Discussion:Graal

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons


roman du Saint Graal[modifier le code]

En l'an 177, de l'ère Chrétienne, l'ermite Nascien eut une vision ; Le Christ lui apparût, entouré d'une éblouissante clarté, et lui remit un petit manuscrit, où était relatée toute l'épopée du Graal, les quelques gouttes de son sang, recueillies par Joseph d'Arimathie. Joseph était un décurion Romain et avait demandé à Ponce Pilate, la permission de prélever quelques gouttes de sang du supplicié, et de les mettre dans le calice dans lequel Jésus avait célébré la Pâque avec ses apôtres. Les Juifs du temple en furent irrités et enfermèrent Joseph,dans le château du du grand prêtre Caïphe. Après 40 années de captivité , il est délivré lors de la prise de Jérusalem par Titus et là, il reçoit, de Jésus qui lui apparaît, le Graal caché dans un coin de sa maison Avec sa famille, il se dirige vers l'Euphrate, et arrive dans la capitale du pays nommé "Sarras" (pays des Sarrasins ???), retrouvant son fils Joséphe, qui avait été ordonné prêtre et évêque par un ange. Le roi de ce pays refusait au début le baptème, puis fût baptisé et reçut le nom de Mordrain. Il fit construire un palais, " le Palais spirituel, et y cacha le Graal. Le vase sacré ne pouvant demeurer en Asie; Josèphe reçoit l'ordre de l'emporter en Occident. Arrivé au bord de la mer, il ôte sa chemise, l'étend sur l'eau, et ce radeau merveilleux l'emporte avec ses compagnons jusqu'en Grande-Bretagne. Le Graal fut ainsi transmis de générations en générations, le château de Corbenic, construit par Josué, qui l'avait reçu des mais d' Alain, un de la famille des Bron, à sa mort. A l'extinction de la postérité d'Alain, le Graal passe aux descendants de Nascien, beau-frère de Mordrain, qui émigrent dans la Bretagne Armoricaine, et desquels est issu Lancelot. Mordrain, vit pendant 300 ans, comme un témoin irrécusable de ces merveilles. Voilà ce que raconte le roman du Saint Graal.. Michel BUZE 8 août 2007 à 14:23 (CEST)[répondre]

Le Graal pourrait être aussi le vase d'or contenant un omer de manne, à savoir trois kilo et demi de "Pain du Ciel". Celui-ci fut fabriqué à la demande de Dieu et rangé dans l'Arche d'Alliance : " Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux églises. Au vainqueur, je donnerai de la manne cachée" (début de l'apocalypse de St. Jean). Michel BUZE 6 août 2007 à 21:51 (CEST)[répondre]

Michel BUZE 14 juin 2006 à 18:20 (CEST)[répondre]

Origine Celte[modifier le code]

4 objets amenés par les Dieux de l'Autre Monde : Excalibur, La pierre de Fal Lial : pierre magique qui a la faculté de gémir lorsqu'un roi légitime l'approche. La Lance de Lug, le Chaudron de la Connaissance pierre de Fal Lial. Lance de Lug Chaudron de la Connaissance Chaudron de la Connaissance. Michel BUZE 14 juin 2006 à 20:27 (CEST)[répondre]

je pense qu'en cherchant le graal les hommes se sont égarés, c'est en cherchant le sang du Christ qu'on se lance dans la cupidité et la soif de pouvoir puisque le saint graal apporte toutes puissances.les gens sont prèt a croire à des légendes, des miracles ou des messages divins, mais ne sont pas du tout prèt à croire à la puissance de l'Amour (bien trop simple pour nos capacitées intellectuelles...) le saint graal ne représente rien pour les esprits malveillant mais tous les trésors du monde pour les saint d'esprit. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.39.208.214 (discuter)

à vérifier[modifier le code]

Le mot graal (dérivé du latin médiéval cratella, « vase ») désigne, en ancien français, une coupe ou un plat creux. Plus spécialement, le Graal est, dans la tradition médiévale, une mystérieuse coupe aux pouvoirs magiques, et l'objet d'une quête menée par les Chevaliers de la Table Ronde. La nature de cet objet légendaire, avatar christianisé du chaudron du Dagda de la mythologie celtique, a connu de nombreuses évolutions.

Je ne suis pas sûr que l'éthimologie se résume à cratella, il y a plusieurs hypothèses. D'autre part, le Graal n'a pas été décrit que comme une coupe, mais aussi une pierre, une tête baignant dans son sang, plus les interprétations allégoriques. Quand à avatar christianisé du chaudron du Dagda de la mythologie celtique en intro, je ne trouve pas ça terrible non plus, bien que ce soit assez juste, il faudrait détailler cette idée plus loin (voir le lien externe qui traite de la formation du mythe). Michel BUZE 2 mai 2006 à 20:53 (CEST)[répondre]

étymologie[modifier le code]

http://fr.wiktionary.org/wiki/graal : Issu du Francoprovençal ou de l'occitan grazal gradalis « plat large et creux » dérivé du bas-latin *cratalis, gradalus, «sorte de vase». du latin, crater emprunté au grec kratēr (cratère)


un dérivé de gradus « degré », soit parce que dans ce récipient les morceaux sont disposés l'un après l'autre, soit parce qu'il s'agit d'un récipient à pied. Formes gré, greau, grial dans la région Est et Nord-Est du domaine d'oïl.

Nom commun

graal /ɡʁa.al/ masculin (pluriel : gréaux)

1. (Par extension) Objet de d'une quête personnelle à l'image de la quête du Graal dans la littérature du moyen âge.

http://perso.wanadoo.es/ricardo.cob/etimologias1.htm : Dictionnaire de Frédéric Mistral, du latin gradale : "Grasan", provençal; "grian", marseillais; "grasal", lyonnais; "grial", limousin; "grasans", romanique; "gresal", catalan; "graal" français et "grial", galicien et castillan

Voir aussi CNRTL

notes[modifier le code]

On pourrait s'inspirer de ça : Chez Chrétien, c'est un vase, chez les continuateurs de Chrétien, une écuelle ou une coupe, dans la version cistercienne, un calice, chez Wolfram von Eschenbach, une pierre, dans la version galloise archaïque, un plateau portant une tête coupée. L'objet a été largement christianisé, mais son origine celtique païenne n'est pas douteuse.

