Discussion:Fight Club (film)

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où est-ce que Tyler appelle Edward Norton "Jack" dans le film ? J'ai bien vérifié à la fin je ne trouve rien...J'ai téléchargé les sous-titres anglais et français, rien non plus. Jack est le personnage d'histoires qui sont dans les livres de l'ancien proprio de la maison de Tyler (je suis le bulbe rachidien de Jack moment où Tyler fait du vélo dans la maison). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.53.240.6 (discuter), le 18 janvier 2006 à 17:25

Je ne pense pas qu'on peut qualifier le film de faciste étant donné l'ensemble à quoi rapporte ce terme, ainsi être contre la société de consommation actuelle c'est du facisme? Je ne pense pas du tout. Je suis choqué de plus quand certaines critiques qualifient les personnages en tant que nazis. Pour moi les personnages sont très de ça à part peut être la position dominante du chef, mais dont les idées ne sont aucunnements facistes . Certains ne seront pas daccord mais je considère Tyler comme un anarchiste, car celui ci prone la primitivité et le refus de la société, en passant par des idées communistes car le "salut" de ses disciples ne peut être assuré que par une période où ils seront dirigés par Tyler. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 87.90.144.5 (discuter), le 10 février 2006 à 21:51

Les degrés de la perception...[modifier le code]

Je vous cite : «C'est au second degré qu'il faut certainement percevoir...» Pourriez-vous illustrer dans un tableau dans votre article le thermomètre de la perception, je vous prie ?

--> Je vois bien que vous expliquez deux façons de comprendre ce film. Mais le terme «degré» ne trouve quand même pas là son explication. <--

Cette phrase est incompréhensible. Enfin, ici, dans les écoles québécoises où on m'a enseigné le français... jamais on ne m'a parlé de degrés dans la perception... Pourriez-vous éclaircir ce segment de votre article ?

Cela dit, je trouve que l'article est fort si intéressant que ça donne le goût de le voir. Merci à vous.

Fredesk 4 octobre 2006 à 05:55 (CEST)[répondre]

L'effort est bon[modifier le code]

l'effort est bon, et c'est mieux que rien... mais l'analyse du film est vraiment mauvaise et le film globalement mal compris meme si les bases facilement dechifrables sont la. Ca manque de profondeur d'analyse... dommage. Je m'y collerai peut-etre si j'ai le temps. Par ailleurs, pas une seul fois ( du moins en vo et en vf ) il n'est fait mention du prenom du narrateur, ca c'est pour l'erreur flagrante. 2eme erreur si le images subliminales n'etait que sur une seule image de la bobine, on ne la verrait pas... C'est justement le principe de l'image subliminale... Les pseudos images subliminales du debut sont donc plus vraissemblablement etalees sur une dizaine d'image de la bobine pour que l'on puisse les percevoir. A vu de nez, durant environ 250, 300 ms soit (0.25 a 0.3 seconde). Il y a pas mal d'autres coquilles flagrantes, il faut juste avoir du temps pour les corriger. En attendant, il y a en bas de page des liens exterieurs donnant acces a d'excellentes analyses dont il serait bon de s'inspirer... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 65.94.179.50 (discuter), le 8 novembre 2006 à 23:14

Non, les images apparaissent réellement très peu de temps, c'est un clignotement insaisissable, et il faut parcourir les images du film une à une pour les voir concrètement, mais on les aperçoit, le manteau de cuir rouge de Tyler ressort nettement à chaque fois, même si l'on est incapable de dire ce qu'était cette tache rouge apparue subitement. L'article se trompe cela dit sur la durée d'exposition d'une image, le film étant en 24 image par secondes, il y a 0.0417 seconde d'exposition pour chaque image. Pour te faire une idée, Les « brulures de cigarette » dont parle justement le film, ont une durée d'exposition de 4 images, soit 0,1667 seconde.
Seul les images de Tyler apparaissant à la place du narrateur quand il dit « nous somme les rebuts à tous faire de l'humanité » (Le j'ai vu en VO, ce n'est peut être pas la traduction française courante) vers la fin du film, quand le narrateur comprend la nature de Tyler, et les images pornographique glissé à la toute fin apparaissent, elle, effectivement environ 0.3 seconde.
Il est vrai que l'analyse du film est tout simplement horrible, la division "commentaire général / commentaire spécifique" est tout à fait impropre a une analyse structuré et compréhensible. Qu'est-ce qui est général et qu'est-ce qui est spécifique ? Je penses me pencher la dessus prochainement.
--Mr Hart, le 19 février 2009 à 09:11 (CET)[répondre]
Arrêtez vos analyses elles ne servent à rien pour ce film. Chaque-un doit voir et comprendre individuellement ce film, par sois même, si non il ne sert à rien de le voir. Ce film est unique... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.251.56.198 (discuter), le 22 avril 2010 à 04:23

