Discussion:Harcèlement

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Parti pris ?[modifier le code]

En lisant l'article sur le harcèlement moral, je trouve qu'il est quand même de parti pris victimologiste, ce qui tend à faire penser que les harceleurs peuvent toujours agir librement. Il faut bien considéré que cette notion provient de l'essor des techniques de développement personnel et d'une offensive de la sphère psycho dans le monde de l'entreprise. La démarche a sa pertinence pour faire face à l'isolement de salariés en vue d'éviter les plans sociaux, par exemple, mais laisser entendre que les prud'homes sont plutôt laxistes dans ce domaine, c'est faire fi du fait que ces tribunaux sont paritaires. Je connais la question, en tant que médiateur, et, n'en déplaise, un grand nombre de plaintes sont infondées, parce que notamment plus liées à la vie personnelle des plaignants qu'à leur vie professionnelle. Je sais, c'est pas facile d'encaisser ce que je viens d'écrire, mais c'est aussi bon à reconnaître.

Je n'ai pas eu le courage de tout lire de la critique du livre (ci-dessous), mais globalement, lecture en travers, je rejoins l'auteur.Prosope 4 octobre 2006 à 16:34 (CEST)[répondre]
La notion de harcèlement moral est assez « victimologique » en elle-même. Il me semble cependant que l'article prenait les précautions oratoires nécessaires mais je ne l'ai pas relu en détail récemment (et la formule que vous avez corrigée m'avait échappé). Il comprend en tous cas un chapitre sur les critiques de la notion. Attention aussi à ne pas confondre deux critiques : celle selon laquelle la notion de harcèlement moral est trop centrée sur la supposée perversion du harceleur et celle selon laquelle la plupart des plaintes seraient fantaisistes. N'en déplaise à certains, la plupart des psychologues/sociologues du travail considèrent que ce phénomène médiatique révèle de graves dysfonctionnements dans les rapports au travail. Le désaccord porte principalement sur la nature et les causes du problème. Par ailleurs, il serait bon d'éviter les arguments d'autorité et les ad hominem par anticipation. « Je sais, c'est pas facile d'encaisser ce que je viens d'écrire » mais la discussion n'en sera que plus sereine. GL 4 octobre 2006 à 17:46 (CEST)[répondre]


Les "mobbeurs" agissent toujours sous l'oeil et le soutien bienveillant de la hiérarchie. Leur but unique est de tout mettre en oeuvre pour que la personne "mobbée" tombe en dépression, lâche prise en donnant son congé, ou, dans le pire des cas se sucide. Les mobbeurs jouissent de toute impunité, pour la simple raison que les lois sont insuffisantes - en Suisse en particulier - la jurisprudence n'est pas favorable aux mobbés. Car, c'est bien connu, il n'y a pas de peine sans loi. Pour dissuader certains employeurs de laisser ce phénomène en tout impunité il faudrait regrouper les jurisprudences européennes, car les noms des entreprises ou institutions publiques ne sont pas caviardés.

critique du livre de Hirigoyen[modifier le code]

L'ouvrage de Mme HIRIGOYEN sur le harcèlement moral a bénéficié et bénéficie encore d'un succès incroyable. Ce succès ne nous semble pas dû à la qualité des propos qui y sont tenus. Banalisant le terme de harcèlement moral et de pervers narcissiques, cet ouvrage grand public méconnait un certain nombre de règles de prudence élémentaires. Cet ouvrage repose sur un parti pris victimologique selon les mots même de l'auteur. Cela signifie que seule la victime importe. La victime à la lecture de cet ouvrage est une personne sympathique, généreuse, aussi équilibrée que tout un chacun peut l'être. Attachée à bien faire, la victime souffrira d'autant plus d'un prédateur que ce dernier la poussera à commettre des actes injustifiables qu'il ne se lassera pas de lui reprocher. Par cette manoeuvre le prédateur pousse la victime dans ces derniers retranchements, jusqu'à commettre un meurtre psychique. La gravité des attaques du prédateur laisserait supposer que ce dernier soit bien identifié. Ce que l'on sait de lui se réduit pourtant au minimum. Il est semble-t-il assez intelligent, très bien intégré à la société et il martyrise la victime en secret. Il est si intelligent que la torture qu'il inflige à sa victime est indétectable aux yeux de tous. Seule la victime sait qu'il s'agit d'un prédateur car le reste du monde est aveugle ou complaisant en vertu d'un individualisme exacerbé, qu'à la faveur de l'air du temps l'auteur fustige. Comment la victime sait-elle qu'elle a affaire à un prédateur? La réponse est dans le livre. Le prédateur est méchant, il fait des remarques désobligeantes que seule la victime comprend, il ne cesse ne la critiquer jusqu'à saper les fondements de son individualité même. Pour la victime cela se traduit par une fatigue générale, des maux de ventre, une attitude dépressive rebelle aux antidépresseurs. Bref la victime va très mal. Si l'on va mal et que l'on lit l'ouvrage de Mme Hirigoyen, on se sent beaucoup mieux parce que l'on trouve enfin les explications à notre mal-être. On est fatigué, stressé ou dépressif parce que l'on est la victime d'un prédateur. Evidemment personne d'autre ne peut le voir puisque le prédateur agit de façon souterraine et sa seule cible est la victime. Les autres ne voient donc rien du tout. Le prédateur en question est identifiable facilement par la victime puisqu'il est la personne que la victime souhaite. La définition du prédateur est si peu rigoureuse que son critère d'identification repose avant tout sur la propre subjectivité de la victime. Cela convient tout à fait au parti pris victimologique de l'ouvrage. Une fois identifié par la victime le prédateur se voit paré des pires défauts. Il tue pour le plaisir (ce qui est une contrevérité manifeste puisque dans la nature les prédateurs tuent pour se nourrir), il est semble-t-il un reliquat du temps où l'homme n'était qu'un animal assoiffé de sang. Le prédateur est à peine humain, il est dépourvu d'affect et ne vit que pour recevoir l'amour des autres, il est narcissique. En échange des bonnes actions de la victime à son égard, il donne de la haine, une haine plus forte à mesure que la victime essaie de mieux faire. Il est le mal absolu, source de tous les déboires de la victime. Face à un prédateur, une solution : la fuite! Il est clair que quiconque entretient des relations conflictuelles avec autrui se sentira mieux en s'éloignant de cette personne. Nul besoin de désigner un prédateur pour cela. Si l'on démissionne du poste dans lequel notre supérieur nous accable de travail, cela ira mieux. Si l'on s'éloigne du conjoint que l'on n'aime plus, cela ira mieux aussi. Mais si la victime est partie selon les bons conseils de l'auteur, l'amélioration de sa situation justifiera rétrospectivement la qualité de pervers de celui que l'on fuit. Parce que s'éloigner d'un pervers permet d'aller mieux, si l'on s'éloigne d'une personne et que ça va mieux c'est que cétait un pervers. Si ça ne va pas mieux, l'auteur a malgré tout une solution. Il faut consulter un psychiatre ou un psychologue car l'emprise du prédateur peut être si forte qu'elle se poursuive malgré la disparation du prédateur. Cette incitation à la consultation nous semble particulièrement partisane d'autant que l'auteur n'engage pas qu'à consulter des médecins psychiatres. Mais ce discours consulter à tout va passe d'autant mieux qu'il est une constante des ouvrages écrits par ceux qui monnayent ces consultations. La mode du psy a la peau dure. Intéressons-nous maintenant au prédateur désigné par la seule victime. Il a été critique à son égard, odieux quotidiennement, la banalité fustigée des actions du prédateur laisse le champ libre à la victime pour qualifier de pervers de nombreux actes quotidiens du pervers. Si la victime autoproclamée conseille au pervers la lecture de l'ouvrage de Mme HIRIGOYEN, il n'en tirera pas le même profit qu'elle. Il va découvrir au fil des pages qu'il n'est qu'une coquille vide, un demi-humain assoiffée de haine. S'il nie sa qualité de pervers, la victime lui reprochera de nier les souffrances qu'elle a subies, ce qui est la tactique numéro un des pervers, il est donc un pervers. S'il remet en cause l'ouvrage de Mme HIRIGOYEN par la critique de ses fondements: il ne fera qu'un exercice de rhétorique du type de ceux qu'affectionnent les pervers: il est donc un pervers. Il peut enfin admettre qu'il est un pervers. Cette perspective n'est que peu réjouissante puisque selon l'auteur les pervers ne guérissent jamais. Désappointé, le pervers peut essayer de parler de sa situation. Etant bien adapté socialement, lorsqu'il racontera à tous qu'il est un pervers pour la victime, cela se retournera contre la victime à qui l'on reprochera l'absurdité de ses affirmations. Mais heureusement la victime pourra alors montrer qu'il ne s'agit encore que d'une manoeuvre du pervers, très intelligent, visant à jeter l'opprobre sur elle. Il est donc bien un pervers, en définitive. Ce qui est effrayant dans cet ouvrage, c'est que si on le parcourt en tant que pervers désigné, il semble comme un gigantesque piège psychologique qui se referme sur le pervers. Toutes ses réactions peuvent être qualifiées de perverses dans la mesure où sa qualité le prive irrémédiablement d'honnêteté. On peut toujours lui reprocher, la victime ne s'en privera pas appuyée par un ouvrage aussi mondialement salué, de calculer ses réactions dans le but de poursuivre ses nuisances contre la victime. Le pervers désigné n'a donc aucune alternative rationnelle pour défendre son intégrité mentale. L'accusation de déviance mentale dont il est l'objet peut avoir des conséquences redoutables sur son état. L'absence d'alternative peut conduire au suicide. Mais le pervers désigné peut lui aussi profiter de l'ouvrage de Mme HIRIGOYEN. Devant l'absence d'alternative qui s'offre à lui, face à ce piège qui se referme, le plongeant dans la folie et le décrédibilisant aux yeux de tous, le salut existe. Le pervers désigné peut penser qu'il est lui aussi la victime d'un pervers qui l'a poussé à lire l'ouvrage de Mme HIRIGOYEN en le désignant comme pervers afin de le détruire intérieurement-il doute de sa santé mentale- et extérieurement- tout le monde sait qu'il est un pervers-. Face à cette victime autoproclamée qui est en réalité une perverse d'une intelligence incroyable au point de retourner l'ouvrage contre lui, le pervers désigné, maintenant victime autoproclamée peut profiter des enseignements précieux de l'ouvrage en question. Il peut s'éloigner géographiquement et si ça ne va pas mieux, il ira consulter. Si deux personnes ne s'aiment plus et que l'une d'elles tombesur l'ouvrage de Mme HIRIGOYEN, la situation sera donc la suivante. La première lectrice (les victimes dans le couple sont toujours des femmes), victime autoproclamée trouvera une justification facile à tous ses déboires sentimentaux: elle subit les attaques d'un pervers. Le pervers, à la lecture de l'ouvrage de Mme HIRIGOYEN, devant l'horreur de sa situation s'en sortira en se considérant comme la victime d'un pervers d'un niveau supérieur, (un métapervers?) se faisant passer pour une victime afin de satisfaire son besoin de vengeance. Nul doute que tout cela se démèlera chez un psy! Au final, cet ouvrage laisse au lecteur, victime autoproclamée ou pervers désignée par celle-ci, un sentiment étrange. Il lui fournit une explication clé en main de tout son mal-être: il est la victime d'un pervers. L'universalité de ce constat n'est pas totalement acceptable. Le mal-être est le quotidien de tout-un-chacun, il est difficile de mener une existence heureuse tout le monde en convient. Chaque personne mal dans sa peau qui lit cet ouvrage dispose donc d'une explication universelle de ses souffrances dans l'acharnement d'un pervers contre elle. Le pervers diabolique, toxique, nous semble être une justification trop facile de toutes nos difficultés. Parce que la victime est systématiquement valorisée dans cette ouvrage, déculpabilisée parce que ses actes inacceptables ne sont que les résultats de la politique de sape du pervers, endosser la qualité de victime valorise le lecteur. Cela le dispense de se remettre en question alors que nos difficultés ne sauraient provenir que de l'attitude d'autrui, pervers ou pas envers nous. Diaboliser une partie de la population, les pervers, indétectables mais très nocifs, n'est selon nous qu'une variante psychologisante de la théorie du complot. La théorie du complot, c'est croire que d'autres sont responsables de tous nos maux et que ces autres il faut les éradiquer. Les exemples affluent alors... L'ouvrage de Mme HIRIGOYEN nous semble contestable pour toutes ces raisons, parce qu'il est trop facile de justifier tous nos maux par les actes d'autrui. C'est d'ailleurs ce qui rend la lecture de cet ouvrage si agréable. Qu'il est bon de ne rien avoir à se reprocher, de pouvoir tout reprocher à l'autre! Parce que la diabolisation de certaines populations est aussi inepte que courante, il convient de prendre cet ouvrage avec circonspection. Bien entendu, les pervers narcissiques existent puisque les scientifiques s'accordent sur leur existence, et il n'est pas question de remettre en cause les soubassements scientifiques de l'ouvrage. On ne saurait nier qu'autrui a toujous un grand pouvoir de nuisance envers nous et que nos souffrances ne peuvent être passées sous silence. On aurait pourtant aimé qu'il soit plus précautionneux en définissant rigoureusement les pervers narcissiques, en ne dédouanant pas systématiquement les victimes autoproclamées. Ses manques selon nous sont d'autant plus graves que cet ouvrage est à destination du grand public et pas seulement de spécialistes à même de bien identifier ce qu'il désigne.

