Discussion:Nouveau Parti anticapitaliste

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Proposition de modification du plan de l'article[modifier le code]

Bonjours aux contributeurs·trices,

Je propose de modifier le plan de cet article pour arriver à réduire la partie Historique. Je vous propose le plan suivant :

1. Fondement idéologique

  • Renversement révolutionnaire du capitalisme
  • Démocratie autogestionnaire et libertés individuelles
  • Prise de position / controverses
    • Soutien au LKP pendant la grève générale des Antilles
    • Islam : une question qui divise (à renommer en islamophobie ?)
    • adhésion de J-M Rouillan
    • Relation avec le PS
    • Outre-mer
    • Conflit israélo-palestinien

2. Participation aux élections

  • Scrutins électoraux
    • Élections européennes de 2009
    • Élections régionales de 2010
    • Scrutins électoraux de 2012
    • Scrutins électoraux de 2014
    • Scrutins électoraux de 2015
    • Scrutins électoraux de 2017
    • Scrutins électoraux de 2019 (in: Crise de 2021)
    • Elections municipales de 2020 (in: Crise de 2021)
    • Scrutins électoraux de 2022
  • Résultats électoraux
    • Élections présidentielles
    • Élections législatives
    • Élections européennes

3. Elus et personnalités

  • Porte-paroles
  • Autres membres
  • Anciennes personnalités

4. Identité visuelle

5. Structure et fonctionnement

  • Instances nationales
    • Courants ayant disparu (à renommer en anciens courants?)
    • Crise interne et scission de 2021
    • Crise interne et scission de 2022
  • Courants internes du NPA-C

6. Historique.

  • Processus de fondation
    • De mai à septembre 2007 : annonce et réunions publiques
    • Janvier 2008 : congrès national de la LCR
    • Juin 2008 : réunion nationale des comités
    • Novembre 2008 : deuxième rencontre nationale des comités
    • Février 2009 : congrès de fondation
  • Congrès du NPA
    • Résultats du 1er congrès
    • Résultats du 2e congrès
    • Résultats du 3e congrès
    • Résultats du 4e congrès

(à partir de Résultats des congrès du NPA


Qu'en pensez-vous ? --GiRaf31415 (discuter) 29 octobre 2023 à 16:45 (CET)[répondre]

Fortement contre sur l'emplacement de la partie historique, cette partie vient toujours en premier sur les pages des partis politiques. Apollinaire93 (discuter) 3 novembre 2023 à 15:43 (CET)[répondre]
Ce n'est pas vrai pour le PS, mais vrai pour le PCF ou la FI. Ok pour mettre une partie "Histoire" plutôt que historique et au début.
Pour le reste des modifs, elles ne sont que des reformulations de ce qui existait déjà sur la page. Dites-moi quelle serait la méthode consensuelle pour arriver à une modification du plan de l'article. Giraf31415 (discuter) 4 novembre 2023 à 11:21 (CET)[répondre]
Bonjour,
Je vous propose ci-dessous mes modifications pour arriver à un consensus entre-nous.
Cordialement. Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:34 (CET)[répondre]
Les modifications que je propose sont inégralement ci-dessous (partie par partie). Pour se donner une idée de la page complète, voir ma page de brouillon : Utilisateur:Giraf31415/Brouillon Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:42 (CET)[répondre]

Modification de la partie historique[modifier le code]

Voici une proposition de modification de la partie historique :


Ajout de la partie sur JM Roillan dans la partie

Juin 2008 : réunion nationale des comités

[reprendre tout ce qui est déjà écrit et ajouter :]

À cette occasion, les responsables de la Ligue communiste révolutionnaire ont confirmé avoir eu des contacts avec Jean-Marc Rouillan (ancien militant du groupe de lutte armée Action directe)[1]. Nathalie Ménigon, ancienne membre d'Action directe, aurait également « fait part de son intérêt pour le Nouveau Parti anticapitaliste »[2].

Ces contacts ont été dénoncés par Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, qui a jugé qu'Olivier Besancenot était « en train d'utiliser la même stratégie que Jean-Marie Le Pen à l'extrême droite il y a vingt ans, c'est-à-dire un système dans lequel, en réalité, on vient chercher très à gauche et ne reculant jamais devant aucune provocation ».

