Discussion:Autochtones du Québec

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Ortographe[modifier le code]

Pour bien connaître l'orthographe des mots de la terminologie autochtone, je conseille la lecture du document PDF suivant :

-- Mathieugp 6 août 2006 à 17:57 (CEST)[répondre]

Est-ce que la faute d’orthographe est voulu dans le titre? Labellels (discuter) 17 juillet 2020 à 18:35 (CEST)[répondre]

Préhistoire[modifier le code]

Ne devrait-on pas plutôt créer un article traitant des Populations humaines préhistoriques du Québec? Où quelque chose du genre? -- Mathieugp 4 février 2007 à 17:57 (CET)[répondre]

Où bien encore plus général, pourquoi pas Préhistoire et protohistoire du Québec? -- Mathieugp 4 février 2007 à 17:59 (CET)[répondre]

Je suis parfaitement d'accord avec toi Mathieugp. Je travaille aussi sur la Préhistoire des Amérindiens au Canada et c'est le même problème. Une fois les textes terminés, ce sera peut-être trop long pour des articles généralistes sur les amérindiens. Je suis d'accord avec les noms pour d'éventuels articles comme Préhistoire et Protohistoire du Québec et Préhistoire et Protohistoire du Canada. Par contre, je ne suis pas encore très habile avec tous les aspects techniques de Wikipédia, je suis un nouvel arrivant. Si tu peux créer ces nouvelles pages et y transférer les textes, j'en serais heureux. Il ne faudrait pas oublier de mettre un lien interne pour accéder à ces nouveaux articles. Tu me le laisseras savoir pour que je puisse continuer mon travail. En attendant de tes nouvelles, bonne journée Ulu 4 février 2007 à 20:51 (CET)[répondre]

Les pensionnats[modifier le code]

La partie sur les pensionnats semble vide.

Je n'ai pas envie de me lancer dans la rédaction de cette partie, n'était pas très versé en la matière, mais je propose ce lien vers un site du gouvernement du Canada qui donne d'abondantes informations sur les pensionnats :

http://www.ainc-inac.gc.ca/ch/rcap/sg/sgm10_f.html

Peut-être, en attendant rédaction de cette partie, le lien pourrait-il être ajouté dans la section des pensionnats?

Merci de votre attention, pière de commenter si vous jugez ou non qu'il faut aller de l'avant avec cette source. Âmes sensibles, j'avertis que c'est un peu éprouvant à lire par moments. Il y est question du problème de gestion, de divers mauvais traitements... Épisode très triste de l'histoire.

-Bruno- (30 décembre 2007)

Nation Région Population totale
(incluant population hors Québec au Canada)
Innus, Naskapis ou Montagnais Côte-Nord, Saguenay–Lac-Saint-Jean et Nord-du-Québec; (et Labrador) 16 822 (inclut les Naskapis)
(2010)

Naskapi || Inclut aves les Innus

Algonquins Abitibi-Témiscamingue et Outaouais 12 700
Atikamekw Mauricie 7 747
(2006)
Cris Nord-du-Québec 200 000
Grand Conseil de la Nation Waban-Aki (Abénaquis) Centre-du-Québec 2 164
(2006)
Première Nation malécite de Viger (Malécites) Bas-Saint-Laurent 3 000
Micmacs Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine 51 000
(2006)


Nation Région Population totale
(incluant population hors Québec au Canada)
Mohawks Région de Montréal 23 682
(1995)
Hurons-Wendat Région de Québec 3 273
(2012)

Langues algonquiennes[modifier le code]

Nation Langue autochtone Population totale
(incluant population hors Québec au Canada)
Innus, Naskapis ou Montagnais Innu-aimun 16 822 (inclut les Naskapis)
(2010)

Naskapi || Inclut aves les Innus

Algonquins Algonquin 12 700
Atikamekw Atikamekw 7 747
(2006)
Cris Cri 200 000
Abénaquis Abénaqui 2 164
(2006)
Malécites Malécite-passamaquoddy 3 000
Micmacs Micmac 51 000
(2006)

Langues iroquoiennes[modifier le code]

Nation Langue autochtone Population totale
(incluant population hors Québec au Canada)
Mohawks Mohawk 23 682
(1995)
Hurons-Wendat Wendat 3 273
(2012)

L'Alliance autochtone du Québec[modifier le code]

L'Alliance autochtone du Québec fut fondée en 1972 par Monsieur Kermot A. Moore de Kipawa au Québec.

