Discussion:Parachute doré

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Confirmation du rattachement aux droits du monde[modifier le code]

Le rattachement de cet article au portail des droits du monde a été confirmé.

SuperBaobab (d) 2 avril 2008 à 13:52 (CEST)[répondre]

Trop de critique négative, pas assez de positive ?[modifier le code]

Je me demande si l'article n'est pas trop à charge et trop peu à décharge. Moi aussi je suis très choqué par ces parachutes dorés, mais je me suis quand-même demandé s'il n'y avait pas derrière ces parachutes quand-même une justification, et c'est même pour cela que je suis venu lire l'article, pour prendre du recul à mon premier mon jugement trop facile. Certes, on lit que "ces indemnités de départ sont censées compenser un manque à gagner potentiel du dirigeant qui s'engage à respecter une clause de non-concurrence et à le remercier des services rendus pendant sa présence dans la société. "

"le remercier des services rendus pendant sa présence dans la société", je n'y crois pas trop, les entreprises n'agissent (malheureusement) humainement que rarement, la sympathie leur est généralement étrangère (agir par sympathie serait peut-être même illégale, non ? Abus de biens sociaux ??). Ou alors c'est une sorte d'accord tacite entre hauts dirigeants qui s'accordent mutuellement, étant donné quìls sont tous aux Conseils d'administration les uns des autres de grasses indemnités de manière tout à fait honteuse ... Du copinage, quoi, avec demande de renvoi d'ascenseur ... Si c'est cela la raison des parachutes dorés, alors il faut le développer plus dans l'article.

Mais moi je me demande s'il n'y aurait pas de véritables justifications économiques, quand-même, autre que la clause de non-concurrence ...

Par exemple s'assurer que le pdg transmet bien toutes les infos et tous les dossiers à son successeur, bref que la succession se passe le mieux possible. Dans ce cas est-ce que le montant du parachute est évalué en fonction de la bonne coopération du partant avec son successeur ? Comment est évalué le montant exactement ?

Bref, je crois que l'article est incomplet, trop facile, trop superficiel, et je me demande s'il n'y aurait pas des choses intéressantes à y ajouter (mais pas par moi, je n'y connais malheureusement rien ! )...

Quelques parachutes en or[modifier le code]

J'ai retiré ce tableau pour 2 raisons :

  1. Aucune source n'est indiqué.
  2. Pourquoi ceux là plutôt que d'autres.--pixeltoo⇪員 2 octobre 2008 à 19:25 (CEST)[répondre]
Année Personne Pays Société Montant global
1989 F. Ross Johnson Drapeau des États-Unis États-Unis RJ Reynolds Tobacco Company 58 millions US dollars
2002 Jean-Marie Messier Drapeau de la France France Vivendi Universal 20,5 millions euros
2003 Philippe Jaffré Drapeau de la France France Elf 30 millions euros
2003 Pierre Bilger Drapeau de la France France Alstom 4,1 millions euros
2005 Carly Fiorina Drapeau des États-Unis États-Unis Hewlett-Packard 42 millions US dollars
2005 Daniel Bernard Drapeau de la France France Carrefour 38 millions euros
2006 Noël Forgeard Drapeau de la France France EADS 8,5 millions euros
2007 Serge Tchuruk Drapeau de la France France Alcatel 5,7 millions euros
2007 Antoine Zacharias Drapeau de la France France Vinci 13 millions euros
2008 Patricia Russo Drapeau de la France France Alcatel 6 millions euros
C'est quoi l'intérêt encyclopédiques de lister ces parachutes dorés ? . --pixeltoo⇪員 6 octobre 2008 à 12:29 (CEST)[répondre]

Proposée le 14 octobre (bandeau sur les articles) sans entrée ici. Jerome66 17 octobre 2008 à 12:10 (CEST)

