Discussion:Bataille de Dunkerque

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Je voudrais placer dans le texte trois cartes (en anglais) détaillant la progression de stroupes allemandes du 20 mai jusqu'à l'opération dynamo et évoquer en deux lignes la bataille de la Lys qui joue un rôle dans ce contexte.

Utilisateur: José Fontaine 16/8/6 23h30.

évacués français renvoyés?[modifier le code]

Combien des Français évacués ont été aussitôt renvoyés, par exemple à Cherbourg, pour être rapidement capturés ? Fafnir (d) 27 avril 2008 à 04:38 (CEST)[répondre]

Avez-vous une preuve de ces renvois ? Je vois mal les Alliés se priver de ces combattants. Je les vois encore moins risquer le torpillage des rares bateaux restants après l'embarquement en organisant des croisières touristiques à Cherbourg.--91.181.91.31 (d) 18 avril 2009 à 11:40 (CEST)[répondre]
L'évacuation de Dunkerque s'est terminée le 4 juin 1940 et de nombreux soldats français rescapés de Dunkerque sont retournés en France sur des bateaux français pour continuer la lutte sur le sol national, car il n'a été question d'armistice que le 16 juin. De plus quand l'armistice a été signé le 22 juin, les Britanniques n'avaient plus aucune raison de garder sur leur sol, les militaires d'un pays qui n'était plus en guerre. Sans être particulièrement anglophile, je comprends donc que les Britanniques aient privilégié le retour des soldats de leur corps expéditionnaire, au détriment des Français dont beaucoup, et il faut leur rendre hommage, se sont sacrifiés en défendant la poche de Dunkerque, permettant ainsi la réussite de l'opération Dynamo. Maurice47 (d) 27 mai 2011 à 11:12 (CEST)[répondre]

LA BATAILLE DE DUNKERQUE[modifier le code]

Je possède un document authentique sur la bataille de Dunkerque. Un document écrit au jour le jour par mon père. Il était marin, embarqué sur le contre-torpilleur "Jaguar". Il avait écrit son journal à partir du 21 mai 1940, à l'appareillage de Brest, jusqu'au 27 mai 1940 quand le "Jaguar" fut coulé. Il nous retrace dans son journal, au quotidien, l'horreur de cette bataille à bord du "Jaguar" et ce qui s'est passé réellement. On y trouve beaucoup de détails. Si quelqu'un est interessé par ce témoignage, je vous communique mon adresse e mail : andre.lucas77@orange.fr

Images de l'article[modifier le code]

Bonjour,

J'ai remarqué que les images de l'article n'étaient pas des authentiques mais des clichés provenant de Why we Fight de Capra. Peu habitué à pister ce genre de choses, je dois avouer que je ne sais pas si ce fait est courant et accepté.

Pour ma part, et c'est la raison pour laquelle je poste, je trouve ça dommage de mettre ce genre de photographies sans préciser leur réelle origine. De plus, les légendes laissent très clairement penser qu'il s'agit bel et bien d'authentiques. Je trouve que même si l'intention est louable (faire visualiser les différentes scènes à l'utilisateur), c'est en quelques sortes tromper le lecteur, et si dans ce cas ce n'est pas extrêmement grave, il est, je trouve, regrettable qu'un site à vocation encyclopédique trompe ses utilisateurs.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Bataille de Dunkerque (mai-juin 1940)[modifier le code]

 Le documentaire de télévision français réalisé par Serge Tignière et diffusé le vendredi 14 juillet 2017 sous le titre "1940 : le sacrifice de Dunkerque" sur la chaîne RMC à 20 h 50 dans le cadre de la série "Champs de bataille" m'a apporté des éléments d'information supplémentaires par rapport à la notice de Wikipédia. 

Ainsi, il faut bien préciser que l'Opération Dynamo est le nom de code britannique du rembaquement du Corps expéditionnaire britannique et ne désigne pas une opération coordonnée franco-britannique. C'est, semble-t-il, Lord Gort, chef du Corps expéditionnaire britannique, qui prit la décision de l'évacuation des troupes britanniques à partir du port de Dunquerke, alors que Boulogne, Calais et Nieuport allaient tombeaux mains de l'ennemi.L'organisation en fut planifiée par le Vice-Amiral Bertram Ramsay, à son QG du château de Douvres, avec l'approbation du Premier britannique, Sir Winston Churchill. La décision du commandement français, en revanche, que ce soit le général en chef Maxime Weygan ou le commandement français du secteur fortifié de Dunkerque, avait été de résister sur place les assiégés recevant le renfort des troupes françaises évacuées in extremis de la place fortifiée de Lille. Le documentaire précise que, vers le 24 mai, le général Weygand avait préparé un plan de contre-attaque contre les troupe du général von Runstedt avancées jusqu'à la mer au niveau de Abeville, par les troupes encerclées au nord et les divisions blindées au sud de la Somme entre Abbeville et Amiens. et, éventuellement, des poches isolées derrière l'ennemi en "hérisson". Après des combats acharnés à ce niveau, les troupes de la poche durent reculer, non sans résister avec acharnement, car les divisions venant du sud avaient vu leur mobilité gênée par la confusion reignant sur les routes, due aux civils qui cherchaient à fuir l'avancée allemande. Le camp retranché de Dunkerque était sous le commandement du général Gaston Jansen et l'amiral Jean Abrial, dont le PC se trouvait au Fort des Dunes, à Leffrinckouck. Le général Jansen sera tué face à l'ennemi le 2 juin 1940. Le commandement français, dont l'amiral Abrial, s'embarquera sur une vedette rapide aux alentours de 3 h 00 du matin, le 4 juin. A noter que des navires français, belges (malgré la capitulation de l'armée berge de 28 mai), néerlandais et norvégiens participèrent avec les Britanniques aux opérations d'évacuation.

Conflit avec l'article anglais https://en.wikipedia.org/wiki/Little_Ships_of_Dunkirk et autobiographie Churchill[modifier le code]

L'article établit la contribution des navires légers volontaires à 26500 hommes évacués. Pourtant d'après https://en.wikipedia.org/wiki/Little_Ships_of_Dunkirk le nombre d'évacuations est bien plus important.

De plus Churchill dans le Volume II de Their Finest Hour écrit: "The Admiralty did not hesitate to give full rein to the spontaneous movement which swept the seafaring population of our south and southeastern shores. Everyone who had a boat of any kind, steam or sail, put out for Dunkirk, and the preparations, fortunately begun a week earlier, were now aided by the brilliant improvisation of volunteers on an amazing scale. The numbers arriving on the 29th were small, but they were the forerunners of nearly four hundred small craft which from the 31st were destined to play a vital part by ferrying from the beaches to the offlying ships almost a hundred thousand men."

Le nombre d'évacuations volontaires doit donc être remis en question.