Il a comme modèle, aussi bien en Irlande qu'au Pays de Galles, les chaudrons de résurrection, d'abondance et d'inspiration, des écuelles inépuisables, des fontaines de santé. Michel BUZE 16 mai 2006 à 21:05 (CEST)[répondre]

bloc-notes[modifier le code]

La Commission parlementaire sur les sectes en France a identifié en 1995 le Mouvement du Graal en France (site web : http://www.graal-france.net) (de 500 à 2000 adeptes selon les Renseignements généraux) et l’Ordre du Graal ardent (de 50 à 500 adeptes).

Le thème du Graal se retrouve également dans la pièce Le Roi Pêcheur de Julien Gracq (1948), dans les romans de T.H. White "The Once and Future king" et "The Sword in the Stone", et chez Boris Vian "le Chevalier de neige" représenté par Jo Tréhard en 1945, à Caen et à Strasbourg dans une version "opér" sur un livret de Georges Delerue. Il faut encore mentionner l'ouvrage de l'académicien Pierre Benoit, Montsalvat, 1957, qui reprend la thématique de l'exode du graal présente chez Wolfram jointe à des références cathares. On retrouve ici le croisement littéraire cher aux écrivains médiévaux entre la femme inaccessible et la quête du saint vase.

Tout prés de nous, nous voyons ce thème refleurir dans la littérature contemporaine: Michel Rio, Merlin, Barjavel, L'Enchanteur (1984), Jean-Pierre Le Dantec, Graal-Romance (1985), Florence Trystram, La nuit du motard (1986), Lancelot (1987), Marion Zimmer Bradley, La Dame du Lac, Les Brumes d'Avalon, Le Secret d'Avalon proches du légendaire celtique, Gilles Nadin, Le retour d'Avalon (1993).

De nos jours les aventures du Graal connaissent à nouveau un immense succès dont témoigne une production intense notamment sur le plan cinématographique, de Richard Thorpe Les Chevaliers de la Table ronde (1953) à Jerry Zucker (1995) en passant par Georges Bresson, Eric Rhomer, Les Monthy Pythons, Walt Disney, John Boorman Excalibur, Hans-Jürgen Syberberg Parsifal (1981) et Steven Spielberg Indiana Jones et la Dernière Croisade.

http://cena12arthur.metawiki.com/graal Michel BUZE 18 mai 2006 à 23:09 (CEST) Michel BUZE 18 mai 2006 à 23:09 (CEST)[répondre]

nouvelles notes[modifier le code]

manichéisme

Bohort l'Essillié : Plus tard, Bohort, Galaad et Perceval découvrent le Saint-Graal et le transportent à Sarras (à rapprocher de Sarrasin) une mystérieuse île d'Orient où Galaad et Perceval mourront ; Bohort sera le seul des trois à en revenir

Talisman qui a appartenu à une divinité celtique, Bran, ou qui est lié “au renouvellement de la végétation et à la préservation de la vie”, le Roi Pêcheur ressemblant aux divinités telles Tammuz, Adonis et Altis

la royauté (la coupe), la fonction guerrière (les armes) et la paix, désignée par l’abondance (le joug et la charrue)

Scythes Scythie

Fin du IIIe siècle: Élaboration de la légende de la ' Pierre tombée du ciel '.

Le Chaudron de Dagda: qui nourrissait en abondance et guerissait les blessés, faisant même ressusciter les morts. La Pierre de Fâl: qui criait à l'approche d'un futur Roi.

La Lance qui saigne: présente dans la procession du Graal (tailloir d'argent,lance qui saigne et graal), interprétée comme la lance du centurion Longin (qui perça le corps de Jésus sur la Croix) mais qui, pour Jean Markale, est vraissemblablement la Lance d'Assal des dieux irlandais.

Dans beaucoup de textes le Saint Graal est le sangréal ou sang royal désignant une lignée royale, initiatique, détentrice d'un secret.

A Vézelay, en 1146, saint Bernard prêche la seconde croisade.

  • 1208. Parzival de Wolfram von Eschenbach.
  • 1220. Lancelot en prose proprement dit, attribué à Gautier Map.
  • 1230. La Quête du saint Graal, attribuée à Gautier Map.
  • 1240. La Mort le roi Artu, attribué à Gautier Map.
  • 1330. Sir Percival of Galles, adaptation anglaise de Robert de Boron.
  • 1460. Le Morte D'arthur de Thomas Malory.

Laziriel (Lazare?) Titurel,Frimutel et Anfortas protecteurs du Graal sont les Templiers, et ses propriétaires sont tous membres d'une famille juive aux branches nombreuses et éparpillées. L'une des branches habite le château du Graal, Mansalvaesche (Montsalvat?) identifiable à celle de Montségur. Ce château est peuplé de: la gardienne Repausse de Schoye (Repause de Joie) et Anfortas, le Roi Pêche

Da vinci code[modifier le code]

Développement dans le Da Vinci Code :

Le Saint Graal serait un ensemble de documents prouvant que le Christ se serait marié avec Marie Madelaine. Le Saint Graal se serait d'abord trouvé sous les décombres du temple de Salomon. Puis les Templiers, pour leur malheur, l'auraient trouvé et ramené en Europe. L'Église catholique, qui défend la divinité du Christ, ne pouvant accepter qu'il se soit marié, aurait donc influençé Philippe le Bel pour qu'il massacre les Templiers, qui réussirent cependant à cacher le Saint Graal.

