Didó Sotiríou

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Didó Sotiríou
Didó Sotiríou.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 95 ans)
AthènesVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
Διδώ ΣωτηρίουVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Fratrie
Autres informations
A travaillé pour
Revue d'art (d)
I Avgí (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Société des écrivains grecs (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
signature de Didó Sotiríou
Signature

Didó Sotiríou (grec moderne : Διδώ Σωτηρίου, turc : Dido Sotiriyu), née le et décédée le , est une femme de lettres et une journaliste grecque.

Biographie[modifier | modifier le code]

Didó Sotiríou est née le à Aydın, ville d'Asie Mineure de l'Empire ottoman [1]. À partir de 1936, elle devient journaliste; elle travaillera pour plusieurs organes de presse, dont le journal Ριζοσπάστης à partir de 1944, la revue artistique Επιθεώρηση Τέχνης et le quotidien de gauche I Avgí.

Durant l'occupation de la Grèce pendant la Seconde Guerre mondiale, elle adhère au Parti communiste et entre dans la résistance[1].

Elle publie son premier roman, Les morts attendent, en 1959[1]. Il sera suivi d’Électre en 1961, et de son chef-d'œuvre D'un jardin d'Anatolie, également connu sous le titre Terres de sang, paru en 1962, réédité soixante-cinq fois en Grèce et traduit en six langues[1].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Pièces de théâtre[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Christophe Chiclet, « Hommage à Didó Sotiríou (1909-2004) », Confluences Méditerranée, Hiver 2004-2005, n⁰52.

Liens externes[modifier | modifier le code]