Discussion:Niels Arestrup

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Ressemblances avec un article de Télérama[modifier le code]

Bonjour,

Je signale des similarités au mot près avec un article de Télérama. Je reproduis l'article ici. Ce qui est souligné est ce qui existe dans Wikipédia.

En visuel tout apparaît comme souligné, mais en code source on voit où le copiage s'arrête et où il reprend.

Cordialement.


Issu d'une famille modeste, né d'un père danois et d'une mère française, Niels Arestrup grandit en banlieue parisienne et s'inscrit après le lycée au cours de Tania Balachova. Il débute sa carrière au théâtre avant d'apparaître pour la première fois au cinéma dans Miss O'Gynie et les hommes fleurs de Samy Pavel en 1973 au cinéma puis dans Stavisky d'Alain Resnais (1974). Le débutant se spécialise dans un cinéma d'auteurs (second rôle dans Si c'était à refaire de Claude Lelouch) souvent confidentiel (Chantal Akerman, Jeanne Moreau, Frank Cassenti, l'argentin Edgardo Cozarinsky, plus tard l'italien Fabio Carpi...). Sans jamais abandonner le théâtre, il construit une carrière atypique faite de seconds rôles et de personnages ambigus (La Dérobade de Daniel Duval, La Femme flic d'Yves Boisset), tourne dans des longs métrages suisses, et n'hésite pas à endosser des rôles de salauds (Les Loups entre eux de José Giovanni en 1985, La Rumba en 1986). Stefan Zweig et August Strindberg A la télévision, il obtient rapidement des premiers rôles, notamment dans des adaptations littéraires (Arthur Schnitzler, Frank Wedekind, Maurice Maeterlinck), s'imposant en héros romantique de la mini-série historique Le tourbillon des jours, avec Yolande Folliot, dès 1979. Plus tard il participe aussi à des adaptations de Hubert Monteilhet, Michel Déon ou Madeleine Chapsal, cette dernière mise en scène par Edouard Molinaro, qui l'avait déjà dirigé dans deux adaptations de Stefan Zweig, dont La ruelle au clair de lune (Niels Arestrup en partage la vedette avec Marthe Keller et Michel Piccoli). En 1984, il sera la vedette de Lorfou, un épisode de la série Série noire qui lui permettra de retrouver Daniel Duval. En 2006 il mène la brillante distribution de Le Rainbow Warrior et en 2000 il tient le rôle titre de Fernando Krapp m'a écrit cette lettre d'après Miguel de Unamuno au côté d'Emmanuelle Seigner, qu'il incarne sur scène. Sur le petit écran, Arestrup bénéficie au fil des années d'une reconnaissance comparable à celle qu'il connaît sur les planches, son terrain favori. Il entremêle parfois les deux, jouant sur scène (et devant les caméras) La Cerisaie d'Anton Tchekhov, mise en scène par Peter Brook (avec Catherine Frot), et incarnant Rastignac dans Les secrets de la princesse de Cadignan d'après Honoré de Balzac, réalisé par Jacques Deray, deux adaptations signées Jean-Claude Carrière - l'acteur interprète par ailleurs un autre héros de Balzac dans Albert Savarus, sous la direction de Alexandre Astruc et face à Dominique Sanda ; les (télé)spectateurs ont aussi pu le voir dans La Danse de mort, dirigée par Claude Chabrol, et dans Mademoiselle Julie, adaptée par Boris Vian, deux pièces d'August Strindberg. Dans la dernière, il a pour partenaire (au théâtre et dans la version filmée) Fanny Ardant, qui remplaçait Isabelle Adjani après quelques représentations. Marco Ferreri, Glenn Close et Sophie Marceau Au milieu des années 1980, des