Petite incohérence[modifier le code]

Je n'ai pas le temps de corriger, mais j'ai remarqué une petite incohérence entre les paragraphes Apparition littéraire et La quête du Graal aujourd'hui. Il faudrait les homogénéiser pour Le Seigneur des anneaux et Da Vinci Code : faire en sorte que ces 2 œuvres n'apparaissent qu'une seule fois dans l'article par exemple.--Herman 7 septembre 2005 à 14:36 (CEST)[répondre]

La quête du Graal aujourd'hui[modifier le code]

82.120.124.57 a ajouté : << Cependant, le Graal, au delà des appropriations religieuses ou corporatistes, demeure le mystère qu'il constitua dès qu'il se fit jour dans la conscience des hommes, vraisemblablement depuis toujours, prenant tel ou tel aspect selon l'entendement des sociétés. Il persiste, malgré toutes ses métamorphoses fantaisistes ou inspirées, à revenir inlassablement à son apparence primordiale, la pierre, matière minérale brute (non cristallisée, ce qui exclut donc une pierre précieuse comme l'émeraude ou le diamant)et "non taillée de main d'homme". >>
Qu'on parle d'une interprétation ésotérique du Graal, c'est normal. Qu'on en fasse la conclusion de l'article, ça me semble subjectif. Par exemple, que veut dire l'auteur de cette phrase : "le Graal persiste [...] à revenir inlassablement à son apparence primordiale, la pierre" ?
Ou que signifie "cela exclut donc une pierre précieuse comme l'émeraude ou le diamant" ?
Et je ne comprends pas le sens, soit trop profond pour moi, soit trop banal, de la phrase : "le Graal [...] demeure le mystère qu'il constitua dès qu'il se fit jour dans la conscience des hommes". En gros, le mystère reste un mystère.
Gwalarn 18 octobre 2005 à 12:01 (CEST)[répondre]

Pas d'explication sur la persistence du Graal à "revenir inlassablement" à son apparence "primordiale", la pierre ? Je retire cette exposé ésotérique non expliqué. Gwalarn 26 octobre 2005 à 19:52 (CEST)[répondre]

Les deux sujets se chevauchent un peu... J'ai des liens intéressants sur le Graal... Michel BUZE 12 décembre 2005 à 21:23 (CET)[répondre]

Un nouveau lien : http://www.marianotomatis.it/graal/graal.php?id=2&url=art_luoghi.php Michel BUZE 20 décembre 2005 à 20:51 (CET)[répondre]

Traduction auto article italien[modifier le code]

Le terme graal elle désigne en français ancien une coupe ou un plat et probablement dérive du latin médiéval gradalis, avec signifié de 'vase '. En particulier en second lieu la tradition médiévale le Graal est la coupe contenant le sang de Jésus Christ utilisée dansle Dernier Dîner. Vraiment pour avoir ramassé le sang de Jésus, tel objet serait doué de mystérieux pouvoirs mystique- magiques. Dans autres cultures on identifie le même objet avec le même nom. Par exemple le Graal est associé au chaudron de la Dagda, une ancienne talisman de la civilisation celtica.

Je développe du légende du Graal a été tracé en détail des historiens culturels : elle serait un légende oral gotica, dérivée peut-être de quelques récits folkloriques prechrétiens et transcrite en forme de roman entre la fin du XII siècle et j'entame du XIII siècle. Les anciens récits sur le Graal auraient été axés sur la figure de Percival et ils se seraient ensuite tressés avec le cycle arturiano. Les romans du Graal furent originairement écrits en français et successivement traduits dans les autres langues européennes, sans ajoutée de nouveaux éléments.

Il fut seulement après que le cycle des romans du Graal se fut constitué que le Graal fut identifié avec la coupe du dernier dîner de Jésus Christ, en reliantl'etimologia des termes français san greal ("Saint Graal") et sang real ("sang réel"). Index

   * 1 Origines
         o 1,1 Antiquité
         o 1,2 Le légende du Saint Graal comme Calice du Dernier Dîner
         o 1,3 Le Graal et le roi Pêcheur
         o 1,4 Le Graal et le légende arturiana
   * Les 2 Les Canone du Graal
   * Les 3 Les lieux du Graal
   * 4 Interpretazioni modernes
   * 5 Le Graal dans la littérature et dans le cinéma
   * 6 Sources
   * 7 Bibliographie
   * 8 Liaisons extérieures

Antiquité[modifier le code]

Les origines du Graal peuvent être reconduites à des anciennes sagas celtiche autour à un héros voyageur qui se retrouve dans un "autre monde", sur un plan magique parallèle à les nôtre. Dans ces récits le Graal était simplement une plat ou coupe, comme l'inépuisable cornucopia gréco-romaine, présenté pour signifier la nature mystique de l'autre monde.

Le légende du Saint Graal comme Calice du Dernier Dîner[modifier le code]

Pendantle Dernier Dîner Jésus nous prîmes le pain, il le cassa et dit : vous prenez et mangées, ceci est mon corps ; ensuite prises le calice et dit : vous en bu en tous, parce que celui-ci est mon sang de l'alliance versé pour tous en rémission des péchés. Le giorno après, Vendredi de Passion, Jésus fut crocifisso. Lorsque il fut déposé de la croix un de ses disciples, Giuseppe d'Arimatea, l'enveloppa dans un drap et il le porta dans la tomba de famille qu'on était de peu faite construire là près. Pendant que le corps de Jésus était lavé et préparé pour être enterré, quelques goutes de sang sortirent des blessée infertagli des centurione ; Giuseppe la ramassa dans la même coupe qui était servie pour les consacrazione du Dernier Dîner. Giuseppe laissa la Palestina et il se réfugia en Britannia avec le Saint Graal, où il resta pour cinq siècles, confié aux prêtres de l'église Aquae Sulis. Dans siècle à cause de l'avancé d'armées pagani on vous voulut le porter dans un lieu plus sûr. Donc un prêtre on incaricò de le porter à Rome de la Papa. Mais lorsque il arrivaà l'Île Comacina, à cause de l'invasion des Longobardi il fut forcé à s'arrêter. Au Saint Graal il fut donné mérite de la résistance réussie contre les Longobardi, et fut construite une église (sur l'île) dans son honneur. Avec la victoire des Longobardi on chercha donc à porter dans sauf le Saint Graal, en le cachant dans une place dispersée en Val Codera, dont on a perdu ses traces.


