Culture de la Côte d'Ivoire

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Culture ivoirienne
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La culture de la Côte d'Ivoire, l'un des pays de l'Afrique de l'Ouest, désigne d'abord l'ensemble des pratiques culturelles et cultures des nombreux groupes ethniques qui forment sa population estimée à 29 389 150 habitants en 2021.

Langues et peuples[modifier | modifier le code]

Langues[modifier | modifier le code]

La langue officielle est le français, également dans sa variante français de Côte d'Ivoire. Mais les Ivoiriens sont généralement multilingues. Les langues les plus parlées sont la langue mandingue (70 %), le sénoufo (langue gour), le baoulé (langue akan), le bété (langue krou/kru).

Population[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs groupes ethniques en Côte d'Ivoire regroupés en quatre grands ensembles :

Traditions[modifier | modifier le code]

Religions[modifier | modifier le code]

Symboles[modifier | modifier le code]

Folklore et mythologie[modifier | modifier le code]

Croyances[modifier | modifier le code]

Pratiques[modifier | modifier le code]

Les pratiques sociales, rituels et événements festifs relèvent (pour partie) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

Fêtes[modifier | modifier le code]

Fêtes traditionnelles et festivals[modifier | modifier le code]

La pâque

Vie sociale[modifier | modifier le code]

Groupes humains[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Noms[modifier | modifier le code]

Société[modifier | modifier le code]

Cuisine(s)[modifier | modifier le code]

Boissons[modifier | modifier le code]

Dèguè (lait fermenté avec granulés de mil).

Activités physiques[modifier | modifier le code]

De nombreuses disciplines sportives sont pratiquées dans le pays. Diverses possibilités de pratique du golf existent avec les terrains de golf d’Abidjan, de Yamoussoukro et de San-Pédro qui offrent quatre parcours de 9 à 18 trous. Chaque année, un open international, doté du prix Félix Houphouët-Boigny, est organisé et enregistre des participants de notoriété.

Les plans d’eau lagunaires et la mer offrent aussi de véritables possibilités sportives dont notamment la pêche sportive, la plongée et la chasse sous-marine, le surf, la voile, la planche à voile, le canoë-kayak ou encore le beach-volley. L’équitation ainsi que les sports mécaniques (rallye du Bandama, moto-cross) sont également pratiqués dans le pays. Le handball, le basket-ball, le volley-ball, le rugby, l'athlétisme et le tennis figurent parmi les disciplines sportives également pratiquées en Côte d’Ivoire.

Cependant, le football reste le sport roi en Côte d’Ivoire. Il attire de nombreuses foules et déchaîne les passions. Ce sport populaire jusque dans les contrées les plus reculées du pays est largement pratiqué par tous comme un sport de cohésion sociale. Chaque ville, et même chaque quartier, organise ses propres tournois de maracana (Il faut souligner au passage que la Côte d'Ivoire a une équipe nationale de Maracana qui a été championne à la Coupe d'Afrique des Nations de Maracana en 2012 et 2013).

La Fédération ivoirienne de football organise et encadre la discipline, dominée à l'échelon national par les équipes de l'Africa Sports National et l'ASEC Mimosas dans le temps. Mais depuis deux ans, le Séwé Sport de San Pédro règne sur le championnat national. De nombreux footballeurs évoluent hors du pays dans des formations sportives prestigieuses. Ils sont, pour la plupart, sélectionnés dans l'équipe nationale — les Éléphants — lors des compétitions sportives internationales. Autrefois emmenés par des joueurs comme Ben Badi, Gadji Celi et Alain Gouaméné, les Éléphants connaissent également un franc succès avec la génération Didier Drogba qui a notamment été la première à avoir été qualifiée pour la Coupe du monde de football de la FIFA en 2006.