L'un des fondateurs de la LCR, Alain Krivine, rétorque que si Jean-Marc Rouillan « accepte le programme [du nouveau parti], il viendra, on ne demande pas aux gens leur passé ». Olivier Besancenot ajoute que la LCR appartient « à un courant politique qui désapprouvait et décriait les méthodes d’Action directe à l’époque » dénonçant par ailleurs leur traitement carcéral[3][source insuffisante].

Cependant Clémentine Autain, ancienne maire-adjointe de Bertrand Delanoë et un temps intéressée par un ralliement au NPA, déclare : « Autant je me battrai contre la réincarcération de Jean-Marc Rouillan, autant il est hors de question que je sois dans le même parti que quelqu'un qui ne semble pas contester la lutte armée comme méthode politique ! (...) Je me demande parfois si, aux yeux de certains au NPA, il n'est pas plus grave d'avoir participé à un exécutif avec le PS que d'avoir tué des gens... »[4].

À la suite de la réincarcération de Jean-Marc Rouillan le , pour une interview donnée à L'Express[5],[6], Alain Krivine dénonce une campagne de diabolisation du NPA en voulant l'assimiler aux actions passées d'Action directe et Olivier Besancenot réclame sa libération[7].


Ajout d'une sous-partie

Congrès du NPA[modifier le code]

Depuis sa création, le NPA a tenu cinq congrès[8]. Lors des congrès, l'ensemble des militants·es sont invités·es à se prononcer sur des textes nationaux et des plateformes, dont les résultats permettent de répartir les sièges du conseil politique national (CPN, le "parlement" du NPA).

1er congrès du NPA (2011)[modifier le code]

Le premier congrès du NPA s'est tenu du 10 au 13 février 2011, regroupant environ 6000 votants. Ce congrès est caractérisé comme « compliqué et difficile » et n'arrive pas à voter un appel au rassemblement des anticapitalistes pour 2012[9]. Quatre plateformes se présentent pour le congrès:

  • Plateforme 1 (42 %)
  • Plateforme 2 (28 %)
  • Plateforme 3 (26,4 %)
  • Plateforme 4 (3,7 %)

2e congrès du NPA (2013)[modifier le code]

Le deuxième congrès du NPA s'est tenu du 1er au 3 février 2013. Quatre plateformes se présentent pour le congrès:

  • Plateforme W (8,22 %)
  • Plateforme X (50,64 %)
  • Plateforme Y (32,03 %)
  • Plateforme Z (9,09 %)

3e congrès du NPA (2015)[modifier le code]

Le troisième congrès du NPA s'est tenu du 30 janvier au 1er février 2015. le NPA compte 2 100 adhérents[10]. Six plateformes se présentent pour le congrès:

  • Plateforme 1 (35,6 %)
  • Plateforme 2 (26,7 %)
  • Plateforme 3 (22,0 %)
  • Plateforme 4 (6,8 %)
  • Plateforme 5 (6.8 %)
  • Plateforme 6 (2,1 %)

4e congrès du NPA (2018)[modifier le code]

Le quatrième congrès du NPA s'est tenu du 2 au 4 février 2018. Sept plateformes se présentent pour le congrès, nommées de T à Z.

La direction majoritaire sortante du NPA, obtient une majorité relative. Elle est dès lors la cible d'importantes critiques internes, qui l'accusent de trop vouloir se rapprocher du parti La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon et de s'éloigner de la « pureté révolutionnaire » au profit d'un simple réformisme[11].

Le quatrième congrès du NPA adopte de nouveaux statuts, qui comportent notamment la suspension automatique d'un de ses membre s'iel est accusé de violences sexistes, sans que cela ne constituent aucunement une indication de culpabilité, tant qu’il n’y a pas d’examen du dossier en interne.

5e congrès du NPA (2022)[modifier le code]

Le cinquième congrès du NPA s'est tenu du 9 au 11 décembre 2022. Environ 2 000 adhérents du NPA participent aux assemblée générales locales en amont du cinquième congrès[12]. Lors de celui-ci, le parti se divise. Une majorité relative, représentée par le texte de la « plateforme B », annonce au cours du congrès la rupture avec l’autre moitié du parti, représentée par la « plateforme C » déposée par les fractions « Anticapitalisme et révolution » (A&R) et « L'Étincelle » et soutenue par « Socialisme ou barbarie » et « Démocratie révolutionnaire ». Parmi les points de rupture principaux figurent le fonctionnement trop indépendant des fractions et la formation d'un « front unique » notamment avec La France insoumise.

