Discussion:Méthylphénidate

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Vérification d'une source[modifier le code]

Il était écrit dans une note de bas de page: Les scientologues affirment entre autres que, du fait de son mode d'action, les systèmes dopaminergiques pourraient, à long terme, être définitivement endommagés, ce qui pourrait mener les anciens consommateurs à avoir des penchants pour les drogues par la suite [...] En fait, toutes les études menées depuis 60 ans et dans le monde entier sur le méthylphénidate démontrent le contraire. cf. (en) Steve S. Lee, Kathryn L. Humphreys, Kate Flory, Rebecca Liu, Kerrie Glass. « Prospective association of childhood attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD) and substance use and abuse/dependence: A meta-analytic review » Clinical Psychology Review, Volume 31, Issue 3, April 2011, Pages 328-341, ISSN 0272-7358, DOI 10.1016/j.cpr.2011.01.006 (http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272735811000110)

Mais la source ne dit pas cela:

"Although meta-analyses support the efficacy of MPH in the treatment of ADHD (Faraone, Spencer, Aleardi, Pagano, & Beiderman, 2004; Schachter, Pham, King, Langford, & Moher, 2001), there are unresolved questions about the development of future substance problems in children treated with stimulant medication (Kollins, 2008; Volkow, 2008). For example, Wilens, Faraone, Biederman, and Gunawardene (2003) reported that stimulant medication substantially reduced the risk for future substance problems, but two recent studies failed to replicate the protective effects of MPH (Biederman et al., 2008; Mannuzza et al., 2008). In one study, exposure to stimulant medication was positively associated with future substance use (Lambert & Hartsough, 1998). [...] Collectively, these studies underscore that treatment of ADHD with stimulant medication and its prospective contribution to substance use problems must be more precisely characterized in future studies."

--Ascax (discuter) 23 février 2017 à 21:22 (CET)[répondre]

En d'autres termes, on n'en sait rien.

Pharmacologie[modifier le code]

je met dans un premier temps un refnec sur la pharmacologie ou il est prétendu que le mode d'action serait une inhibition de la recapture de la dopamine et noradrenaline, en effet d'apres l'ANSM: http://afssaps-prd.afssaps.fr/php/ecodex/frames.php?specid=60059081&typedoc=R&ref=R0191073.htm , sauf opposition je modifie en ce sens ce weekend.

Classe pharmacothérapeutique: PSYCHOSTIMULANT, SYMPATHOMIMETIQUES D'ACTION CENTRALE, Code ATC: N06BA04 (N: système nerveux central).

Le méthylphénidate est un racémique composé de 1: 1 d-méthylphénidate (d-MPH) et l-méthylphénidate (l-MPH).

Le l-énantiomère est probablement inactif pharmacologiquement. Le méthylphénidate est un stimulant du système nerveux central. C'est un sympathomimétique indirect. Il augmenterait la concentration des monoamines (dopamine et noradrénaline) dans la fente synaptique.

La relation entre ce mode d'action et l'effet clinique chez l'Homme n'est pas encore complètement élucidée, mais on suppose que l'effet est dû à l'activation de la formation réticulée du tronc cérébral, ainsi que du cortex.

effets paradoxaux[modifier le code]

L'utilisation du Méthylphénidate est un sujet sensible ; cet article me semble refléter l'opinion de ceux qui y sont opposés :

"il semble avoir des effets paradoxaux chez les hyperactifs" : il ne semble pas, non. Il a des effets calmants.

C'est bien ce que dit l'article: "il a des effets paradoxaux chez les hyperactifs, en calmant l'agitation et favorisant l'attention". Ce qu'on appelle effet paradoxal, c'est l'effet calmant provoqué par un stimulant. Apokrif 15 décembre 2005 à 13:22 (CET)[répondre]

"A long terme, on suppose que les systèmes dopaminergiques pourraient être définitivement endommagées." Dans quelle msesure suppose-t-on ?