Le Graal et le roi Pêcheur[modifier le code]

Le récit du Roi Pêcheur concerne un roi boiteux dont blessée à la jambe il rend la terre stérile. Le héros (Gawain, Percival, ou Galahad) rencontre le roi pêcheur et est invité à une fête au château. Le Graal est encore présenté comme un plateau d'abondance mais elle est même une partie d'une série reliquie de mystiques, qui incluent même une lance qui suinte du sang (de certains interprétée comme la Lance de Longino) et une épée cassée. Le balai du reliquie est d'inciterle héros à poser des questions environ leur nature et donc casserl'incantesimo du roi je rends infirme et de la terre infructueuse, mais le héros invariablement échoue dans l'entreprise. [modification]

Le Graal et le légende arturiana[modifier le code]

L'histoire du Roi pêcheur et le Graal fut plus tard incorporé dans le cycle arturiano. En principe le récit du roi pêcheur fut un épisode inséré avant l'arrivée de Percival à Camelot, pour ensuite developer dans une explicite recherche du Graal de la part des douze cavaliers de la Tavola Ronde.

Les Canone du Graal[modifier le code]

Le Graal apparaît pour la première fois sous forme littéraire dans le Perceval ou le conte du Graal de Chrétien de Troyes (XII siècle). Après le Parzival of Wolfram von Eschenbach, pour lequel le Graal est une pierre magique, fut Robert de Boron, dans son Joseph d'Arimathie composé entre le 1170 et le 1212, qui ajoutèrent le détail qui le Graal serait la coupe employée dans le Dernier Dîner dans lequel Giuseppe d'Arimatea aurait ensuite ramassé les goutes de sang du Christ sur la croix, comme recompté du quelques apocryphes comme la Gesta de Pilati ou pseudo- Évangile de Nicodemo. Giuseppe il aurait ensuite porté la coupe nelle des Îles britanniques et là fondé la première église chrétienne. Les cristianizzazione du légende du Graal est poursuivies de Ces du saint- Graal, roman anonyme écrit vers le 1220, probablement d'un monaco, qui fait du Graal la Grâce divine.

Varies des cavaliers entreprirent la recherche du Graal en récits annexés au cycle arturiano. Quelques de ces récits ils présentent des cavaliers qu'ils se furent passés, comme Percival ou Galahad ; autres recomptent de cavaliers qui échouèrent dans l'entreprise pour leur impurità, comme Lancillotto. Dans l'oeuvre de Wolfram, le Graal fut mis dans sauf dans le château de Munsalvaesche (mons salvationis) ou Montsalvat, confié à Titurel, au premier roi du Graal. Certains ont identifié le château avec le sanctuaire de Montserrat en Catalogna.

Le légende du Graal est rapporté même en récits populaires dontgallois, le Mabinogion est les plus vieux des manuscrits survivants (XIII siècle). Elle existe même une poema inglese Sir Percyvelle du XV siècle. En suite les légendes de roi Artù et du Graal furent reliés dans le XV siècle de Thomas Malory dans Les les Mortes d'Arthur (même appelé les Mortes Darthur) qu'il donna au corpus du légende sa forme classique.


Les lieux du Graal=[modifier le code]

Déjà dans le Moyen âge ils existent des témoignages relatifs au lieu où il serait conservé le Graal. Plus importants ils sont :

1. La source plus ancienne sur la coupe du Dernier Dîner parle d'un calice d'argent à deux manici qui était enfermé dans un reliquiario d'une chapelle voisin Gerusalemme entre la basilique de la Golgotha et le Martyre. Ce Graal apparaît seulement dans le récit d'Arculfo, des pèlerin anglo-sassone du VII siècle, qui l'aurait vu et même touché. Celui-ci est le seul témoignage qui le calice était conservé en Terre Sainte.

2. Une autre source de la fin du XIII siècle parle d'une copie du Graal à Costantinopoli. Le témoignage se trouve dans le roman allemand du XIII siècle Titurel le jeune. Ce Graal aurait été trafugato de l'église du Bucoleon pendant la quatrième croisade et portée de Constantinopoli à Troyes de Garnier de Trainel, décime évêque de Troyes, dans le 1204. Il est rappellé là ancre dans le 1610, mais il serait scomparso pendant la Révolution française.

3. Des deux calices des survivants jusqu'à aujourd'hui et crus être le Graal, se trouve à Genova, dans le cattedrale san de Lorenzo. La coupe hexagonale genovese est connue comme la SACRO CATINO sacrée cuvette. Le calice est de verre égyptien vert et la tradition veut que soit étée sculptée dans un émeraude. Elle fut portée à Paris après la conquête napoleonicade l'Italie et tourna cassée. Ses origine est incertaine ; selon Guglielmo de Tir, qui écrit vers le 1170, il fut trouvé dans la mosquée à Césarienne dans le 1101. Selon une autre version d'une chronique espagnole il fut trouvé lorsque Alfonso VII de Castille nous prîmes Almeria aux Mori dans le 1147 avec l'aide genovese ; ceux en change auraient voulu seulement cet objet du pillage d'Almeria. L'identification de la sacrée cuvette avec le Graal n'est pas de toute façon tarde, vu que il se trouve dans la chronique de Genova écrit de Jacopo de Varagine, à la fin du XIII siècle.

