Culture du Burkina Faso

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La grande mosquée dans le centre historique de Bobo-Dioulasso, inscrit sur la liste indicative du Patrimoine mondial.

La culture du Burkina Faso, pays composé de plus de 60 groupes et sous groupes ethniques d'Afrique de l'Ouest, désigne d'abord les pratiques culturelles observables de ses 21 000 000 d'habitants (environ, en 2022)[1] (contre 4 284 000 en 1950) .

Langues et peuples[modifier | modifier le code]

Langues[modifier | modifier le code]

La langue officielle du Burkina Faso est le français, et en 2018 la langue globale de communication.

Les trois principales (des soixante langues) nationales sont le mooré (mossi), le fulfudé ou peul et le dioula. La plupart des gens sont multilingues.

Peuples[modifier | modifier le code]

La mosaïque des groupes ethniques au Burkina Faso est impressionnante :

Traditions[modifier | modifier le code]

Religion(s)[modifier | modifier le code]

Symboles[modifier | modifier le code]

Folklore et Mythologie[modifier | modifier le code]

Pratiques[modifier | modifier le code]

Fêtes[modifier | modifier le code]

Vie sociale[modifier | modifier le code]

Groupes humains[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Noms[modifier | modifier le code]

Société[modifier | modifier le code]

Éducation[modifier | modifier le code]

Droit[modifier | modifier le code]

État[modifier | modifier le code]

Arts de la table[modifier | modifier le code]

Une assiette de lakh
Fabrication de bière artisanale

Cuisine(s)[modifier | modifier le code]

Boisson(s)[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Activités physiques[modifier | modifier le code]

  • Athlétisme, basket-ball, cyclisme, football, handball, rugby...

Sports[modifier | modifier le code]

Arts martiaux[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

En 2009, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontières situe le Burkina Faso au 57e rang sur 175 pays[21]. Des « problèmes sensibles » y ont été observés[22].

En 2016, le pays est classé au 42e rang sur 180 pays[23]. Le pays est en progression constante au cours des dernières années et donne un rare exemple de pluralisme médiatique en Afrique. On observe que le coup d’État militaire de 2015 n’a pas eu d'incidence majeure sur la liberté d’information[24].

Les éventuelles subventions vont aux médias francophones, pas aux médias en langues nationales.

Presse écrite[modifier | modifier le code]

  • Presse écrite au Burkina Faso : environ 70 journaux en français en 2016, et 15 en langues locales (mooré, dioula, fulfuldé...)
  • Et depuis au moins 125 ans, des bulletins d'information communautaires confessionnels en langues nationales

Radio[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Internet[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

Sites[modifier | modifier le code]

Quelques écrivains burkinabés[modifier | modifier le code]

Maître Frédéric Titinga Pacéré au musée de Manéga
  • Joseph Ki-Zerbo (1922 - 2006), grand intellectuel et opposant burkinabè, a largement contribué à l'émergence d'études historiques africaines. Premier africain agrégé d'Histoire à la Sorbonne, le professeur enseigna dans plusieurs universités africaines. Il a été le directeur scientifique des deux volumes de l'Histoire générale de l'Afrique, publié par l'Unesco. Depuis leur publication, ces ouvrages, les premiers volumes d'histoire coordonnés par un Africain, sont devenus la référence des étudiants africains en histoire. Contraint à l’exil par le pouvoir révolutionnaire du capitaine Thomas Sankara, il vécut longtemps à Dakar. De retour au Faso en 1992, il militera contre l'impunité de l'assassinat du journaliste Norbert Zongo. Il reste une figure des Indépendances, et de la vie intellectuelle.
  • Titinga Frédéric Pacéré (1943 -...), né à Manéga, auteur d'une cinquantaine d'ouvrages sur la littérature, la culture, le droit, la sociologie et l'art. Il est également le fondateur du musée de Manéga.
  • Jean-Pierre Guingané (1947-2011)[35],[36], Le Fou (1987)
  • Zarra Guiro (1957 -...)
  • Monique Ilboudo (1959-)[37], juriste et femme politique, a remporté le Grand Prix de l'Imprimerie Nationale du Meilleur Roman 1992 pour Le Mal de Peau, publié en France par les éditions Le serpent à plumes, Paris, . C'est la première romancière burkinabè.
  • Sophie Heidi Kam[38] (1968 -...), poétesse et dramaturge contemporaine. Deux fois lauréate du Grand Prix National des arts et des lettres à la Semaine Nationale de la Culture (SNC) respectivement en 2000 avec Sanglots et symphonies et en 2004, avec Quêtes, elle s'essaye aussi au théâtre, dans le cadre du groupe "du Cercle", coordonné par Faustin KEOUA LETURMY, lectures de textes dramaturgiques au CCF Georges Méliès de Ouagadougou.
  • Sarah Bouyain (1968 -...)
  • Honorine Mare (1972 -...)
  • Faustin Keoua Leturmy (1972-)[39], comédien, danseur et écrivain d'origine congolaise mais vivant à Ouagadougou, et participant à cette jeune génération d'auteurs africains
  • Gaël Koné (1976 -...)
  • Abdoulaye Diallo (1980-)[40]
  • Suzy Henique Nikiéma (1983 -...)
  • Aristide Tarnagda (1984-)[41] -...), auteur prodige de théâtre contemporain : Alors, tue-moi, De l’amour au cimetière (créé aux récréatrales 2006), Les Larmes du ciel d'août, Exils 4, pièce de théâtre et chorégraphie, mise en scène de Eva Doumbia...
  • Jacques Guingane (?)