Etonnante dénégation d’un phénomène de société préoccupant que ce qui précède. De plus, non signée. En gros, il ne faut pas diaboliser les délinquants et les victimes trouvent dans la notion de harcèlement moral un exutoire à leurs problèmes existentiels ou bien sont perverses. De plus, elles s’autoproclament. Mais comment pourrait-il en être autrement puisque le propre du pervers est de rester masqué. Et en vertu de quel principe, une victime d’une quelconque agression, devrait-elle attendre qu’un autre la proclame victime pour dénoncer sa situation ? Forcément, des accusations abusives doivent exister mais on ne peut nier qu’il y a des violences cachées. On peut, cependant, trouver, dans ce commentaire virulent, une part de vérité. C’est l’idée d’inversion qui est la quintessence du harcèlement moral et qui consiste à RENVERSER LES ROLES pour faire passer la personne cible pour la cause du problème et ce sur une longue période. Mais il ne me parait pas juste d’écrire : "Seule une victime autoproclamée peut être une perverse d'une intelligence incroyable". Car plus intelligent encore est de proclamer tout l'établissement, l'entreprise... victime. C'est encore mieux et c'est d'une discrétion redoutable puisqu'en plus on se fait passer pour un bienfaiteur. Imparable !--Bpa 12 mars 2007 à 05:32 (CET)[répondre]

L'article non signé et critiqué est de mon fait. Je signale à l'auteur de la critique que mon adresse ip est enregistrée. Sur le fond, je maintiens ma critique de cet ouvrage. Le raisonnement relatif à l'inversion des rôles prenait comme hypothèse de départ un cas de harcèlement moral dans le couple et non pas en entreprise, comme cela semble ne pas avoir été relevé. Si j'ai bien compris la critique, au final, celui qui, accusé de pervers, retourne l'accusation contre sa victime est en définitive extrêmement intelligent. Cela est très flatteur. Mais si l'on poursuit le raisonnement, cette intelligence incroyable ne peut être que le fait d'un pervers...qui joue les bienfaiteurs. Donc retour à la case départ. A mon sens, cela démontre que cette notion de pervers n'est absolument pas efficiente puisqu'il est impossible de la contredire, au moins dans cet exemple. Il me semble pourtant que la possibilité d'une contradiction est l'un des critères essentiels d'une théorie scientifique. Ce n'est pas le cas ici. Donc la théorie des pervers narcissiques n'est pas scientifique. Mais qu'est-elle donc alors? J'aurais tendance à y voir l'exploitation mercantile d'un phénomène psychologique existant mais restreint. En soit cela n'est guère répréhensible. Ce qui m'ennuie c'est d'une part l'absence de précautions dans la définition du pervers dans l'ouvrage de Mme Hirigoyen et surtout d'autre part cette détestable tendance à expliquer le malheur des uns par les autres. A titre personnel, je prends cela comme du mépris envers la masse des lecteurs supposée abêtie au point de croire que tous leurs malheurs sont dus à des pervers narcissiques. Cet avis n'engage que moi. Etant forcément celui d'un pervers, il n'a que peu d'intérêt. Mais les pervers étant des gens extrêmement intelligents, sans doute contient-il une part de vérité? ;-)

Sans doute devrait-on parler non de la personne mais de l’acte ou du trouble de la personnalité et donc parler d'actes pervers ou de perversion plutôt que de pervers.--Bpa 23 mai 2007 à 23:06 (CEST) Finalement, tout auteur d'un délit ne relève pas forcément de la psychiatrie. Peut-être devrait-on alors, dans ce cas, parler simplement de délinquants...--Bpa 25 juin 2007 à 10:01 (CEST)[répondre]

... et hors du bureau?[modifier le code]

Bonjour,

Ne pensez vous pas que nous pourrions aussi aborder le thème du harcèlement moral hors du travail? Ce thème reste encore et toujours trop "gardé sous silence", et rares sont les articles qui parlent aussi du harcèlement dans un cadre familial (voisinage aussi par exemple). Qu'en pensez vous?

