ très vaste au "naturalo-positivo-réalisme", et je ne m'étonne pas de trouver dans cet espace deux courants aussi différents et opposés que le Positivisme et le Réalisme.
J'ajouterais à cela que le courant Réaliste, que je connais bien entre autres pour y appartenir, n'est pas si attaché que cela aux valeurs cartésiennes et aux paradigmes classique de la science (et c'est bien ce qu'on lui reproche, d'ailleurs). En tout cas ce n'est pas son "credo" et ce n'est pas par rapport à cela que ce courant se définit. Autrement dit, le Réalisme ni ne critique ni n'adule la logique artitotélicienne/cartésienne etc. C'est "orthogonal" à ce courant, comme dirais l'autre. Il est vrai que le Réalisme a été jusqu'ici représenté par des physiciens tout à fait "classiques", et il est vrai que le Réalisme "ne cherche pas" (spécialement) à remettre en cause l'épistémologie classique, d'où peut être l'illusion d'optique. Mais rien, fondamentalement, de met le Réalisme spécialement dans le camp du classicisme et rien n'exclue (et bien au contraire) que le Réalisme un jour remette en cause ces paradigmes classiques (cf. d'Espagnat par exemple qui est un Réaliste, et un peu en dehors le l'épistémologie classique, sans parler de mes propres opinions, de peu de valeur, mais je t'assure que tout en étant authentiquement Réaliste, j'aspire activement à de nouvelles epistémologies).
Je suis donc un peu surpris par la simplification excessive que JLLM semble faire par rapport au Réalisme. Mais je pense que je vais lire le bouquin pour essayer d'y voir un peu plus clair dans cette affaire. La cause du "positivo-réalisme" n'est toujours pas très claire à mes yeux. Cordialement. --Jean-Christophe BENOIST 24 septembre 2006 à 21:57 (CEST)[répondre]
Ok, l'article Épistémologie constructiviste expose rapidement les hypothèses, alternatives à l'épistémologie classique, qui sont proposées. Il faut voir ensuite sur quelles hypothèses se basent réalisme et positivisme, même de façon implicite, ce qui est souvent le cas. Je sépare tout de même réalisme et positivisme dans Épistémologie. NB: le Que sais-je de JLLM a l'avantage d'être court... Cdlt. Chrisd 25 septembre 2006 à 13:46 (CEST)[répondre]

Bonjour, Je viens de reverter de l'article une observation pertinente, mais déplacée dans le corps de l'article, formulée par une IP sur la phrase suivante : « Raymond Aron, après une étude approfondie des œuvres complètes d'Auguste Comte, a constaté que cette philosophie est dépassée ; sa philosophie de l'histoire s'écarte du positivisme< ref >Raymond Aron, Introduction à la philosophie de l'histoire< /ref >. » Fin de citation. L'IP souligne le double sens de la phrase, et demande si « sa philosophie de l'histoire » vise celle d'Aron ou celle de Comte. Quelqu'un a des lumières ? Merci d'avance. Cordialement, et Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 31 août 2015 à 13:31 (CEST)[répondre]

Pourquoi avoir redirigé « Philosophie positive » vers « Positivisme » ?[modifier le code]

Les deux courants de pensée sont au antipodes. La philosophie positive adopte la voie opposé au positivisme. Elle part de l'Absolu elle chemine à travers les êtres, les essences existantes et au terme de la descente elle reconnaîtra l'Absolu qui est à l'origine de sa déduction comme le Dieu créateur--Gerard-emile (discuter) 4 octobre 2015 à 08:21 (CEST)[répondre]

Bonjour aussi,
Sur WP, il n'y a rien de figé. Si tu as des sources pour valider cette position, il suffit de supprimer la redirection, et de créer l'article «Philosophie positive». Et au préalable, ça peut être une bonne idée d'en parler au bistro des philosophes. Il y passe sans doute plus de personnes compétentes qu'ici.
Cordialement, et Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 5 octobre 2015 à 15:39 (CEST)[répondre]
Euh, as-tu bien vu que ça remonte à août 2007 ? Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 5 octobre 2015 à 16:12 (CEST)[répondre]

Foi en la science ?[modifier le code]

Avis d'un lecteur de passage : en introduction, cette phrase "Le positivisme est associé à une foi parfois presque religieuse dans le progrès scientifique et la formalisation mathématique du réel." m'a laissé très perplexe, ayant du mal à réconcilier "foi" et "science". Ces termes ne sont-ils pas maladroitement choisis, ou pire non neutres ? "Parfois presque religieux" ça veut dire quoi ? Jugement de valeur ? Je ne trouve pas ça très clair en introduction. En revanche, plus loin dans l'article, le paragraphe décrivant le positivisme religieux de Comte m'a semblé limpide. --Tsort142 (discuter) 30 mars 2016 à 16:48 (CEST)[répondre]