"Pour certaines personnes, il y a une explosion inquiétante de la demande de ce médicament, qui serait prescrit sur la demande des enseignants, ce qui pourrait mener les enfants à avoir des penchants pour les drogues par la suite (même si aucun chiffre ne permet de vérifier cette assertion)." Au contraire : la demande vient le plus souvent des parents. D'autre part, on a constaté que les enfants hyperactifs non-traités devenaient facilement des consommateurs de cocaïne ou de cannabis,

Dans quelle mesure a-t-on constaté ? Apokrif 15 décembre 2005 à 13:22 (CET)[répondre]

ces deux produits ayant un effet sur le système de recapture de la dopamine... Il est d'ailleurs à noter qu'un hyperactif se trouve calmé par la cocaïne, à l'inverse des gens non affectés par ce trouble.

"une étude sur un échantillon réduit de 12 enfants a indiqué que le méthylphénidate peut être cancérogène". Est ce bien raisonnable de titrer "Cancérogène potentiel" sur la base de cette "étude" ?

On peut noter aussi que l'usage du méthylphénidate dans la dépression est à rapprocher de cette constatation : les enfants TDA/H non traités deviennent souvent des ados, puis des adultes instables et dépressifs. C'est cette dépression là qui répond au méthylphénidate.

Chaque année l’hôpital Robert DEBRE de Paris, où consulte le Docteur Eric KONOFAL, reçoit 150 enfants en vue d’un diagnostic de TDA/H (Trouble Déficit de l’Attention/avec ou sans Hyperactivité). De surcroît, 600 enfants sont inscrits en liste d’attente : "Concernant l’usage de la Ritaline®, un point est à souligner : il n’y a jamais eu un seul cas de décès lié à l’usage de la Ritaline® dans le TDAH. 1300 études environ ont été faites dans le monde, principalement aux USA. Toutes révèlent l’absence de danger de la Ritaline®, dans la mesure où elle est prescrite à bon escient, et seule. Actuellement, on dénombre une cinquantaine de médicaments neuroleptiques, anxiolytiques ou antidépresseurs sur le marché. Beaucoup d’entre eux possèdent des effets secondaires gênants, voire dangereux, et des cas de décès liés à l’usage de ces médicaments, hélas, ont pu être enregistrés. Aucune campagne d’envergure, comme celle mise en place contre la Ritaline®, n’a pourtant été faite ?!?! Le Docteur Konofal, rappelle néanmoins qu’à très fortes doses , la Ritaline® rappelle peut avoir des effets « cocaïne-like ». Cet effet est aussi celui que l’on a avec toutes les molécules possèdent des propriétés « dopaminergiques et noradrénergiques ». Ceci peut-il contribuer à expliquer la polémique qui s’est instaurée à propos de son usage ? Ces doses expérimentales ne sont pas celles prescrites, heureusement !" [1]

Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 22:52 (CET)[répondre]

Fait.Sand 1 février 2006 à 09:07 (CET)[répondre]

Personnes hyperactives[modifier le code]

J'ai supprimé le chapitre sur les personnalités hyperactives. car 1-Il n'y a aucune source pour vérifier cette catégorisation, 2-les articles principaux n'en parlent pas, 3- pas de source n'ont plus sur leur utilisation du méthylphénidate (ex: Einstein) 4- ça fait partie du domaine privé. --Leridant 13 février 2006 à 10:00 (CET)[répondre]

Oui, je l'ai aussi supprimé plusieurs fois dans hyperactivité. Apokrif 13 février 2006 à 22:41 (CET)[répondre]

Le MPH est-il une amphétamine ?[modifier le code]

L'article dit: "psychotrope du groupe des amphétamines", cela signifie-t-il que le MPH est une amphétamine, ou qu'il est, à côté des amphétamines, dans une catégorie (laquelle ?) plus large de molécules ? en: dit: "amphetamine-like" Apokrif 9 mars 2006 à 16:45 (CET)[répondre]

La confusion avec les amphétamines vient peut-être du fait qu'elles sont aussi utilisées pour le traitement du TDAH dans certains pays. J'ai corrigé l'introduction de l'article car le mph est en fait une pipéridine. Par contre, il me semble que le rapprochement avec les phényléthylamines est aussi erroné : je crois avoir lu qu'on doit parler de phénylpipéridine et qu'il s'agit là encore d'une confusion mais je n'ai pas encore retrouvé de source étayée la dessus. Si quelqu'un trouve avant moi, de quoi confirmer ou infirmer celà, merci d'avance. --Tdahweb (discuter) 29 novembre 2013 à 11:40 (CET)[répondre]