Les secrets[modifier le code]

Il manque une petite partie sur les secrets du film et les details qui ont leur importance (ou non). De plus l'analyse homosexuel est tout bonnement infondée si on prend ce qui est dit, il y a bien d'autres choses à dire si on va sur ce terrain et sur cette théorie qui est pour moi bien justifiée. Bref bcp de rectifications à faire si tout le monde s'y met : ) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 84.103.135.93 (discuter), le 8 mars 2007 à 13:36

L'article du film catégorise Fight Club comme film de science-fiction, j'aimerais que l'on m'explique en quoi ce film est de la science-fiction. Mith (What ? You're talkin' to me ?) - Angers, le 8 octobre 2007 à 22:05 (CEST)[répondre]

A vrai dire, il faut bien avouer que certaines scènes de la fin du film sont un peu "surnaturelles", ça fait un petit moment que je n'ai pas regardé le film mais je me souviens d'une séquence où "Jack" (excusez-moi mais comme le "Narrateur" comme il est dit dans les crédits pense souvent des choses du genre "Je suis la vengeance narquoise de Jack", j'ai pris l'habitude d'appeler le personnage d'Edward Norton "Jack". Moyen mémotechnique plus qu'autre chose.)bref, je me souviens d'une scène où le narrateur est violemment projeté dans une cage d'escalier (on le voit à travers une caméra) ou traîné par terre comme par une force invisible, je ne me souviens pas des détails mais de ce que j'en retiens ça paraît assez irréel.
M'enfin tout ça pour dire que je ne pense pas non plus que ces petits détails justifient la classification en "science-fiction"... c'est pas eXistenZ (le premier exemple qui me vient à l'esprit...) non plus.
Thunderbird (d) 5 décembre 2007 à 22:22 (CET)[répondre]
Je viens de revoir le film. Dans cette scène il se bat contre son double imaginaire. De son point de vue, il se bat contre Brad Pitt et vu de l'extérieur (caméras de surveillance) il se bat tout seul. C'est plus une façon d'exprimer cinématographiquement la schizophrénie du narrateur que de la science fiction. J'enlève la cat. --Coyau bip-bip 26 janvier 2008 à 00:03 (CET)[répondre]
Totalement d'accord, c'est une représentation cinématographique de sa schizo et en aucun cas de la science-fiction. Au pire, si on voulait sous-entendre que cela est impossible physiquement alors on tomberait dans le genre fantastique mais surtout pas dans la SF. Merci d'avoir sup la cat. Mith (What ? You're talkin' to me ?) - Angers, le 29 janvier 2008 à 12:36 (CET)[répondre]
Tout en étant d'accord avec vous, je vous rappelle que le livre de Chuck Palahniuk (Fight Club) est sorti en livre de poche chez Folio dans la catégorie "Sciences-Fiction".--Trufino (d) 6 avril 2008 à 15:56 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas parce que les éditeurs sont nuls que wikipédia doit l'être !!! Mith (What ? You're talkin' to me ?) - Angers, le 26 décembre 2008 à 10:45 (CET)[répondre]

"Coupeur dans un cinéma", ce métier n'éxiste pas.[modifier le code]

Une simple rectification, Tyler n'est pas "coupeur" (ce métier n'éxiste vraiment pas), mais PROJECTIONNISTE. Je sais de quoi je parle, puisqu'il s'agit de mon métier (bientôt en péril avec le mouvement numérique... mais c'est un autre sujet). Fight Club est un des rares films mentionnants ce métier (en plus il explique pas mal de choses sur le fonctionnement, façon Tyler Durden, Terrible !), avec "la cité de la peur" des nuls et quelques autres.--Trufino (d) 6 avril 2008 à 16:07 (CEST)[répondre]

Je suis Jack[modifier le code]

Dans l'article il est écrit ceci : Je suis le manque absolu d'étonnement de Jack. (minute 76)

Cette réplique n'existe pas. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.252.233.86 (discuter), le 9 avril 2008 à 23:42

En réalité si, cette réplique existe, mais en VF c'est plutôt "Je suis le manque total de surprise de Jack" (I am Jack's lack of surprise) quand il fait du chantage à son patron. --78.213.72.98 (d) 31 mars 2013 à 18:44 (CEST)[répondre]

Mateo Durtette[modifier le code]

Peut-être paranoïa et/ou manque de culture, mais qui est ce Mateo Durdette. Je vois aucune page sur google qui parle de cette personne. Mise à part la page facebook d'un jeune. Ce n'est pas une blague de potache ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par AntoineTissier (discuter), le 26 décembre 2008 à 01:13

Self improvement is masturbation[modifier le code]

Pour info, j'avais mis la réplique en VO, car il y a un double-sens. Self Improvement, cela veut également dire en anglais "développement personnel". Mais du coup, cela ne convient plus pour définir Tyler face au narrateur. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par AntoineTissier (discuter), le 31 décembre 2008 à 16:35

A propos d'un commentaire général[modifier le code]

Il y est dit : "Fight Club prône l'autodestruction et l'abandon d'espoir (mais pas le suicide)." L'abandon d'espoir et pas le suicide, effectivement, mais en aucun cas l'autodestruction. Aucun personnage ne s'autodétruit ; les caractères cherchent au contraire à retrouver leur identité et la pulsation de la vie en eux-mêmes.

