Discussion:Grâce (christianisme)
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Cet article est indexé par les projets Christianisme et Théologie.
Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.
| Avancement | Importance | pour le projet | |
|---|---|---|---|
| Ébauche | Élevée |  | Christianisme (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) |
| À évaluer |  | Théologie (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | |
Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.
La Grâce, (Hêssêd, en hébreu!) est une faveur divine qu'obtiennent ceux qui l'attendent, (to expect!) selon le Psaume 147. Les T.J. traduisent le mot par 'Bonté imméritée'! H.-H. RABEL
Texte à sourcer[modifier le code]
Dans le catholicisme, la grâce est une "faveur" au sens propre du terme qui provient spécifiquement et exclusivement de Dieu. Parler de la grâce dans la foi catholique c'est se placer du coté exclusif de Dieu, Elle sort seulement de Dieu [cf Concile de Trente]. Du coté de l'Homme, la grâce peut-être accueillie ou refusée. Dieu propose toujours et sans cesse sa grâce, mais c'est bien l'homme qui y répond ou n'y répond pas. Mais après avoir dit cela on n'a pas tout dit. On serait alors tenté de dire que l'Homme apporte son concours à son Salut, comme une "synergie" à la demande gracieuse de Dieu? L'Eglise Catholique Romaine a totalement condamnée cette disposition de l'esprit tronqué, puisque cela reviendrait à donner raison aux disciples de Pelage (IVème siècle de notre ère, voir conflit avec Saint Augustin, docteur de l'Eglise Catholique Romaine) ou de traité cette pensée de semi-pélagienne! ce qu'il faut surtout comprendre, et qui a clairement été exposé par le Concile de Trente, c'est que : lorsque la réponse de l'Homme est favorable [à cette grâce imméritée pour tout homme] c'est déjà la grâce prévenante de Dieu qui a permit l'ouverture du coeur de l'Homme et le fait se tourner vers son Dieu. De sorte que c'est bien la grâce et uniquement la grâce de Dieu qui sauve dans l'expression de la foi catholique. Le Concile de Trente a parfaitement exposé cette théologie du Don de la grâce de Dieu, pour le Salut de tout Homme. La science théologique de Dieu concernant le Salut de tous les Hommes, s'appelle la Sotériologie.
De fait, les Hommes ne sont Justifiés (c'est-à-dire "aquitté devant Dieu de leurs pêchés", rendu fils adoptif de Dieu) qu'après s'être laissés touchés par la grâce ultime de Dieu, s'être tournés vers Dieu en se reconnaisssant pêcheur d'une part, puis en se laissant conduire à la foi en Jésus Christ (Dieu fait Homme, mort à notre place et réssuscité pour nous) et enfin en recevant le don de la Foi (alimentée par une compréhension intelectuelle de ce qui arrive au Nom de Jésus Christ) le don de l'Espérance et le don de l'Amour de sorte que la foi se révèle agisssante dans une Charité visible! L'Homme est bien justifié par la foi, l'espérance et la Charité conformément à l'écriture : "lorsque j'aurais la foi, une foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas la charité je ne suis rien" 1cor 13,2; ou encore "c'est par les oeuvres (de l'amour) que l'homme est justifié et non par la foi seule" Jc 2,24.
− La grâce se distingue par là du miracle, censé pouvoir atteindre aussi bien un esprit non préparé, et même un incroyant.
L'etat de grâce[modifier le code]
Un autre article de wikipédia me renvoie ici pour la définition "d'état de grâce" (au sens religieux, pas journalistique), mais une fois arrivée sur l'article, rien, l'état de grâce n'apparaît pas dans l'article.