Voilà le détail: le mph ferait partie de la famille des phényléthylamines substituées...lesquelles font l'objet d'un article spécifique dans WP en anglais. Les phényléthylamines comportent un anneau phényl rattaché à un groupe aminé par une liaison éthyl. Dans le cas des phényléthylamines substituées, l'anneau phényle, la liaison éthyle et / ou le groupe aminé sont remplacés par un autre groupe pour une partie des atomes d'hydrogène. Pour les phénylpipéridines, l'anneau phényle est directement relié à la pipéridine. Le mph est le résultat de la liaison supplémentaire d'un groupe méthyle tant à l'anneau phényle qu'à la pipéridine qui restent également directement liés entre eux. Les amphétamines se distinguent des pipéridines par la substitution d'un propane à l'éthyl. Bref, le mph n'est pas une amphétamine et n'en est pas plus dérivée qu'on ne le serait de la demi soeur d'une cousine par alliance...tout en faisant partie de la même grande famille qui comprend des stimulants, des décongestionnants, des coupe-faim, des antidépresseurs, des neurotransmetteurs, des tonicardiaques... etc...--Tdahweb (discuter) 29 novembre 2013 à 13:18 (CET)[répondre]

Autant pour moi, après recherches approfondies dans les classements des composés en chimie organique, le mph n'est même pas une polyéthylamine substituée. S'il est souvent comparé aux amphétamines, voire confondu avec elles, il y a quelques raisons objectives: il est inscrit au tableau II de la convention de Nations Unis de 1971 sur les substances psychotropes, comme les amphétamines, c'est un stimulant du système nerveux central, comme les amphétamines et il est utilisé dans le traitement du trouble déficit de l'attention/hyperactivité, comme les amphétamines (dans certains pays), son mode d'action est d'ailleurs qualifié dans certaines études d'amphetamin-like, dans le sens où il mime une partie des mécanismes des amphétamines, à savoir le blocage de la re-capture de certains neurotransmetteurs. Toutefois, et bien qu'on le lise dans certaine revues ou qu'on l'entende de la bouche de certains médecins, visiblement plus très au fait de la classification des composés chimiques, le mph n'est ni une amphétamine, ni une molécule chimiquement proche ou apparentée : cette erreur symptomatique témoigne d'une désolante érosion de la connaissance. Voici d'ailleurs comment amphétamines et méthylphénidate sont respectivement classés dans les classifications internationales des composés chimiques et/ou des médicaments:

1 KEGG (Kyoto Encyclopedia of Genes and Genomes-Japan) http://www.genome.jp/kegg-bin/get_htext#B134

  1.1 Central Nervous System Agents
    1.1.a Attention Deficit Hyperactivity Disorder Agents, Amphetamines
 
  • Dextroamphetamine
  • Dextroamphetamine and Amphetamine
  • Lisdexamfetamine
  • Methamphetamine
   1.1.b Attention Deficit Hyperactivity Disorder Agents, Non-amphetamines
  • Atomoxetine
  • Clonidine
  • Dexmethylphenidate
  • Guanfacine
  • Methylphenidate


2 NCBI (National Center for Biotechnology Information-USA)

  2.1 Amphétamines 

http://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/summary/summary.cgi?sid=135324815

• Chemicals and Drugs Category

o	Organic Chemicals
	
* Amines
  * Ethylamines
    * Phenethylamines
      * Amphetamines
  2.2 Méthylphenidate 

http://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/summary/summary.cgi?sid=134974024

• Chemicals and Drugs Category

o	Organic Chemicals
  • Carboxylic Acids
 * Acids, Carbocyclic
   * Phenylacetates
     * Methylphenidate

• Chemicals and Drugs Category

o	Heterocyclic Compounds
 * Heterocyclic Compounds, 1-Ring
   * Piperidines
     * Methylphenidate

