Discussion:Plateau des Glières

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Actualité[modifier le code]

Afin d'éviter de transformer un faux débat et de transformer Wikipedia en journal d'informations, je mets ici les informations sur le "désir" du Président de choisir ce lieu comme lieu de pélerinage. L'institutionalisation de ce déplacement sera alors l'occasion de replacer l'information. Alpinement vôtre, Noa 16 mai 2007 à 23:03 (CEST)[répondre]

Rassemblement citoyen à l'appel de Résistants

4 mai 2007 : Nicolas Sarkozy, candidat à l'élection présidentielle 2007, s'est recueilli devant le mémorial du plateau des Glières et a émis l'intention de s'y rendre chaque année de son mandat s'il était élu Président de la République Française. Suite à l'appel de résistants survivants, un millier de personnes se sont réunies le 13 mai 2007 pour protester contre l'utilisation médiatique du site par le candidat Sarkozy (voir appel des Résistants des Glières du 5 mai 2007, en PDF).

Mais c'est justement cette médiatisation qui suscita la polémique y compris par les personnes concernées. Les détracteurs se sont exprimés pour dénoncer le fait qu’un acte de résistance ne pouvait être récupéré pour des raisons de communication. posté par Version du 22 août 2008 à 11:41 82.228.28.150 (Discuter)

  • Il faut souligner qu'on ne peut pas honnêtement qualifier de "récupération politique" uniquement la décision de Nicolas Sarkozy de se rendre chaque année en pèlerinage aux Glières ; en effet, ses détracteurs principaux appartiennent à la gauche, voire à l'extrême gauche, et leur action s'inscrit dans le cadre, non d'une simple réaction citoyenne, mais d'une opposition politique radicale au gouvernement de la République. Entre autres, les anciens résistants cités dans l'article, Raymond Aubrac et Walter Bassan sont communistes. Au sein du maquis des Glières (maquis formé par l'Armée secrète non communiste), les communistes étaient certes présents, mais très minoritaires, et avaient accepté de se soumettre au commandement des officiers de carrière Morel et Anjot, donc du général de Gaulle, pour recevoir des armes des Anglais...
  • A ce propos, l'extrême gauche a beau jeu de se poser en défenseur ulcéré du symbole des Glières : juste après la guerre, entre autres accusations violentes, l'ouvrage d'obédience communiste R.1.3 : Francs-tireurs et partisans de la Haute-Savoie (1946) dénonçait comme un crime le regroupement sur le plateau et condamnait avec violence « le mot d’ordre venu de Londres, servant mieux les intérêts de l’impérialisme anglo-saxon que ceux de la Libération » et auquel des patriotes ont été « inutilement sacrifiés » (Crémieux-Brilhac).