4. L'autre calice identifié avec le Graal est le saint calice une coupe d'agate dans le cattedrale de Valencia. Elle est poste sur supporte médiéval et la de base est formée d'une coupe versée de calcédoine. Sur il y a une inscription arabe. La première référence certaine au calice espagnol est du 1399, lorsque il fut donné du monastero de San Juan de la Peña au roi Martino d'Aragona en èchange d'une couped'or. Selon le légende le calice de Valencia aurait été porté à Rome de San Pietro.

En temps modernes elle vous a été une florissant spéculation sur le lieu où il pourrait être gardé le Graal et ont été faites des diverses hypothèses :

1. Castel des Monte 2. Château de Gisors: où ils l'auraient porté les Cavaliers templari templiers 3. Takht-e Suleiman : un déesses principales centres del culte zoroastriano 4. Cathédrale des Tricheurs, sur dont portale on trouve une image de Roi Artùr 5. Chapelle de Rosslyn en Scozia Rosslyn Chapel 6. Glastonbury, où il aurait été porté de Giuseppe d'Arimatea 7. Oak Island aux Etats Unis 8. Château de Montségur, où ils l'auraient gardé les Catari 9. Église de Rennes-le-Château en France 10. Dispersé en val Codera (Lombardie) 11. Enterré dans un profond puits dans les alentours d'Aquilée (Aquileia)

Interpretations modernes[modifier le code]

Une des théories récentes, qui a fait bruit, est cette thèse avancé trois journalistes britanniques : Michael Baigent, Richard Leigh et Henry Lincoln, dans leurs essai controversé « The Holy Blood and the Holy Grail » (L'Énigme sacrée « La Sainte Lignée et le Saint Graal », 1982). Les écrivains ont avancé l'hypothèse qu'en réalité le Graal ne soit pas un objet mais la ligne de sang du stirpe des descendants de Jésus Christ. En partant des similitudes étymologique de « San Graal » et « Sang Real », affirment que Jésus aurait épousé Marie Madeleine, dite de Magdalla, et avec elle aurait eue des fils, les descendants desquels seraient la dynastie des Mérovingiens. La trame de cet ouvrage a été reprise de manière très romancée dans le best seller Da Vinci Code. [modification]

Le Graal dans la littérature et dans le cinéma[modifier le code]

  • Parsifal, oeuvre de Richard Wagner, 1882

Monty Python et le Sacré Graal (Monty Python and the Holy Grail), le film de 1975

  • Excalibur, film de John Boorman de 1981
  • Indiana Jones et la dernière croisade (Indiana Jones and the Last Crusade), film de Steven Spielberg, 1989
  • Le code de Tu vaincs (The De Vaincs des Queues), roman de Dan Brown, 2003, qui soutient l'hypothèse de Baigent, de Leigh et de Lincoln

Sources[modifier le code]

  • Walter - Poirion (et), les Livre du Graal. Tomes I, Joseph d'Arimathie - Merlin - Les Premiers Faits du roi Arthur, Paris 2001 (ISBN 2070113426)
  • Chrétien de Troyes, les Conte de Graal or Perceval, Cambridge, N.J., 1982
  • Wolfram von Eschenbach, "Parzival", Stuttgart 1999 (ISBN 3150074517)


Bibliographie[modifier le code]

  • Baigent - Leigh - Lincoln, le Saint Graal, Milan 1994 (ISBN 8804386096)
  • Ferrari - Zatterini (et), Atlas du Graal, Milan 1997 (ISBN 8880730339)
  • Règle L. Goodrich, le Saint Graal, Milan 1996 (ISBN 8818880489)
  • Graham Hancock, le mystère du Sacré Graal, la Ferme Monferrato 1999 (ISBN 8838443572)
  • Graham Phillips, la recherche du Saint Graal, Milan 1998 (ISBN 8878248908)
  • Andrew Sinclair, l'aventure du Graal, Milan 1997 (ISBN 880443046X)

Michel BUZE 12 décembre 2005 à 21:23 (CET)[répondre]

Article interessant[modifier le code]

http://google.fr/search?q=cache:FFXM-VJI8qIJ:www.rencontre-kherialogie.com/index.php

Jean Philippe Camus, Doctorant en Histoire Médiévale à l’UNSA

La pensée médiévale considérait que tout fait tangible du monde réel renfermait des symboles et dissimulait un secret d’ordre spirituel. La légende du Graal s’inscrit parfaitement dans cette conception. Pour Denys l’Aéropagite : « Le calice par sa rondeur et son large évasement, est le symbole de la Providence qui embrasse indistinctement toutes les créatures dans sa sollicitude, et qui n’a ni commencement ni fin. »[1] Le mot Graal qui fut employé pour la première fois par Chrestien de Troyes était un nom connu à son époque. Bien que l’étymologie de ce nom demeure incertaine, certains l’ont rapproché du mot grec cratère, on peut affirmer que généralement, les mots dérivant de Graal désignent des récipients à ouverture large. Le Graal s’inscrit dans la catégorie des objets nourriciers renfermant des vertus de fertilité et de jeunesse éternelle comme le chaudron de Ceridwen, déesse de la poésie chez les Bretons, la corne d'abondance de Bran ou encore la Coupe de Jamshid, roi mythique de la Perse. Les éléments composant la légende du Graal plongent leurs racines dans les traditions indo-européeennes. Il n’est donc pas surprenant d’en voir la résurgence dans les contes médiévaux.


