Coulouvray-Boisbenâtre

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Coulouvray-Boisbenâtre
Coulouvray-Boisbenâtre
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Villedieu Intercom
Maire
Mandat
Daniel Tourgis
2020-2026
Code postal 50670
Code commune 50144
Démographie
Gentilé Coulouvréen
Population
municipale
529 hab. (2021 en diminution de 4,34 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 13″ nord, 1° 06′ 33″ ouest
Altitude Min. 130 m
Max. 315 m
Superficie 17,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Coulouvray-Boisbenâtre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Coulouvray-Boisbenâtre
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Coulouvray-Boisbenâtre
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Coulouvray-Boisbenâtre

Coulouvray-Boisbenâtre est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 529 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est au nord-est de l'Avranchin et au nord-ouest du Mortainais, sur les hauteurs les séparant du Bocage virois. Son bourg est à 5,5 km au nord-ouest de Saint-Pois, à 9 km au sud-ouest de Saint-Sever-Calvados, à 9,5 km au nord-est de Brécey et à 12 km au sud-est de Villedieu-les-Poêles[1]. Le territoire de Coulouvray-Boisbenâtre couvre 1 725 hectares.

Le territoire est traversé par la route départementale no 33, passant par le bourg et reliant Saint-Pois au sud-est à Saultchevreuil-du-Tronchet (Villedieu-les-Poêles) au nord-ouest. Elle croise dans le bourg la D 563 qui permet de rejoindre Fontenermont au nord et qui dessert les lieux-dits du sud de la commune avant de retrouver la D 33 au Ny au Jan. Partant de cette section, la D 350 permet de rejoindre Cuves vers le sud. Du carrefour du bourg part la D 281 menant à Saint-Sever-Calvados au nord à travers la forêt. À l'ouest, partant de la D 33, la D 463 retrouve Saint-Laurent-de-Cuves au sud. À l'est, la D 33E2 relie le Ny au Jan au Gast. L'accès à l'A84 est à Fleury (échangeur 37) et à La Colombe (échangeur 38) à 15 km au nord-ouest, à proximité de Villedieu-les-Poêles.

Le territoire — et en particulier le bourg — est sur la ligne de partage des eaux entre la Sienne et la Sée. La partie au nord de la D 33 est dans le bassin de la Sienne qui délimite la commune au nord, alimentée par quelques courts affluents. Les eaux de la partie sud sont collectées par deux affluents de la Sée et leurs propres affluents. L'ouest est drainé par le ruisseau de Saint-Laurent — qui porte à cet endroit le nom de ruisseau du Moulin de Coulouvray —, et deux de ses affluents : le ruisseau de la Chaussée qui marque la limite ouest et le ruisseau de la Touche. La limite à l'est est matérialisée par le Glanon dont le principal affluent, le ruisseau du Grand Melon, parcourt le sud du territoire.

Le point culminant (315 m) se situe en limite, près du lieu-dit la Guéranterie. Le point le plus bas (130 m) correspond à la sortie du ruisseau de la Chaussée du territoire, au sud-ouest. La commune est bocagère.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 212 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1988 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records COULOUVRAY-BOISBENATRE (50) - alt : 268 m 48° 47′ 06″ N, 1° 06′ 12″ O
Statistiques établies sur la période 1988-2010 - Records établis sur la période du 01-05-1988 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,9 2 3,7 4,7 8,1 10,4 12,4 12,5 10,4 8,1 4,5 2 6,8
Température moyenne (°C) 4,3 4,9 7,1 8,8 12,5 15 16,9 17,1 14,6 11,4 7,2 4,4 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,9 10,6 12,9 16,9 19,7 21,4 21,7 18,8 14,7 10 6,8 14
Record de froid (°C)
date du record
−13,5
02.01.1997
−13,5
07.02.1991
−8
04.03.05
−5
04.04.1996
−1
13.05.10
2,5
03.06.1989
5,5
01.07.11
4,5
26.08.1993
3
25.09.02
−3,5
30.10.1997
−9
30.11.1989
−11
29.12.1996
−13,5
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
14,5
16.01.1996
20,5
27.02.19
23
30.03.21
27
21.04.18
28,5
27.05.05
34,5
29.06.19
36
23.07.19
36,5
05.08.03
32,1
14.09.20
27,5
01.10.11
21
01.11.15
14
17.12.16
36,5
2003
Précipitations (mm) 149,2 111,5 109,4 83,6 95,5 81,3 86,1 84,5 108,1 149,1 153,6 166,4 1 378,3
Source : « Fiche 50144001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coulouvray-Boisbenâtre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (74,4 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), terres arables (7,6 %), forêts (3,1 %), zones urbanisées (1,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Nom créé en 1850 par la fusion des toponymes Coulouvray et Boisbenâtre.
Attesté sous la forme Coulouvray-Boisbenâtre en 1850[16].