Lucie-Charlotte 16 avril 2007 à 20:03 (CEST)[répondre]

La situation est quand même bien différente. La notion de mobbing/harcèlement moral a été construite pour décrire un type de problème particulier. Il faut faire attention à ne pas établir de parallèle trop hâtif. GL 16 avril 2007 à 21:55 (CEST)[répondre]
et comment définit on donc le "harcèlement moral dans un cadre familial", ne me dit pas que ça n'existe pas, c'est impossible. (je vais peut etre choquer mais ça me fait penser au viol d'un mari sur sa femme qui très longtemps n'a pas été reconnu comme étant un viol) Lucie-Charlotte 17 avril 2007 à 14:49 (CEST)[répondre]
Je ne sais pas, tu connais des articles ou des livres sur le sujet ? GL 18 avril 2007 à 14:47 (CEST)[répondre]
et bientôt on ne vendra plus de camenbert parce que ça pue et parce que c'est au lait frais.... ;-) Jean-Louis Lascoux 18 avril 2007 à 17:17 (CEST)[répondre]
je n'en ai pas encore trouvé, mais je ais qu'une cetaine "prise de conscience" est en train de se faire au niveau juridique, elle l'est depuis longtemps au niveau psychologique (mais uniquement assez "pointu"), mais je pense qu'il y a un réel manque d'informations sur le sujet, c'est pourquoi il serait peut etre temps d'en parler. Quand au camember je ne vois pas trop le rapport.... Lucie-Charlotte 18 avril 2007 à 19:08 (CEST)[répondre]

L'inscription de cet article dans le portail/projet socio ne me parait vraiment pas pertinente. À vrai dire, les sociologues qui se sont exprimés sur la question ne l'ont fait à ma connaissance que pour critiquer le concept comme une « psychologisation » de problèmes plus vastes dans l'organisation de la production, « activement ignorés » par une perspective centrée sur l'individu (le pervers, la victime). GL 20 avril 2007 à 22:14 (CEST)[répondre]

Le harcèlement moral : une destruction lente et sournoise de l'individu[modifier le code]

J'ai le souffle court, à la lecture des différents points de vues que je parcours sur ce site ; j'ai hésité avant de m'impliquer mais je fais un choix, il faut dénoncer ces comportements persécuteurs et sadiques, en effet, je sais de quoi je parle, je l'ai vécu, et je le vis encore ; les cicatrices ne sont toujours pas refermées et elles sont imprimées au plus profond de mon être, bien que j'essaie, petit à petit de refermer ces plaies qui sont encore bien béantes. C'est vrai, il est difficile de démontrer concrètement et rationnellement le harcèlement moral ; mais des éléments factuels peuvent être rassemblés en prenant le temps de les restituer dans leur contexte ; (écrits, situations, entretiens à deux car bien souvent le harcèleur agit sans témoins); La plus grande "force" - et à la fois sa lâcheté- du harceleur est de culpabiliser "l'autre" en aparté (je refuse d'employer le terme de victime) puis de se positionner (Le harcèleurs) sur le devant de la scène en individu brillant allant (bel orateur, sourire etc...) allant jusqu'à vous féliciter devant quelques autres. Il existe dans les Entreprises, des articles du Code du Travail L122-46, L122-49, L122-54, mais les DRH, les CHSCT, et Médecine du Travail sont...très embarassées pour, ne serait-ce oser aborder et exprimer ce sujet très tabou. Il n'est exprimé que sous-couvert du stress, fatigue momentanée et "allez voir votre Médecin Traitant vous avez besoin de vous reposer".

Voici, une toute petite lueur de mon vécu.

Je trouve qu'il y a gros problème sur cet article parce qu'il mélange des notions complètement différentes. Déjà le titre est beaucoup trop vague: Harcèlement. De quoi? de qui? C'est un mot qui regroupe énormément de choses: le harcèlement moral (un terme juridique qui ne concerne que le milieu du travail), le harcèlement parental, le harcèlement sexuel (encore un terme juridique pour le monde du travail), le harcèlement téléphonique, le harcèlement psychologique (d'où vient cette expression?) etc... L'introduction induit en erreur puisqu'elle ne précise pas que le harcèlement moral ne concerne que le monde du travail et parle du harcèlement parental. Ça laisse entendre que des parents peuvent être accusés de harcèlement moral, ce qui est complètement faux. Ensuite, si c'est vrai que Marie-France Hirigoyen est celle qui a popularisé la notion de harcèlement moral, les procès n'ont pas commencé à partir de ce moment. Les prud'hommes jugeaient déjà depuis longtemps des affaires d'atteinte à l'intégrité psychique ou morale des salariés (sans que le terme harcèlement moral soit bien sûr évoqué). Ensuite, l'article parle du mobbing, je pense qu'il faudrait faire des paragraphes séparés dans ce cas, parce que les situations sont trop différentes d'un pays à l'autre.

L'article dit ensuite que personne n'est à l'abri du harcèlement psychologique. Je ne sais pas ce qu'est le harcèlement psychologique mais en ce qui concerne le harcèlement moral, si c'est vrai que ça touche beaucoup de monde, ça touche quand même beaucoup plus souvent les catégories "fragiles": femmes (dont les femmes enceintes ou qui reviennent de congé de maternité), handicapés, malades, personnes de couleur etc...

Dans le paragraphe traitement judiciaire en France, il y a un gros problème de neutralité et de manque de références: Ils se présentent devant les juges comme des victimes, Des avocats encouragent même leurs clients dans cette procédure en avançant des accusations de harcèlement moral dans le but de discréditer les sanctions décidées par l'entreprise, et d'obtenir des dédommagements plus importants. Excusez-moi, mais ce genre de réflexions balancées sans une source est digne du café du commerce. De plus, beaucoup de procédures ne sont pas engagées après un licenciement (souvent le harcèlement moral n'est pas fait pour vous licencier mais pour vous faire démissionner, sinon où serait l'intérêt pour le harceleur?), mais pour obtenir la résiliation judiciaire du contrat de travail. Les parties en viennent souvent à négocier une transaction plutôt que de s'engager dans une procédure judiciaire. Ah bon? Il y a une étude à ce sujet? En outre, seul l'aspect prud'hommal est évoqué alors que le harcèlement moral est un délit réprimé par le code du travail et le code pénal. La victime peut porter plainte au pénal ou se porter partie civile sur le procès-verbal de l'inspection du travail (aucun mot dans l'article à ce sujet). --Guil2027 3 octobre 2007 à 00:21 (CEST)[répondre]

+1 J'ai fais quelques modifications, mais c'est juste pour dégrossir le travail. En ce qui concerne la partie juridique je ne m'y connais pas assez. --Yugiz (me répondre; p; c) 3 octobre 2007 à 10:45 (CEST)[répondre]

Bibliographie[modifier le code]

Plutôt que de citer de manière brute une liste d'ouvrage en fin d'article, ne serait-il pas mieux d'en faire des références pour appuyer des points particuliers de l'article ? Nakor (d) 7 décembre 2008 à 19:51 (CET)[répondre]

Message d'une IP[modifier le code]

Ne pourrait-on mentionner ici l'analyse transactionnelle, méthode éducative et thérapeutique créée par Eric Berne, basée sur la recherche d'un équilibre relationnel évitant les positions de dominant et dominé, révélant certains "jeux de rôle" comme ceux du triangle infernal SVP = "Sauveur - Victime - Persécuteur", où chaque rôle induit l'autre (parfois à tour de rôle...) et perpétue le système relationnel pathologique de victimisation? Eric Berne a présenté cette analyse de façon claire et simple, afin de pouvoir être comprise et appliquée même par des enfants dès l'âge de 8 ans, agissant ainsi à la racine comme modificateur du terrain socioculturel et familial. Actuellement, le psycho-sociologue Jacques Salomé contribue à diffuser cette méthode de santé relationnelle dans les milieux scolaire et de développement personnel. transfert d'un message d'une IP dans le corps de l'article Nakor (d) 17 mai 2009 à 01:44 (CEST)[répondre]

Lien enlevé pour cause de redirect[modifier le code]

J'ai enlevé ce lien parce qu'un redirect a été mis dessus et il s'en va vers un site, www.ravisy.com, qui n'est pas un site d'information sur la notion de harcèlement moral. Le Bouffre (d) 13 novembre 2010 à 12:10 (CET)[répondre]

lier avec harcelement et haarcelement moral. Ajouter en psychologie, augmenter l'importance.

--Hedi111 (d) 25 août 2012 à 04:58 (CEST)[répondre]

Harcèlement judiciaire[modifier le code]

Je suis surpris de ne pas retrouver le harcèlement judiciaire dans la liste, pourtant souvent employé par la Police de la Pensée à l'encontre des opposants politiques ou des personnes qui dérangent un système. D'autant que la France est très loin d'être en reste en la matière.

