Corancy

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Corancy
Corancy
Vue générale du village de Corancy.
Blason de Corancy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Château-Chinon (Ville)
Intercommunalité Communauté de communes Morvan Sommets et Grands Lacs
Maire
Mandat
Martine Daoust
2020-2026
Code postal 58120
Code commune 58082
Démographie
Gentilé Corancycois, Corancycoises
Population
municipale
282 hab. (2021 en diminution de 8,74 % par rapport à 2015)
Densité 9,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 08″ nord, 3° 56′ 56″ est
Altitude Min. 322 m
Max. 730 m
Superficie 30,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Château-Chinon
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Corancy
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Corancy
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Corancy
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Corancy
Liens
Site web https://www.corancy.fr

Corancy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont les Corancycois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Ce village du Morvan, au cœur de la Bourgogne-Franche-Comté, est situé sur le cours de l'Yonne au sud-est du lac de Pannecière[1], à 8 km au nord de Château-Chinon[2] dans la partie Est de la Nièvre. Il fait partie du parc naturel régional du Morvan[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Yonne traverse la commune du sud au nord. à son entrée sur la commune elle reçoit le Touron (rive droite), puis divers petits affluents locaux, avant de se déverser dans le lac-réservoir de Pannecière-Chaumard. Plus de 2,58 km du lac se trouvent sur la commune[1].

Au Moulin de Corancy, où conflue en rive droite un petit affluent venant du village de Lorien, se trouve une pisciculture couvrant environ 1,6 ha toutes surfaces en eau comprises[1].

L'Oussière, autre affluent de l'Yonne en rive droite, forme toute la limite de commune au nord-est avec Planchez et une partie de celle au nord avec Chaumard. Son affluent de rive gauche le ruisseau de Griveau forme la limite de commune à l'est avec Lavault-de-Frétoy[1].

Géologie[modifier | modifier le code]

Les sommets de Montiaux, Nargeveau et Chêne Fruit sont à l’extrémité est d'un arc formé de microgranites porphyriques, cintré sur la bordure sud du bassin géologique de Montreuillon et qui se prolonge à l'ouest sur Châtin et plus loin Grandry[3] sur une quinzaine de km[1] (μϒ2-3, en orange sur la carte géologique[4]).

Villages, hameaux, lieux-dits, écarts[modifier | modifier le code]

Les lieux-dits et écarts sont indiqués en italiques. Les plus gros hameaux sont en caractères gras[1].

  • Ardilly
  • la Bâtisse
  • bois Boulle
  • bois de Faubouloin
  • bois des Pichards
  • le Boissillot
  • le Carrouge
  • Châgnon
  • Champ Long
  • Champ Moignon
  • les Champs de Grand Pré
  • Chapelle de Faubouloin
  • Chaumont
  • la Chaux
  • la Chenée
  • Chêne Fruit
  • les Chevannes
  • les Cloux
  • les Commes
  • Corcery
  • le Courvois
  • les Creux
  • le Crot au Loup
  • les Crouées
  • le Défens
  • Denault
  • l'Écheneau Prés Derrière
  • la Fiette
  • la Fiolle
  • les Forands
  • la Forêt Laproye
  • les Foux
  • Frémont
  • le Gazot
  • les Girettes
  • les Goy
  • Graillebois
  • les Grands Cheintres
  • les Grandes Mouilles
  • Grand Sernay
  • Grappes
  • Grenoise
  • les Grises
  • l'Huis Grillot
  • Griveau
  • Gros Mont
  • l'Huis l'Abbé
  • les Issards
  • Lorien
  • Maison Comte
  • la Manille
  • la Métairie
  • le Montiaux
  • Mont Lorien
  • le Moulin de Corancy
  • le Moulin de Rhônon
  • les Moulins
  • Nargeveau
  • Neuvelle
  • la Pérole
  • le Pichou
  • Poitevin
  • les Porets
  • le Pré Jean
  • Prenet
  • Rhônon
  • la Rouère
  • le Ruet
  • Ruet au Meunier
  • Salorges
  • les Semaines
  • les Soulins
  • les Tanières
  • les Tourelles
  • le Tronçay
  • Tureau d'Enfer
  • les Veurtots
  • les Violettes
  • les Vouas
  • Vouchot
    • Vouchot Dessous
    • Vouchot Dessus

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 203 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 252,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,3 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Corancy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,6 %), prairies (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,3 %), eaux continentales[Note 3] (1,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes rencontrées dans les documents historiques sont Corensi en 1193, Corenseio en 1296, Coranceyum au XIVe siècle, Courancy en 1435, Couransy en 1600 et Courrancy en 1671[18],[19].

Albert Dauzat et Charles Rostaing proposent d'interpréter le premier élément Corens- par le nom de personne latin (porté par un indigène) Cosentius (qu'ils reconnaissent par ailleurs dans Corancez, Cosentiacum vers 954, Eure-et-Loir) ou plutôt Corentius, car le passage de [s] à [r] n'est ni attesté, ni obligatoire[20]. Ernest Nègre préfère le nom de personne latin *Corinthius, variante de Corinthus[21].

Le second élément est le suffixe -(i)acum[20],[21], d'origine gauloise, marquant la localisation et la propriété, souvent latinisé en -eyum à partir du XIIe siècle et ayant déjà évolué en [i] dans la langue commune et qui explique la plupart des terminaisons en -y dans la toponymie du Nord de la France.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Plusieurs sites néolithiques se trouvent sur la commune, surtout situés sur les hauteurs de part et d'autre de la vallée de l'Yonne. Certains ne sont connus que par des prospections de surface[22].