réalisateurs de cinéma lui confient enfin des rôles principaux : il est ainsi l'amant d'un couple à trois (formé avec Ornella Muti et Hanna Schygulla...) dans Le Futur est femme de Marco Ferreri (1984). Mais il ne remporte pas de succès populaire, reste en dehors du star système. Ainsi il mènera davantage une carrière de séducteur à la télévision et au théâtre qu'au cinéma, même s'il a pour partenaires Isabelle Huppert dans Signé Charlotte, Christine Boisson à deux reprises (dans Du blues dans la tête notamment, écrit par Arestrup), ou la star américaine Glenn Close dans La Tentation de Vénus d'István Szabó (1991), où il incarne un chef d'orchestre hongrois aux prises avec l'Opéra de Paris. Arestrup joue les années suivantes un violoncelliste célèbre et malheureux dans Le Pique-nique de Lulu Kreutz (en 2000) sur un scénario de Yasmina Reza, ou encore un mari vieillissant qui se sépare de sa femme (Judith Godrèche) dans Parlez-moi d'amour, dirigé par Sophie Marceau en 2002. Mais ces films demeurent discrets. Un prophète En 2005, De battre mon coeur s'est arrêté de Jacques Audiard, face à Romain Duris, annonce la reconnaissance à venir. Niels retrouve Duris dans L'homme qui voulait vivre sa vie d'Eric Lartigau en 2010 et surtout Audiard pour Un prophète en 2009, qui le consacre enfin sur grand écran. A côté, l'acteur s'illustre dans des films tels que Le Scaphandre et le Papillon de Julian Schnabel et L'affaire Farewell, en patron des services secrets français - oeuvres conformes à ses critères d'exigence. En 2007, le comédien a écrit et dirigé Le Candidat (2007), drame politique qu'il interprète face à Yvan Attal.</> Il reçoit deux fois le César du meilleur second rôle pour son interprétation dans les films de Jacques Audiard : De battre mon coeur s'est arrêté : César 2006 du meilleur second rôle avec le personnage d'un agent immobilier véreux, père de Romain Duris, Un prophète : César 2010 du meilleur second rôle avec le personnage de César Luciani, parrain corse en prison. Théâtre (entre autres) En 1986, la pièce B29, dont il partage la vedette avec Richard Berry essuie un échec. En 1988, il ctée sa propre école de théâtre à Ménilmontant, dans un esprit de troupe, ne formant pas au vedettariat. Niels Arestrup dirige le Théâtre de la Renaissance de 1989 à 1993. Il retrouve Fanny Ardant en 1995 dans La Musica de Marguerite Duras. L'année suivante, Myriam Boyer est licenciée de la pièce Qui a peur de Virginia Woolf ? suite à un "échange de coups" avec son partenaire. La réputation sulfureuse de Niels Arestrup vient surtout de ses différends avec Adjani et Boyer. Il renoncera à ses plaintes en diffamation contre elles. Durant la saison 1998-1999, Arestrup interprète aux côtés de Pierre Vaneck et Maïa Simon Copenhague qui remporte deux Molières. En 2002, Niels Arestup interprète Théramè dans Phèdre de Jean Racine, dans une mise en scène de Jacques Weber avec Carole Bouquet dans le rôle titre. L'année suivante, dans À chacun sa vérité de Luigi Pirandello, le comédien "affronte" Gérard Desarthe et Gisèle Casadesus. En 2008, il écrit Le Temps des cerises, joué par Eddy Mitchell et Cécile de France. En 2010 Arestrup inteprète face à André Dussollier Dietrich von Choltitz, le général allemand chargé de détruire Paris en 1944, dans Diplomatie, pièce écrite par Cyril Gély. Lekselle (discuter) 29 mai 2022 à 21:20 (CEST)[répondre]

