Discussion:Bande noire (Révolution)

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Proposé par : Attis (d) 8 janvier 2009 à 12:05 (CET)[répondre]

Raisons de la demande de vérification[modifier le code]

Cet article, en l'état, pose plusieurs problèmes: 1) des problèmes de forme: il faut corriger la typographie, l'orthographe, les liens internes, 2) plus grave, des problèmes de fond. Le thème de la bande noire est présenté comme une expression révolutionnaire désignant un phénomène particulier: la spéculation liée aux biens nationaux. Sauf que, d'après Nicole Mozet (j'ai rajouté), un autre sens a été donné à l'expression avant même la Révolution, que l'expression, contrairement à ce qu'affirme Olivier Blanc (d · c · b), serait postérieure à la Révolution. Et il n'est rien dit de la fortune de l'expression par la suite, alors que Victor Hugo lui a consacré une ode et qu'Honoré de Balzac a traité le sujet. De grosses lacunes et des prises de partie qui, de toute évidence, sont loin de rencontrer un écho unanime parmi les historiens.

Discussions et commentaires[modifier le code]

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le chef de la bande noire sous la Révolution[modifier le code]

Contrairement à ce qu'affirme la personne répondant au pseudonyme de "Attis", l'expresion "bande noire" appliquée aux spéculateurs sur les biens nationaux et la vente des matérieuaux de construction provenant de ces biens (châteaux, abbayes, etc.) date de la Révolution. Ce sujet passionnant qui pose la question de l'enrichissement des révolutionnaires de 1789 a malheureusement été écarté sous cet angle particulier des Etudes révolutionnaires et notamment des Annales historiques de la révolution française, mais il en est plus ou moins question dans les études érudites d'intérêt local sur la vente des biens de première et deuxième catégorie. De nombreux documents attestent pourtant de la réalité de ces pratiques qui ont démarré dès l'aliénation des biens du clergé puis, avec l'application des lois sur les biens des émigrés. Il existe par exemple de nombreuses pièces inexploitées concernant Jean Perrin, Lyonnais d'origine, ancien banquier de jeu à Aix-la Chapelle, Spa, Liège et autres places, puis venu à Paris où il ouvrit une célèbre maison de jeu sous les arcades du Palais-Royal. Fort lié à Fouché qui lui confia sous le Consulat et l'Empire la régie des maisons de jeux, Jean Perrin fut un des premiers acquéreurs de biens nationaux et passait, selon un document du temps de la Révolution, pour le chef de la "bande noire" nébuleuse politico-financière qui est donc attestée dès le début de la Révolution vers 1791-92. L'expression qui existait déjà avait le sens et visait, en 1789, les "pillards". Elle fut dorénavant appliquée à ceux qui comme Perrin acquirent des biens nationaux dans 'lintention de les revendre en "pièces détachées". Le document le concernant est aux archives nationales, dans les papiers du Comité de sûreté générale (sous série F/7/6324): Epître dédicatoire Au très adroit très bienfaisant, très cher, très fameux, très honnête et très noble Perrin aîné. Premier administrateur, actionnaire, banquier des très utiles, très salutaires et surtout très lucratives maisons de hasard; Ancien chevalier d'industrie, aujourd'hui chevalier de la toison d'or, chef de la Bande noire, généralissime des armées de croupiers, banquiers, tailleurs, etc.... pour ce qui le concerne particulièrement Perrin avant acquis le gigantesque domaine de Petit Bourg près de Paris, d'origine royale, qui fut entièrement démantelé. La liste des destructions provoquées par les spéculateurs comme Barère, Rovère et autres dont l'histoire sera un jour publiée est très impressionnante.

Il y a "vandalisme" et "vandalisme" (clin d'oeil).82.124.31.155 (d) 25 mai 2009 à 13:55 (CEST)[répondre]

Renommage[modifier le code]

@ Attis

C'est vrai qu'il y a du travail à faire pour éclaircir cet article. Dans un premier temps, il faudrait le renommer soit Bandes Noires au pluriel avec des majuscules, soit Bande noire (spéculation). Je cherche de la documentation--82.123.203.232 (d) 4 octobre 2009 à 17:07 (CEST)[répondre]

rien trouvé dans le Michel Mourre. Mais beaucoup de références littéraires avec ce google-livre : Littérature et révolutions en France, par Geoffrey T. Harris,Peter Michael Wetherill.

Proposé par : Spanghevorologue (d) 10 juillet 2013 à 09:48 (CEST)[répondre]

Raisons de la demande de vérification[modifier le code]

À remplir par le proposant

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Suppression du bandeau[modifier le code]

Bonjour,

Désolé mais le bandeau est ôté. Il n'y a aucune raison citant la demande de vérification sur la page de discussion. Spanghevorologue (d) 10 juillet 2013 à 09:48 (CEST)[répondre]