Cela fait référence à une notion fréquemment employée dans les sources (par exemple ici ou , ou encorelà), et qui a été théorisée par nombre d'épistémologues et particulièrement par Antoine-Augustin Cournot. C'est une notion vraiment très commune, qui peut paraitre en effet être un oxymore, mais le positivisme s'intègre bel et bien dans ce cadre assez classique. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 30 mars 2016 à 17:43 (CEST)[répondre]
Il serait en effet plus juste de parler ici de confiance en la Science (en ses vertus, son élan, ce qu'elle offre d'espoir, de merveilleux, etc.) quand vers 1850, un penseur comme Ruskin prend peur face aux désastres engendrés par l'industrialisation, et ce n'est que plus tard, que se développe une forme de culte (des cultes d'ailleurs), des réactions, des tensions (ce que l'on fait au nom de la science, etc.). Cet article n'est de toutes façons pas du tout au point et mériterait une refonte concertée : sous le mot positivisme, il existe plusieurs acceptions qui semblent contradictoires, ce terme ayant évolué en deux siècles. Il s'agirait ici de se limiter au contexte comtien (apparition, développement : comment ça se met en place, enjeux, contexte, etc.), ce qui serait déjà pas si mal. C'est du côté du Bistro Philo qu'il faut aller ? J'ai pas ma carte. Bon courage, --Spiessens (discuter) 11 avril 2016 à 14:02 (CEST)[répondre]

Le lapsus est tout à fait emblématique du fait : la "science" telle qu'on l'imagine est une foi ; au même titre que ce que Cavanna disait du communisme ("Le communisme est une religion sans dieu.") Le commun du peuple croit ce que disent les scientifiques - ou en tout cas ce qu'en divulguent les médias - exemple Einstein, dont les découvertes n'ont jamais été comprises du grand public (car pas comprises des journalistes) donc résumées à des aphorismes et petites phrases. On n'a pas de photo d'un atome ; ni d'un trou noir. La plupart des notions scientifiques sont soit non définies (le Temps) soit résultent d'un calcul ou d'une interprétation (la quantité de matière désintégrée durant une période). Le fait qu'Auguste Comte ait voulu créer une religion positiviste où il serait le Grand-Prêtre montre bien que - si on veut supprimer la religion en la prenant pour une superstition - on est obliger de recréer ce qui y était nécessaire dedans (l'attachement de l'humanité à sa raison de vivre ?). Magnon86 (discuter) 22 février 2018 à 09:21 (CET)magnon86[répondre]

Calendrier positiviste[modifier le code]

Il aurait pu être au moins mentionné, quels que soient ses défauts et qualités. Magnon86 (discuter) 22 février 2018 à 09:14 (CET)magnon86[répondre]

C'est fait j'ai mis un § en "===" Les plus tatillons pourront informatiser les deux liens sources utilisés. Magnon86 (discuter) 2 décembre 2018 à 07:15 (CET)magnon86[répondre]
Notification Magnon86 : Merci. Cela mériterait aussi un article détaillé. Mais je mettrais plutôt ce paragraphe dans Eglise positiviste que dans cet article, d'autant plus que Calendrier positiviste redirige vers cet article. C'est trop détaillé pour "Positivisme" en général. Qu'en pensez-vous ? --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 2 décembre 2018 à 11:49 (CET)[répondre]

définition de l'esprit positiviste[modifier le code]

Écrivant à propos de la diversité d'opinions des artistes, Baudelaire oppose en 1859 le courant « réaliste » et les « imaginatifs » : le « réaliste, mot à double entente et dont le sens n'est pas bien déterminé, et que nous appellerons, pour mieux caractériser son erreur, un positiviste, dit « Je veux représenter les choses telles qu'elles sont, ou bien qu'elles seraient, en supposant que je n'existe pas. » » (Salon de 1859, sur Gallica). Le reste ne concerne que la profession artistique, mais cette définition me semble résumer l'esprit de l'époque. PolBr (discuter) 5 juin 2018 à 12:16 (CEST)[répondre]

Comme l'article présente le positivisme dans le sens d'Auguste Comte, il faudrait montrer que c'est bien dans le sens d'Auguste Comte que Baudelaire employait ce mot. Ou alors, peut-être ouvrir une rubrique style "autres emplois du terme positivisme" ?... mais je ne sais pas si usage de Baudelaire du terme a été pérénisé ? --Touam (discuter) 12 juin 2018 à 12:12 (CEST)[répondre]