Artisanats[modifier | modifier le code]

Fabricant de calebasses.

Les savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel relèvent (pour partie) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Mais une grande partie des techniques artisanales ont régressé, ou disparu, dès le début de la colonisation, et plus encore avec la globalisation, sans qu'elles aient été suffisamment recensées et documentées.

Arts graphiques[modifier | modifier le code]

Textiles[modifier | modifier le code]

Cuir[modifier | modifier le code]

Travail du cuir à Ouagadougou.

Papier[modifier | modifier le code]

Bois[modifier | modifier le code]

Vannerie[modifier | modifier le code]

Artisan du fer.

Métal[modifier | modifier le code]

Poterie, céramique, faïence[modifier | modifier le code]

Jouets en argile confectionnés par un enfant.

Verrerie d'art[modifier | modifier le code]

Joaillerie, bijouterie, orfèvrerie[modifier | modifier le code]

Espace[modifier | modifier le code]

Artisanat d'art[modifier | modifier le code]

Tous les deux ans, les années paires, la capitale du Burkina Faso se transforme en vitrine de l’artisanat africain. En 2006, le salon avait attiré trois milliers d’exposants venus de toute l’Afrique, des professionnels ou des collectionneurs débarqués des cinq continents, et 500 000 visiteurs amateurs au total. C’est dire l’attraction qu’exerce l’artisanat africain, dont on peut apprécier ici la richesse et la diversité.

Le salon de Ouagadougou se veut la vitrine du savoir-faire des artisans burkinabé, mais aussi de toute l’Afrique. Exposition folklorique à ses débuts elle est devenue la vitrine de l'art africain par excellence. Le SIAO a beaucoup évolué et s’adresse en priorité aux professionnels, aux exportateurs, voire aux collectionneurs qui viendront passer commande dans ce gigantesque marché artisanal. En parallèle, il permet aux artisans venus des quatre coins du continent de se rencontrer, d’échanger leurs techniques de fabrication ou d’en trouver de nouvelles, plus efficaces.

Calao sénoufo du Burkina Faso

Le SIAO est le plus grand salon africain où sont exposés divers objets d'art, de culture et divers représentant l'art africain. Malgré plusieurs tentatives d'appropriation de l'évènement par certains pays, ce salon reste le plus important de par le nombre de visites, d'exposants, de médias etc.

Le Salon international de l'artisanat de Ouagadougou est un cadre de promotion des produits de l'artisanat africain. Il est né d'une initiative commune de l'Office National du Commerce Extérieur (ONAC) et de la Chambre de Commerce d'Industrie et d'Artisanat visant à mettre en exergue un secteur jadis délaissé : celui de l'artisanat. Cette initiative répond avant tout au souci de réduire le déficit croissant de la balance commerciale des pays africains face à une détérioration des prix de certaines matières premières exportées ou exportables.

Les produits et secteurs d'activité représentés sont : la sculpture sur bronze et sur bois, la maroquinerie, la vannerie, la peinture, le textile-confection, la broderie, la bijouterie, les instruments de musique africains, les objets de décoration, la ferronnerie, le tissage, le batik, la poterie-céramique, l'armurerie, le mobilier, l'artisanat de récupération l'art de la calebasse, l'artisanat de services, l'artisanat de production.

Historique du SIAO[modifier | modifier le code]

Le SIAO est parti d'une exposition-vente de l'artisanat burkinabé organisée en novembre 1984 sous l'appellation "ARTISANAT 84" qui a mis en compétition les artisans de toutes les provinces du Burkina Faso et des produits de qualité variés. Il a permis de constater que les burkinabés sont de grands consommateurs de produits de l'artisanat tant utilitaire que décoratif. Mais il a été surtout l'occasion de mesurer l'intérêt de nos invités européens et américains face à la variété et à la beauté des œuvres présentées.

