Discussion:La Presse (France)
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Cet article est indexé par les projets France et Presse écrite.
Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.
| Avancement | Importance | pour le projet | |
|---|---|---|---|
| Bon début | À évaluer |  | France (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) |
 | Presse écrite (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | ||
Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.
Référence douteuse[modifier le code]
« ...La Vieille Fille (Balzac)... le roman d'Honoré de Balzac fait scandale »
Le roman paraît en douze articles dans La Presse (journal français), entre le 23 octobre et le 4 novembre 1836. Devant les réactions scandalisées de ses lecteurs, Girardin préfèrera par la suite commander ses feuilletons à des auteurs dont la morale paraît plus sure : Soulié, Scribe et Alexandre Dumas. (Terre des écrivains).Cette référence est contestable et mentionnée nulle part ailleurs que sur ce site. D'ailleurs, si ces affirmations étaient exactes, pourquoi Girardin aurait-il publié ensuite:
- 1837 La Maison Nucingen, Balzac
- 1840 : Un ménage de garçon, publication partielle du texte qui deviendra en 1843 : La Rabouilleuse , Balzac
- 1847 : La Dernière incarnation de Vautrin ( encore plus scandaleux que La Vieille Fille (Balzac) .Une des versions de Splendeurs et misères des courtisanes. Et encore : Balzac
Il faut que la référence soit confirmée par un ouvrage écrit. Merci.--L'Oursonne 20 août 2007 à 19:29 (CEST)
- Le 31 mai 1837, Emile de Girardin écrit à Balzac : « Je vous serai très obligé de vous rappeler que La Presse s’adresse à quinze mille abonnés et que c’est dans les salons qu’elle compte le plus de lecteurs parmi les femmes. Donc si le sujet permet qu’il n’y ait rien qui blesse leur susceptibilité de pudeur [lire leur pudeur susceptible], cela sera une grand-chance d’un immense succès. »--Anne 21 août 2007 à 13:18 (CEST)
- Ceci ne justifie toujours pas l'affirmation suivante :
- Ceci ne justifie toujours pas l'affirmation suivante :
- Le 31 mai 1837, Emile de Girardin écrit à Balzac : « Je vous serai très obligé de vous rappeler que La Presse s’adresse à quinze mille abonnés et que c’est dans les salons qu’elle compte le plus de lecteurs parmi les femmes. Donc si le sujet permet qu’il n’y ait rien qui blesse leur susceptibilité de pudeur [lire leur pudeur susceptible], cela sera une grand-chance d’un immense succès. »--Anne 21 août 2007 à 13:18 (CEST)
« Girardin préfèrera par la suite commander ses feuilletons à des auteurs dont la morale paraît plus sure : Soulié, Scribe et Alexandre Dumas. (Terre des écrivains). »
, démentie par les faits puisqu'en 1840 et 1847,Balzac a encore publié deux oeuvres majeures dans ce journal.--L'Oursonne 21 août 2007 à 19:14 (CEST)