3 DrugBank Version 4.1,The DrugBank database (The Metabolomics Innovation Centre-Canada)

3.1	Amphétamines 

http://www.drugbank.ca/drugs/DB00182

Taxonomy

  • Kingdom Organic : Compounds
  • Superclass : Benzenoids
  • Class : Benzene and Substituted Derivatives
  • Subclass : Phenethylamines
  • Direct parents : Amphetamines and Derivatives
  • Alternative parents : Polyamines; Monoalkylamines
  • Substituents : polyamine; primary amine; primary aliphatic amine; amine; organonitrogen compound
  • Classification description : This compound belongs to the amphetamines and derivatives. These are organic compounds containing or derived from 1-phenylpropan-2-amine.
3.2	Méthylphenidate 

http://www.drugbank.ca/drugs/DB00422#taxonomy

Taxonomy

  • Kingdom Organic : Compounds
  • Superclass : Benzenoids
  • Class : Benzene and Substituted Derivatives
  • Subclass : Phenylacetic Acid Derivatives
  • Direct parent : Phenylacetic Acid Derivatives
  • Alternative parents : Piperidines; Carboxylic Acid Esters; Ethers; Enolates; Dialkylamines; Polyamines
  • Substituents : piperidine; carboxylic acid ester; secondary amine; secondary aliphatic amine; enolate; polyamine; carboxylic acid derivative; ether; amine; organonitrogen compound
  • Classification description : This compound belongs to the phenylacetic acid derivatives. These are compounds containing a phenylacetic acid moiety, which consists of a phenyl group substituted at the second position by an acetic acid.

Autre source à l'appui de cette remarque : En. Richard L. Myers,The 100 Most Important Chemical Compounds: A Reference Guide, ABC-CLIO, 2007, p. 178

Dernier argument, "amphétamine" est à l'origine une contraction de la désignation chimique α-méthylphénéthylamine alpha méthyl phén étyl amine, qu'on retrouve dans la désignation chimique de toutes les molécules de la famille des amphétamines, exactement dans cet ordre (car en chimie, l'ordre est très important). La désignation chimique du méthylphénidate, telle qu'on peut la lire dans le tableau II de la convention des nations unis de 1971 sur les substances psychotropes, est: α-phényl pipéridyl-2 acétate de méthyl. Voilà, ça c'est de la science exacte. C'est ni une idée reçue ni une opinion, ni une approximation. --Tdahweb (discuter) 16 mars 2015 à 18:55 (CET)[répondre]

Tentative de communication avec le reverteur[modifier le code]

L'article est mentionné à recycler afin d'essayer de le faire avancer j'y ai donc appliqué le plan-type et le modèle de chimiebox visant à homogénéïser les articles sur des molécules. Il suffit de lire les différences entre les 2 versions pour simplement voir que les informations n'ont pas disparues mais ont été redistribué de manière plus cohérente dans l'article. La seule partie ayant été supprimée est celle mettant en avant des personnalités sous traitement. Ce type de paragraphe a déjà été supprimé d'autres articles du même type, considérant que ce genre de choses appartenait à la vie privée et que si ce genre de précision est indispensable, c'est sur l'article concernant la personnalité que la mention peut éventuellement être faite avec un lien vers l'article concernant la molécule. Je rétablis la version visant à homogénéïser cet article. sand 4 mai 2006 à 14:22 (CEST)[répondre]

même avis que Sand: on applique les chimiebox etc. je rajouterai que par convention on utilise le nom de la molécule, celui du médicament pouvant être différent d'un pays à l'autre. par exemple ne france c'est novartis qui le commecialise pas Ciba comme dit dans l'article --Leridant 4 mai 2006 à 15:04 (CEST)[répondre]

Indication et Controverse[modifier le code]

J'ai choisi de rentrer directement au niveau de la rubrique Indication un commentaire, qui a priori pourrait passer pour relever plutôt de la controverse (j'étais encore anonyme). J'ai fait cela pour la simple raison, que cette controverse naît justement d'une erreur dans l'appréciation sémantique (et par ricochet faussant le diagnostique) du mot hyperactivité. Parlons nous d'un comportement (niveau social) ou d'un symptôme (niveau médical)?

Avis personnels largement apparents[modifier le code]

Opposition

"Pour certaines personnes[7], il y a une explosion inquiétante de la demande de ce médicament, qui serait prescrit non plus seulement dans un véritable but thérapeutique mais sur la demande des enseignants[réf. nécessaire] ou sur l'insistance des parents."