Coulouvray est attesté sous les formes Colovreio en 1184 ; Colovrei vers 1200 ; Coulouvreio en 1238 ; Colouvreio en 1260[17].
Le toponyme Coulouvray se serait formé à partir du latin colubra, « couleuvre », suffixé de -etum ou -acum[18].

Boisbenâtre est attesté sous les formes Le Bois Benastre en 1398[19], ecclesia de Bosco Benastre en 1412[20] et vers 1480[21], Boys Benastre vers 1480[21], Boisbenastre entre 1612 et 1636[22], Boisebenastre en 1648[23], Bois Benastres en 1677[24], Boisbenatre en 1689[25], Bois benatre en 1694[26], Bois-Benastre en 1709[27], Bois Benastres en 1713[28], Bois benatre en 1716[29], Bois Benastre en 1719[30], Bois benâtre en 1720[31], Bois-Benastres en 1735[32] et en 1763[33], Boisbena[tre] entre 1740 et 1756[34], Boisbenatre entre 1753 et 1785[35] et en 1793[36], Bois-Benatre en 1801[16] et en 1837[37].

Le toponyme Boisbenâtre est tardif, de formation romane, constitué de l'appellatif bois et du nom de famille Bénastre, soit « le bois de (la famille) Benastre »[38],[39].

Le gentilé est Coulouvréen[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1850, Coulouvray (1 505 habitants en 1846) absorbe la commune calvadosienne de Boisbenâtre (204 habitants)[41],[42], au nord du territoire.

En 1789, le dernier seigneur de Coulouvray était Gilles Philippe Danjou[43]. Les Danjou portaient : d'argent à deux chevrons brisés d'or accompagné de trois grappes de raisin[44].

Le village est libéré le par le général Barton[43].

Une mentalité à part dans le Bocage au début du XXe siècle[45][modifier | modifier le code]

À cette époque la commune devait sa vitalité à trois corporations d'artisans qui lui conféraient une mentalité à part. Elle était notée profondément républicaine par les services départementaux. Il y avait des chaudronniers-étameurs. Ces fondeurs itinérants, disparus dans les années 1920-1925, refaisaient à neuf les couverts qu'ils fondaient. Les sabotiers, eux, travaillaient à partir du hêtre, très présent dans la forêt avoisinante. Enfin les tailleurs de pierre (jusqu'au XVIIIe siècle), les piqueurs de granite (piquaou) n'exploitaient que les abondantes boules de pierres grises. Quand apparut la poudre noire pour éclater les blocs, cinq importantes carrières s'ouvrirent dans la commune. Elles produisaient du beau granite pour les édifices, pierres d'angles, pourtour des fenêtres et des portes, monuments funéraires.

De véritables artistes exécutaient des travaux remarquables, par exemple les gargouilles de Notre-Dame d'Avranches, ou le chemin de croix à la Chapelle-sur-Vire. Après la guerre 1914, deux ateliers de taille sont établis avec chacun quinze tailleurs. Puis vint le grand moment du pavé de rue. Arrivent à ce moment des ouvriers tchèques, polonais, belges, espagnols. Après 1945, la reconstruction fait beaucoup appel au granite… mais finis les pavés !

Une profession très organisée[modifier | modifier le code]

La profession très importante à la fin du XIXe siècle, s'était déjà organisée. Héritiers du compagnonnage, les granitiers avaient formé un noyau syndical assez puissant pour défendre la profession et obtenir certains avantages. Les granitiers ont bénéficié de la première convention collective de France. Les patrons granitiers, nombreux, avaient formé un syndicat des entrepreneurs granitiers de Basse-Normandie dont le siège était à Vire. Patrons et délégués du syndicat ouvrier avaient établi un tarif concernant le travail du granit ou tout était prévu très précisément. L'ouvrier travaillait librement sur son morceau et savait le prix qu'il en recevrait. Ce tarif est resté en vigueur dans la profession jusqu'à l'arrivée de la réglementation horaire du travail.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires[40]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1971 Maximilien Chérencé    
1971 1983 René Chales    
1983 1989 Léon Pellerin    
1989 1995 Pierre Leveillé    
1995[46] 4 juillet 2020 Denis Lepage SE Employé
juillet 2020[47] En cours Daniel Tourgis SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[47].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].

