Discussion:Phylogenèse

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La Phylogenèse s'applique t'elle au seul champs de l'être humain ? Le petit Larousse illustré (1988) précise : Phylogenèse : Recherche de la formation et du développement des espèces animales et végétales

Je verrais bien un redirect vers Phylogénie pour cet article. Kipmaster 27 mars 2006 à 14:55 (CEST)[répondre]

Cela semble s'imposer. 72.74.86.234 11 juillet 2006 à 05:57 (CEST)[répondre]
je vote pour ! 120 17 août 2006 à 17:40 (CEST)[répondre]

Trouvé sur une page créée sous le terme phylogenie (sans accent)[modifier le code]

Depuis Darwin, il est communément admis que les êtres vivants descendent tous les uns des autres. Jusqu'aux années 1960, les comparaisons entre des morphologies, des comportements et des répartions géographiques des espèces étaient les seuls moyens disponibles pour contruire des classifications d'espèces. La découverte que des protéines homologues (ou acides nucléiques) avaient des séquences en acides aminés (ou en bases) qui variaient d'une espèce à l'autre a fourni un nouveau moyen d'étude : la phylogénie. Papillus 22 décembre 2005 à 17:47 (CET)[répondre]

C'est pas très bien exprimé et ambigü je trouve... Par exemple « les êtres vivants descendent tous les uns des autres » ne veut pas dire grand chose (dire qu'ils descendent tous d'un même ancêtre commun a plus de sens). Pas sûr qu'on puisse tirer des infos intéressantes de là. - Dakdada (discuter) 22 décembre 2005 à 21:08 (CET)[répondre]
Dans ce premier message il y a à mon avis confusion entre phylogénie est phénétique moléculaire. La phylogénie peut être réalisée soit à partir de l'étude de molécules homologues soit à partir de l'étude des caractères morphologiques dont on démontre l'état dérivé ou ancestral. A ma connaissance, la première représentation d'une phylogénie revient à Darwin , cf "De l'origine des Espèces" où figure le dessin d'un arbre avec des branches représentant les lignées et des noeuds représentant les ancêtres communs ... La phylogénie existait donc bien avant la découverte des molécules homologues ....
Il y a eu des phylogénies même avant Darwin, je ne les ai pas en têtes mais tout ça est présenté dans le livre "l'arbre à remonter le temps" de Pascal Tassy. Le moléculaire n'est pas non plus nécessairement phénétique. On parle de phylogénie au sens objectif à partir de l'introduction de la cladistique par Willi Hennig dans les années 60. A peu près au même moment la phénétique aussi est introduite. C'est là que la phylogénie devient une science explicite. Évidement ce n'est pas une question d'utilisation des séquences moléculaires mais une question de méthode. Nicobola (d) 24 décembre 2010.

Il existera bientôt un jeu sur l'évolution[modifier le code]

Le jeu Spore très attendu par les fans d'évolution, a sûrement été inspiré des classifications phénétiques et phylogénétiques. Il y a derrière ce jeu, 3 ans de travail je crois (si ce n'est plus), et même s'il est vulgarisé, il pourra peut-être aider à comprendre comment la nature choisit ses évolutions. Avec beaucoup de chance, il y aura une version pour les éminents biologistes qui regroupera biologie cellulaire et moléculaire, évolution, et peut-être même géologie si l'environnement entre en ligne de compte...

Une définition circulaire de la cladistique ?[modifier le code]

L’article relatif à la philogénie est passionnant et très instructif.

Il me semble cependant y avoir une définition circulaire de la cladistique :

Il est dit d’abord : « Lorsqu’une ressemblance entre deux taxons peut être attribuée à une ascendance commune, on parle d'homologie », ce qui signifie que l’homologie est déduite d’une ascendance commune.

Puis au paragraphe suivant : « Si un même caractère homologue est partagé par deux taxons c'est que les deux taxons l'ont hérité de leur ancêtre commun », ce qui signifie que l’ascendance commune est déduite de l’homologie…

Il semble que pour sortir de cette circularité, il faille une définition indépendante de l’homologie ou de l’héritage.

G. Collet, Grenoble

Je me manifeste probablement très tard. En fait cette circularité, pertinemment soulevée, est levée par l'introduction des concepts d'homologie primaire et d'homologie secondaire introduits par De Pinna en 1991 (voir l'article Cladistique). Les caractères similaires qu'on observe analyse sont supposés provenir d'un ancêtre commun, ce sont des hypothèses a priori ce sont les homologies primaires. Les caractères interprétés après analyse et semblant effectivement êtres hérités d'un ancêtre commun sont des homologies secondaires qui ont "réussi" le test de la congruence (l'analyse quoi). Certaines homologies primaires sont retenues: ce sont des homologies secondaires ou synapomorphies. D'autres sont rejetées: ce sont des homoplasies. Les deux concepts d'homologie primaire et secondaire ont donc des statuts différents et on évite ainsi la circularité.
La circularité est aussi évitée dans une vision très particulière de la cladistique qui est la cladistique structurale: en cladistique structurale on ne fait pas la supposition de la théorie de l'évolution lorsqu'on cherche un arbre. Les caractères ne sont pas considérés comme des caractères hérités d'un ancêtre commun mais comme des structures homologues au sens d'Owen: "le même organe sous tout sa variété de forme et de fonction" (la citation n'est peut-être pas tout à fait exacte, je la restitue de tête). Cette similarité (ce même) est déterminé par les connexions, la structure, la ressemblance, l'embryologie etc. mais sans présupposer l'évolution. Ensuite on recherche en arbre par la supposition qu'il y a une structuration dans les caractères et leur répartition et on y cherche la congruence. On obtient enfin un arbre qui à ce moment la trouve comme seule explication l'évolution. L'évolution n'intervient alors qu'une fois qu'on a l'arbre. En cladistique structurale d'ailleurs, la notion d'ancêtre (et donc d'héritage) est complètement abandonnée à tel point qu'il n'y a plus de caractères primitifs et de caractères dérivés mais des caractères inclus et incluant. La méthode propre à la cladistique structurale est présentée dans l'article 3ia. Nicobola (d) 24 décembre 2010.

phylogénie[modifier le code]

Je pense qu'il serait important de préciser que Darwin a fait une erreur dans sa théorie(qui est extrèment repandue) comme quoi l'homme descendrait du chimpanzé. Cette théorie est fausse car l'homme est le chimpanzé ont un ancetre commun mais en aucun cas l'un descend de l'autre. Il serait aussi intéréssant de retracer l'evolution de l'homme depuis le début de la vie sur terre.

Phrase manquant d'objectivité[modifier le code]

Cette phrase utilisée en fin d'article manque totalement de neutralité : "Les rapports phylogénétiques entre espèces connues constituent ainsi le seul critère objectif possible de classification." Je ne vois pas en quoi ils formeraient le seul critère objectif de classification, même en considérant les paragraphes précédents, très intéressants, mais qui n'ont pas de lien avec cette affirmation. C'est le mot "ainsi" qui est gênant ici (car pas de cause à effet dans la démonstration).

ok vous pouvez l'enlever. --Milegue (discuter) 30 avril 2015 à 15:08 (CEST)[répondre]