Cette information n'a aucune valeur. Le constat d'une hausse des ventes ne peut être justifiés par des raisons sociales aléatoires : De tels cas ont probablement existé mais ne peuvent être généralisés et servir ipso facto d'explication. Il est possible de multiplier à l'infini ce genre d'affirmations faisant apparemment sens : L'industrie pharmaceutique (en particulier) et de nombreux éléments du corps social ont tout intérêt à voir la vente d'un médicaments s'accroitre ; de même la demande de concentration ou du calme se retrouve dans de nombreux contexte sociaux (éducation, prison,...). Ainsi ce genre d'information sont tout au plus des flashs médiatiques et sûrement pas une analyse sociale, politique ou économique de l'opposition à ce médicament.


ControverseS

Il me semble que les controverses de ce médicament portent aussi (et surtout?) sur l'obligation pour le patient de maintenir sont traitement à vie (et donc aussi d'augmenter les doses par phénomène d'accoutumance), s'il veut en conserver les effets jugés bénéfiques.

Sauf que les cas de traitement à vie sont rare: la période de traitement permet généralement au patient de mobiliser enfin son attention et d'acquérir des savoir-être et des savoir faire lui permettant de s'en passer par la suite.--Tdahweb (d) 12 juin 2013 à 12:24 (CEST)[répondre]

Ma conclusion

Je reproche à cet article d'établir un positionnement idéologique sur la base de données sociales strictement infondées. Ce type de données n'a pas sa place ici (page sur une molécule) et devrait plutôt se trouver sur le nom du médicaments, "Ritalin©". Les quatre dernières partie me semblent ainsi aberrantes, à la fois par leur propos et par leur place au sein de cet article.

J'ai procédé à un recadrage de certaines parties de l'article qui n'avaient effectivement rien de scientifique. J'espère qu'on parviendra a élaguer tous les aspects "idéologiques". Je serai très vigilant sur le sourçage...mais je me demande simplement si la controverse a sa place sur cette page, vu qu'elle est déjà largement exposée sur l'article du TDAH...où l'on a toutefois oublié de citer la grande contribution du CCDH et de l'église de scientologie à la désinformation sur le sujet...c'est vrai qu'ils font ça, discrètement, sans vraiment s'afficher mais autant que chacun sache d'où proviennent certaines informations approximatives.--Tdahweb (d) 12 juin 2013 à 12:24 (CEST)[répondre]

Fausseté dans l'article.[modifier le code]

"du trouble déficitaire de l'attention, communément associé à l'hyperactivité. Ce médicament étant un stimulant, il paraît de prime abord paradoxal de le prescrire à des hyperactifs. En fait, il agit sur le déficit de l'attention (problème primaire), ce qui calme ainsi l'agitation (effet secondaire, symptôme)."


Selon le DSM-IV, l'hyperactivité n'est pas nécessairement une conséquence du déficit de l'attention. Les deux problèmes sont causés par un problème au niveau de la dopamine (un manque), mais sont indépendants l'un de l'autre, bien que beaucoup aient les deux. Il y existe des personnes ayant un trouble d'hyperactivité sans déficit de l'attention. Ce serait à reformuler/corriger, je ne le ferai pas, car je ne suis pas francophone de naissance et que je pourrais bien mal écrire.

Vous avez raison, et pour les personnes ayant un trouble d'hyperactivité sans déficit de l'attention je ne suis pas sûr que le produit soit la prescription la plus indiquée, en revanche il y a aussi des gens avec déficite de l'attention sans hyperactivité qui prennent ce produit. Je vais tenter de reformuler.Luscianusbeneditus (d) 2 avril 2011 à 23:24 (CEST)[répondre]
en fait c'est bien indiqué et il n'y a rien à ajouter : "Si l'hyperactivité est le symptôme d'un problème interne biologique, le médicament est positif; si elle est une réaction à des problèmes sociaux, des problèmes d'environnement, le médicament est fortement contre-indiqué"Luscianusbeneditus (d) 2 avril 2011 à 23:26 (CEST)[répondre]

Là n'est pas la question; il est écrit "En fait, il agit sur le déficit de l'attention (problème primaire), ce qui calme ainsi l'agitation (effet secondaire, symptôme)", ce qui est faux. L'hyperactivité n'est pas nécessairement une conséquence du déficit de l'attention.