Monsieur Moore, ancien soldat de l'armée de l'air et écrivain-historien, perçut les dangers qui guettaient une grande partie de la population autochtone du Québec. Il sut tisser rapidement un réseau de solidarité afin de faire face à ces dangers.

Appuyé de personnes ayant les même visions que lui, il donna jour à l'Alliance laurentienne des Métis et Indiens sans statut du Québec qui, aujourd'hui est connue sous le nom de l'Alliance autochtone du Québec.

Aux premières heures, Monsieur Moore était entouré des personnes suivantes :

Kipawa : Monsieur Francis Robinson Senneterre : Madame Annie Moore Maniwaki : Monsieur Antonio Jacko Belleterre : Monsieur Carl Larivière Caughnawaga : Monsieur Frank Stacey-Moore Oka : Madame Rose Jacobson


Trois ans après sa fondation, l'Alliance comptait une cinquantaine de communautés à travers le Québec, depuis le Nord-Ouest québécois et le territoire de la Baie James, jusqu'à la Côte Nord, en passant par le Lac-Saint-Jean et le Saguenay, sans oublier l'Outaouais, les Laurentides et certaines agglomérations autochtones situées près de Montréal et de Québec. Aujourd'hui, on compte 39 communautés.

Dès le début, l'AAQ s'impliqua dans de nombreux domaines d'activités depuis l'éducation jusqu'à la recherche sur les droits aborigènes.

En 1972, le siège social est situé à Montréal, puis en 1977 il déménagea à Val d'Or pour enfin se localiser à Hull en 1980.--LC70 (discuter) 14 mars 2018 à 12:55 (CET)[répondre]

Le mot Métis ,à l'art. 35 de loi canadien, ne vise pas toutes les personnes d'ascendance mixte indienne et européenne, mais plutôt les peuples distincts qui, en plus de leur ascendance mixte, possèdent leurs propres coutumes, façons de vivre et identités collectives reconnaissables et distinctes de celles de leurs ancêtres indiens ou inuits d'une part et de leurs ancêtres européens d'autre part.

Les communautés métisses ont vu le jour et se sont épanouies avant que les Européens ne consolident leur emprise sur le territoire et que l'influence des colons et des institutions politiques du vieux continent ne devienne prédominante. La Commission royale sur les peuples autochtones (la « CRPA » ) décrit cette évolution ainsi :

Comme les Métis sont expressément mentionnés à l'art. 35, il suffit en l'espèce de s'assurer que les demandeurs appartiennent à une communauté métisse identifiable et possédant un degré de continuité et de stabilité suffisant pour étayer l'existence d'un droit ancestral rattaché à un lieu précis. Une communauté métisse peut-être définie comme étant un groupe de Métis ayant une identité collective distinctive, vivant ensemble dans la même région et partageant un mode de vie commun

L'inclusion des Métis à l'art. 35 traduit un engagement à reconnaître les Métis et à favoriser leur survie en tant que communautés distinctes. L'objet de l'art. 35 et la promesse qu'il exprime consistent à protéger les pratiques qui, historiquement, ont constitué des caractéristiques importantes de ces communautés distinctes et qui continuent aujourd'hui de faire partie intégrante de leur culture métisse.

Comme il a été indiqué plus tôt, l'inclusion des Métis à l'art. 35 ne saurait évidemment pas être expliquée par le fait qu'ils auraient occupé le territoire canadien avant le contact avec les Européens. L'objet de l'art. 35 en ce qui concerne les Métis n'est donc pas le même qu'en ce qui concerne les Indiens et les Inuits. Le trait important qui caractérise les Métis du point de vue constitutionnel est leur statut spécial en tant que peuple ayant vu le jour entre le premier contact des Indiens avec les Européens et la mainmise effective de ces derniers sur le territoire.