Au lendemain de cette manifestation, les deux institutions (ONAC et Chambre de Commerce) ont formulé une recommandation tendant à faire de cette manifestation un marché africain de l'artisanat, un forum d'échange entre les artisans de plusieurs pays africains et des acheteurs professionnels d'origines diverses.

La première édition du SIAO s'est tenue du 20 au .

Depuis la manifestation a connu un engouement de plus en plus croissant de la part des artisans africains que des professionnels du monde entier qui trouvent en celle-ci des opportunités de contact, de ventes, d'achat et d'affaires.

Objectif du SIAO[modifier | modifier le code]

Le SIAO a pour missions, de :

  • Créer un cadre de promotion et d'échange pour les produits de l'artisanat africain en vue de faciliter leur accès aux marchés internationaux ;
  • Susciter et organiser la réflexion et la concertation sur les problèmes de développement de l'artisanat des pays africains ;
  • Favoriser la diffusion et l'essor de l'artisanat africain en tant que moyen d'expression et de culture ;
  • Contribuer à la formation et l'encadrement des artisans en vue de leur promotion personnelle.

Arts visuels[modifier | modifier le code]

Dessin[modifier | modifier le code]

Art du tatouage.

Art Contemporain[modifier | modifier le code]

Peinture[modifier | modifier le code]

Sculpture[modifier | modifier le code]

La Biennale internationale de sculpture de Ouagadougou (BISO), créée en 2019[53],[54], tient sa deuxième édition en 2021, offrant une vitrine à de très nombreux sculpteurs d'Afrique de l'Ouest[55],[56].

Parmi les sculpteurs burkinabés :

  • Ky Siriki, maître du bois, du métal et du bronze

Architecture[modifier | modifier le code]

Photographie[modifier | modifier le code]

Graphisme[modifier | modifier le code]

Philippe Sawadogo est un Directeur Artistique et communication visuelle et graphiste multimédia. Il a entre autres crée le logo de la Chambre de Commerce et d'industrie du Burkina Faso[61] et mené en 2015 la Direction artistique de la communication visuelle des 10 ans en musique de Alif Naaba[62] et du Festival de slam Plu-Oui-Demo[63]. Il est également second lauréat d'un concours de logotype pour la confection d'un pagne illustrant l'amitié entre les femmes du Burkina Faso et des États-Unis en 2008.

Arts du spectacle[modifier | modifier le code]

Musique(s)[modifier | modifier le code]

Musiciens burkinabè[modifier | modifier le code]

Danse[modifier | modifier le code]

Danseurs lors de la cérémonie Nakoobo du Naaba Zomb Wobgo à Andemtenga

Irène Tassembedo est l'une des initiatrices de la danse contemporaine burkinabè, créatrice du Ballet National du Burkina Faso. Alassane Congo, lui aussi, reste encore une référence.

À leur suite, Souleymane Badolo de la compagnie Kongoba Teria, Salia Sanou et Seydou Boro de la compagnie Salia nï Seydou ont développé la danse contemporaine. La compagnie Salia nï Seydou a créé le festival Dialogues de Corps, festival de danse africaine de Ouagadougou et en 2006, le premier Centre de Développement Chorégraphique en Afrique : La Termitière à Ouagadougou.

Grâce à ces évènements, les jeunes générations (le danseur Bouxon, Compagnie Auguste-Bienvenue, Compagnie Tené, Compagnie Tché Tché...) tournent à l'étranger et perpétuent une création typiquement contemporaine, se nourrissant de la danse traditionnelle de leurs régions.

Théâtre[modifier | modifier le code]

Les Récréatrales, manifestation bisannuelle, constituent un évènement théâtral culturel majeur du Burkina Faso, avec le Festival International de Théâtre et de Développement (FITD). Lancées en 2002 à Ouagadougou par Étienne Minoungou, comédien, conteur, metteur en scène, dramaturge et entrepreneur culturel, elles constituent un projet ambitieux de résidences d'écriture et de créations théâtrales panafricaines, réunissant une centaine d'artistes de plusieurs pays durant deux à trois mois. Ces résidences tentent d'explorer une nouvelle approche de la création dramatique en Afrique, en privilégiant un travail conjoint du texte et de la mise en scène.

Cinéma[modifier | modifier le code]

Une salle de cinéma au Burkina Faso (Le Sanyon à Bobo-Dioulasso)

Le cinéma africain est particulièrement vivant au Burkina Faso. Né d'une volonté politique, dès l'indépendance de la Haute-Volta en 1960, de développer un cinéma national dégagé de la domination coloniale, il débute par la création d'une cellule cinéma au sein du Ministère de l'Information. Celle-ci réalise surtout des documentaires de vulgarisation visant les populations rurales.