Harcèlement en réseau[modifier le code]

J'ai vu qu'il y avait une partie "harcèlement en réseau" où l'auteur expose les symptômes de sa folie paranoïaque, en faisant exclusivement référence à des sites dédiés. Elle est fort heureusement entièrement marquée comme suspecte mais elle est malgré tout de trop. Il faudrait la supprimer, voire la remplacer par une partie sur la paranoïa, maladie qui prend une nouvelle dimension à l'ère d'Internet où les malades peuvent se connecter et établir des théories, s'encourageant mutuellement. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.19.251.134 (discuter), le 29 décembre 2017 à 00:36 (CET)[répondre]

J'ai supprimé, la section étant assez douteuse, autant dans la forme que dans le fond. Cordialement,— Gratus (discuter) 2 janvier 2018 à 00:00 (CET)[répondre]

Vous vous trompez. Le harcèlement en réseau n'est pas de la paranoïa. Il est bien dommage que le harcèlement en réseau ne soit documenté que sur des sites douteux, et ne soit pas connu plus largement, et encore moins connu, ou reconnu.

Une personne ("maitre") manipule des pions pour harceler une cible. Le harcèlement peut prendre différentes formes. Qui faute d'avoir des incidences physiques rendront difficiles la récolte de preuve par la victime.

Le discours de la victime ressemble à celui d'un paranoïaque, et personne ne prendra la peine de l'écouter et quand c'est la cas, on reconstruira ses interprétations en contre-interprétations soit disant plus rationnelles ou plus crédibles, alors qu'elles sont parfois encore plus fantaisistes.

Ce n'est pas tout le monde qui en veut à cette personne, mais une personne ou un groupe qui conspire, parfois avec de simples détails, à harceler une cible. Parfois un pion, ne participe qu'une fois.

Par exemple, faire suivre une personne, et lui faire croiser des personnes avec un sac de courses vides. En lui fait comprendre au préalable le code. Ensuite, quand cette personne n’arrêtera pas de croiser des personnes avec des sacs de course vide, elle pensera avoir été suivi. A tort ou a raison. Le code peut changer, cela peut aussi être des insultes, pointer un laser sur la personne et la brûler (avec un laser de classe 3 illégal en France), il n'y pas de limite.

Cela est rendu possible grâce au "maitre" qui est capable de manipuler les pions, par l'emprise qu'il peut avoir sur eux (supérieur en entreprise, association, autre groupe) ou élément suffisamment convaincant (vidéo). Il n'y a qu'à voir comment une simple vidéo sur les réseaux sociaux peut provoquer le harcèlement cyber ou physique de personne.

Il n'y a pas de moyen de distinguer un paranoïaque et une victime de harcèlement en réseau à partir de leur discours, parce qu'ils seront quasi identiques. A moins de suivre dans sa vie quotidienne 24/7 la victime et constaté les faits. Et cela ne suffira sans doute pas non plus à démontrer les intentions malveillantes des personnes.

Donc toute les personnes non paranoïaques victime de harcèlement en réseau seront classés comme paranoïaque de toutes façons, sauf circonstance extrêmement exceptionnelle qui permettrait de prouver le harcèlement. Il n'y a plus qu'à attendre une affaire médiatique et judiciaire pour faire connaitre le problème.

Cela mériterait une section mais il faudrait pour cela que cela soit beaucoup plus documenté sur le net. Et reconnu. Solsticedhiver (discuter)

Censure sur le harcèlement en réseau, sabotage de mon texte, diffamation[modifier le code]

Bonjour, C'est moi qui ai rédigé le paragraphe sur le "harcèlement en réseau" en 2011 et je demande à l'individu qui me traite de "paranoïaque" de décliner son identité. Pour ma part je n'en fais pas mystère je signe tous mes articles sur Internet. Je donne à nouveau mon nom : Josselyne Abadie, je suis auditeur qualité et auditeur RSE de métier (entre autres nombreuses compétences de pointe), je suis une éthicienne, blacklistée et harcelée pour me bâillonner. Non seulement je suis une experte les sujets sur lesquels j'écris, mais je détiens de nombreuses preuves, dont certaines sont visibles dans mes publications. Mon texte fait l'objet d'attaques comme c'est toujours le cas sur le sujet. Faire passer les cibles de harcèlement et toutes personnes qui dénoncent ces pratiques comme paranoïaques est un grand classique au point d’en être grotesque. Qu'il y ait des infiltrés sur Wikipédia est certains aussi, comme dans tous les hauts lieux d’information. Il faut que les contributeurs sains et les responsables de Wikipedia ne rentrent pas dans ce jeu. Mon paragraphe a fait l'objet de plusieurs modifications douteuses dans le temps de la part de tiers qui sont venus le triturer pour le dénaturer. Une importante partie de mon texte avait disparu et avait été remplacée par des phrases qui le détournaient. Je n'avais pas le temps de revenir m'en occuper alors, je devais gérer des priorités. Voilà que je reviens et c'est encore une autre version en ligne. Une partie de mon texte était revenu, avec de nouveaux triturages et des propos incérés qui rendaient certains passages équivoques et incohérents tout en jetant le discrédit sur les cibles de harcèlement. J'ai supprimé les phrases parasites, ainsi qu’une note insérée renvoyant vers un site qui n'est pas fiable même si une partie des faits relatés est réel (mais il mélange tout et a une tournure propagandiste). J'ai ajouté des informations pour préciser le sujet et un lien vers ma dernière publication (livre gratuit à télécharger) qui est entre autres une étude de cas qui démontre et prouve le harcèlement en réseaux [de pouvoir], là par un mix d’institutions et de particuliers et du système judiciaire jusqu’à son plus haut niveau (bien que tout ne soit pas dit non plus, il y a du lourd en réserve). Je pense que de la sorte le sujet est bien complété. Donc je demande : - que le bandeau soit retiré, - qu'il y ait une vigilance à l'égard des saboteurs, car il s'agit bien de sabotage de mon texte, - que le ou les individus qui ont saboté mon texte dans le temps de plusieurs façons soient identifiés, - et que celui qui est venu m'insulter ici même se désigne ou soit identifié (même si mon nom n'apparaît pas sur ce texte Wikipedia je suis identifiable et l'auteur le sait). J'attends ... Et je vais veiller la page dorénavant. Josselyne Abadie — Le message qui précède, non signé, a été déposé par BlueCristal (discuter), le 2 mars 2019 à 13:08‎ (CET)[répondre]

Notification BlueCristal : Bonjour,
Vous êtes bienvenue sur Wikipédia, néanmoins les règles du site s'appliquent à tous, vous-même et vos détracteurs. Je suis d'accord pour estimer que cette intervention était faite dans une intention agressive et non constructive, et si la personne en cause était identifiable, elle pourrait être punie pour cette accusation infondée. Je suis d'accord également pour estimer que la section que vous avez rédigée est essentiellement pertinente et ne devrait pas être simplement retirée. Néanmoins, 1) l'article ne vous appartient pas, il est normal et conforme aux usages du site que n'importe qui puisse y intervenir, et 2) tant que cette section ne respecte pas les critères de qualité de Wikipédia (notamment neutralité et références), le bandeau est à sa place.
Vous dites être experte en la matière. C'est fort possible, mais c'est plus un écueil qu'un avantage sur Wikipédia, parce que seule la qualité des contributions et des références est en jeu, jamais l'identité des rédacteurs. Je suis également experte dans mon domaine, mais jamais je ne peux utiliser des choses que je sais, pour les avoir étudiées, sans assortir mes affirmations de références externes. Tout ce qui est sur Wikipédia, dans l'idéal, doit pouvoir être sourcé. Dire "je sais de quoi je parle" n'est JAMAIS un argument. J'espère que vous saurez à l'avenir adapter votre style aux usages de Wikipédia, l'article y gagnerait. Wikipédia était une encyclopédie collaborative, il n'y a pas de "responsables" du contenu éditorial. Les articles sont rédigés par tous et resteront ouverts à tous, experts comme amateurs. Cordialement, Esprit Fugace (discuter) 2 mars 2019 à 13:30 (CET)[répondre]
@ BlueCristal : Je présume que vous faites allusion à la section ci-dessus, créée par une personne sous adresse IP 90.19.251.134 (u · d · b) le 29 décembre 2017. En faisant une petite recherche de type whois, on constate qu'il s'agit d'une adresse IP dépendant de l'opérateur Orange et qui, selon toute probabilité, est de type dynamique (susceptible d'être changée automatiquement, par exemple lors d'une déconnexion, au bout de quelques jours).
Il est très probable que la personne ayant recouru aux qualificatifs peu flatteurs n'accèdera pas à votre souhait de dévoiler son identité, puisque rien, légalement, ne l'y oblige (je constate simplement le fait).
Il faut en outre savoir que cette modification étant ancienne (plus de quatorze mois), l'opérateur Orange ne dispose même plus, dans sa base de données, des éléments qui permettraient de relier cette adresse IP à l'un de ses abonnés.
Ce qui rendrait impossible (là encore je ne fais que constater) d'éventuelles poursuites en diffamation (je ne connais pas la durée actuelle de conservation de ce type de données ; à une époque elle était de trois mois, mais le délai a pu être allongé, sans à mon avis dépasser un an).
S'agissant des autres problèmes soulevés dans votre intervention (retrait du bandeau, caractère non modifiable de vos apports dans l'article), je laisse à d'autres le soin de répondre point par point, s'il y a lieu. — Hégésippe (Büro) [opérateur] 2 mars 2019 à 13:46 (CET)[répondre]
Même si l'auteur n'est pas identifiable au premier abord, il peut l'être notamment via une enquête policière. Mais surtout, la responsabilité ne lui incombe pas uniquement. Ses propos ont été approuvés par un contributeur/administrateur @Gratus qui de plus a supprimé une bonne partie de mon texte, et qui par contre a bien laissé le texte diffamatoire dans les commentaires, dont je n'ai eu connaissance qu'aujourd'hui.

