Discussion:La Fronde (journal)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons


Suppression du paragraphe Pretexte[modifier le code]

Je supprime le paragraphe Pretexte. Ce paragraphe parle de la RF, qui a lieu un siècle auparavant. Je propose de le remplacer par Contexte qui évoquerait la situation des femmes au XIXéme siècle. --2+4 (discuter) 18 novembre 2016 à 14:13 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecdote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 15 janvier 2018 à 13:16, sans bot flag)

J'ai l'intention d'écrire prochainement la version allemande de cet article. Le nom "La Fronde" fait-il référence à l'arme ou à la révolte - ou à tout ? Gerald Fix (discuter) 4 décembre 2023 à 06:36 (CET)[répondre]

Je dirais : la révolte Mike d 19 décembre 2023 à 11:07 (CET)[répondre]
Bonjour !
Dans le premier numéro du journal (disponible sur Gallica), en page 3, « Les Journaux », on peut lire sous la plume de Thilda Harlor :
« D'abord, remercions M. Emile Faguet des souhaits de bienvenue qu'il adresse à la Fronde par l'intermédiaire du Gaulois.
Mais qu'il nous permette de protester contre la manière erronée dont il présente certaines de nos revendications.
Avant tout, un mot d'explication sur le titre, ce titre offensif dont on rétrécit la portée en le faisant descendre du combat abstrait des idées, à une sorte d'agression burlesque. Il n'est pas l'étiquette d'une inutile guerre de duchesses, ni d'un amusement aux dangereux projectiles, soit pierre, soit égratignante épigramme, mais d'un blâme pacifique, d'une subversion patiente et quotidienne de l'état social actuel, qui infériorise au triple point de vue, humain, civil, économique, une moitié de la Cité. Les dictionnaires interprètent l'acception du mot « fronder » par le mot « critiquer ». Là, était une quatrième hypothèse. Les trois autres points d'interrogations de M. Emile Faguet questionnaient à faux.
Si la Fronde déclare la guerre, ce n'est pas à l'antagonisme masculin, mais aux tyrans qui s'appellent abus, préjugés, codes caducs, lois arbitraires et non adéquates aux exigences nouvelles. Elle ne cherche pour la femme aucun triomphe sur l'homme, ni le pouvoir despotique par la ruse, (pouvoir d'hypocrisie que tout homme lui accorde de bonne grâce, comme à un enfant gâté, charmant dans le flagrant délit de mensonge), ni ce qu'on reproche, de mauvaise foi aux féministes, l'identité des sexes. Elle réclame l'égalité des droits, le développement sans entraves des facultés de la femme, la responsabilité consciente de ses actes, une place de créature libre dans la société. [...]
Si notre journal est une tribune de combat, il est aussi et surtout une propagande par le fait. Nous parlerons de nous, puisque nous parlerons de tout. Ce porte-parole féminin n'est pas que féministe. L'aimable et galante curiosité de M. Emile Faguet sera bientôt convaincue, nous l'affirmons, qu'il n'y avait à redouter ni le clairon brutalement batailleur qu'il nous pronostique, ni la crainte de nous voir embéguinées dans la comédie d'une gravité pédantesque. »
--BerwaldBis (discuter) 19 décembre 2023 à 15:29 (CET)[répondre]
Merci beaucoup ! Gerald Fix (discuter) 20 décembre 2023 à 04:36 (CET)[répondre]