Présence des vases sacrés dans l’Histoire

D’après la tradition chrétienne, le Graal serait le calice qui servit à la Cène et dans lequel Joseph d’Arimathie recueillit le sang et l’eau qui s’écoulaient de la blessure occasionnée par la lance du centurion romain Longinus venue percer les flancs du Christ lors de sa Passion. Pour Robert de Boron, chroniqueur médiéval, le Graal aurait ensuite été transporté par Joseph d’Arimathie et Nicomède en Angleterre. Faut-il y voir au niveau symbolique, la preuve d’un lien certain entre la sagesse celtique et le Christianisme naissant ? Dans tous les cas, la tradition celtique ne disparut pas totalement et rapidement lors de l’évangélisation de la Gaule et de la Grande Bretagne, des foyers résistèrent pendant plusieurs siècles. Ainsi l’Irlande, le pays de Galles, le Cornwall, l’Ecosse mais aussi l’Armorique conservèrent pendant longtemps un certain nombre de traditions : fixation de la date de Pâques, tonsure, certaines coutumes liturgiques. De plus, les poètes, descendants directs des anciens bardes, qui s’étaient ralliés au Christianisme, véhiculèrent toute une tradition celtique mythologique et merveilleuse. L’un des genres littéraires les plus célèbres d’Irlande était celui des imrama, récits de voyages fantastiques peuplés de monstres et d’autres trésors secrets où les voyageurs étaient à la recherche d’une pénitence imposée ou volontaire. La littérature irlandaise est relativement bien connue mais aucun texte n’a servi de base à l’élaboration des récits sur le Graal. De l’avis même du professeur Kenneth Jackson de l’Université d’Edimbourg, l’origine exclusivement celtique des romans du Graal est loin d’être prouvée car de nombreux thèmes ( la coupe, la lance ou encore la montagne par exemple ) se retrouvent dans d’autres mythologies.


La tradition de la coupe se retrouve en effet dans toutes les mythologies et toutes les religions. En Orient, le vase pouvait symboliser la sagesse et le salut. Les Chaldéens (Chaldéen) parlaient d’un vase d’où s’échappait l’arbre de vie et la coupe de Djemschid (Djemchid) en Perse, signifiait le salut et l’abondance. Les vases sacrés symbolisaient l’organe féminin. On retrouve cette notion dans le vase cosmogonique de Platon, la coupe d’Hermès et de Salomon, l’urne des anciens cultes à mystère. Les Parses (Parse) possédaient un vase pyrogène tandis que les Egyptiens figuraient Serapis avec un vase sur la tête nommé gardal.

Dans les récits mythiques, la coupe représentait la partie féminine de la génération et la lance, l’organe masculin, symbole qui ne se retrouve pas exclusivement dans les histoires celtiques. Ainsi, chez les Grecs, la lance d’Achille avait le pouvoir de guérir les blessures dont elle était à l’origine.


Dans le symbolisme traditionnel, la lance figure la force cosmique et l’axe du monde, comparable à la montagne dont le sommet représente le point sacré où Dieu descend et rencontre l’homme qui monte. Ce thème de la montagne sacré est présent dans toutes les traditions et chaque peuple à la sienne : l’Himalaya, le Fouziyama, l’Olympe, le Sinaï, l’Aboy en Iran. Dans toutes les traditions, le vase représente l’univers, la lumière, la féminité. C’est la mère qui contient l’enfant, la Vierge engendrant le Christ, le corps qui contient l’âme. Le vase est l’endroit où se passe toute action. « Le Graal figurativement est le calice avec l’hostie, le vin, la chair et le sang du Christ ; mystiquement c’est l’homme quand il est devenu le vaisseau où se déverse l’Esprit Saint ; hermétiquement, c’est la substance parfaite, la pierre philosophale qui dispense la quintessence de la vie. »[2]

L’histoire du Graal fit son apparition à la fin du XIIe siècle, à une époque de croisade donc de contacts, certes souvent violents, entre l’Occident et l’Orient. Trois romans chrétiens sont à l’origine de la légende : « Perceval Li Gallois » ou « conte del Graal » écrit vers 1180 par Chrestien de Troyes, « l’Estoire dou Graal » de Robert de Boron, rédigé quelques années après et « Parzival » de Wolgram von Eschenbach, composé entre les années 1200 et 1205.


Chrestien de Troyes


L’auteur du premier roman sur le Graal est né à Troyes dans les années 1140 et vécut à la Cour des comtes de Champagne. Clerc cultivé, il fit une carrière d’écrivain entre 1160 et environ 1185 où ses écrits s’inspiraient de la foi chrétienne et des idées de la féodalité. On y parlait de chevalerie, d’amour et de courtoisie. «  Le problème reste à l’intérieur du monde de la chevalerie ; c’est celui de l’intégration dans la vie chevaleresque d’aventure et d’amour, des devoirs individuels envers Dieu, maître suprême du chevalier. »[3] D’après Chrestien, le sujet de Perceval lui aurait été suggéré par un livre appartenant à Philippe de Flandre, comte d’Alsace dont le père Thierry d’Alsace, s’était croisé sous l’influence de saint Bernard. On suppose que c’est dans une ville de Flandre que Chrestien a composé son œuvre. L’histoire de Perceval est mystérieuse. Il vit avec sa mère dans la forêt et connaît le langage des animaux et des oiseaux donc des esprits. Un jour, apercevant les chevaliers du roi Arthur, il décide de les suivre, abandonnant sa mère qui meurt en le voyant s’éloigner. Perceval va alors commencer une longue suite d’exploits. Il délivre la princesse Blanchefleur qui s’unira à lui. Il combat le chevalier Vermeil tenant à la main une coupe d’or rouge et donc les armes, le destrier et les cheveux sont de la même couleur. Enfin, il fait la connaissance du Roi Pêcheur, impuissant, dont le pays reste stérile en raison de sa maladie qui lui donnera une épée au pommeau d’or en lui déclarant : « Cette épée vous était réservée et destinée. » Lors d’un repas,

Perceval assiste à une étrange procession où un valet porte une lance dont la pointe laisse couler des gouttes de sang suivi de serviteurs portant des torches et d’une dame tenant un plat d’argent. Une jeune femme rayonnante et présentant le Graal, ferme le cortège. Perceval ne posera aucune question, non encore assez initié pour comprendre le sens du Graal. Pourquoi la lance saigne-t-elle ? Que fait-on du Graal et à qui le mène-t-on ?

