Discussion:Expédition de Quiberon

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Contexte historique[modifier le code]

Faudrait pas remettre un peu de contexte historique? Comprends pas...

Vberger 10 novembre 2005 à 08:03 (CET)[répondre]

" L'héroïque Charles de Virot, marquis de Sombreuil et 750 de ses compagnons furent jugés par un tribunal militaire et fusillés à Auray. Ils étaient tous nobles " C'est faux ! ils n'étaient pas tous nobles. On trouve dans la liste des condamnés des domestiques, des journaliers, des maçons, des laboureurs,des imprimeurs,des marchands, des palfreniers, etc.

Défaut venant d’une rédaction monosource, visiblement. Si vous avez de quoi compléter, à votre bon cœur. Archeos ¿∞? 3 octobre 2006 à 00:18 (CEST)[répondre]

Débarquement[modifier le code]

Le colonel chouan Georges Cadoudal

Au matin du 27 juin, le temps s'était éclairci après 2 jours de brume, les Britanniques étaient dans la baie de Quiberon ; les signaux du fort Penthièvre à Quiberon signalèrent : Ils débarquent en grande force [1]. Ils restèrent indentiques toute la journée ; une frégate britannique croisait à la pointe de l'est de Belle-Île et un brick et un cotre britannique croisaient à la pointe de l'ouest ; le soir une autre frégate vint rejoindre celle qui croisait à la pointe de l'est ; elles y mouillèrent toutes les deux. De cette manière Belle-Île se trouva bloquée[2].

Le 28 juin, les Britanniques débarquèrent à Carnac au nombre de 8 000 ; ils sommèrent la garnison de Belle-Île de se rendre, ce qu'elle refusa. Le débarquement s'opéra sans difficulté, la garnison d'Auray ayant été vaincue par les Chouans, qui s'étaient également rendus maîtres de Carnac, Landévant et Locoal-Mendon, la côte était libre.

Le fort Penthièvre, appelé fort Sans-culotte par les Républicains, qui barrait la route vers le nord de la presqu'île, opposa une résistance insignifiante et capitula le 3 juillet [3]. La jonction avec les bandes chouannes se fit comme prévu. Des villages furent occupés. Mais aucune opération d'ensemble ne fut entreprise par Joseph de Puisaye assez vite pour inquiéter les Républicains.

ce passage venait en fin d'article, de façon anachronique, et fait double emploi. Il faudrait sans doute fusionner l'info. --Anne97432 (d) 1 juin 2009 à 11:54 (CEST)[répondre]

Il y a quelques redites encore dans l'article Tom Haret (d) 5 avril 2013 à 18:50 (CEST)[répondre]
  1. Ce premier débarquement précéda de 6 jours la prise du fort de Penthièvre.
  2. Ce fut le commodore Clisson qui somma Belle-Ile de se mettre sous la protection du roi George et de reconnaître Louis XVII, disant qu'il y avait dans le Courault de Belle-Ile un vaisseau de ligne, deux frégates et six corvettes britanniques et que l'escadre croisait au sud de l'île dont elle s'approcha souvent jusqu'à une lieue.
  3. Il était occupé par 700 hommes du 41e de ligne, commandant Delize, qui capitula sans résistance.

Le débarquement des émigrés à Carnac[modifier le code]

Contrairement aux allégations précitées, les émigrés qui ont débarqué à Carnac le 28 juin 1795, n'étaient qu'au nombre de 3200 et non de 8000 hommes ! En outre, aucun soldat anglais n'a débarqué ce jour là, le royaume d'Angleterre ,représenté par le premier ministre William Pitt, s'étant opposé à une participation directe dans ce conflit terrestre: Les anglais sont restés sur les bateaux au moment du débarquement. Parmi les émigrés débarqués, figuraient de nombreux anciens prisonniers républicains, qui, mourant de faim sur les pontons anglais, avaient feint de se rallier à la cause des émigrés et que le comte de Puisaye avait embauchés de manière inconsidérée. Ils ont déserté dès que l'occasion leur a été donnée et se sont regroupés sous l'aile protectice de la République. Le rédacteur précédent confond les troupes émigrées et les chouans venus encombrer la plage de Carnac en grand nombre avec toute leur famille, leurs bestiaux et leurs chariots...Ils se débanderont au fil des événements, laissant les émigré confrontés aux vaillantes troupes du général Hoche dans le piège de Quiberon.