Il y a donc complicité - au sens juridique - de cet auteur et de Wikipedia. De plus, si il est en fait difficile de retrouver toutes les modifications antérieures (l'outil n'est pas top) j'en ai retrouvé une autre qui datait de 2016, supprimant tout un paragraphe de mon texte (comme par hasard celui avec un lien vers un de mes documents sur les "réseaux de pouvoirs" qui en dérangent certains qui sont infiltrés ici), celui-ci faisant apparaître 7 identifiants de contributeurs. Cela s'appelle de l'action en meute, une forme de harcèlement, là encore un classique ! Je vais réfléchir à l’action que je vais mener.

--BlueCristal (discuter) 2 mars 2019 à 15:11 (CET)[répondre]

Notification BlueCristal : Bonjour,
Je ne vois pas de quelles modifications vous voulez parler, pourriez-vous être plus précises ? L'historique de l'article, postérieur à votre intervention du 14 septembre 2106 et allant jusque début 2017, ne me semble pas montrer de modifications suspectes du passage que vous défendez. Par ailleurs, comme je l'ai dit plus haut, cet article ne vous appartient pas et il est normal qu'il évolue indépendamment de vos apports (y compris, le cas échéant, pour les paragraphes que vous avez initiés). Il y aurait harcèlement s'il y avait une cible humaine (vous ou une autre personne), mais ici, il me semble (si l'on excepte l'intervention pré-citée sur la paranoïa, qui était effectivement hors de propos et aurait pu conduire à une sanction) que les modifications visent toujours l'article, et non ses auteurs. Par ailleurs, votre dernière phrase m'incite à vous conseiller de lire Wikipédia:Pas de menace de poursuites judiciaires, par prévention. Cordialement, Esprit Fugace (discuter) 2 mars 2019 à 16:21 (CET)[répondre]
Bonjour Esprit Fugace

Je suppose que vous savez faire la différence entre sabotage et évolution d’un texte... Bidouiller un texte pour le rendre ambigu alors qu’il était clair, n’est en aucun cas une évolution. Supprimer le paragraphe que je désigne plus haut après m’avoir traitée de paranoïaque (un intervenant masqué avec un autre identifié par son pseudo agissant de concert) n’a rien à voir avec une évolution. Il s’agit de sabotage et celui-ci est tourné conjointement contre le sujet et contre moi-même qui suis connue comme lanceur d’alerte sur la question Je peux d’ailleurs mettre ce sabotage en relation avec d’autres attaques ailleurs (que je ne développerai pas ici). Insérer des phrases AU MILIEU DE MES ECRITS disant « … des règlements de compte venant de personnes se livrant à la consommation de stupéfiant… » en jetant le discrédit sur les cibles de harcèlement est grave. Si cet auteur voulait parler de ce cas de figure il ne devait pas triturer le texte que j’ai écrit mais entamer un nouveau paragraphe vu l’écart de sujet sur le fond. Car harceler des personnes impliquées dans des affaires de stupéfiant n’a rien en commun avec le sujet dont je traite. L’insertion avait été faite avec la même malveillance que dans le commentaire ci-dessus non signé qui est un modèle du genre. Vous faites diversion sur ces faits malveillants en citant une très courte modification que j’ai faite sur un texte d’autrui, la seule que vous aillez trouvée, vu qu’en principe je ne touche pas au texte des autres. La mienne ne fait de tort à personne au contraire. Et elle n’a pas de rapport direct avec ce dont nous parlons présentement. Mais puisque vous la citez, je vais le rappeler ici. La phrase originale était : « Le harcèlement est un enchaînement d'agissements hostiles dont la répétition affaiblit psychologiquement l'individu qui en est la victime. » J’ai modifié légèrement la tournure qui devait être relativisée : « Le harcèlement est un enchaînement d'agissements hostiles à répétition VISANT à affaiblir… » Car ce n’est pas parce qu’un ou des harceleurs veulent affaiblir une personne qu’ils y parviennent forcément. Certaines se renforcent au contraire. Le but était de sortir aussi de cette victimisation forcée, que le système induit et qui entraîne ce que nous appelons une victimisation secondaire. Donc votre comparaison n’a pas lieu d’être… et je trouve étonnant que vous ne citiez que l’unique modification – justifiée - que vous avez trouvée de ma part, et que vous ne citiez pas les transformations douteuses du texte que j’ai écrit. Ensuite concernant les références, il s’avère, ne vous en déplaise, que je suis une référence en la matière, et il n’y a pas lieu que vous rameniez la chose à vous-même en vous comparant. J’aimerais beaucoup pouvoir en citer d’autres, mais malheureusement les références sérieuses sont quasi inexistantes sur ce champ précis du harcèlement. Tout le monde ou presque se tait, contribue à l’omerta et à la désinformation, ce qui est précisément le problème au centre du sujet. Je le dis clairement au début de "mon texte" (j’entends par là le texte que j’ai écrit). Donc dans ce cas, le déploiement du sujet se fait par les témoignages et études de cas. J’ai donc in fine cité le livre (gratuit) que j’ai publié sur Internet, sous l’angle de l’enquête juridique (mais pas que) à partir des poursuites judiciaires abusives à mon encontre, qui démontre et PROUVE (pour la partie qui est révélée) comment peut se traduire ce type de harcèlement. Il s’avère qu’un dossier de preuve est bien une référence. C’est même la meilleure qui soit. --BlueCristal (discuter) 2 mars 2019 à 19:51 (CET)[répondre]

Nouveaux sabotages sur la section "harcèlement en réseau"[modifier le code]

Bonsoir. Ca continue quelqu'un passe derrière moi pour effacer ce que j’écris. Qui plus est je n'arrive pas à accéder à l'historique des modifications, donc je ne vois pas de qui il s'agit. Celui ou celle concerné(e) pourrait-il (elle) se manifester pour en discuter ? Si la personne ne le fait pas l’intention malveillante sera d'autant confirmée. J'avais réécrit plusieurs passages hier soir, après avoir constaté des suppressions importantes dans le ce texte, tout en les reconsidérant pour les améliorer, j'en avais pondéré certains et les avais complétés. Ils ont à nouveau disparus, et certaines phrases ont été triturées pour en manipuler le sens et minorer la gravité des faits de harcèlement que j'expose (un classique sur ce sujet là encore). Dans tous les cas je garde un historique, notamment des captures d'écran avant et après lesdits sabotages. Je vais remettre le texte tel que je l'avais peuffiné hier soir. Si quelqu'un n'est pas d'accord, qu'il vienne s'expliquer au lieu d'agir en douce en supprimant des phrases entières et même des paragraphes entiers, qui sont tous légitimes. Si quelqu’un arrive à accéder aux historiques – comme il est en principe prévu par Wikipedia – ce serait intéressant aussi de venir en parler.--BlueCristal (discuter) 4 mars 2019 à 23:26 (CET)[répondre]