La plateforme B a réuni 48,5 % des suffrages exprimés et la plateforme C 45,3 %. La plateforme A, déposée par l'« Alternative révolutionnaire communiste » (ARC), qui appelait à éviter la scission, n'obtient que 6,2 %[13],[14]. Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:21 (CET)[répondre]

Modification de la partie Fondements idéologiques[modifier le code]

Je propose de modifier la partie fondement idéologiques de la façon suivante :

1) laisser les sous-parties "Renversement révolutionnaire du capitalisme" et "Démocratie autogestionnaire et libertés individuelles"

2) Intégrer les autres sous-parties à une nouvelle partie "Prise de position / controverse"

Prise de position / controverses[modifier le code]

Soutien au LKP pendant la grève générale des Antilles[modifier le code]

Dès le début de la grève générale aux Antilles en 2008-2009[15], le NPA a affirmé son soutien au LKP, le présentant comme « un exemple à suivre et à méditer », et préconisant l'émergence de collectifs autonomes locaux « partout en France »[16]. Dans un entretien accordé au JDD, Olivier Besancenot qualifie Élie Domota, porte-parole du LKP, de « grande figure », qui « a fait un sans-faute ». « Au-delà de l'histoire coloniale, tout le monde a un point commun avec eux, c'est la spoliation, la profitation comme ils disent [...] Il faudrait faire des collectifs contre la profitation partout en France »[16]. Olivier Besancenot se rend en Guadeloupe au plus fort de la grève, sur invitation du LKP, et à nouveau lors de manifestations du [17].

Relations avec le PS[modifier le code]

Selon le magazine Marianne, le Nouveau Parti anticapitaliste serait l'« allié objectif » du sarkozisme puisqu'il s'oppose au parti socialiste sur son programme pas assez à gauche selon le NPA et ses alliances fréquentes avec des partis centristes, au point de refuser toute alliance de gestion avec le PS, empêchant donc l'union de la gauche ce qui, selon le magazine, affaiblit électoralement le PS et la gauche. Selon le journal Le Monde, le président Nicolas Sarkozy aurait ainsi expliqué à François Hollande dans l'avion de retour de Beyrouth, le  : « La droite a mis vingt ans à régler le problème de l'extrême droite, aujourd'hui, c'est à votre tour ! »[18].

Le NPA et Olivier Besancenot considèrent que la situation de la gauche en France est due au « social-libéralisme » du PS, et à son abdication face à la politique de Sarkozy dans les luttes. Olivier Besancenot remarquant à cette occasion que « ceux qui à gauche aident le plus la droite c'est, a priori, ceux qui ne s'y opposent pas » alors que le PS a constitué un groupe de travail pour « étudier » son ascension[19].

Lors des élections législatives de 2022, Mais l'adhésion du PS à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale est une ligne rouge pour le NPA, qui se retire du cadre de discussion sur le programme et la répartition des circonscriptions.

Lutte contre l'islamophobie[modifier le code]

Majoritairement, le NPA, comme d'autres partis d'extrême gauche, voit dans les immigrés musulmans une composante du prolétariat qu'il convient de défendre[20]. Un certain nombre de militants appelle à faire de la lutte contre l'islamophobie « une véritable priorité »[20]. Selon Christophe Bourseiller, spécialiste de l'extrême-gauche et professeur à Sciences Po, ces militants, partant du constat que les masses d'origine maghrébine sont tentées par l'islamisme, ont la tentation « de se rapprocher des religieux les plus « sociaux », comme les Frères musulmans »[20]. Une polémique intervient pendant la campagne pour les élections régionales de 2010 à propos de la présence en position inéligible sur sa liste de Vaucluse, d'Ilham Moussaïd, une femme de 21 ans portant un voile[21],[22],[23]. En réponse, le NPA « dénonce le flot haineux et hypocrite provenant de l'extrême droite, de l'UMP, ou du PS voire du PG et du PCF » et « confirme que le débat sur « religion et émancipations », prévu avant cette campagne politico-médiatique, aura lieu lors du prochain congrès du parti[24].

