Discussion:Adhérence roue-rail

Désaccord de pertinence

Désolé, l'essentiel n'est pas vu ni même entrevu dans cet article, le vocabulaire est flou et le 2e paragraphe peut ne pas être lu. Il serait bon que les contributeurs étudient leur sujet avant de rédiger. Jean-Jacques MILAN 22 octobre 2006 à 23:45 (CEST)

2006, ça remonte à loin tout ça. Jean-Jacques MILAN dit vrai, l'article n'aborde pas le sujet, qui d'ailleurs n'est pas clairement défini : « L'adhérence roues/rails est un phénomène suffisamment complexe pour n'être pas complètement résolu à ce jour, même pour la grande vitesse. » (oui d'accord mais c'est quoi ?). Que faut-il faire de cet article, en l'absence de sources ? Cordialement, R ^{[CQ, ici W9GFO]} 26 mai 2014 à 08:35 (CEST)

Le sujet me semble clair, il s'agit de l'adhérence roues/rails pour le transport ferroviaire. Comment l'exprimer autrement ? D'accord sur les sources, je vais en apporter. --Thierry steclebout (discuter) 26 mai 2014 à 10:29 (CEST)

Thierry steclebout, et bien peut-être serait-il bon de commencer par définir ce qu'on entend par « adhérence roues/rails », vous ne pensez pas ? Ce qui vous semble clair ne l'est pas forcément pour les autres. Et c'est là tout l'intérêt d'une encyclopédie. Cordialement, R ^{[CQ, ici W9GFO]} 26 mai 2014 à 10:43 (CEST)

Notion de base erronée et travail inédit

Bonjour,

j'ai commencé à retravailler l'article. J'ai détecté deux problèmes principaux :

• la confusion entre résistance au glissement, un phénomène mettant en cause l'état de surface et les liaisons entre matériaux, et la résistance au roulement qui est un effet géométrique, lié à la déformation des pièces et donc à la rigidité des matériaux ;
• un travail inédit sur ce qui serait une pénétration des graisses à l'intérieur de l'acier et est appelé « ressuage ».

Il n'existe à ma connaissance aucune publication mettant en évidence l'absorption et la désorption de graisse par l'acier massif (non fritté), et le ressuage sert à détecter des fissures ; à moins que le sujet ne soit la pénétration et la ressortie de graisses dans les micro-fissures du rail, mais alors il faudrait le préciser (et fournir des sources).

J'ai donc supprimé le texte suivant :

1. La dilatation de l'acier allié du rail permet aux éléments en surface de pénétrer à l'intérieur, particulièrement les corps gras issus des huiles de graissage présentes sur les organes mécaniques des bogies, des graisseurs de boudins de roue et plus généralement de tous les corps gras présents à la surface des rails avant ou au moment de la dilatation. Le ressuage des aciers ou des alliages d'aluminium est bien connu en aéronautique où il est utilisé comme méthode de contrôle pour déceler les criques de matière : contrôle ressuage.
2. La rétractation de l'acier des rails en raison d'une baisse de sa température entraine alors le ressuage en surface des corps gras qui l'ont pénétré. L'association de ces corps gras de surface avec de l'humidité ambiante (brume, pluie fine) entraine une dégradation du coefficient d'adhérence plus ou moins importante.

La vision communément admise selon laquelle les problèmes d'adhérence roues/rails sont limités à l'automne et la chute des feuilles d'arbres est fortement erronée même si cette période en représente le plus fort cumul. Il se trouve simplement que l'automne suit l'été et les fortes chaleurs sèches sous les climats tempérés. La quantité de corps gras déposés sur les rails et absorbée par lui est généralement la plus importante en été, toute chute suffisante de la température entraine un ressuage qui, associée à de l'humidité, entraine une dégradation significative de l'adhérence, même en plein été, alors qu'aucun moyen existant d'y remédier n'est alors mis en œuvre (lavage des rails).

Le phénomène de ressuage des rails est possible toute l'année et non simplement durant une période définie.

cdang | m'écrire 21 janvier 2015 à 10:57 (CET)