L'inclusion des Métis à l'art. 35 représente l'engagement du Canada à reconnaître et à valoriser les cultures métisses distinctives, cultures qui se sont développées dans des régions n'étant pas encore ouvertes à la colonisation et qui, comme l'ont reconnu les rédacteurs de l’Acte constitutionnel de 1982, ne peuvent survivre que si les Métis bénéficient de la même protection que les autres communautés autochtones.

L'auto-identification (le demandeur doit s'identifier comme membre de la communauté métisse), les liens ancestraux (le demandeur doit faire la preuve de l'existence de liens ancestraux avec une communauté métisse historique) et l'acceptation par la communauté (le demandeur doit prouver qu'il est accepté par la communauté actuelle dont la continuité avec la communauté historique constitue le fondement juridique du droit revendiqué) sont des facteurs qui établissent l'identité métisse dans le cadre d'une revendication fondée sur l'art. 35. --LC70 (discuter) 15 mars 2018 à 09:15 (CET)[répondre]

En 2016, on dénombrait 182 890 Autochtones au Québec, ce qui représentait 2,3 % de la population.

La majorité de la population autochtone a déclaré avoir une seule identité autochtone, c’est-à-dire Premières Nations, Métis ou Inuk (Inuit).

Parmi les Autochtones au Québec, 50,7 % (92 655) étaient des Premières Nations, 37,9 % (69 360) étaient Métis et 7,6 % (13 945) étaient Inuits.

Chez les Premières Nations, 68,8 % (63 715) avaient le statut d’Indien inscrit ou d’Indien des traités aux termes de la Loi sur les Indiens. La proportion restante de 31,2 % (28 940) était des Premières Nations n’ayant pas le statut d’Indien inscrit ou d’Indien des traités.

Outre les personnes qui ont déclaré avoir une seule identité autochtone, 2 760 ont indiqué avoir plus d’une identité autochtone et 4 170 ont été considérées comme ayant une identité autochtone non incluse ailleurs.--LC70 (discuter) 4 avril 2018 à 10:26 (CEST)[répondre]

BEAUCOUP de faussetés historiques ![modifier le code]

Par exemple, comment diable les Métis puissent être le fruit de mixité entre français et iroquoiens du Saint-Laurent, alors que ces derniers avaient complètement disparu 70 ans après la première venue de Jacques Cartier, c'est-à-dire lors du premier voyage de Champlain, avant les premières installations et cités françaises permanentes ? Entre ces deux voyages, il n'y avait que des pêcheurs malouins ou basques au large des côte pour la morue, mais peu s'enfonçaient en les terres du continent. Les autres contacts étaient peu avant la venue de Champlain pour le début du commerce de la fourrure, mais encore là les principaux contacts entretenus étaient avec les micmacs de la côte, au plus de la péninsule gaspésienne dans l'estuaire et des inus, parfois des malécites. Sinon on aurait des récits de leur part et impliquant ces iroquoiens... On a soupçonné les guerres inter-amérindiennes comme raison (via quelques artéfacts outre l'évidence d'occupants différents en certains endroits), mais cela fait toujours l'objet de spéculations. On confond aussi "iroquoiens" avec "iroquois", ces derniers identifiés comme tel selon leur appartance à la ligue des cinq (ou six) nations iroquoises (ces deux termes distincts existent pour une raison anthropologique). etc., il y a un autre révisionnisme avec les Mohawks (qui ne sont pas de ces "iroquoiens", mais des iroquois des cinq nations provenant du sud de la frontière - leur territoire était dans le nord de l'état de New york actuel)... Quant aux trois villages ceintrant Montréal (les trois points), ce sont des villages bâtis par les sulpiciens et jésuites français pour abriter diverses membres de diverses nations alliées du Canada contre les attaques des iroquois du sud (dont les Mohawks), avant la Grande Paix de Montréal. Ces villages ont été cédés après la conquête britannique aux Mohawks (leurs alliés) en tant que réserve, après en avoir "éjecté" les amérindiens locaux et saisis leurs terres plus au sud. Très mauvaise page --HawkFest (discuter) 19 novembre 2019 à 19:37 (CET)[répondre]