Indépendance de la Guyanne et de la Nouvelle-Calédonie[modifier le code]

Lors des élections présidentielles françaises de 2017 et 2022, Phillipe Poutou, candidat désigné par le parti, se distingue des autres candidats au sujet des territoires ultramarins français, en déclarant explicitement souhaiter accorder l'indépendance aux populations qui le désirent, comme celles de Guyane ou de Nouvelle-Calédonie[25].

Conflit israélo-palestinien[modifier le code]

Le , le parti contourne l'interdiction de manifester, en participant à l'organisation d'une manifestation de soutien à Gaza qui provoque des accrochages[26]. Pour Laurent Bouvet, l'un des fondateurs du Printemps républicain, commentant la lutte du NPA concernant l'autodétermination du peuple palestinien, « certains (sic) considérations antisémites naissent du croisement entre antisionisme et anticapitalisme » sur le socle d'un combat où les Palestiniens sont présentés comme le symbole du peuple opprimé[27].

En octobre 2023, alors que la grande majorité des partis politiques condamnent l’attaque du Hamas contre Israël qui fait plusieurs centaines de morts et des milliers de blessés, le NPA s’inscrit à rebours de la classe politique en publiant un communiqué pro-palestinien[28]. Il déclare notamment apporter « son soutien aux Palestiniens et aux moyens de lutte qu’ils ont choisis pour résister » et appelle à une nouvelle intifada[29]. Par la suite, Olivier Besancenot précise néanmoins que « pas plus qu’hier nous ne faisons l’apologie des tueries de civils ou des kidnappings du Hamas que nous avons toujours condamnés »[30]. À la suite de cette prise de position pro-palestinienne, le sénateur Stéphane Le Rudulier (LR) réclame la dissolution du NPA[31]. Une enquête pour provocation aux actes terroristes et apologie est ouverte[32]. Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:24 (CET)[répondre]

Création d'une partie "Participation aux élections"[modifier le code]

Je propose de créer une partie "Participation aux élections" qui reprend et restructure l'essentiel de ce qui est déjà sur la page et ajoute et détaille les scrutins électoraux de 2020 et 2021.

Cela donnerait :

Scrutins électoraux[modifier le code]

Élections européennes de 2009[modifier le code]

Le NPA refuse une alliance avec le Front de gauche et présente une liste autonome, un choix qui sera critiqué par certains militants du parti et de nombreux responsables de la gauche radicale. Olivier Besancenot veut un front clairement anticapitaliste et totalement indépendant du Parti socialiste. Le journaliste Christophe Bourseiller y voit une vraie pierre d’achoppement entre les deux partis, estimant que le NPA, comme Lutte ouvrière, « veut la révolution alors que la gauche de la gauche, le Front de gauche, cherche à revenir aux fondamentaux de la gauche traditionnelle »[33],[34].

Parmi les six têtes de listes proposées par le NPA se trouvent quatre anciens cadres de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Le journal Le Monde rapporte que le Collectif L'Appel et la pioche proteste contre des têtes de listes désignées « sans discussion » et un manque de démocratie[35]. Cette divulgation dans la presse de propos qui avaient vocation à rester internes est immédiatement dénoncée par Leïla Chaibi, animatrice de L'Appel et la pioche estimant que ce genre d'échange est « entièrement normal » dans un parti en construction et que l'absence de débat serait au contraire une marque de « stalinisme »[36].

La campagne, menée par Olivier Besancenot, a pour slogan « Partout en Europe, pas question de payer leur crise ! » et prône d'harmoniser par le haut « les droits sociaux, les conditions de travail, les retraites et la législation sociale pour l'ensemble des travailleurs et travailleuses des pays européens »[37],[38]. Olivier Besancenot fait une série de meetings en France mais aussi à l'étranger : il désire renforcer les liens avec ceux qui en Europe défendent le même projet que lui, et se rend notamment en Espagne et au Portugal[39],[40].

