Discussion:Citroën AX

Lien externe mort

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

• http://www.axgti.com/
  • Dans Citroën AX, le Thu Jan 26 20:29:34 2006, HTTP Error: nonnumeric port:
  • Dans Citroën AX, le Mon Jan 30 22:20:08 2006, HTTP Error: nonnumeric port:

▪ Eskimbot ☼ 30 janvier 2006 à 23:33 (CET)

suggestions

Bonjour, si vous permettez, il me semble que l'article recèle plusieurs erreurs :

-lors de l'apparition de l'AX, la Visa avait déjà été restylée à l'intérieur et les satellites avaient disparu depuis plusieurs années.

-la première Clio, puisque vous la présentez comme la remplaçante de la Supercinq, est apparue en 1989 et les deux voitures ont donc eu des carrières contemporaines.

-en ce qui concerne le dépouillement comme raison principale du faible poids, les AX recevaient, à l'exception peut-être des tout bas de gamme (10E) des premiers millésimes, un équipement équivalent à celui des concurrentes françaises. Le gain de poids était plutôt lié a des choix de conception. En outre, les concurrentes contemporaines françaises ne disposaient pas de plus de réglages de sièges ou de volant.

-Le système d'injection s'accompagnait d'un catalyseur, devenu obligatoire.

-je ne suis pas sûr du tout que l'AX ait jamais reçu un airbag. Ses concurrentes contemporaines, du moins à l'époque où elle était la petite voiture phare de la gamme, et non le pendant économique de la gamme Saxo, n'en avaient pas non plus.

Deux ou trois choses qui me sembleraient intéressantes :

-La Saxo est certes basée sur la 106, mais celle-ci est elle-même un copier-coller de l'AX : soubassements, suspensions, moteur, mais en étant plus lourde.

-la suspension de l'AX est typiquement Citroen : la suspension avant est certes confiée à un système type Mac Pherson, mais au contraire de la Peugeot 205 où c'est la barre antiroulis qui assure le guidage, ici, le guidage est confié à un triangle inférieur, ce qui représente une certaine continuité par rapport aux Citroen traditionnelles.

-la suspension AR est 100% Citroen, puisque c'est celle de la Citroen Axel, avec barres de torsion transversales et amortisseurs inclinés, qui contrairement à celledela 205, n'empiète pas sur le coffre.

-l'AX a reçu des moteurs diesel aux consommations extrêmement basses, les plus basses de sa catégorie et a été la première voiture de sa catégorie à recevoir des pneus dits "verts", offrant une résistance à l'avancement réduite par rapport à des pneus traditionnels.

Cordialement, Jean-Luc -- jllprod

Beaucoup de choses à revoir dans l'article sur l'AX...

L'explication de son insuccès en Allemagne est notamment totalement fausse d'autant que, sur aucun marché, l'AX n'a été vue comme une remplaçante de la 2CV ! En outre, les versions 3 portes ne posent pas de problème en Allemagne, qui à l'époque est justement le plus gros marché de 3 portes du monde (à l'époque, la Ford Fiesta n'a encore que 3 portes et l'Opel Corsa n'en propose 5 depuis que très peu de temps...). C'est plutôt en France où l'absence de version 5 portes la première année a pénalisé le début de carrière de l'AX...

L'AX n'a pas non plus joué les prolongations parce que la Saxo démarrait lentement. La Saxo a remplacé progressivement et "normalement" l'AX au gré du développement de sa gamme. Et en effet, si la Saxo est vue à ses débuts comme une 106 "replâtrée", elle partage en fait peu d'éléments avec la Peugeot (le remplaçant de Jacques Calvet -Jean-Martin Folz- à la tête du groupe admettra d'ailleurs l'hérésie de la chose : que la Saxo ressemble tant à une 106 sans lui devoir beaucoup !).

La chronologie de la vie de l'AX est par ailleurs fort peu développée... et part un peu dans tous les sens...

Fghaam...