L'historique des modifications est tout simplement accessible en cliquant sur l'onglet « historique » en haut de page (ou sinon en cliquant sur le lien suivant : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Harc%C3%A8lement&action=history ).
À part cela, il serait correct de cesser de parler de « sabotage » ou de présupposer en quelque sorte une « intention malveillante », d'autant qu'il vous a déjà été expliqué (en substance) par une de mes collègues que l'élaboration des articles de Wikipédia est une œuvre collective, et que vous ne sauriez considérer que vos apports sont en quelque sorte intouchables par autrui, le droit de modification des contenus textuels ajoutés dans les articles étant donné à tous les contributeurs, du simple fait que vous avez cliqué sur le bouton « Publier les modifications », validant ainsi votre acceptation pleine et entière des licences CC BY-SA 3.0 et GFDL qui garantissent justement ce droit « universel » de modification.
Un détail : ce n'est pas moi qui ai annulé vos modifications. — Hégésippe (Büro) [opérateur] 5 mars 2019 à 00:05 (CET)[répondre]
Il ne s'agit pas d'une contribution de la part de cette personne qui ne fait que supprimer des paragraphes entiers que j'écris. Encore à l'instant il ou elle vient de repasser derrière moi pour à nouveau supprimer tout le travail effectué, comme si il n'avait que cela à faire. C'est une fixation. A peine je publie, ça supprime derrière. Ce ne peut en aucun cas être une action constructive. Et c'est lui ou elle qui en fait une affaire personnelle et qui s'approprie le texte en imposant sa loi. Que cette personne vienne s'expliquer. Je vais une énième fois remettre le texte intégral. Si la personne ne vient pas s'expliquer j'alerterai les administrateurs de Wikipedia qui jugeront sur pièces. Il y a une réclamation de prévue pour les sabotages, qui s'appellent bien ainsi sur le formulaire prévu à cet effet, la chose est donc connue. Je donnerai tout l'historique qui est révélateur. Ceci dit je préfèrerais que la personne vienne expliquer ses motivations et exposer les connaissances et compétences qu'il ou elle prétend avoir lui permettant de tout écraser sur son passage. Car c’est bien là le sujet, avoir ou pas la compétence en la matière.--BlueCristal (discuter) 5 mars 2019 à 00:38 (CET)[répondre]
Votre lecture de l'historique est un peu hâtive : au cours des dernières 24 heures, ce n'est pas « une » personne qui est venue modifier les versions que vous avez sauvegardées, mais deux contributeurs différents :
Et il n'est pas sûr que d'autres contributeurs n'interviendront pas ultérieurement sur les versions que vous sauvegardez, comme, précédemment (avant le 28 février 2019), d'autres contributeurs étaient déjà intervenus pour modifier « votre » texte.
C'est la « rançon » de l'édition collaborative : il faut accepter que d'autres puissent modifier vos écrits. Autant vous seriez libre de vos choix sur un blog ou sur une plate-forme non collaborative, autant, ici, il vous faut composer avec les choix opérés par les autres contributeurs. — Hégésippe (Büro) [opérateur] 5 mars 2019 à 00:51 (CET)[répondre]
Par ailleurs, au vu du commentaire de votre dernière modification (« On passe derrière moi pour détruire ce que je publie. Je republie donc le texte complet. Si cela se reproduit j'alerterai les adminsitrateurs. »), je vous signale :
  • d'une part, qu'au moins deux administrateurs (Esprit Fugace et moi-même) sont déjà au courant de l'existence d'un désaccord éditorial dans cet article,
  • d'autre part, que vous ne gagnerez rien à chercher à passer en force comme vous le faites, alors qu'il devient de plus en plus manifeste que vos ajouts dans cet article ne semblent pas rencontrer le consensus.
Hégésippe (Büro) [opérateur] 5 mars 2019 à 00:58 (CET)[répondre]
J'ajoute : pas de source, pas de chocolat. Celette (discuter) 5 mars 2019 à 01:05 (CET)[répondre]
Notification BlueCristal : Ce que je trouve dommage, c'est que quand une demi-douzaine de personnes réagissent ensemble, de la même manière, à votre texte (en supprimant tout ce qui ne correspond pas aux critères de qualité de Wikipédia, notamment les généralités non ou mal sourcées), vous voyez un harcèlement ou un sabotage, au lieu de remettre un peu en question votre approche. C'est compréhensible vu le sujet, mais ça fausse votre vision des choses. Non, les autre intervenants ne vous en veulent pas personnellement, et n'ont pas de "fixation" sur cet article (ils et elles ont autre chose à faire, eux aussi, et un historique conséquent de contributions variées à Wikipédia en dehors de cet article). Du point de vue de Wikipédia, retirer un contenu potentiellement dommageable car biaisé et mal sourcé, c'est une action constructive. Esprit Fugace (discuter) 5 mars 2019 à 08:41 (CET)[répondre]
Qu'il y ait plusieurs "contributeurs" qui interviennent ne change pas le problème de fond. D'ailleurs si leurs suppressions étaient objectivement motivées, ils viendraient en discuter. Il s'agit donc de censure et de personnes qui jouent les "petits chefs" en s'appropriant l'espace public. Et non l'inverse. Vous devriez réagir sur le fait qu'il n'y a eu aucun débat de fond sur les textes qui ont été supprimés, alors que la présente section est faite pour cela et alors que j'invite à venir discuter. Donc ne dites pas que ce serait moi qui ne remettrais pas ma position en question c'est l'inverse. Ce sont ces intervenants qui passent en force. D'ailleurs, comme je l'ai précisé dans l'historique, j'ai tenu compte de certaines modifications et suppressions pour formuler différemment et j'ai apporté des informations complémentaires permettant une meilleure compréhension du sujet. Mais il est visible que c’est justement cette clarté qui est attaquée, le texte est manipulé pour empêcher la compréhension exacte du sujet. Et je ne pense pas que ce soit la vocation de Wikipedia qui est comme vous le dites, un outil collaboratif. Collaboratif, ne veut pas dire aux mains d’un petit groupe de personnes qui cherche à imposer sa loi.
Encore une fois, que les personnes qui passent derrière moi - et oui c'est encore le cas je le constate ce matin - viennent discuter SUR LE FOND des modifications et suppressions qu'elles opèrent. Ne pas le faire est un aveu de pratiques arbitraires et abusives. Encore une fois, Wikipedia ne vous appartient pas, vous avez une obligation de MOTIVATION quand vous supprimez des textes d'autrui. Et utiliser des termes génériques sans parler des points précis n'en est pas une. Que les personnes concernées viennent « discuter » comme cette section le prévoit. Si elles ne le font pas je solliciterai l'intervention d'administrateurs pour faire usage de leur sagesse, et pas ceux qui démontrent ici leur partialité.
--BlueCristal (discuter) 5 mars 2019 à 10:33 (CET)[répondre]
Pour compléter en ce qui concerne les sources, justement il s'avère que celles que j'avais citées ont été supprimées… Et ce sont bien des références à part entière, je ne parle pas que de mes articles et livre, bien qu'ils soient LA référence en la matière, j'ai été la première en France, il y a presque vingt ans, à communiquer sur le sujet et j'ai rassemblé de nombreux témoignages de victimes que j'ai accompagnées. Sans compter que pour juger de la pertinence des références comme de celle du texte lui-même ici contesté, il faut être légitime et donc compétent soi-même sur CE sujet, et le démontrer. Quels sont : la formation, les diplômes, l'expérience et les publications de ces personnes sur le sujet ? Sans cela, elles n'ont aucune légitimité.--BlueCristal (discuter) 5 mars 2019 à 11:05 (CET)[répondre]
Aucun règlement, sur Wikipédia, ne demande aux contributeurs une sorte de « carte de compétences » ou un quelconque diplôme pour être en droit d'intervenir sur quelque sujet que ce soit. Les principes fondateurs de l'encyclopédie mentionnent de façon explicite que les licences CC BY-SA 3.0 et GFDL autorisent « chacun à créer, copier, modifier et distribuer le contenu de Wikipédia ».
Et, cela devrait pourtant être clair, il est assez vain d'espérer que les administrateurs viennent vous donner raison dans le désaccord éditorial, surtout lorsque vous semblez seule à vouloir défendre (et imposer) une rédaction particulière (ce qui est aussi, si l'on y réfléchit bien, une forme de censure, voyant un individu vouloir imposer son point de vue personnel à tous les autres, censurant de fait leur propre droit à l'expression. — Hégésippe (Büro) [opérateur] 5 mars 2019 à 11:35 (CET)[répondre]
Vos commentaires sont tous en coquilles vides, vous n'argumentez jamais sur le fond, vous ne faites que brasser du vent. Et non détruire les publications d'autrui sans argumentation ne relève pas du droit d'expression. Par contre venir en discuter sur le sujet lui-même, oui. Je vais agir comme je pense devoir le faire auprès des administrateurs, ils auront eu l'occasion d'agir et de s'exprimer quelle que soit leur position. Et je vais aussi me servir de ce qui se passe ici comme étude de cas sur la manipulation de l'information en ligne, avec décryptage, c'est un cas d'école. Il y a trop longtemps que j'observe des parasites polluer ce superbe outil qu'est Wikipedia. Je publierai sur l'un de mes sites, cela étendra le sujet à tout le public (et pas des moindres) qui suit mes publications.--BlueCristal (discuter) 5 mars 2019 à 12:15 (CET)[répondre]
  • Chaque phrase ou chaque paragraphe a minima doit être sourcé. C'est à dire qu'à la fin de chaque ligne, avec la balise de références et les sources qui y sont indiquées, très précises (auteur + livre + éditeur + année + page), les infos synthétiques rajoutées sur Wikipédia (pas de copier-coller) doivent être retrouvées. Sinon c'est du travail inédit et/ou du détournement de source.
  • Tous les contributeurs de Wikipédia sont égaux, vous ne pouvez pas demander un pass spécial pour avoir un droit de préséance sur un article ni décréter qui peut y intervenir ou non.
  • S'auto-citer est extrêmement mal vu, autant au niveau de la modestie que de possibles conflits d'intérêt (faire prévaloir son point de vue sur celui d'autres spécialistes pensant différemment, pas de recul, publicité…).