Les listes du NPA obtiennent finalement 840 713 voix, soit 4,88 % des suffrages exprimés (4,98 % en métropole[41]), et aucun élu. Interprétant ce score comme un « bon départ »[42], Olivier Besancenot prévient le soir de l'élection qu'il faudra maintenant « faire avec la gauche anticapitaliste dans ce pays »[43]. Selon le journal Le Monde, des militants sont déçus du résultat et quatre membres du conseil politique national choisissent de démissionner, alors que des membres de l'ancienne minorité de la LCR critiquent le fonctionnement du NPA, et dénoncent une baisse des effectifs[44]. Le politologue Pascal Perrineau considère qu'avec ces résultats, « l’ambition du NPA d’Olivier Besancenot de rebattre profondément les cartes entre la gauche de gouvernement et la gauche protestataire rencontre un cinglant échec[45] ».

Élections régionales de 2010[modifier le code]

Fin 2009, les membres du NPA sont consultés sur la stratégie électorale à adopter et se montrent très divisés. Finalement, le NPA ne passe aucun accord national avec le Front de gauche. Il refuse tout accord de gestion des régions avec les socialistes. Il se présente seul dans la majorité des régions. Mais il s'associe toutefois au Front de gauche dans trois régions et au Parti de gauche dans trois autres[46],[47],[48],[49].

Selon L'Express, la campagne du NPA est perturbée par une « tempête médiatique » provoquée par la présence d'une jeune femme voilée sur la liste du parti dans le Vaucluse. Le NPA étant un parti « très laïque et féministe », cette candidature provoque des « remous en interne », « ainsi que la désapprobation de la quasi-totalité des partis politiques »[46],[50],[51],[52].

Les résultats à ces élections ne sont, d'après le NPA lui-même, « pas bons » : la moyenne sur l’ensemble des 21 régions où le parti était présent « s’établit à 3,4 % », et « si on ne tient pas compte des trois régions où le NPA a fait alliance avec le Front de gauche, les résultats s’établissent à 2,85 % contre 4,98 % de moyenne nationale lors des européennes de 2009. C’est donc un très net affaiblissement »[53]. D'après Slate, l'existence du Front de gauche met le NPA en difficulté car il attire des électeurs traditionnels du NPA comme les inactifs et les moins de 25 ans[46]. Selon Causeur, ne pas s'associer au Front de gauche était une grosse erreur stratégique[54].

L'universitaire Michel Bussi note que la liste commune avec le Front de gauche dans le Limousin a fait un score de 13 %, et estime que ce résultat valide une stratégie d'union qui permettrait au rassemblement de devenir « une force avec laquelle il faut compter »[55].

Scrutins électoraux de 2012[modifier le code]

Olivier Besancenot ne souhaitant pas être candidat à l'élection présidentielle française de 2012[56], la conférence nationale des 25 et désigne Philippe Poutou, ouvrier dans l'automobile, pour représenter le parti à la présidentielle[57].

Comme la LCR en 2007, le NPA éprouve des difficultés à réunir les 500 parrainages d'élus locaux pour valider la candidature de Philippe Poutou[58]. Le NPA dépose finalement 572 parrainages au conseil constitutionnel le , validant ainsi la candidature de Philippe Poutou[59]. Au premier tour de l'élection présidentielle, Philippe Poutou obtient 1,15 % des suffrages.

Lors des élections législatives qui suivent, le NPA présente 339 candidats et soutient des candidats issus des Alternatifs, du Mouvement des objecteurs de croissance ou du Front de gauche. Aucun candidat du NPA n'est élu.

Scrutins électoraux de 2014[modifier le code]

Le NPA se présente aux élections municipales de 2014 et revendique à l'issue de celles-ci une dizaine de conseillers municipaux, dans huit communes différentes.

Le parti s'est présenté aux élections européennes de 2014. Mais il n'a pas réussi à dépasser la barre des 1 % des voix exprimées en métropole et ne s'est pas présenté en Outre-Mer. Selon Marianne, le parti est en crise, avec notamment une « hémorragie militante », qui s'explique selon certains membres du parti par un isolement idéologique, un refus de se rapprocher des autres partis de la gauche radicale[60]. D'après Le HuffPost, ce refus d'alliance a provoqué « une série de scissions et de dissidences »[61].

Scrutins électoraux de 2015[modifier le code]

Le parti participe aux élections départementales de 2015 dans cinq départements, à Lisieux (14), Bégard (22), Carhaix (29), à Saint-Gaultier (36), et dans le Jura. Les résultats ne permettent pas au NPA d'avoir des élus.