Jeux populaires[modifier | modifier le code]

  • Jeux en Côte d'Ivoire : Awalé, Yoté
  • Plongée, pêche

Sports[modifier | modifier le code]

Arts martiaux[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Télécommunications en Côte d'Ivoire

Le paysage médiatique est animé par les organes audiovisuels, la presse écrite, les organes de régulation de la profession, en l'occurrence, la Commission nationale de la presse, remplacée en 2004 par le conseil national de la presse (CNP), le Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) et un organe d'autorégulation : l'Observatoire de la liberté de la presse, l'éthique et de la déontologie (OLPED). Depuis 1991, les médias en Côte d’Ivoire sont régis par la loi[8],[9],[10]. La Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) est l'organisme de diffusion radiophonique et audiovisuel de l'État ivoirien. Elle est financée par la redevance, la publicité et des subventions. Elle comporte trois chaînes de télévision et deux stations de radio : La Première, chaîne généraliste ; RTI 2, chaîne thématique consacrée au divertissement en majorité et émettant dans un rayon limité à 200 km autour d'Abidjan, et la troisième chaîne RTI 3 (février 2020), consacrée au sport et à la musique ; Radio Côte d'Ivoire, généraliste ; Fréquence 2, chaîne de divertissement ; Radio Jam, première radio privée du pays ; Africahit Music TV.

À la faveur de la libéralisation du paysage audiovisuel, la Côte d'Ivoire s'est enrichie de deux nouvelles chaînes de télévision privées : NCI[11] et Life TV.

En 2016, le classement mondial sur la liberté de la presse, établi chaque année par Reporters sans frontières situe la Côte d'Ivoire au 86e rang sur 180 pays[12]. À l'issue de la crise politico-militaire, la liberté de la presse se porte mieux et on observe une véritable diversité, même s'il n'y a pas de réelle indépendance des médias à l’égard des partis et des hommes politiques[13].

Presse écrite[modifier | modifier le code]

Des journaux de diverses audiences paraissent également principalement à Abidjan. Hormis les journaux du Groupe Fraternité Matin (Presse d'État, 25 000 exemplaires, quotidien), la quinzaine d'autres titres est détenue par des entreprises privées.

Radio[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Internet (.ci)[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

Ancien avion présidentiel reconverti en bibliothèque à Abidjan.

La Côte d’Ivoire présente une littérature abondante avec une grande diversité de style et de ses proverbes, soutenue par des infrastructures éditoriales relativement solides et des auteurs de différentes notoriétés.

Les plus célèbres de ces auteurs sont Bernard Dadié, journaliste, conteur, dramaturge, romancier et poète qui domine la littérature ivoirienne dès les années trente, Aké Loba (L'Étudiant noir, 1960) et Ahmadou Kourouma (Les Soleils des indépendances, 1968) qui a obtenu le Prix du Livre Inter en 1998 pour son ouvrage devenu un grand classique du continent africain, En attendant le vote des bêtes sauvages[14]. À ceux-ci s'ajoute une deuxième génération d'auteurs de plus en plus lus dont Véronique Tadjo, Tanella Boni, Isaie Biton Koulibaly, Maurice Bandaman, Camara Nangala...Une troisième génération se signale déjà avec des auteurs tels que Sylvain Kean Zoh (La voie de ma rue, 2002 et Le printemps de la fleur fanée, 2009) ou Josué Guébo (L'or n'a jamais été un métal, 2009 et Mon pays, ce soir, 2011).

Écrivains ivoiriens[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Prix littéraires[modifier | modifier le code]

Sites[modifier | modifier le code]

Bande dessinée[modifier | modifier le code]

Artisanats[modifier | modifier le code]

L'art ivoirien se caractérise par de nombreux objets usuels ou culturels (ustensiles, statues, masques…) réalisés dans diverses matières et dans diverses parties du pays par chacun des groupes culturels qui témoigne de son art de vivre par ses réalisations. Ainsi, des matériaux tels le bois ou le bronze, le raphia ou le rotin ou encore le bambou permettent la réalisation de vanneries, sculptures, meubles d’art, statues et masques.

Arts graphiques[modifier | modifier le code]

Design[modifier | modifier le code]

Textiles[modifier | modifier le code]

Cuir[modifier | modifier le code]

Papier[modifier | modifier le code]

Bois[modifier | modifier le code]

Statues et masques[modifier | modifier le code]

Masque baoulé.

Les civilisations africaines, en particulier celles de la Côte d’Ivoire, ont toujours accordé la primauté à la fonction sur la forme. La beauté n’est jamais recherchée pour elle-même. Elle est atteinte lorsqu’il existe un accord fondamental entre la pensée religieuse et l’objet chargé de l’exprimer ou de la servir (ustensiles, statues, masques, etc.). Ce que les collectionneurs appellent « l’art africain » est en fait des objets usuels ou culturels qui, désacralisés ou inutilisés aujourd’hui, sont vendus comme pièces de collections.

