Discussion:Histoire de l'Europe

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Conseil de l'Europe[modifier le code]

Le 11 avril, j'ai introduit des modifications en ne sachant pas à quel point wikipédia était une encyclopédie ultra vivante. C'est donc par manque d'expérience que j'ai fait une modification intempestive dans "les institutions européennes actuelles". Il y a toutefois une erreur à corriger. Personnellement je n'ose plus toucher à rien. Voici l'erreur: sous le titre conseil européen, apparaissent la convention européenne des droits de l'homme et la cour européenne des droits de l'homme. Il s'agit du CONSEIL DE l'EUROPE et pas du conseil européen. Il y a par ailleurs un excellent article sur le conseil de l'Europe sur Wikipedia. Bref, il faudrait que quelqu'un (pas moi) mette de l'ordre dans ces titres d'institutions européennes actuelles. Toutes mes excuses.

Définition[modifier le code]

Il manque aussi une définition de l'Europe. Pseudomoi 11 mar 2005 à 22:51 (CET)

Cet article est intéréssant, mais il manque des dates. Il faudrait préciser les périodes concernées dans les titres. 11 mar 2005 à 11:25 (CET)

Abréviations[modifier le code]

Comme les articles EEC, EFTA et EEA n'existent pas aujourd'hui, est-ce que quelqu'un pourrait en attendant préciser la signification des lettres ? --C@t 22 octobre 2005 à 13:07 (CEST)[répondre]

Je souhaitais supprimer un des deux liens vers le portail d'histoire(le lien rouge) mais je n'ai pas trouver comment faire(je suis débutante sur wikipédia).Est-ce que quelqu'un pourrais m'expliquer svp(ou le faire,comme ça je verrai)? --Lushie (d) 11 janvier 2011 à 23:34 (CET)[répondre]

Guerre d'édition sur la carte des aires cultuelles majoritaires[modifier le code]

Its-thor ne cesse d'effacer le christianisme orthodoxe et affirme que la situation présentée par cette carte (qui date de 2006) n'est actuellement pas possible, et il pense que l'"Atlas des religions", hors-série du "Monde", 2007, 194 pp. est une source non viable. Mais il refuse d'expliquer pourquoi il pense que c'est impossible (fait-il référence au recul de la pratique religieuse? pense-t-il que le christianisme orthodoxe n'existe pas? ou que les limites des des aires cultuelles majoritaires ne correspondent pas aux sources ? (il n'y a pas que cette carte et que l'"Atlas des religions" qui donnent ces limites).

Je lui ai demandé ce qui le gêne exactement ? Pourquoi la question "Quand" ? Quelle précision attend-il ? (une "tradition religieuse dominante" ne signifie pas que tous les gens sont pratiquants, ni même croyants), mais il refuse d'expliquer sa démarche. Pourtant les traditions religieuses sont une réalité : sans religion, comment les populations auraient-elles été mobilisables (et mobilisées) dans les guerres de dislocation de la Yougoslavie et dans le conflit israélo-palestinien ? (pour ne parler que de ces deux exemples...)

Cordialement, --Spiridon Ion Cepleanu (d) 18 juillet 2011 à 21:48 (CEST)[répondre]

Erreur concernant les langues[modifier le code]

L'image présentant les langues parlées en 2000 contient au moins un grosse erreur, elle indique qu'en 2000 on parlait une langue germanique en Alsace-Moselle, hors c'est faux. Le français est la langue officielle et est parlée par tous. S'il faut considérer les locuteurs parlant alsacien (effectivement rattaché aux "langues" germaniques) ils parlent tous français comme n'importe quel français (et seraient donc à considérer comme bilingues). Donc c'est bien le français qu'il faut indiquer en Alsace-Moselle. Et si quelqu'un indique que c'est sorti d'un atlas officiel et donc vrai, je me contenterais de rétorquer que je suis alsacien (e ben elsässer nundebuckel)... Cette carte est d'ailleurs doublement erronée, car elle laisse penser (en lisant la légende) que c'est l'allemand qui est la langue officielle en Alsace, hors l'allemand n'est pas parlé en Alsace, l'alsacien appartient certes aux langues germaniques mais n'est pas de l'allemand (tout comme le français n'est pas du latin). Wir sprechen nicht Deutsch im Elsass. Concernant la Suisse, le tracé me parait faux, vu que Bâle (ville et campagne) est indiqué comme une zone où le français est parlé, hors ils parlent allemand. Les zones où le basque et le breton sont signalés me paraissent tout aussi louches (mais n'étant ni basque ni breton je ne me prononcerais pas).

