Corbère-Abères

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Corbère-Abères
Corbère-Abères
L'église Saint-Orens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Jauffrey Domengine
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64193
Démographie
Gentilé Corbèriens
Population
municipale
96 hab. (2021 en diminution de 14,29 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 25″ nord, 0° 05′ 14″ ouest
Altitude Min. 171 m
Max. 306 m
Superficie 7,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Corbère-Abères
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Corbère-Abères
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Corbère-Abères

Corbère-Abères (en béarnais Corbèras-Avera ou Courbères-Abére) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Corbère-Abères se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 34 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Bassillon-Vauzé (2,1 km), Bassillon-Vauzé (2,8 km), Escurès (3,0 km), Lembeye (3,1 km), Castillon (3,3 km), Séméacq-Blachon (3,6 km), Monpezat (3,7 km), Arricau-Bordes (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Corbère-Abères fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Corbère-Abères.

La commune est drainée par le Larcis, le ruisseau du Boscq et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 072 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maubourguet à 9,98 km à vol d'oiseau[12], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Corbère-Abères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,8 %), zones agricoles hétérogènes (34,1 %), forêts (13,9 %), eaux continentales[Note 5] (0,2 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Elle est desservie par les routes départementales 139, 142 et 205.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Corbère-Abères est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Larcis. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[27],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Corbère-Abères.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 73,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Corbère est mentionné au XIIIe siècle[30] (cartulaire de Lescar[31]) et apparaît sous les formes Corberas et Courbères (respectivement vers 1550[30] et 1683[30], réformation de Béarn[32]) et Corbères (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[30]).

Du latin corbus (corbeau) avec le suffixe –aria (« aire »)[réf. nécessaire].

Le toponyme Abères apparaît sous les formes Bere (1402[30], censier de Béarn[33]), Avera et le parsan d'Albère de Courbères (respectivement 1540[30] et 1684[30], réformation de Béarn[32]), Abere prés Corberes (1793[34], ou an II), Abères près Corbère (1801[34], Bulletin des lois) et Abère (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[30]).

Le nom béarnais de la commune est Corbèras-Avera[35] ou Courbères-Abére[36].

Michel Grosclaude[37] propose une étymologie latine abellana ou abella ('noisette' et par extension 'la coudraie'). À noter que cet auteur mentionne l'appellation officielle sous la forme Abère.

Le toponyme Domengeux apparaît sous les formes Domengius et Domenjeus (respectivement 1385[30] et 1402[30], censier de Béarn[33]) et Doumengeux (1748[30], terrier de Bétracq[38]).

Domengeux s'est unie avec Abères à Corbère et le toponyme correspondant s'appelait Corbères-Abère-Domengeux. En 1833, le nom de la commune prit sa forme actuelle, Corbère-Abères.

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[30] note qu'en 1385, Corbères comptait treize feux et Domengeux huit ; les deux communes dépendaient du bailliage de Lembeye. La baronnie de Corbères était vassale de la vicomté de Béarn.

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Domengeux était une dépendance de la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1977 André Pédaillé    
1977 1995 Marcel Loste-Berdot    
1995 2008 Raymond Sansot    
2008 2014 Raymond Sansot    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Corbère-Abères fait partie de quatre structures intercommunales[39] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

En 2021, la commune comptait 96 habitants[Note 7], en diminution de 14,29 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
93104191388390392366361321
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
277254250251254244220241234
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
237181190183159145136129120
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
99918085758286108113
2019 2021 - - - - - - -
9896-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château[44] date de la fin du XVIIe siècle, il fut occupé par la couturière Coco Chanel dans les années 1930.

Le pigeonnier[45] du lieu-dit Audipont semble dater du XVIIIe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent[46], au lieu-dit Domengeux, date partiellement du XIIe siècle, tout comme l'église Saint-Orens[47], de Corbère. On trouve dans l'église Saint-Laurent du mobilier[48] référencé par le ministère de la Culture. L'église Saint-Orens, quant à elle, recèle du mobilier[49], un tableau[50], des verrières[51], des dalles funéraires[52] et des objets[53] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Naissances[modifier | modifier le code]

Décès[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Corbère-Abères » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Corbère-Abères et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Corbère-Abères et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Corbère-Abères », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Corbère-Abères », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Larcis ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Corbère-Abères et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Maubourguet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Maubourguet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Corbère-Abères », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. a b c d e f g h i j k et l Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  31. Cartulaire de l'évêché de Lescar, publié dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  32. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  33. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  34. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Abères-près-Corbère », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  35. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  36. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  37. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 151
  38. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château
  45. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le pigeonnier
  46. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Laurent
  47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Orens
  48. [1][2][3] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Laurent
  49. [4][5][6][7] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Orens
  50. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'église Saint-Orens
  51. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Orens
  52. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Orens
  53. [8][9][10][11] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Orens

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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