Le NPA ne se présente pas aux élections régionales de 2015[62],[63] par manque de moyens financiers[64],[65] et appelle à voter pour Lutte ouvrière[66].

Scrutins électoraux de 2017[modifier le code]

Le NPA réuni en conférence nationale les 19 et , les 150 délégués qui désignent Philippe Poutou comme candidat à l'élection présidentielle de 2017[67],[68]. Le NPA recueille 573 parrainages sur les 500 nécessaires, ce qui lui permet de se présenter à l'élection présidentielle[69]. Philippe Poutou recueille 1,09 % des voix, soit 394 505 électeurs, au 1er tour de l'élection présidentielle. Les dépenses de campagne du NPA pour l'élection présidentielle sont de 782 448 [70].

Lors des élections législatives, le NPA fait une proposition d'alliance avec Lutte ouvrière, que ce dernier refuse[71]. Il présente finalement 50 candidats sur les 577 circonscriptions en lice[72]. Aucun candidat n'est élu.

Scrutins électoraux de 2019[modifier le code]

Après l’échec de négociations avec Lutte ouvrière, le parti ne se présente pas aux élections européennes de 2019 faute de moyens financiers[73].

Élections municipales de 2020[modifier le code]

Le NPA présente des listes aux élections municipales de 2020. Au scrutin à Bordeaux, une liste d'alliance avec La France insoumise conduite par Philippe Poutou se qualifie au second tour et remporte trois sièges au conseil municipal[74]. Au scrutin à Toulouse, le NPA présente une liste pour une rupture anticapitaliste, mais ne remporte aucun siège.[75]

Élections régionales de 2021[modifier le code]

Le NPA se présente divisé aux élections régionales de 2021. Les militants du NPA « en luttes » se présentent en Nouvelle-Aquitaine au côté de La France insoumise. En Occitanie, les militants du NPA se présentent aux côtés de la France insoumise sur la liste Occitanie populaire. Ces listes ne sont pas soutenue par l'instance nationale du parti et certains courants (Anticapitalisme & Révolution, L'Étincelle et Démocratie révolutionnaire) appellent à voter pour la liste présentée par Lutte ouvrière[76][source insuffisante].

Scrutins électoraux de 2022[modifier le code]

Philippe Poutou lors d'une réunion publique au Foyer Municipal d'Audincourt, le .

Le NPA est représenté par Philippe Poutou à l'élection présidentielle française de 2022. Après des difficultés, il obtient les 500 parrainages requis pour que sa candidature soit validée par le Conseil constitutionnel[77]. Il obtient 0,77 % des suffrages exprimés, se classant avant-dernier, devant Lutte ouvrière, représenté par Nathalie Arthaud[78]. À la suite de sa non-qualification, il appelle à ce que « pas une voix [n'aille] à l'extrême-droite »[79]. Même s'il remplit ses meetings, Philippe Poutou pâtit du vote utile en faveur de Jean-Luc Mélenchon.

Par la suite, après des négociations, le NPA choisit de ne pas rejoindre la Nouvelle Union populaire écologique et sociale[80] en vue des législatives du mois de juin suivant, arguant une insuffisance de l'offre de députés qui leur est faite (seulement 5 circonscriptions, "dont aucune gagnable", selon leur communiqué), et l'obstacle moral de rejoindre une alliance comprenant le Parti socialiste, du fait de la ligne politique social-démocrate menée lors du mandat présidentiel de François Hollande. Malgré tout, ils annoncent appeler à voter pour les candidats de l'union de la gauche dans les circonscriptions où ils ne présenteront pas de candidat. Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:26 (CET)[répondre]

Modification de la partie "courants internes"[modifier le code]

Bonjour,


Je vous propose de modifier la partie courant interne de manière à rétablir le tiret pour la Gauche anticapitaliste (actuellement intégrée à C&A) et intégrer le courant CCR (actuel RP). Cela donnerait :

Anciens courants[modifier le code]