En 1970, le gouvernement nationalise la distribution et l’exploitation des films et crée un établissement public, la Sonavoci (Société Nationale Voltaïque du Cinéma, aujourd'hui dissoute), dont les bénéfices alimentent la promotion de l'industrie cinématographique.

En 1969 le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou FESPACO est créé à l'initiative de cinéphiles. Devenu biennal, il est l'une des grandes manifestations culturelles de Ouagadougou.

Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou a acquis une renommée internationale. Ses fondateurs n’en espéraient pas tant : ils voulaient initialement juste faire connaître le cinéma africain aux Africains.

Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou FESPACO est le plus grand festival africain de cinéma (on dit du festival qu'il est le Festival de Cannes de l'Afrique).

En 1979 est créé un complexe de studios de production et de tournage, financé par des capitaux privés avec une aide de l'État.

Les thèmes du cinéma burkinabé ont évolué peu à peu de la production de films documentaires ou exotiques vers un regard critique sur la société (néo-colonialisme, condition des femmes, corruption etc.)

Le succès du cinéma burkinabé ne doit cependant pas masquer les difficultés, financières, commerciales ou juridiques, auxquelles il reste confronté.

Idrissa Ouedraogo est un des plus grands réalisateurs burkinabés.

En savoir plus sur les Réalisateurs burkinabé, Réalisatrices burkinabé

Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation[modifier | modifier le code]

Le Festival International de Théâtre et de Marionnettes de Ouagadougou (Fitmo) créé en 1989 est un festival biennal[69].

Autres : vidéo, numérique[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Le programme Mémoire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international Mémoire du monde (au 15/01/2016).

Musées et autres institutions[modifier | modifier le code]

Liste du Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12/01/2016) : Liste du patrimoine mondial au Burkina Faso.

Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) a inscrit dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité (au 15/01/2016) :

  • 2012 : Les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo du Mali, du Burkina Faso et de Côte d’Ivoire[70].

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Nature, art et culture au Burkina Faso, Les Amitiés franco-burkinabè, L'Harmattan, Paris, 2009, 169 p. (ISBN 978-2-296-07637-2)
  • Pierre-Joseph Laurent, Les pentecôtistes du Burkina Faso : mariage, pouvoir et guérison, Karthala, IRD, Paris, 2009, 442 p. (ISBN 978-2-8111-0271-5)
  • Florent Mazzoleni, Burkina Faso. Musiques modernes voltaïques, Le Castor Astral, Bordeaux, 2011, 150 p. (ISBN 9782859208769)
  • Jean-Bernard Ouédraogo, Arts photographiques en Afrique : technique et esthétique dans la photographie de studio au Burkina Faso, L'Harmattan, Paris, 2002, 329 p. (ISBN 9782747543774)
  • Salaka Sanou, La littérature burkinabè : l'histoire, les hommes, les œuvres, PULIM, Limoges, 2000, 220 p. (ISBN 2-8428-7190-1)
  • Alain-Joseph Sissao (dir.), Émergence de la littérature d'enfance et de jeunesse au Burkina Faso : état des lieux, dynamique et avenir, L'Harmattan, Paris, 2009, 219 p. (ISBN 978-2-296-10018-3)