pas nécessairement, mais quand le médicament est efficace c'est que c'est le cas, pour les autres cas on le précise ensuite : la phrase que vous citez n'est fausse que si l'on ne tient pas compte de ce qui est dit ensuite, il faut prendre l'article dans sa globalité.Luscianusbeneditus (d) 9 avril 2011 à 23:16 (CEST)[répondre]
Il me semble que le commentaire qui a été supprimé n'était inutile même s'il était peut-être mal formulé, le produit est souvent vu comme un "calmant" alors qu'il ne l'est pas, êtreun peu pédagogue sur cette question n'était peut-être pas mauvais.Luscianusbeneditus (d) 9 avril 2011 à 23:21 (CEST)[répondre]

grosse erreur de classement .[modifier le code]

Bonjour, juste pour vous faire part d'une observation ou deux : La première phrase indique que le methylphenidate est une phenylethylamine, cela est une donnée erronée: Il suffit de lire son IUPAC pour convenir qu'il s'agit là d'un noyau apparenté aux piperidines (methyl-alpha-phenyl-2 piperidin-yl ) et non pas une phenylethylamine même si la substitution phenyl en alpha peut induire en erreur. Quoi qu'il en soit en faculté de pharmacie elle nous est présentée comme une piperidine substituée et pas autrement.

Au cas ou la parole de mon professeur de faculté et l' IUPAC n' y suffisent pas voila une source qu'il n'est pas possible de contredire :

   All MeSH Categories
       Chemicals and Drugs Category
           Heterocyclic Compounds
               Heterocyclic Compounds, 1-Ring
                   Piperidines
                       Methylphenidate

URL source : terminologie MeSH : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/sites/entrez?Db=mesh&Term=%22Methylphenidate%22[MeSH+Terms]

En espérant avoir contribué à la correction d'une grosse erreur.

Bien cordialement.--Saabu (d) 7 septembre 2012 à 23:44 (CEST)[répondre]

Le principe de WP est "n'hésitez pas", faites la correction !Bienvenue sur WP.Luscianusbeneditus (d) 9 septembre 2012 à 21:18 (CEST)[répondre]
puisqu'il n'a pas osé, je me permets--Tdahweb (d) 12 juin 2013 à 12:28 (CEST)[répondre]

Points de vue favorables[modifier le code]

Je ne sais pas qui a rédigé ce paragraphe, mais il devrait revoir la notion de neutralité encyclopédique... "Certains font de la psychanalyse, d'autres des thérapies de soutien, enfin une partie font des évaluations médicales diagnostiques et thérapeutiques." Cette phrase sous-entend que la psychanalyse et les thérapies de soutien ne sont pas thérapeutiques (puisqu'on y oppose des évaluations médicales diagnostiques et thérapeutiques), ce qui relève de l'opinion. "Après tout la discussion n'est pas aussi passionnelle sur la prescription d'insuline aux diabétiques..." Cette phrase n'a rien d'encyclopédique, puisqu'elle présente un argument, non un fait (et en plus, quel argument...! on pourrait le transposer sur la page du Médiator, ou sur celle de Diane35, histoire de souligner en quoi il est absurde. Ce n'est pas parce qu'un médicament n'est pas/plus controversé qu'il est absurde d'en controverser un autre, quelque soit l'avis qu'on peut avoir sur cette controverse). "En fait, s'il y a plus de prescription aujourd'hui c'est grâce à une meilleure connaissance du trouble et donc à un diagnostic plus fin." Source ??? N'est-ce pas là aussi juste une opinion ? Parce que selon cette source : http://blog.santelog.com/2012/04/01/hyperactivite-tdah-tendance-confirmee-du-surdiagnostic-et-de-la-surprescription-psychotherapeut-et-journal-of-consulting-and-clinical-psychology/ le TDAH serait sur-diagnostiqué (en en prime, les thérapeutes de sexe masculin le diagnostiquent plus souvent que ceux de sexe féminin, ce qui montre bien qu'il y a un/des biais dans ces diagnostics...)--Suze42 (d) 11 mai 2013 à 17:00 (CEST)[répondre]

La notion de "point de vue", qu'ils fussent favorables ou défavorable n'a pas grand chose à faire ici: j'ai réintégré dans "controverse" les arguments et contre arguments étayés par des sources et supprimé ce paragraphe.--Tdahweb (d) 12 juin 2013 à 12:36 (CEST)[répondre]

prescription en France[modifier le code]

"En France, il ne peut être prescrit initialement que par un pédopsychiatre [réf. nécessaire] hospitalier ; le généraliste peut le renouveler, sur une période d'un an, au terme duquel le patient doit retourner consulter le spécialiste."