  • Le courant « Convergences et alternative », créé le pour défendre des alliances avec les partis de la gauche antilibérale, à la suite de la scission de l'association Unir (une autre partie fondant la Gauche unitaire et rejoignant le Front de gauche à l'occasion des élections européennes de 2009). Ce courant avait une tribune dans l'hebdomadaireTout est à nous ! À la suite de désaccords avec la politique de la direction du NPA, le courant prend son autonomie en et intègre le Front de gauche.
  • La fraction publique « Gauche anticapitaliste », sous-titrée « courant unitaire pour l'écosocialisme », est créée par les animateurs de la position B de la conférence nationale de juin 2011 lors d'une assemblée constitutive les 5 et . Contestant l'orientation majoritaire du NPA qui selon eux « tourne[rait] le dos à toute la bataille pour rassembler les différentes composantes politiques et équipes du mouvement social qui, à gauche, contestent le social-libéralisme », il défend alors la création d'un « bloc rassemblant les forces sociales et politiques d'opposition de gauche »[81] au sein duquel se rassembleraient en un pôle les anticapitalistes et écosocialistes. La GA est d'abord constituée d'adhérents au NPA et de militants ayant quitté le parti, reconnue par le NPA et disposant d'une tribune dans Tout est à nous !. Lors de l'élection présidentielle de 2012, certains des animateurs de ce courant appellent à voter pour la candidature de Jean-Luc Mélenchon (candidat du PG) plutôt que celle de Philippe Poutou (le candidat du NPA)[82]. La GA décide le de rejoindre le Front de gauche en tant qu'organisation indépendante, après avoir défendu sans succès l'adhésion du NPA au FG, cette proposition recueillant 22 % des voix des militants lors de la rencontre nationale du NPA des 7 et [83][source insuffisante].
  • La tendance CLAIRE (pour « Communisme, lutte auto-organisée, internationaliste et révolutionnaire ») fondée le en regroupant des membres de l’ex-CRI (Groupe communiste révolutionnaire internationaliste)[84], de l’ex-LCR et d’autres sans parti auparavant. Elle a depuis sa fondation appelée à la constitution d'une tendance révolutionnaire large et pluraliste, en s'adressant particulièrement aux autres courants de la gauche du NPA (position 2 en 2011, position Y en 2013). Elle est qualifiée de « lambertiste »[85] même si ses membres ne se reconnaissent pas dans ce terme[86][source insuffisante]. Elle a initié en le Collectif pour une tendance révolutionnaire (CTR)[87], qui a fonctionné jusqu’au premier congrès du NPA (février 2011), portant la plateforme 4 (3,7 % des voix). En 2019, la Tendance claire se dissout pour fusionner et participer à la création de la tendance Alternative révolutionnaire communiste, avant de se reformer en 2021 à la suite d'une crise[réf. nécessaire].
  • Le courant communiste révolutionnaire (actuel Révolution permanente), fondé en , anime à partir de 2015 le journal Révolution permanente. Il obtient 11,05 % lors du quatrième congrès de 2018, annonce en la « pré-candidature » de leur militant Anasse Kazib. Cette action amplifie les clivages. Deux mois plus tard, 296 militants du courant annoncent leur départ du NPA, se plaignant d'un « long processus d'exclusion » et dénonçant une ligne politique « droitière »[88],[89]. La direction du NPA indique : « Ils avaient un pied dedans et un pied dehors. Ils avaient leur propre média, leur organisation étudiante (Le Poing Levé) et leur organisation féministe (Du Pain et des Roses) dont les interventions n’étaient pas discutées en notre sein[90]. » Pour Marianne, « la candidature d'Anasse Kazib illustre les tiraillements dans les milieux militants d'extrême gauche entre la ligne marxiste révolutionnaire historique et les influences décoloniales ou intersectionnelles, plus récentes et qui ne font plus de la lutte des classes leur principal moteur[91]. » Le courant quitte le NPA en [89], mais un désaccord persiste entre ce dernier et la direction sur la nature de ce départ. RP dénonce une exclusion officieuse, tandis que le NPA réfute ces affirmations[92].

Crise interne et scission de 2022[modifier le code]

Après le cinquième congrès de décembre 2022, Les plateformes B et C continuent leurs activités politiques, mais indépendamment l'une de l'autre. Les groupes locaux se scindent et les communications sont distinctes. Les deux organisations se revendiquent cependant toujours du NPA, utilisant son nom, son logo et des sites web homonymes[93][source insuffisante].