"Tyler explique que la vie ne sert à rien..." : il n'y a aucun message de cet ordre, mais le contraire exact. L'auteur de cette phrase confond peut-être avec "La consommation n'apporte pas le sens de la vie". La vie comme valeur première est au coeur de la préoccupation de Tyler : "Stop trying to control everything and just let go" dit-il avant de lâcher le volant de la voiture.

"... et que le paradis n'existe pas vraiment : si une personne meurt, après avoir eu une vie moyenne, elle ira au paradis. Mais sur Terre, elle ne laissera aucune trace. Tyler préconise donc que si l'on doit mourir, autant marquer l'Histoire, et choisir l'Enfer." Messages inventés par l'auteur de cette phrase et hors sujet. "No salvation, no damnation", dit clairement Tyler. Pas de trace à laisser ou non dans l'Histoire, pas de paradis, pas d'enfer : Tyler veut justement détruire ces notions qui endorment la vie. ChristGe (d) 18 février 2009 à 23:06 (CET)[répondre]

Yo all, je sais pas si c'est bien ici que je dois écrire ceci, mais si c'est pas le cas, je m'en excuse. C'était juste pour vous faire part d'un petit truc : Une personne n'ayant pas vu le film, qui se dirigerait vers la page wiki, verrait "Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.", donc là aucun soucis, c'est normal, mais bien avant cela, dans le "sommaire", il y a un élément qui saute aux yeux directement, du fait que c'est le plus long : * 2.1 Schizophrénie du protagoniste.

Autrement dit, une personne n'ayant jamais vu le film, en cliquant sur cette page, verrait directement "Schizophrénie du protagoniste" et donc elle connaitrait la fin avant même de l'avoir vu. Qu'en pensez vous ? (C'est arrivé à un ami.. je suppose que ça peut arriver à d'autres personnes ! :/ ) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 77.196.60.210 (discuter), le 31 mai 2011 à 16:37

Pourquoi ne pas proposer cet article pour un label ? Il me semble avoir atteint le niveau du Bon Article, mais n'étant pas l'auteur, je n'ai pas vocation à prendre cette initiative.

Feanor637 (discuter), le 11 mars 2013 à 15:35 (CET)[répondre]

Interprétation des images subliminales[modifier le code]

Dieu sait à quel point le cinéma américain de l'an 1999 fut riche en chef d'oeuvres. Eyes Wide Shut, Dans la peau de John Malkovitch, American Beauty, Matrix, etc... Parmi ceux-ci, Fight Club. Vous n'êtes pas sans savoir que ce film repose sur une symbolique massive et sur une multitude de détails (images subliminales, indices sur la révélation finale, etc...).

Voici ma théorie : on sait que l'alter ego du narrateur travaille comme projectionniste et qu'il use et abuse de sa fonction pour introduire des images pornographiques subliminales dans des films (pour enfants, par exemple). Vous remarquerez également l'image subliminale qui survient quelques secondes avant le générique.

Selon moi, le narrateur/Tyler est un personnage conscient d'être dans un film et c'est lui qui met intentionnellement cette image devant nos yeux de spectateurs. Rappelez-vous : le narrateur/Tyler parle en voix-off; lors du monologue vous n'êtes pas votre compte en banque, ..., il s'adresse au spectateur en secouant littéralement la bobine de film; il est également conscient des brûlures de cigarettes dans le coin de la pellicule; lors du retour à la scène d'introduction (qui est la scène finale du film), Tyler demande au narrateur si il a un dernier mot à dire pour marquer le coup. Dans l'intro, il dit là, y a rien qui me vient. Et dans la scène finale, il dit y a TOUJOURS RIEN qui me vient. ce à quoi Tyler répond Humour flashback.... Tous ces élements me font croire que le narrateur est conscient d'être dans un film. C'est donc lui qui a pu incorporer l'image subliminale finale.

Qu'en pensez-vous ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 31.11.75.37 (discuter), le 12 juillet 2014 à 21:59

Qu'aussi intéressante que puisse être cette analyse, si rien ne vient l'appuyer à part votre point de vue, ça reste du travail inédit et ça n'a rien à faire dans l'article. Navré. Kelam (mmh ? o_ô) 12 juillet 2014 à 23:02 (CEST)[répondre]

Intention de proposer au label BA[modifier le code]