Le lendemain, Perceval rencontre une parente en larmes, un chevalier mort sur ses genoux. La jeune fille lui reproche son échec. Il aperçoit alors trois gouttes de sang sur la neige provenant d’une oie blessée par un faucon qui lui font penser à la lance et à sa femme, Blanchefleur.

Pour conquérir le Graal, il convient en premier lieu d’en connaître le sens christique en identifiant le sang s’écoulant de la lance avec le sang versé par le Christ pour le rachat du genre humain, donnant la force de dominer les passions égoïstes. Pendant cinq ans, Perceval va douter et être en contact avec le mal. Un Vendredi Saint, il arrivera à la cabane d’un ermite qui l’absoudra de ses fautes et lui expliquera ses erreurs tout en lui donnant de précieux conseils et des révélations sur « bien des noms de Notre seigneur et parmi eux les plus grands que nommer ne doit bouche d’homme, si ce n’est en péril de mort » . Nous pouvons noter que cette notion d’invocation des noms divins ne peut être que d’origine judaïque. La seconde exigence pour conquérir le Graal est de transformer l’amour féminin en amour divin. C’est exactement la voie spirituelle que prendront certains troubadours de cette époque abandonnant les charmes du siècle pour la rigueur de la règle monastique. La dernière condition pour mériter le Graal est de vivre l’expérience de la mort. Perceval l’a fait à quatre reprises, avec sa mère, le chevalier Vermeil, avec sa parente et des chevaliers qu’il croise dans une forêt où il chasse un Vendredi Saint. Michel BUZE 27 décembre 2005 à 23:15 (CET)[répondre]

Lien interessant[modifier le code]

http://www.er.uqam.ca/nobel/religio/no14/bertin.html

Coupe de vin[modifier le code]

Je n'y connais rien, mais il me semblait que le graal etait la coupe de vin utilisee par Jesus lors de la Cène. Vargenau 20 avr 2004 à 15:06 (CEST)

Les deux, mon général ! Selon la tradition rapportée par les apocryphes, la même coupe sert pendant la Cène et pour recueillir le sang du Christ. Robert de Boron fait le rapprochement entre cette coupe et le mystérieux graal, de signification indéterminée, de Chrétien de Troyes. Je vais ajouter la précision. Jastrow 20 avr 2004 à 15:40 (CEST)

Le saint graal ou le fils de jesus[modifier le code]

Bonjour à tous,

Je suis surprise de ne pas avoir trouvée dans les multiples explications de ce qu'est le graal la version suivante:

D'aprés certains theologiens , le saint graal voudrait dire sang royal, ce qui laisse penser que le saint graal n'est autre que le fils du christ qu'il aurait eu avec Marie madeleine. Info ou Intox?

eden.

En fait selon certain, le nom saint graal serait une déformation du vrai terme. En ancien français, le saint graal s'écrit san graal, qui viendrait de sang raal (sang véritable ou sang royal) La vrai question est de savoir si c'est la première(religieuse) ou deuxième traduction(contestataire) qui soit la réelle.

Mythos.

Il en est quiestion dans la version actuelle de l'article: "Saint-Graal serait en l'occurrence une déformation de Sangréal signifiant « sang royal »"" (d'ailleurs ça devrait plutôt s'écrire en deux mots ?) Y a-t-il une explication au fait que le nom du Saint-Graal viendrait alors d'une expression française (théorie du voyage de Marie-Madeleine vers la France ?) Depuis quand existe l'expression "Saint Graal" (à comparer avec l'histoire de la langue française pour savoir quand et où ce jeu de mots était possible) ? "Sang réal" a-t-il une signification en dehors de cette étymologie posible de Sain Graal ? (je pose la question en vue d'une redirection) Apokrif 14 juillet 2006 à 19:06 (CEST)[répondre]
Bonjour,
Je trouve dommage qu'on fasse apparaitre cet amalgame "Sangreal" et Sang Royal.
Il me semble qu'à l'époque de Chretien de Troyes et Robert de Boron, "Sang" s'écrivait encore "Sanc" et "Réal" était une monnaie. S'il avait fallu l'écrire on l'aurait écrit "Sanc Roial" et non "Sang Réal".
De plus, ce "Sangréal" apparait bien tardivement par rapport aux écrits d'origine qui parlent bel et bien de "Graal" ou "Grals", bref, j'y voit surtout une influence "DaVinciCodesque".Gargamail (discuter) 14 septembre 2015 à 00:41 (CEST)[répondre]

Templiers[modifier le code]

Il faudrait ajouter une phrase du style : Certains voient dans Chevaliers de la Table Ronde une allusion aux Templiers, et dans le Graal une allusion au Trésor des Templiers. Michel BUZE 5 avril 2006 à 22:21 (CEST) --Michel BUZE 2 mai 2006 à 20:53 (CEST)[répondre]

Dans la catégorie "Bibliographie", il y a une erreur concernant le "Dictionnaire des mythes littéraires" que je n'arrive pas à corriger: "pute sur gazon".

c'est fait.

Une des images Wikisource-logo.png s'affiche en transparence sur un §...