La principale différence entre statue et masque réside dans le fait que la première reste immobile pendant les cérémonies, tandis que le second participe à toutes les phases du rite puisque attaché autour du visage d’un participant, souvent un initié, dont l’incognito est préservé. La statuaire en pays Baoulé (avec le siège Baoulé du chef) et Sénoufo (représentant le premier couple) est la plus célèbre. Les masques Dans, Baoulés, Gouro, Guérés, Bétés… sont les plus côtés chez les connaisseurs.

Métal[modifier | modifier le code]

Poterie, céramique, faïence[modifier | modifier le code]

Verrerie d'art[modifier | modifier le code]

Joaillerie, bijouterie, orfèvrerie[modifier | modifier le code]

Espace[modifier | modifier le code]

Arts visuels[modifier | modifier le code]

Dessin[modifier | modifier le code]

Bande dessinée[modifier | modifier le code]

Le neuvième art ivoirien est caractérisé par plusieurs genres : réaliste, semi-réaliste, humoristique, science-fiction, etc. L'humour est le plus prisé par les Ivoiriens. Les thèmes abordés par les auteurs ont trait à leur vécu quotidien. Les faits comme le chômage, le banditisme, la pauvreté, le système D (débrouillardise), l’infidélité sont traités sur un ton léger. Les auteurs qui animent cet univers culturel ivoirien sont nombreux : Gilbert G. Groud, Marguerite Abouet (scénariste), Benjamin Kouadio, Lassane Zohoré, Lacombe, Bertin Amanvi, Hilary Simplice, Kan Souffle, Jess Sah Bi, Atsin Désiré... Les personnages ivoiriens de bande dessinée sont Cauphy Gombo, John Koutoukou, Tommy Lapoasse, Zézé, Dago, Sergent Deutogo, Jo Bleck, Les sorcières, Petit Papou... Le journal satirique Gbich est pour beaucoup dans la vulgarisation de ce médium qu'est la bande dessinée en Côte d'Ivoire.

Peinture[modifier | modifier le code]

Sculpture[modifier | modifier le code]

Architecture[modifier | modifier le code]

Photographie[modifier | modifier le code]

Arts du spectacle[modifier | modifier le code]

Musiques[modifier | modifier le code]

Instruments de musique[modifier | modifier le code]

Joueurs de balafon lors d'une fête.

Ils sont associés aux différentes formes de cultes. Les tam-tams, dont la base rythmique est souvent soutenue par des calebasses recouvertes de perles ou de cauris, sont les plus célèbres. Ils émettent un son grave et vibrant. Le balafon (ou Xylophone) particulièrement utilisé dans le Nord du pays, est aussi apprécié par les Baoulés, les Dans et les Guérés.

Musiques traditionnelles[modifier | modifier le code]

Musiques modernes[modifier | modifier le code]

Faya Flow est le plus grand concours de hip hop de Côte d'Ivoire. Il est organisé depuis 2005 par l’association Jeunesse Active de la Culture Hip hop (JACH, lu « jack »). Consacrant l’usage de la parole, du corps, et de la scène ; notamment à travers les chants et textes poétiques, la danse et la chorégraphie, ce concours révèle le potentiel artistique des talents en herbe qui sont par la suite récompensés et encouragés.

Danse(s)[modifier | modifier le code]

Danseuses à Jacqueville lors du Festival des 3A (Alladian, Ahïzi et Akouri).

La plupart des danses ont des significations religieuses. La région de l’Ouest est une des plus riches de Côte d’Ivoire en ce qui concerne les danses traditionnelles. Environ 300 font partie des traditions.