Cette carte a pour source l'Atlas des peuples d'Europe occidentale d'André et Jean Sellier, page 29 (qui met l'Alsace-Lorraine entièrement en zone de langue germanique) ; la carte ici redessinée fait figurer des "poches" de français dans les villes, et sur l'agrandissement il semble que Bâle est en position frontalière, le français figuré au sud de cette ville étant celui du canton du Jura. Le défaut de cette carte est que sa légende "Familles linguistiques" est peut-être insuffisamment précise (si on peut penser qu'il s'agit de langues officielles) ; toutefois, on sait bien que la "famille germanique", ce n'est pas que l'allemand. Ce genre de carte ne montre pas les langues officielles (seul le français l'est en France) mais les substrats linguistiques, de même que la carte des religions ne figure pas les pratiques ni les religions d'état (là où il y en a) mais les substrats religieux en tant que phénomènes culturels. Bref il s'agit de cartes qui ne montrent pas les législations officielles, les évolutions culturelles récentes (dont la baisse des pratiques religieuses ou le recul des langues régionales) ou les flux de populations (il y a beaucoup de non-alsaciens en Alsace, et tant mieux car le brassage des cultures est enrichissant), mais des aires culturelles-historiques. Les mentionner, ce n'est pas nécessairement nier la nécessité d'une langue nationale unique pour assurer l'égalité des chances, ni la nécessité de la laïcité pour assurer la liberté de penser... Si certains cercles nationalistes se servent de ces réalités (et de ce genre de cartes) à des fins politiques, c'est un peu comme certains bricoleurs qui se servent de leurs outils à des fins inavouables : les outils en eux-mêmes n'y sont pour rien, on ne va pas les jeter pour autant ! --Spiridon Ion Cepleanu (d) 25 décembre 2011 à 21:15 (CET) (moi non plus je ne parle pas allemand en Alsace).[répondre]

Erreur sur la carte de l'Europe 13e siècle et avant[modifier le code]

Erreur concernant la Bretagne qui était un royaume indépendant de 892 à 1532 ap JC - Ensuite devenu duché du royaume de france

En effet. Fait, --Spiridon Ion Cepleanu (discuter) 3 février 2014 à 15:39 (CET)[répondre]

Cartes des religions et des langues[modifier le code]

Dans l'histoire de l'article, elles ont été enlevées au motif qu'elle sont contestées, mais les contributeurs en question n'ont pas lu leurs pages de discussion jusqu'au bout et n'ont pas vu qu'elles ont été mises à jour et complétées en tenant compte des remarques, autant que possible (on ne peut pas non plus représenter toutes les minorités). D'autres contributeurs surtout français, les ont contestées parce qu'ils ont été élevés dans la tradition républicaine selon laquelle une identité culturelle ne peut découler que de la Constitution et de la Loi. Ils confondent "tradition" et "croyance", "aire linguistique traditionnelle" ou "usuelle" et "langue officielle". Pour eux, les cartes culturelles (linguistiques et religieuses) ne devraient pas exister au motif que laïcité et langue d'État sont seules officielles. C'est confondre "égalité" et "uniformité" (ce n'est pas parce que la France est laïque que tout le monde est athée, et ce n'est pas parce que le français académique est officiel que c'est la seule langue usuelle). C'est ainsi qu'on exacerbe les communautarismes, mais ce qui nous intéresse ici est qu'enlever ces cartes nous prive d'infos intéressant et éclairant les identités européennes. --Trecătorul răcit (discuter) 21 mars 2018 à 19:38 (CET)[répondre]

Traitement des concepts d'énergies fossiles et renouvelables[modifier le code]

Bonjour, ceci est ma première contribution donc n'hésitez pas à me guider si je m'y prends mal.

Dans la section "Époque contemporaine", la partie dédiée à la révolution industrielle inclut un traitement ambigu de l'énergie fossile du charbon qui est présentée comme infiniment plus puissante car représentant des millions d'années d'accumulation.

La formulation "infiniment plus puissante" me semble à relativiser, si possible en faisant référence à un ordre de grandeur calculé ou au minimum estimé.

Ensuite, la justification de cette plus grande puissance par des milliers d'années d'accumulation me semble hors de propos : quitte à expliquer cette puissance, il serait plus judicieux de justifier l'efficacité de ce combustible par sa composition.

L'extrait en question :

« C'est en Europe que se développe la révolution industrielle, née vers 1780 au Royaume-Uni, où des progrès techniques (acier, machine à vapeur, rails) permettant d'exploiter l'énergie fossile du charbon, infiniment plus puissante (parce qu'elle représente des millions d'années d'accumulation) que les énergies renouvelables (humaine, des animaux de trait, vent et rivières pour la navigation et les moulins). »

ElBison (discuter) 12 janvier 2023 à 15:21 (CET)[répondre]

Bonjour,
Le propos que vous contestez est pourtant correct sur le fond. On pourrait toutefois en effet remplacer l'adverbe infiniment, qui est excessif, par le coefficient numérique qui était valable au XIXe siècle, lors de la Révolution industrielle. Tout a évidemment changé aujourd'hui, où les énergies renouvelables deviennent progressivement compétitives par rapport aux énergies fossiles, grâce aux progrès de la technologie.
À noter qu'à cette époque, le charbon remplace avant tout le bois, par exemple dans les fours à chaux ou les forges, plutôt que le vent, le courant des rivières, ou la traction animale.
C'est bien le temps, la pression et la chaleur géothermique qui transforment un matériau organique peu énergétique en charbon ou en hydrocarbure très énergétique. La technologie moderne n'a pas encore réussi à remplacer entièrement ces facteurs géologiques gratuits afin de pouvoir fabriquer des charbons ou des hydrocarbures de synthèse compétitifs.
Cordialement, Keranplein (discuter) 12 janvier 2023 à 16:52 (CET)[répondre]