Salut. Il faudrait dans ce cas suivre la procédure indiquée sur WP:COPYVIO. Mais je ne pense pas que copier/coller l'article ici soit une bonne idée. Notification Lomita : ou Notification Habertix :, faudrait pas masquer ça ? SombreHéros (discuter) 30 mai 2022 à 02:08 (CEST)[répondre]
OK, merci @SombreHéros pour ce lien vers la procédure Copyvio, je le saurais pour la prochaine fois. Je laisse les personnes pinguées agir. Il est difficile de savoir si c'est Télérama qui a copié Wikipédia ou l'inverse. Lekselle (discuter) 30 mai 2022 à 10:24 (CEST)[répondre]
Bonjour, il semblerait que ce soit le site qui ait copié wikipédia, en effet, les textes sont dans l'article WP depuis plus de 10 ans [1] et que les archives du site sont de 2021 [2] - D'autre part, je viens de contrôler d'autres biographies, par exemple Peter Jackson qui est également en place depuis plus de 10 ans se retrouve ici ou Kirsten Dunst ici ........mais ce qui est troublant c'est la même IP dans les deux cas sur trois qui a rajouté la biographie sur les articles WP - Très difficile de savoir la vérité, le site a-t-il changé d'adresse télérama à vodkaster.telerama.fr - J'aimerai un second avis -- Lomita (discuter) 30 mai 2022 à 13:25 (CEST)[répondre]
Bonjour à tous. Comme le préssentait Notification Lomita :, ce n'est pas un copyvio mais l'inverse.
Vodkaster ayant été racheté par Télérama et les sites ayant fusionnés, la question était déjà de savoir d'où viennent les biographies à la base. Je suis allé voir les versions archivées des deux sites (Télérama et Vodkaster en décembre 2012, date de la sortie du Hobbit. De là on peut facilement trouver des liens vers des pages sur Le Hobbit et sur Peter Jackson. On constate donc que fin 2012, ni Télérama ni Vodkaster ne possédent de bio sur Jackson. En naviguant ensuite vers le futur, on constate que cette bio apparait en janvier 2013 (coup de chance pour la proximité des dates) sur le site de Vodkaster. C'est un exact copié-collé de la page Wikipédia de l'époque et c'est bien précisé à la fin Source:Wikipédia avec un lien. De même pour la bio de Niels Arestrup (copie de cette version précise) et pour toutes les autres pages aussi j'imagine (même si les bio n'apparaissent pas toutes forcément en 2013 sur Vodkaster, parfois avant, parfois après). Que ce soit sur le site de Vodkaster ou sur le site de Télérama depuis la fusion, ces bios semblent avoir été totalement inchangées depuis leur création, mais surtout, la mention de Wikipédia semble avoir totalement disparu du site Vodkaster lors la refonte du site vers 2015 et ne s'est donc jamais retrouvé sur Télérama après la fusion. Il faudrait donc le signaler sur cette page (et à Télérama) et aussi sur le projet Cinéma pour éviter que quelqu'un ne vienne citer Télérama comme source de telle ou telle info.
Tout ça ne change rien au fait que toutes ces bios de l'époque sur Wikipédia ont souvent été faites sans donner de source, alors qu'une simple indication d'un livre ou d'un article de site web aurait permis d'éviter tous ces mélimélos, d'où l'importance de toujours donner une source. --Harmonizator (discuter) 30 mai 2022 à 17:33 (CEST)[répondre]
PS: Du coup j'ai déjà fait un signalement sur la page Wikipédia:Respect_de_la_licence_à_vérifier/En_cours#Télérama'vodkaster_copie_Wikipédia. Harmonizator (discuter) 30 mai 2022 à 18:22 (CEST)[répondre]
Vous allez rire...
J'avais déjà remarqué que les noms d'Alain Resnais et de Daniel Duval apparaissaient bizarrement au début de la bio d'Arestrup sur Télérama, et au hasard, je suis tombé sur celle de Dona Reed avec ce magnifique préambule: Cette biographie est traduite en charabia : prière de la refaire en français correct d'après un original fiable. Merci. Et bien c'est tout simplement la remarque rajouté par un IP sur la page Wikipédia fin 2010, qui a tenue quelques mois et qui a été recopié à l'époque (par un robot, j'espère...) et qui se retrouve toujours sur le site de Télérama plus de 10 ans après !--Harmonizator (discuter) 30 mai 2022 à 18:47 (CEST)[répondre]

À la base c'est aussi une phrase un peu chelou de l'article qui m'a fait atterrir sur Télérama : "Plus tard il participe aussi à des adaptations de Hubert Monteilhet, Michel Déon ou Madeleine Chapsal, cette dernière mise en scène par Edouard Molinaro". Qui a été mise en scène ? Chapsal ? Une pièce ? Laquelle ? Je fais une requête internet Chapsal+Molinaro, j'arrive sur la même phrase mais sur Télérama Vod. Et je n'ai toujours pas la réponse. Lekselle (discuter) 30 mai 2022 à 20:47 (CEST)[répondre]

C'est bizarrement écrit mais j'arrive à comprendre que c'est la dernière adaption (signée Chapsal) qui a été mise en scène par Molinaro. Il s'agit de La femme abandonné, bien présente dans la filmographie (mais bizarrement avec une mauvaise date malgrè sa bonne place dans la liste). En fait il faut comprendre que les auteurs cités sont les auteurs des adaptations d'œuvres littéraires et non les auteurs des œuvres originales, en l'occurrence pour ce cas Balzac. Il faudrait utilisé le terme "signé" comme ailleurs dans l'article. --Harmonizator (discuter) 30 mai 2022 à 22:06 (CEST)[répondre]