Parmi les plus connues :

  • le temate de Facobly, une danse réalisée par des jeunes filles en faveur des esprits pour favoriser une abondante récolte de riz
  • la danse des échassiers de Gouessesso et Danane (imagination chorégraphique et adresse gymnique de jeunes gens masqués sur des échasses de 3 m de haut)
  • la danse Gouah (geste collectif de gratitude des jeunes initiés à l’adresse des dieux bienfaisants chez les Agni et les Abrons, chaque cérémonie donne l’occasion de se parer de bijoux, de lunettes et de colliers en or.
  • l'Adjanou, une danse effectuée en pays baoulé par les seules les femmes initiées, toutes vêtues de blanc voire nues, le corps bariolé de kaolin, dans les situations de crise grave.
  • la danse du N'Goro et la danse des hommes-panthères (ou danse du Boloye) chez les Sénoufos
  • L’Abodan, une danse traditionnelle issue du pays Akan
  • Le Goly Tama en pays Baoulé
  • Le Doh, une danse koyaka
  • Le Zagrobi, une danse pratiquée par les Bétés
  • Le Mapouka originaire de Dabou
  • Le Kouribi, en pays malinké
  • L'adjoss, pratiquée par les Baoulé
  • Le Zanloba
  • Le Kôtou

Théâtre[modifier | modifier le code]

Le genre théâtral est dominé par le groupe panafricain Ki-Yi Mbock de Werewere Liking et de nombreux humoristes dont Digbeu Cravate, Zoumana, Adjé Daniel, Gbi de Fer, Jimmy Danger, Doh Kanon, Adrienne Koutouan, Marie Louise Asseu, Adama Dahico, Bamba Bakary et le duo Zongo et Tao qui, tous, se produisent à la fois dans les salles de spectacles, à la télévision et dans des films.

Sylvie Ndomé Ngilla fait un diagnostic positif pour tout le théâtre africain francophone dans son ouvrage Nouvelles dramaturgies africaines francophones du chaos (2014)[31].

Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Depuis 2004, le numérique permet au cinéma ivoirien de réaliser des films comme Coupé-décalé de Fadiga de Milano, Le Bijou du sergent Digbeu[32] de Alex Kouassi, Signature de Alain Guikou, Un homme pour deux sœurs de Marie-Louise Asseu.

Pour la seconde fois en 30 ans, un film ivoirien, Run, est présenté au festival de Cannes 2014 ; le ministre de la Culture et celui de la Communication assistent à la première projection du film, le 17 mai[33].

Autres[modifier | modifier le code]

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Le programme Mémoire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international Mémoire du monde (au 15 janvier 2016).

Musées et autres institutions[modifier | modifier le code]

Liste du Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12 janvier 2016) : Liste du patrimoine mondial en Côte d'Ivoire[34].

Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) a inscrit dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité une liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité en Côte d'Ivoire :

