Discussion:Commensalisme

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Commensalisme / symbiose[modifier le code]

Je ne suis pas d'accord avec ce qui précède: le commensalisme, de cumet mensa= manger à la même table n'est pas forcement réciproque. Pour faire une comparaison, c'est plutôt "l'auberge espagnole". Le profit se trouve ailleur : Pour le crabe pinnothère, c'est l'abri offert par la carapace de la moule. La moule n'y gagne rien, au contraire: quand la nourriture se fait rare, le crabe bouffe la moule...avec délicatesse(!)il ne faut pas tuer la moule aux oeufs d'or. L'holonturie ne gagne rien a être investie par un poisson. Lui par contre, a le refuge (la carapace de la bestiolle) et le couvert (il profite des excréments de l'holonturie). Le commensalisme n'est-il pas un profit réciproque, et que l'on appelait auparavant symbiose ?

Les exemples cités ne montrent les profits que d'une partie (certe sans dommages pour l'autre partie).Buggs 28 sep 2004 à 21:29 (CEST)

C'est la définition du commensalisme : une des parties profite, et l'interaction est neutre pour l'autre partie.Arnaudus 30 sep 2004 à 22:43 (CEST)

symbiose différent de commensalisme[modifier le code]

La symbiose exprime un profit pour les deux partis tandis que le commensalisme exprime le profit d'un seul. Le rémora (Remora remora) par exemple est commensal de la tortue luth (Dermochelys coriacea), il se fixe par ventouse, se fait transporter et profite des restes de repas à. A l'opposé, il y a l'amensalisme. C'est un type type de relation observé généralement chez les végétaux. Dans ce cas, le développement de l'une des partie inhibe celui de la deuxième. Exemple de la phacélie (Phacelia tanacetifolia). Voilà, j'espère avoir éclairé quelques lanternes... tartopom613@caramail.com

restructurer[modifier le code]

si l'article indique 4 types d'interactions, il manque d'exemples pour le commensalisme même. c'est le titre de l'article. j'ai remis la def en évidence. Julianedm | ΔΔΔ 20 avril 2006 à 12:41 (CEST)[répondre]

Commensalité et réciprocité[modifier le code]

--Fcorpron (d) 14 mai 2013 à 09:29 (CEST)Il me semble que vous prenez les choses à l'envers. Celui qui bénéficie le plus c'est l'hôte. Contre un peu de nourriture ou un "coin de parapluie" il apprend la générosité, la solidarité, l'amour. Il gagne "un coin de paradis". C'est parce que la vie a évolué sur ce modèle que nous sommes ce que nous sommes. Le fonctionnement commensal de l'archae c'est celui de l'arche de Noé, de l'arche d'alliance. La frontière entre commensalité et parasitisme est la même que celle entre bien et mal. Agir en conscience, c'est savoir choisir la relation commensal et refuser le parasitisme. La différence entre les deux : le libre-arbitre. Les lois de l'hospitalité, de la politesse, du respect de l'autre. Le jour où nous concevons nous même comme un éco-système et notre flore microbienne comme une partie de nous-même au même titre que nos cellules, nous commençons à nous connaître nous-même un peu mieux. Etre bon, c'est s'efforcer d'être dans une relation commensale. Donner.[répondre]