Il convient de vérifier ces informations, en effet, un pédiatre hospitalier ( en général attaché à un service de neuro pédiatrie) peut établir cette prescription et ce même initialement. Du fait des conséquences assez importantes parfois ( perte d'appétit et donc amaigrissement parfois rapide,insomnie, ralentissement de la croissance etc), il est plus que recommandable que la prescription soit effectuée régulièrement par le pédiatre initialement prescripteur qui permet entre autres "d'ajuster" le dosage et de procéder à la surveillance. A noter également que la catégorisation en stupéfiant oblige notamment à une prescription pour 1 mois maximum ( 30 jours)--Misstissia (d) 6 juin 2013 à 17:15 (CEST)[répondre]

je vais préciser ça: Prescription initiale hospitalière annuelle, réservée aux spécialistes et/ou aux services spécialisés en neurologie, psychiatrie et pédiatrie, et aux centres du sommeil.--Tdahweb (d) 12 juin 2013 à 13:21 (CEST)[répondre]
Pour information : la prescription de la MPH a évolué dernièrement en France.
Alors que l'ordonnance initiale ne pouvait avant être faite que par un.e practicien.ne hospitalier.e, maintenant un.e psychiatre peut également en faire sous réserve d'avoir un diagnostique établi (par un bilan neuropsy par exemple).
Les généralistes peuvent également renouveller les ordonnances, mais n'ont pas le droit d'en modifier le dosage.
Mes sources sont surtout orales, mais j'ai trouvé un article du vidal sur le sujet. Elasmosaure (discuter) 14 septembre 2023 à 19:36 (CEST)[répondre]

Dans les séries télévisées[modifier le code]

Certes, lorsqu'on est concerné par le TDAH, c'est rassurant de savoir qu'on est pas tout seul... mais ce paragraphe apporte-il vraiment une information utile sur la molécule? --Tdahweb (discuter) 26 avril 2014 à 21:22 (CEST)[répondre]

On dirait que ce médicament et ses indications en constante augmentation[modifier le code]