Bibliographie[modifier le code]

http://www.eklectic-librairie.com/ListeDomaine.asp?NumDomaine=186 Michel BUZE 22 octobre 2006 à 20:25 (CEST)[répondre]

~== Rennes-Le-Chateau ==

J'ai supprimé un paragraphe qui nage dans l'hypothétique : "peut-être" que le "pseudo"-trésor de Rennes-Le-Château "pourrait" contenir le Graal. Si certains font un lien entre le Graal et le trésor supposé, ce ne sont pas des faits mais des opinions. Restons factuels. Gwalarn 6 novembre 2006 à 19:20 (CET)[répondre]

Etymologie hébraïque[modifier le code]

Le mot Goral, GWRL, signifie "sort" en hébreu. Il est utilisé quand il y a "tirage au sort", par exemple pour le "bouc émissaire", ou dans l'histoire de Jonas, jeté par dessus bord. De même, la "coupe", Koss, KWX en hébreu, calix en latin, est souvent comparée à la vie, au destin de chacun. Voir les expressions : "boire la coupe jusqu'à la lie", "il y a loin de la coupe aux lèvres". Il est probable que l'Évangile de Nicodème dérive d'un Midrash combinant le bouc émissaire et l'histoire de Joseph emprisonné chez Pharaon et expliquant les rêves de l'échanson (où intervient une coupe) et du panetier (Genèse 40), pour en faire Joseph d'Arimathée, Joseph "après la mort". MLL 2 mai 2007 à 09:33 (CEST)[répondre]

Désolé, mais c'est loin d'être clair... Michel BUZE 2 mai 2007 à 10:12 (CEST)[répondre]
Vous avez raison, je vais essayer de m'y prendre autrement. MLL 2 mai 2007 à 11:03 (CEST)[répondre]
16 ans plus tard, j'insiste sur le blog de Judeopedia

Etymologie latine du mot graal[modifier le code]

... tout simplement :

- creta = argile, toute espèce de terre grasse; - cretula : craie; argile à cacheter; - cretulentum : eau mêlée de terre, et par extension vase fabriqué à partir de ce mélange. >>> d'où gradal, en provençal.

Etymologie latine du mot calice[modifier le code]

- calix désigne aussi le tuyau d'une prise d'eau (émanant du captage souterrain) alimentant un aqueduc ou une fontaine.

graal et jeux de rôle / ordinateurs[modifier le code]

Sans nier qu'il puisse avoir des graals au sein de certains jeu de rôle ou ordinateur, la section qui est consacrée à cette question est très faible.

Jeux s'inspirant du Graal
Proches du thème de la quête du Graal, de nombreux jeux dits "de rôle" apparaissent dans les années 1970. Le plus célèbre, et un des premiers, est le jeu américain Donjons et Dragons : une assemblée de joueurs part en quête d'un objet, d'une personne. Chacun tient le rôle d'un personnage précis : chevalier, magicien, elfe, etc. Un meneur de jeu dévoile petit à petit les multiples épreuves à affronter avant d'arriver au but. Débarrassé de tout contexte religieux, l'intérêt du jeu se situe dans l'infinie variété des quêtes construites à partir d'une trame de base, avec ses scénarios et ses personnages stéréotypés.

Cette section me parait être avant tout un invitation à la description des jeux de rôle. Aucune référence entre eux et le graal n'est indiquée. Dire que la quête du graal en est l'inspirateur, c'est aussi intéressant que de dire que le seigneur des anneaux l'a été. Toutes les histoires à quête ont inspiré ces jeux.

L'évolution la plus récente est la transposition des jeux de quête sur ordinateur, permettant de jouer seul avec l'ordinateur pour « maître du jeu » et de profiter de ses capacités graphiques et sonores pour représenter des mondes imaginaires et gérer des scénarios complexes.

Quel rapport avec le graal ?

Ces jeux ont été adaptés depuis à de nombreuses situations : toutes les grandes civilisations, réelles ou imaginaires, ont été mises à contribution. Mais ce n'est pas un hasard si les premières versions se situaient dans un monde féodal où la magie joue un grand rôle : inventées par des Anglo-Saxons imprégnés de légendes arthuriennes, les quêtes modernes réactualisent une trame légendaire du VIe siècle, comme Chrétien de Troyes l'avait déjà fait au XIIe siècle. N'est-ce pas un bel exemple de mythe intemporel ?

Le graal n'est pas le seul mythe intemporel, loin de là, et le lien entre le graal et le fait que les premières version des jeux de rôle se passe au moyen âge m'échape.

Pour moi, section a reconstruire complètement et qui n'a rien à faire dans l'article en l'état. Zoorin (d) 15 juin 2009 à 14:26 (CEST)[répondre]

Article dans Les cahiers de Science et Vie d'août 2015[modifier le code]

Bonjour,

J'ai sous les yeux le dernier numéro des cahiers de Science et Vie, revue dans laquelle quelques pages sont consacrées au Graal (Denis Delbecq, « A-t-on retrouvé le Graal », Les cahiers de Science et Vie, no 155,‎ , p. 18-22).

Cet article se fait l'écho d'une parution Rois du Graal par des chercheurs espagnols qui indiquerai la Basilique de San Isidoro de León comme lieu où se trouverait « le Saint Graal, la coupe du dernier repas du Christ ».

Les conclusions de l'article réfute cette hypothèse.

Qu'en pensez-vous ? L'information a-t-elle sa place dans l'article ?

--H2O(discuter) 1 août 2015 à 18:42 (CEST)[répondre]

Bonjour,
Etant donné le caractère mythique de cet objet inventé dans un roman, je ne sais pas si un paragraphe de plus sur sa prétendue "localisation réelle" soit vraiment utile. Gargamail (discuter) 14 septembre 2015 à 00:26 (CEST)[répondre]
Je me permet d'ajouter deux liens concernant cette information issue d'un livre écrit par une historienne espagnole et paru début 2014
http://www.20minutes.fr/insolite/1340661-20140402-retrouve-saint-graal-espagne
http://www.histoire.presse.fr/actualite/infos/graal-est-a-leon-01-06-2015-134933
Et concernant les lieux qui sont censés détenir le Graal, ils sont comme les lieux censés détenir les morceaux de la Vraie Croix, on pourrait en faire toute une forêt ...Gargamail (discuter) 14 septembre 2015 à 17:46 (CEST)[répondre]