✔️ j'ai travaillé sous Parachute doré, reste donc les historiques, pour ce qui est du nom je propose de prendre; Prime de départ, mais cela n'est que mon avis. Cordialement. FrankyLeRoutier [appelez-moi sur mon CB] 17 octobre 2008 à 18:47 (CEST)[répondre]
J'ai effectué la fusion d'historiques sous le premier car beaucoup plus lié et avec des interwikis. Il est clair qu'un article indépendant "Prime de départ" ou "indemnité de départ" peut être recréé. Celui fusionné parlait à 98% des parachutes dorés. Encore une petite chose, il me semble qu'il existe une différence entre une prime, qui sert à remercier quelqu'un pour de bons services et une indemnité, qui compense un préjudice (licenciement, par exemple). Jerome66 4 novembre 2008 à 10:44 (CET)

viré de l'intro article[modifier le code]

J'en ai gardé une trace car les sources peuvent être intéressantes. Xavier Combelle (d) 1 avril 2009 à 00:13 (CEST)[répondre]

Paragraphe à déplacer dans le corps de l'article?[modifier le code]

Ces indemnités de départ sont censées compenser un manque à gagner potentiel du dirigeant qui s'engage à respecter une clause de non-concurrence et à le remercier des services rendus pendant sa présence dans la société. En moyenne, elles s'élèvent à trois années de salaire pour les PDG et entre une et deux années pour la direction générale. Selon une étude publiée en décembre 2006 par Proxinvest, 38 hauts dirigeants ont touché à eux seuls 107 millions d'euros de primes de départ depuis le début de l'année 2005.

=Suite à déplacer dans un article hyper spécialisé[modifier le code]

Le parachute en or peut éventuellement être additionné à une « retraite-chapeau », complément de la retraite légale dont le versement est étalé pendant toute la durée de la retraite du bénéficiaire.

En Europe, la France était, en 2007, le pays dans lequel les patrons disposent des indemnités les plus élevées. Selon une étude publiée par le quotidien La Tribune, les patrons français reçoivent « le double du total de leur salaire de base et de leur bonus annuel » sous la forme d'indemnités de départ, alors que seuls la moitié des dirigeants américains bénéficient d'un tel niveau de paquet de départ[1].

En droit français, un mandataire social d'une société anonyme peut être remercié, s'il n'est pas bénéficiare d'un contrat de travail, sans qu'il soit besoin de motiver ni d'indemniser son renvoi (révocation ad nutum). Pourtant nombreux sont les chefs d'entreprise qui quittent leur entreprise en plein échec, mais les poches pleines.Les cas de certains d'entre eux, spectaculaires et médiatisés, "s'inscrivent parfaitement dans un contexte sociétal rendu malade par la multiplication des impostures, des situations ouvertement grotesques où l'échec paraît ne revêtir aucun importance et semble même récompensé"... Des situations qui relèvent davantage "des connivences de circuits mafieux ou courtisans que de la reconnaissance du travail ou de la logique des activités économiques". [2]

Le plus souvent, les patrons français sont à la fois mandataires sociaux et salariés, disposant d'un contrat de travail « suspendu » durant le mandat, mais très fréquemment réactivé en fin de parcours pour justifier une indemnisation. Ce double état de mandataire-salarié est contre nature, car on ne saurait être dans un « lien de subordination » (caractéristique du statut de salarié) vis-à-vis d'une entreprise que l'on dirige soi-même. Mais il est surtout à la racine des indemnisations les plus choquantes : au moment du départ, on multipliera la rémunération très élevée du mandataire par la protection très forte que le code du travail assure au salarié.

  1. La Tribune, 12 juin 2007, étude menée auprès de 350 entreprises.
  2. Les risques du manager, Azad Kibarian et Jean-Pierre Thiollet, Vuibert, Paris, 2008, p. 111

Origine ?[modifier le code]

Sait-on qui a inventé ce terme ? D'ailleurs, est-il un simple surnom (journalistique ?) ou un véritable terme plus ou moins officiel ? --TwøWiñgš Boit d'bout 1 juin 2012 à 17:31 (CEST)[répondre]