  • fait l'unanimité chez tous sauf chez les scientologues. Il semble (mot très utilisé) que ces derniers servent surtout de repoussoir à toute critique argumentée. On est pour donc du côté de la science, on discute de ses effets et des indications, du côté de l'obscurantisme de sectes et autres. Il faut refuser cette vision fausse et manichéenne. Je propose que la prudence soit de mise et les positions militantes soient pondérées. Le militantisme et la science ne font pas bon ménage, pas seulement dans les sectes ! Wikipedia a une responsabilité qu'elle doit envisager sérieusement. Tant que les débats, recherches et métarecherches ne sont pas -à peu près - unanimes, wiki n'a pas à prendre position, il en va de sa crédibilité. Pour les positions militantes, il existe des sites en surnombre consacrés à cette activité, wikipedia n'a pas à s'y substituer.Il faut y renvoyer les militants et laisser l'article sur ce sujet et le TDAH relativement neutre. A ce propos l'article en anglais est beaucoup moins monoidéique ! Léon66 (discuter) 28 avril 2014 à 09:54 (CEST)[répondre]
Vous écrivez dans Controverse: "Pour tous ces points, le manque de recul et de données sur de longs et très long termes laissent ouvertes le champs de recherches catamnéstiques. Il est trop tôt pour se prononcer de manière définitive, l'histoire des médicaments et notamment des psychotropes révèle parfois des surprises qui nécessitent prudence et patience." Pourriez vous préciser ce que vous entendez par long et très long termes?
*L'étude citée en référence pour la question du ralentissement de la croissance est une méta-analyse reprenant les conclusions d'études publiées entre 1972 et 2008 et sa conclusion me semble assez claire: "However it is clear that methylphenidate do not have such a serious effect on growth as it has been reported many times"..." Quoi qu'il en soit, il est clair que le méthylphénidate n'a pas d'effet aussi important sur la croissance qu'il a été maintes fois rapporté"
* Le second point mériterait purement d'être supprimé: outres les biais évidents de l'étude évoquant un risque de cancer, 4 études citées en référence concluent à l'invalidité de la première!!! En l'état actuel des connaissances, il ne saurait donc être fait aucun lien entre un traitement au méthylphénidate et un éventuel risque de cancer.
Par ailleurs, il est évident que "le champs des recherches catamnésiques" reste ouvert...mais en quoi est-ce spécifique au méthylphénidate? Votre phrase relève du commentaire personnel et de l'opinion. Cordialement,--Tdahweb (discuter) 28 avril 2014 à 15:24 (CEST)[répondre]
Puisque vous aimez l'article en Anglais, je vous invite à y lire le paragraphe pharmacologie. Vous y lirez " It is a benzylpiperidine and phenethylamine derivative which also shares part of its basic structure with catecholamines."... Voila. Le lien avec les amphétamines, c'est qu'elles sont aussi des phényléthylamines et qu'une partie de leur mode d'action, le blocage de la recapture est commun. Il y a donc effectivement des similitudes. Mais il est erroné d'affirmer qu'elles en sont dérivées, ainsi que le fait Thomas Kappeler dans une revue qui n'est jamais que la lettre d'information des pharmaciens suisses. On ne synthétise pas le méthylphénidate à partir d'amphétamines... ni l'inverse. Amphétamine-like, dans les études anglo-saxonnes, se rapporte au mode d'action, pas au fait que l'une dériverait de l'autre.
Je vous invite à consulter sur WP eng le tableau récapitulatif des amphétamines: vous n'y trouverez pas le méthylphénidate... et pour cause ! Chimiquement, elles n'en sont pas dérivées. Par souci de consensus, j'ai indiqué dans le chapitre chimie l'appartenance commune des amphétamines et du méthylphénidate aux phényléthylamines substituées. J'ai également évoqué et illustré l'expression amphétamine-like qui semble vous tenir à cœur. Cordialement, --Tdahweb (discuter) 28 avril 2014 à 19:34 (CEST)[répondre]

"Efficacité" paragraphe trompeur et partisant[modifier le code]

Bonjour,

Le paragraphe suggère que sur le long terme, l'efficacité du méthylphénidate est comparable à la thérapie comportementale pour le TDAH. Que fait ce paragraphe "efficacité" pour le TDAH, on parle d'une molécule la non?

D'autre pars, le chapitre semble laisser entendre que la thérapie comportementale serait d'une efficacité comparable à long terme à la médication. C'est une interprétation malhonnête des sources.

Pour preuve, je commence par la plus mensongère: "Après 8 ans, il n'y a pratiquement aucune différence", ce qui laisse sous entendre que la médication et thérapie sont égaux après 8 ans de traitement. Alors que voici comment commence la conclusion de la publication sourcée (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3063150/): "Type or intensity of 14 months of treatment for ADHD in childhood (at age 7.0–9.9 years old) does not predict functioning six-to-eight years later", je traduit: "Le type ou l'intensité de 14 mois de traitement du TDAH chez les enfants (âgés de 7 à 9,9 ans) ne permet pas de prédire le fonctionnement six à huit ans plus tard." Il s'agit donc de la mesure de l'effet d'un traitement (medic ou thérapie) d'une durée de 14 mois, huit ans plus tard.

Précédée de: "Après 3 ans, la différence avec la thérapie comportementale s'amenuise encore plus". Idem il s'agit de la mesure de l'effet d'un traitement de 14 mois source (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17667478): "By 36 months, the earlier advantage of having had 14 months of the medication algorithm was no longer apparent.."

Les deux autres sources sont aussi interprétées de façon malhonnêtes, les publications mettant en lumière l’absente de disparition des symptômes (médication ou thérapie).

Que ce passe t'il au sujet du TDAH en France? Qui sont ces allergique au méthylphénidate? Les pays anglo-saxons, allemands, belges admettent la gravité du trouble et l'efficacité du médicament sans problème.

Merci de supprimer ce paragraphe.

Cordialement.

Les fréquences des effets indésirables ne correspondent pas au vidal[modifier le code]

Il faudrait revoir la totalité des fréquences avec le vidal,