Le « NPA-B » (du nom de sa plateforme au cinquième congrès) et représenté par Christine Poupin, Pauline Salingue, Philippe Poutou et Olivier Besancenot, poursuit une stratégie de front unique avec les autres forces politiques et syndicales, quitte à se présenter davantage « radical » plutôt que « révolutionnaire ». Le « NPA-C », composé essentiellement de deux fractions qui elles aussi ont des fonctionnements, tactiques et communications distinctes, appelle lui à la formation d'un « grand pôle des révolutionnaires » et travaille à augmenter le « nombre de militants révolutionnaires » afin d'œuvrer pour la révolution[14]. Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:29 (CET)[répondre]

Modification de la partie "Élus et personnalités"[modifier le code]

Bonjour,


Je propose de réordonner la partie "Anciens membres" dans "Élus et personnalités" par ordre alphabétique. Cela donnerait:

Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:33 (CET)[répondre]

Je propose également d'ajouter Pauline Salingue dans la liste des porte-parole :
  • Depuis septembre 2021 : Pauline Salingue.
Giraf31415 (discuter) 9 novembre 2023 à 09:39 (CET)[répondre]
  1. « Dépêche Associated Press », sur news.yahoo.com, .
  2. Le Point, no 1868, .
  3. « La LCR confirme avoir eu des contacts avec Jean-Marc Rouillan », Rouge, .
  4. « Besancenot: "Personne ne propose de prendre les armes" », le JDD, .
  5. « Jean-Marc Rouillan, l'ancien terroriste d'Action directe, parle et pourrait se voir privé de sa semi-liberté » : Jean-Marc Rouillan: "Je peux faire peur à beaucoup de monde", L'Express, 30 septembre 2008.
  6. « Rouillan retourne en prison, Besancenot appelle à la "mobilisation unitaire" », Le Point, .
  7. « Affaire Rouillan : Besancenot contre-attaque » « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), dépêche AFP,  : « il y a une crise fantastique et le NPA et Olivier ont le vent en poupe. C'est le moment où l'on ressort l'affaire Rouillan », qui « ne représente que lui-même et n'est pas un courant politique » déclare Alain Krivine.
  8. « Congrès du NPA | NPA », sur nouveaupartianticapitaliste.org (consulté le )
  9. https://nouveaupartianticapitaliste.org/node/24525
  10. Olivier Faye, « Très mal en point, le NPA vit un congrès décisif », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  11. Sylvia Zappi, « Le Nouveau Parti anticapitaliste menacé d’implosion », sur Le Monde, (consulté le ).
  12. Marceau Taburet, « Marginalisés, les partis d’extrême gauche cherchent l’étincelle », sur Libération, (consulté le ).
  13. Mathieu Dejean, « À l’extrême gauche, le NPA s’est autodétruit », sur Mediapart, (consulté le ).
  14. a et b Guillaume Bernard, « Pourquoi deux NPA irréconciliables ? », sur Rapports de force, (consulté le ).
  15. Déclaration d'Olivier Besancenot, le 26 janvier 2009, à quelques semaines du congrès de fondation du NPA : [1]
  16. a et b « Besancenot: le LKP, », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  17. « Guadeloupe : derrière la manifestation, des questions entières sur l'avenir », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Besancenot, un Le Pen de gauche ? »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ), pour la version moins édulcorée : « Vous nous avez bien emmerdés avec Le Pen pendant des années, maintenant on va vous niquer avec Besancenot. ». Source : Le Canard enchaîné, .
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  40. « Besancenot va au charbon », sur Le Parisien, .
  41. Le NPA refuse de se construire et de présenter des listes en Outre-mer, qu'il considère comme étant des colonies.
  42. Ce score étant environ le double de celui obtenu par les listes d'union LO-LCR de 2004, et additionné à celui de LO, le meilleur score jamais réalisé par l'extrême gauche en France sur ce type d'élections
  43. Le Nouvel Obs, « « Il faudra compter avec la gauche anticapitaliste, prévient Olivier Besancenot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ) », 07/06/2009
  44. Sylvia Zappi, « Des cadres du NPA démissionnent au lendemain d'un scrutin européen qui n'a pas répondu à leurs espoirs », sur www.lemonde.fr (consulté le ).
  45. Pascal Perrineau, « Les élections européennes de juin 2009 en France : des élections de second ordre ou de reclassement ? », Revue internationale de politique comparée, vol. 12, no 5,‎ , p. 653 à 670 (lire en ligne).
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