  • Attention aux attaques personnelles et au ton vindicatif (cf. Wikipédia:PAP et Wikipédia:Règles de savoir-vivre) ; ce serait dommage de finir bloquée pour ça. Quant aux menaces de publier vos « observations » sur Wikipédia, faites donc, je suis certaine que ce sera un immense succès éditorial. Votre lecteur pourra ensuite venir voir sur cette page de discussion de quelle façon vous tentez de mener un débat éditorial (en gros : « j'ai raison, vous avez tort, partez ou je publie un bouquin, et si vous n'êtes pas d'accord c'est de la censure »).
Celette (discuter) 5 mars 2019 à 12:53 (CET)[répondre]
Vous continuez de pratiquer la projection et de m'imputer vos propres comportements. C'est vous qui êtes vindicative et agressive, tout comme le sont vos suppressions intempestives. De plus, vous dites que tous les paragraphes doivent être sourcés et que ce serait une justification pour supprimer un texte, mais c'est faux. Même sans aller sur d'autres pages, sur celle sur le harcèlement, quand il en manque une, il y a une mention "réf. nécessaire" mais le texte n'est pas supprimé. C'est là toute la différence entre une intervention objective et bienveillante et une qui ne l'est pas. D'autre part, je n'ai pas "menacé" d'écrire un article sur la manipulation de l'information en ligne, j'en ai informé. Pour vos déblatérations stériles qui suivent, elles donnent surtout une information sur les sentiments qui vous animent. Vous vous défoulez. C'est bien vous qui pratiquez des attaques personnelles. A ce moment où j'écris il n'y a toujours pas eu "débat éditorial" contrairement à ce que vous alléguez. Je renvois aux dictionnaires sur la signification du mot "débat". Justement, je n'ai fait qu'inviter à ce qu'il y en ait un. Tous vos commentaires sont vides sur le fond. Et je le répète, il n'y pas que la référence à mes publications qui a été supprimée. Celles-ci étaient présentes sur ce texte depuis 2011, avaient survécu aux précédentes manipulations textuelles - avec des ajouts d'autres individus qui n'étaient d’ailleurs pas sourcés mais que personne ne supprimait curieusement alors qu'ils étaient glauques et mal rédigés (Je m'en suis rendue compte longtemps après). Et il serait subitement légitime de supprimer ces références au bout de 8 ans. L'ensemble de vos propos n'est pas crédible.--BlueCristal (discuter) 5 mars 2019 à 15:52 (CET)[répondre]
Ce n'est pas parce que des ajouts ne sont pas sourcés ailleurs que c'est un passe-droit pour faire de même ici. Cette logique rejoint la même que celle qui amène un piéton à traverser hors des passages cloutés puisque de toute manière ce n'est que rarement sanctionné. Ça ne change rien au fait que ce soit illégal. Que d'autres pages ou passages soient médiocres et ne respectent pas les règles, c'est un fait, ce n'est pas une raison pour étendre ce mal. Celette (discuter) 5 mars 2019 à 17:52 (CET)[répondre]
Notification Celette : Ceci dit en parlant de source je me demande s'il ne serait pas judicieux de fusionner la section en conflit "harcèlement en réseaux" avec la section assez pauvre "harcèlement en groupe" : ça ferait 3 sources pour un paragraphe, ça pourrait commencer à ressembler à quelque chose. Les phénomènes de groupes sont certes exacerbés par le passage en ligne, mais relèvent de la même logique et de la même sociologie, il me semble. Esprit Fugace (discuter) 5 mars 2019 à 17:58 (CET)[répondre]
Notification Esprit Fugace : Je n'ai pas d'opposition sur le fond, j'intervenais davantage ici par rapport à la nécessité de sourcer. Cordialement, Celette (discuter) 5 mars 2019 à 19:06 (CET)[répondre]
Pour la einième fois cette section ne traite pas du harcèlement en ligne, mais du harcèlement par des réseaux de pouvoir, des réseaux de personnes qui agissent dans tous les domaines de la vie de la cible en abusant de leur pouvoir, ceci englobant du harcèlement institutionnel (prouvé par de nombreux témoignages). Quand l y a harcèlement en ligne ce n'est qu'une petie prtie du harcèlement qui est infiniment plus grave. Vous cntinuez votre numéro et le détournement du sujet pour induire en erreur lepublic en collaborant à l'omerta, et avec tujous des argumentations de diversion.
Pour la énième fois cette section ne traite pas du harcèlement en ligne, mais du harcèlement par des réseaux de pouvoir, des réseaux de personnes qui agissent dans tous les domaines de la vie de la cible en abusant de leur pouvoir, en violant sa vie privée et tous ses droits fondamentaux, ceci englobant du harcèlement institutionnel (prouvé par de nombreux témoignages). Il s'agit d'une destruction totale de la vie de la cible. Quand il y a harcèlement en ligne ce n'est qu'une petite partie du harcèlement qui est infiniment plus grave. Il n'y a pas de commune mesure entre l'un et l'autre. Vous continuez votre numéro et le détournement du sujet pour induire en erreur le public en collaborant à l'omerta, avec toujours des argumentations de diversion. Vous n’avez aucun droit en la matière, encore une fois Wikipedia ne vous appartient pas.--BlueCristal (discuter) 8 mars 2019 à 11:34 (CET)[répondre]
Pas plus qu'à vous.
Et faut-il vous rappeler que la page de discussion est là pour convaincre vos interlocuteurs du bien fondé de certaines propositions de modifs, ou d'essayer de trouver des futurs consensus ? Et pas de les accabler comme vous le faites à chaque ligne depuis plusieurs jours ? Car si vous espérez que vos mêmes actions futures produiront une réaction différente de notre part, vous vous trompez lourdement.
Celette (discuter) 8 mars 2019 à 12:56 (CET)[répondre]
Et tant qu'à faire, ça vous ferait mal de donner ces fameuses références (livres, articles, sites Web ?) qui montrent votre expertise et votre parfaite neutralité par rapport au sujet ?--Dfeldmann (discuter) 8 mars 2019 à 13:13 (CET)[répondre]
Bonjour Émoticône par curiosité j'ai cherché "Josselyne Abadie" sur cairn.info et JSTOR. Zéro résultat. Un test par europresse fournit un seul article : Le Progrès, 28 avril 2007 - 201 mots : Site Internet équitable : « Allier l'éthique, le management et un produit accessible ». Bien cordialement, — Bédévore [plaît-il?] 8 mars 2019 à 22:17 (CET)[répondre]
Je ne pensais pas remettre un commentaire vu les abus de position ici démontrés, mais constatant que certaines personnes en remettent une couche, voici donc ma réponse. Comme je l'ai déjà mentionné et comme l'historique le démontre (il est judicieux de les lire avant de commenter) des références ont été supprimées par ceux qui censurent. Pour ce qui est de "cairn.info" ce n'est pas la seule référence, mais il y en aura dans le futur qui s'y trouveront, j'ai des livres en projet (dès que je pourrai dégager plus de temps pour finaliser, je ne suis pas rentière, et comme dit précédemment étant blacklistée en tant que lanceuse d'alerte sur lesdits sujets, je ne peux pas travailler de façon rémunérée dans mes principaux domaines d'expertise, et je dois travailler dans d'autres domaines pour gagner quatre sous pour subsister). Au cas où cela vous aurait encore échappé Internet est aussi un lieu de publications. Puisque vous les demandez, en voilà certaines dont un livre en pdf, le tout publié gratuitement sur mes sites (qui ne sont pas rentabilisés) avec de nombreuses références :
Je vois d'autre part que dans la section "harcèlement en réseau" en litige, il a été ajouté un bandeau réclamant des références et annonçant qu'à défaut de les fournir le sujet sera supprimé, et DANS LE MEME TEMPS, il m'a été ôté (et à d'autres, des nouveaux qui pourraient vouloir rédiger sur le sujet) toute possibilité de modification et d'ajout desdites références. Le système bâillon est bien rodé... CQFD.
--BlueCristal (discuter) 9 mars 2019 à 20:46 (CET)[répondre]
Sources primaires. Il faut des sources secondaires (livres édités par des maisons d'édition reconnues ou articles de grands médias). Celette (discuter) 9 mars 2019 à 21:08 (CET)[répondre]
(conflit de modification) Comme précédemment expliqué, il faut certes des sources, mais ces sources doivent de plus satisfaire aux critères définis par la communauté (certes arbitraires, mais ce sont les nôtres, et nul ne vous demande de venir écrire ici, mais si vous le faites, vous devez vous y conformer) ; en particulier, ce ne sont pas vos propres textes qui ont de grandes chances de constituer des sources acceptables. Par ailleurs, et au rythme actuel, ce n'est pas que cette section de l'article qui risque de disparaître, vos cris de censure ne faisant qu'accélérer ce destin prévisible.--Dfeldmann (discuter) 9 mars 2019 à 21:10 (CET)[répondre]
(conflit de modifications) Les liens vers les sites conscience-vraie.info et leproces.net ne démontrent aucunement que Josselyne Abadie serait une experte dans le domaine considéré. — Hégésippe (Büro) [opérateur] 9 mars 2019 à 21:15 (CET)[répondre]
C'est rudement commode de se déclarer expert tout en disant que les universitaires ou médias ne reconnaissent pas cette expertise à cause de la censure. Il faudra que je pense à cet argument. — Bédévore [plaît-il?] 9 mars 2019 à 21:21 (CET)[répondre]
Où sont vos propres références ? qui vous permettent de soutenir que vous seriez compétents pour juger de mes compétences (les miennes sont mentionnées sur mes sites et dans mes documents) ? Pour qui vous prenez-vous ? Déclinez vos identités, allez un peu de courage ... Sinon taisez-vous ! Les fantômes et les coquilles vides n'ont aucune légitimité. Et pour information, et puisque vous insistez, outre plusieurs décennies d'expérience, je suis entre autres auditeur RSE selon la norme SA8000 avec qualification accréditée S.A.I. http://www.sa-intl.org/ Ce domaine d'expertise porte entre autres sur le diagnostique sur toutes les pratiques contraires à l'éthique dans les organisations dont le harcèlement fait partie. Cette qualification est valable sur tout le territoire mondial. Vous n'aurez plus aucune réponse. BlueCristal (discuter) 9 mars 2019 à 21:51 (CET)[répondre]
Il y a des limites au principe de "supposer la bonne foi" -_- Si vous refusez les règles de Wikipédia et décriez les usages qui y ont cours, que ce soit l'usage de pseudonymes ou le recours à des sources reconnues, excusez-moi mais qu'est-ce que vous venez faire ici si ce n'est la promotion de votre bouquin ? Votre but est d'améliorer l'article selon NOS règles, ou d'imposer votre texte pour lui donner de la visibilité ? Réfléchissez sérieusement à cette question. Esprit Fugace (discuter) 9 mars 2019 à 22:08 (CET)[répondre]