En 2021, la commune comptait 529 habitants[Note 6], en diminution de 4,34 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Au recensement de 2012, Coulouvray-Boisbenâtre est la commune la plus peuplée du canton de Saint-Pois.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2001 2851 1311 1941 2751 3151 4001 5051 711
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5081 6051 6071 5131 3901 4171 3371 3521 358
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2521 2141 1151 0511 0741 0471 019932940
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
922829729674593537561562540
2015 2020 2021 - - - - - -
553530529------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Boisbenâtre avant la fusion
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
192182182210187196203204
(Sources : EHESS[42])

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame (XIIe, XVIe – XIXe siècles) d'origine romane, reconstruite en 1842, et restaurée en 1933, avec une verrière du XXe de Charles Champigneulle. Elle abrite les statuettes d'une Vierge douloureuse et de saint Jean (XVIe) et un tableau des victimes de la Première Guerre mondiale[40].
  • Chapelle Saint-Benoît du XVIe siècle.
  • Croix de cimetière (XVIIIe siècle), croix de chemin D 563/350 (XIXe siècle), la Croisette (XVIIe siècle), la Motte (XIXe siècle), la Térourie (XIXe siècle), la Guillerie (XVIIIe siècle)[40].
  • Croix de l'ancien cimetière (1820), près de l'église.
  • Château de la Tullière et sa chapelle (XVIe siècle).
  • Anciens moulins de Boisbenâtre et de Coulouvray.
  • La Pierre au coq, menhir mégalithique à la Mazurie.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

  • Fête Madeleine en juillet.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Victoire Babois (1760, Basbois - 1829), poétesse. Une rue du village porte son nom.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 65.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 167.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 50144001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris, 1801-1870.
  17. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, , p. 105.
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  19. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 83.
  20. Pouillé du Diocèse d’Avranches, 1412, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 159E.].
  21. a et b Pouillé du Diocèse d’Avranches, vers 1480, in Auguste Longnon, op. cit., p. 176A.
  22. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BnF, ms. fr. 4620].
  23. « Benefices du dioceze d’Avranches », p. 9, in Pouillié general contenant les benefices de l’Archevesché de Rouen […], chez Gervais Alliot, Paris, 1648.
  24. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BnF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  25. G. Mariette de La Pagerie, cartographe, Unelli, seu Veneli. Diocese de Coutances, divisé en ses quatre archidiaconés, et vint-deux doiennés ruraux avec les Isles de Iersay, Grenesey, Cers, Herms, Aurigny etc., chez N. Langlois, Paris, 1689 [BnF, collection d'Anville, cote 00261 I-IV].
  26. Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BnF, IFN-7710251].
  27. Dénombrement du Royaume par Generalitez, Elections, Paroisses et Feux, vol. II, Saugrain, Paris, 1709, p. 68a.
  28. Dénombrement des généralités de 1713 [BnF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  29. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  30. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  31. G. Mariette de la Pagerie, Carte topographique de la Normandie; feuille 3 : Fougères, Vire et Avranches, 1720 [BnF, fonds Cartes et Plans, cote Ge DD 2987 (1009, III) B].
  32. Nouveau dénombrement du royaume par generalités, elections, paroisses et feux […], t. II, Impr. Pierre Prault, Paris, 1735, p. 64b.
  33. Abbé Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Amsterdam, t. I, 1763, p. 669b.
  34. G. Albrizzi, Carta geografica del governo della Normandia, Venise, 1740/1754.
  35. Carte de Cassini.
  36. Site Cassini.
  37. Dictionnaire géographique universel ou description de tous les lieux du globe sous le rapport de la géographie physique et politique, de l’histoire, de la statistique, du commerce, de l’industrie, etc., etc., Sociétés de Paris, Londres et Bruxelles pour les publications littéraires, Bruxelles, 1837, t. I, p. 344a.
  38. François de Beaurepaire (op. cit., loc. cit.) relève ce nom à Contrières en 1647. Il semble avoir aujourd'hui disparu, du moins dans la Manche.
  39. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 101.
  40. a b c et d Gautier 2014, p. 167.
  41. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Boisbenâtre », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  43. a et b Delattre, 2002, p. 65.
  44. Delattre, 2002, p. 66.
  45. Copie du panneau d'information devant l’église de Coulouvray Boisbenâtre
  46. « Denis Lepage briguera un 4e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  47. a et b « Coulouvray-Boisbenâtre. Daniel Tourgis est élu maire de la commune », sur lamanchelibre.fr, La Manche libre (consulté le ).
  48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.