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • Des feuilles aux cauris : une initiation féminine au Burkina Faso, film documentaire de Bernard Nantet et Jeanne Bisilliat, Cerimes, Vanves, 2000?, 47 min (DVD)
  • Traces, empreintes de femmes, film documentaire de Kati Léna Ndiaye, Médiathèque des Trois Mondes, Paris, 2005, 52 min (DVD)
  • Le royaume qui chante, film documentaire de Patrick Kersalé, Éditions musicales Lugdivine, Lyon, 2005, 76 min (DVD)
  • Les maîtres du nyama : la confrérie des chasseurs sénoufo, film documentaire de Patrick Kersalé, Éditions musicales Lugdivine, Lyon, 2006, 80 min (DVD)
  • Tambours et djembés du Burkina Faso, film documentaire de Patrick Kersalé, Sunset France, Boulogne, 2005, 69 min (DVD)
  • La danseuse d'ébène : Irène Tassembédo, film documentaire de Seydou Boro, CNC, Paris, 2007, 54 min (DVD)
  • Les enfants musiciens du Burkina Faso, film documentaire de Patrick Kersalé, Éd. musicales Lugdivine, Lyon, 2008, 26 min (DVD)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « WDI - Home », sur datatopics.worldbank.org (consulté le )
  2. « Contes », sur abcburkina.net (consulté le ).
  3. « Contes africains > deux contes du Burkina Faso », sur MAS Burkina, association solidaire pour les enfants du Burkina Faso (consulté le ).
  4. « Légende du Burkina Faso », sur burkina-faso.ca (consulté le ).
  5. « princemossi.org/12.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  6. « Contes et légendes du Burkina Faso : Pourquoi les hommes dominent les animaux », sur lefaso.net (consulté le ).
  7. Jean Ziegler, La Victoire des vaincus. Oppression et résistance culturelle, , 256 p. (ISBN 978-2-02-119027-4, lire en ligne), p. 176.
  8. « Afrique : mythes, traditions et croyances ... et développement - L'Actualité du Burkina Faso 24h/24 », sur L'Actualité du Burkina Faso 24h/24, (consulté le ).
  9. Pierre-Joseph Laurent, Les pentecôtistes du Burkina Faso : mariage, pouvoir et guérison, , 442 p. (ISBN 978-2-8111-0271-5, lire en ligne), p. 37.
  10. https://www.jstor.org/stable/25841847?seq=1#page_scan_tab_contents
  11. « Le mythe et l'histoire dans la formation de l'empire de Ségou », sur librairienumeriqueafricaine.com via Internet Archive (consulté le ).
  12. « Burkina Faso : Thomas Sankara, un mythe bien vivant – Jeune Afrique », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. Le Moal, Guy, « Introduction à une étude du sacrifice chez les Bobo de Haute-Volta », sur revues.org, Systèmes de pensée en Afrique noire, École pratique des hautes études. Sciences humaines, (ISSN 0294-7080, consulté le ), p. 99–126.
  14. http://www.rodakar.iom.int/oimsenegal/sites/default/files/etude_sur_la_diaspora_burkinabe_fr.pdf
  15. https://www.cairn.info/revue-politique-africaine-2003-2-page-113.htm
  16. (ja) « 法人・企業系サイトまとめ », sur burkinadiaspora.org (consulté le ).
  17. « Immigration au Burkina : Au cœur d’un réseau de trafic de visa », sur lefaso.net (consulté le ).
  18. http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/tend/BFA/fr/SM.POP.NETM.html
  19. http://audealaculture.fr/sites/default/files/Archives/les_chefs_au_burkina_faso.pdf.pdf
  20. http://www.burkinafaso-cotedazur.fr/cuisine-recettes-salees
  21. Reporters sans frontières : Classement mondial 2009 [1]
  22. Reporters sans frontières
  23. Reporters sans frontières : Les données du classement de la liberté de la presse 2016 [2]
  24. Reporters sans frontières : Burkina Faso
  25. « Liste de blog sur le Burkina Faso - La BF-Liste francophone », sur burkina-faso.ca (consulté le ).
  26. (en) « Twitter », sur Twitter (consulté le ).
  27. « Fasoblog.net - La Première plateforme de blog burkinabè », sur fasoblog.net via Internet Archive (consulté le ).
  28. « Connectez-vous ou inscrivez-vous pour voir le contenu », sur Facebook (consulté le ).
  29. « La République du Grin », sur La République du Grin (consulté le ).
  30. « Burkina Faso », sur uwa.edu.au (consulté le ).
  31. Sissao, Alain, « Sanou, Salaka. – La littérature burkinabè : l’histoire, les hommes,... », sur revues.org, Cahiers d’études africaines, Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, (ISBN 978-2-7132-1810-1, ISSN 0008-0055, consulté le ), p. 685–690.
  32. Adamou L. KANTAGBA, « La littérature burkinabè écrite d'expression française, 50 ans après les indépendances », sur blog.com, Le blog de Adamou L. KANTAGBA, (consulté le ).
  33. http://www.fabula.org/actualites/burkina-faso-litterature-emergente-et-creation-artistique_9779.php
  34. http://www.lcdpu.fr/livre/?GCOI=27000100094940
  35. https://data.bnf.fr/12054534/jean-pierre_guingane/
  36. https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2011/02/02/jean-pierre-guingane-auteur-et-metteur-en-scene-burkinabe_1474032_3382.html
  37. http://aflit.arts.uwa.edu.au/IlboudoMonique.html
  38. http://www.sanfinna.com/ARCHIVES/Archives472/tribunedelafemme.htm
  39. http://www.curiosites.net/spectacles/poule-poilue.htm
  40. « Abdoulaye Diallo - Biographie, publications (livres, articles) », sur harmattan.fr (consulté le ).
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