Confusions possibles[modifier le code]

Cette discussion est une copie de celle laissée sur la page Intimidation; vue le sujet.

En anglais et en francais, plusieurs notions se confondent, entre bullying, harassment, harcèlement, intimidation et "intimidation"...

Ceci dit, le Canada (notamment) traduit la notion anglo de "bullying" par celle d'"intimidation":

Je sais que ce n'est pas simple à décortiquer donc je demande de l'aide, car personnellement, en littérature en sciences sociales, le terme en recherche est "bullying" (et ouais le gros de la recherche s'écrit en anglais), il me semble alors que l'article anglophone "bullying", devrait lier à celui d"intimidation" (Bullying était lié avant mon action à "brimade", ce qui ne convient évidement pas.)

Mais pour ajouter à la confusion, voici :

  • Harcèlement dit : « Lorsque le harcèlement est effectué par un groupe, les anglophones utilisent le terme de mobbing »
  • Bullying dit : « Bullying ranges from one-on-one, individual bullying through to group bullying, called mobbing »

En sommes j'ai besoin de savoir comment ammener les études sur le bullying'' sur Wikipédia fr et où les ammener ? Sur quel article ? Certainement pas sur "brimade".

Si on traduisait l'article "bullying" (en), comment le nommerions-nous ? Notification Racconish et Gdgourou :, je vous notifie car la question touche aussi l'article "harcèlement" et que je ne suis pas sûr d'où poser ces questionnements, qui sont quand meme importants sur la diffusion de la connaissance, donc une vraie question de filleul. --Idéalités (discuter) 13 janvier 2020 à 01:34 (CET)[répondre]

Il me semble que le rapprochement entre harcèlement et intimidation est fait plus fréquemment au Canada qu'en Europe et que cela passe par la traduction en français de cyberbullying, mais je préfèrerais pouvoir m'appuyer ici sur des sources et je suis gêné que la plupart des sources soient canadiennes. Cordialement, — Racconish💬 13 janvier 2020 à 18:33 (CET)[répondre]

::google scolar n'est pas particulièrement canadien. Je nai pas le temps là, mais cest une histoire de traduction qui dépasse le "canada", et qui touche à un enjeux de recherche, vue que la recherche se fait principalement en anglais. --Idéalités (discuter) 13 janvier 2020 à 18:35 (CET)[répondre]

Marie France Irigoyen a beaucoup écrit en France sur le harcèlement. Elle fait ici une nuance qui pourrait t'intéresser. Cordialement, — Racconish💬 13 janvier 2020 à 18:43 (CET)[répondre]

::Dr Marie-France Hirigoyen (born 1949, in France) is a psychiatrist, psychoanalyst and psychotherapist specialising in mobbing, a form of bullying. Je suis désolées mais la psychanalyse n'est pas vue comme une sciences sociales, et quand je parle de recherche scientifique, cela exclus la pyschanalyse.   Je suis incapable dejuger de la pertinence de cette chercheuse dans le champs internationnal de la recherche sur le Bullying. Je dois partir pour la journée. Je regarde ensuite. Mais il ne faut pas oublier que le champs de recherche internationale, ne doit pas être découpé en fonction de comment en France , ça a été présenté, par une psychanalyste. --Idéalités (discuter) 13 janvier 2020 à 18:52 (CET)[répondre]

Tu as raison, mais je voulais seulement signaler d'un simple point de vue lexicographique qu'Irigoyen a eu une très grande influence en France sur la popularisation de la notion de harcèlement, en particulier à la suite de son livre sur le harcèlement moral. Cordialement, — Racconish💬 13 janvier 2020 à 19:00 (CET)[répondre]

::::Je suis consciente de cette exception francaise, mais ma question est plus fondamentale... Comment on fait pour le savoir scientifique ? Le Canada est un cas qui peut aider : il se doit de fournir des politiques publiques bilingues. Ses chercheurs, financés par l'État se doivent de fournir du travail scientifique solide. Il y a beaucoup d'argent mis pour s'assurer que les traductions sont les plus fidèles possible à la réalité des connaissances en santé publique (le harcèlement est notamment dans le champs de la recherche en santé publique, en sciences).Alors on fait quoi ? Car j'ai peur pour la connaissance scientifique, si on ne se questionne pas plus sérieusement sur ces enjeux. Est-ce que quelque chose justifie de se fier plutot à un livre tout publique local, ou à ce qui se fait en recherche ? Je ne sais pas. Je pose la question, qui ma foi, doit etre régler si on veut écrire des articles qui se tiennent sur ces sujets.--Idéalités (discuter) 13 janvier 2020 à 23:11 (CET)[répondre]

A quand un bandeau en tête de la page "Harcèlement" ?[modifier le code]

La page citée en marge comporte plusieurs petits bandeaux, en tête de certains de ses paragraphes, avec des réserves certaines ... mais aucun gros bandeau en tête de page. La page en question manque manifestement de coordination (pour ne pas parler d'une "fusion" souhaitable) avec celle consacrée au "Harcèlement moral", qui, elle, comporte deux gros bandeaux en tête de page. Bien d'autres pages sont caractérisées par un gros bandeau considérant qu'elles ne citent pas suffisamment leurs sources ... mais rien de tel sur la Wiki-page "Harcèlement". A quand davantage de cohérence ? --Rimultase (discuter) 12 novembre 2020 à 09:52 (CET)[répondre]

Et bien pour un ou une novice vous trouvez bien vite le chemin des comparaisons de pages communautaires. — Nattes à chat [chat] 12 novembre 2020 à 09:57 (CET)[répondre]

Aucun mérite à ouvrir simultanément deux pages Wikipédia ... dont les ambitions ne seraient pas très marquées par l'utopie ... si ses discussions représentaient de véritables contributions ... y compris de la part de celles et ceux investis du pouvoir de poser ou d'enlever les bandeaux. --Rimultase (discuter) 23 novembre 2020 à 08:41 (CET)[répondre]

Anne Bilheran[modifier le code]

A mon sens, le très long passage faisant état des vues d'Anne Bilheran n'a pas sa place sur cette page. L'article sur Anne Bilheran a d'ailleurs été supprimé sur Wikipédia car pas assez notoire. Mettre en avant ses points de vue est en contradiction avec WP:UNDUE ...

Sans compter les délires complotistes de cette dernière dans Hold Up etc. Durifon (discuter) 16 janvier 2023 à 16:39 (CET)[répondre]