  • 2008 : le Gbofe d’Afounkaha, la musique des trompes traversières de la communauté Tagbana[35],
  • 2012 : les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo du Mali, du Burkina Faso et de Côte d’Ivoire[36],
  • 2017 : le Zaouli, musique et danse populaires des communautés Gouro de Côte d'Ivoire[37].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Rezo-Ivoire .net | Le groupe Mandé ou Mandingue », sur rezoivoire.net (consulté le )
  2. « Rezo-Ivoire .net | Le groupe voltaique », sur rezoivoire.net (consulté le )
  3. « Rezo-Ivoire .net | Le groupe Akan », sur rezoivoire.net (consulté le )
  4. www.gouv.ci
  5. « Un droit fondamental : la liberté d'expression et ses limites », sur La Dépêche d'Abidjan (consulté le ).
  6. « Tout ce qu’il faut savoir sur les droits humains en Côte d'Ivoire », sur Amnesty.org (consulté le ).
  7. (en) « Framework adopted by Ghana police set to improve relationship with the media - IFEX », sur IFEX, (consulté le ).
  8. Loi no 91-1033 du portant régime juridique de la presse, Journal Officiel de la République de Côte d'Ivoire, no 2 du .
  9. loi no 91-1034 du portant statut des journalistes professionnels, Journal officiel de la République de Côte d'Ivoire, no 2 du .
  10. loi no 91-1001 du fixant le régime de la communication audiovisuelle, Journal Officiel de la République de Côte d'Ivoire, no 2 du .
  11. www.nci.ci
  12. Reporters sans frontières : Les données du classement de la liberté de la presse 2016 [1].
  13. Reporters sans frontières : Côte d'Ivoire.
  14. Littérature africaine
  15. « africa24tv.com/fr/cote-divoire… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  16. « Top10 de la Mode Ivoirienne », sur Facebook.com (consulté le ).
  17. « Reportage : La Mode de 1960 à 2011 en Côte d`Ivoire », sur abidjan.net (consulté le ).
  18. Pixing.fr, « Mémoire d'Afrique - Le site des passionnés des terres cuites africaines », sur memoiredafrique.com via Wikiwix (consulté le ).
  19. L’Haridon, Nolwenn; Polet, Jean, « Les statuettes funéraires en terre cuite de la Côte de l’Or témoign... », sur Revues.org, Journal des africanistes, Société des africanistes, (ISBN 2-908948-19-2, ISSN 0399-0346, consulté le ), p. 65–86.
  20. http://www.somogy.fr/livre/terres-cuites-africaines?ean=9782757204061
  21. « Les terres cuites dans l'ART PRIMITIF africain », sur african-concept.com (consulté le ).
  22. http://www.barbier-mueller.ch/IMG/pdf/dossier_presse_terres_cuites.pdf
  23. « oukassa-w-3tto.squarespace.com… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  24. « afrikhepri.org/38044-2/ »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. « Histoires de perles », sur Afrik.com, (consulté le ).
  26. Jean Serjanian, « Aboudia, espoir de la peinture ivoirienne », sur Francetvinfo.fr, Franceinfo, (consulté le ).
  27. « Peinture : l’Ivoirien Ouattara Watts, au-delà de Basquiat – Jeune Afrique », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « cameroun-plus.com/file/index.p… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  29. « abidjan.net/QUI/categorie.asp?… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  30. « La musique traditionnelle en Côte d’Ivoire », sur Music In Africa, (consulté le ).
  31. http://conservancy.umn.edu/bitstream/handle/11299/171460/NdomeNgilla_umn_0130E_15693.pdf;sequence=1
  32. Marcel Appena, « Actualités-culture, Digbeu Cravate, acteur principal du film Le Bijou du sergent Digbeu : Nous tirons à boulets rouges sur les policiers… », sur Le matin d'Abidjan.com, (consulté le )
  33. « La Côte d'Ivoire revient au festival de Cannes », Le Figaro, encart « Culture », , p. 35.
  34. « Délégation Permanente de la Côte d´Ivoire auprès de l'UNESCO », sur unesco.diplomatie.gouv.ci (consulté le )
  35. « UNESCO - Le Gbofe d’Afounkaha, la musique des trompes traversières de la communauté Tagbana », sur Unesco.org (consulté le ).
  36. « UNESCO - Les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo du Mali, du Burkina Faso et de Côte d’Ivoire », sur Unesco.org (consulté le ).
  37. « UNESCO - Le Zaouli, musique et danse populaires des communautés gouro de Côte d'Ivoire », sur Unesco.org (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Delanne (dir.) et Viviane Froger-Fortaillier (photos), Ivoiriennes aujourd'hui, Sépia, Paris, 192 p. (ISBN 978-2842801243)
  • Philippe Delanne (dir.) et Viviane Froger-Fortaillier (photos) Arts au féminin en Côte d'Ivoire, Le Cherche Midi, Paris, 2009, 262 p. (ISBN 978-2-7491-1527-6)
  • Bohumil Théophile Holas, Industries et cultures en Côte d'Ivoire, Centre des sciences humaines, Abidjan, 1965, 117 p.
  • B. Holas, Arts traditionnels de la Côte d'Ivoire, CEDA, 1967, 160 p.
  • Aka Martin Kouadio, Masques et parures : études sur le corps orné en Côte d'Ivoire, Université d'Aix-Marseille, Aix-en-Provence, 1994, 2 vol., 324 p. + 198 p. (thèse de doctorat de lettres)
  • Ramsès L. Boa Thiémélé, L'Ivoirité entre culture et politique, L'Harmattan, Paris, 2003, 263 p. (ISBN 2-7475-3618-1)
  • Bibliographie sur la Côte d'Ivoire

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • La Fête de l'igname à Adahou : Côte d'Ivoire, film documentaire d'Idriss Diabate, ministère de la Coopération, CCF, Rennes Saint-Jacques, 1994, 19 min (VHS)

Liens externes[modifier | modifier le code]