  • Un nucléus plat à lamelles trouvé à Outron (silex provenant du Coniacien d'Aquitaine) pourrait témoigner d'une occupation chasséenne[23].
  • L'Huis l'Abbé (sur la D 500, au sud de Corancy) a révélé un ensemble de structures sur une terrasse dominant la vallée de l'Yonne, et présente un ensemble de trous de poteaux de différentes tailles ainsi qu'un soubassement de murs qui décrit un édifice aux contours arrondis avec une cour et un foyer[24]. Cette enceinte serait un enclos pastoral néolithique[25]. A côté se trouvent un complexe d'habitations, avec captage d'eau, accompagné de céramiques de la Tène[26].
Parmi le mobilier, plusieurs centaines de pièces lithiques[27] sont liées à des tertres, des foyers profonds avec à leur proximité des silex chalcolithiques attribués au Néolithique moyen principalement mais aussi au Néolithique final[25]. On note une hache en silex du Roannais, des silex de Meusnes, une ébauche d’armature à pédoncule de la côte chalonnaise[25] et ce qui serait un briquet en silex provenant des Martins à Mouthiers-sur-Boëme[28] (Charente[29], environ 400 km[28]).
  • La Roche du Pas d’Aru a livré une lamelle retouchée en silex provenant vraisemblablement des Limagnes, et un nucléus dont la matière première provient de la Côte chalonnaise[29].
  • Les objets en pierre trouvés à Chaumotte sont tirés de quatre matériaux différents : silex de Meusnes, silex de la côte chalonnaise, quelques pièces en silex de Mur-de-Barrez, et un fragment de cristal de fluorite qui a peut-être été ramassé en tant que curiosité. Des gisements de fluorite existent dans le Morvan, notamment au pied du mont Beuvray[29].
  • À Grosmont, des « emplacements noirs » contenaient quelques silex, une pointe de flèche néolithique et des tessons de vases grossiers portant des chevrons[29].
  • Un sanctuaire des eaux à Faubouloin témoigne de la longévité du culte des eaux dans le Morvan, qui a perduré depuis le Néolithique jusqu'à la fin du XXe siècle[30].

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Comme l'attestent les fouilles archéologiques du lieu-dit l'Huis l'Abbé, cette commune paraît occupée à l'époque gauloise, avant la conquête romaine[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 2020 "en cours" Martine Daoust    
mars 2014 mai 2020 Isabelle Bouchoux    
mars 2008 2014 Henry Thenin   Chef d'entreprise
mars 1983 mars 2008 Martial Gouël PCF Directeur d'école
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 282 habitants[Note 4], en diminution de 8,74 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8037547261 0449301 1201 2031 3001 311
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2351 2381 3241 4101 4031 5431 2861 2631 188
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1231 1121 007897777746729725626
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
546484428419404366358362330
2014 2019 2021 - - - - - -
307285282------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34]. |recens-prem=2004 |nomb.)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (27,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 46,3 % la même année, alors qu'il est de 37,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 150 hommes pour 143 femmes, soit un taux de 51,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,4 
90 ou +
2,2 
11,0 
75-89 ans
17,3 
36,3 
60-74 ans
24,5 
22,6 
45-59 ans
24,5 
8,2 
30-44 ans
7,9 
11,6 
15-29 ans
15,1 
8,9 
0-14 ans
8,6 
Pyramide des âges du département de la Nièvre en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
3,2 
10,2 
75-89 ans
14,2 
23,2 
60-74 ans
23,3 
20,7 
45-59 ans
19,5 
15,3 
30-44 ans
14,4 
14,6 
15-29 ans
12 
15 
0-14 ans
13,3 

Économie[modifier | modifier le code]

Élevage agricole[modifier | modifier le code]

Essentiellement agricole, le village comporte 10 exploitations d'élevage de la race bovine charolaise.

Tourisme[modifier | modifier le code]

La commune mise sur le tourisme vert grâce à la présence du lac de Pannecière sur son territoire.

Implication dans le programme Climat Énergie Bourgogne[modifier | modifier le code]

Plaquettes forestières utilisées dans une chaudière bois automatique.

Dans le cadre du programme Climat Énergie Bourgogne, et en partenariat avec l'ADEME de Bourgogne, le FEDER, le conseil général de la Nièvre, le conseil régional de Bourgogne, le parc naturel régional du Morvan et le Syndicat Intercommunal d'Énergies d'Équipement et d'Environnement de la Nièvre (SIEEEN), la commune s'est dotée fin 2008 d'une chaudière bois automatique utilisant des plaquettes forestières issues du déchiquetage de bois lors de l'entretien des forêts et des voies communales[37],[38].

Mise en fonction le , cette chaudière de 70 kW permet de chauffer la mairie, l'école primaire, sa cantine et un logement communal, soit un volume total de 1 200 . À raison d'une consommation de 95 000 kWh/an, l'utilisation de la « solution bois » revient à environ 1 400  à l'année, soit une économie de plus de 80 % par rapport à une « solution fioul »[37].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La chapelle de Faubouloin, construite au milieu de la forêt.
Monuments religieux
  • Église Saint-Euphrône des XVe et XVIe siècles, bâti sur l'emplacement d'une précédente église datant du XIIe siècle. Son chœur date du XVe siècle, sa chapelle postérieure gauche, son clocher et son portail antérieur datent du XVe siècle[39]. Peintures murales XVIIe – XVIIIe siècles. Dalles funéraires du XVIIe siècle. Statue en pierre calcaire avec des traces de polychromie art populaire de la fin du XVIe siècle et Logo monument historique Inscrit MH (1989)[40]. Ouverte tous les jours[41]
  • Chapelle de Faubouloin, du XVIe siècle et ses trois fontaines celtiques christianisées[42]. Ne se visite pas. Pèlerinage le 15 août[41]
Monuments civils
  • Château de Neuvelle, du XVIIe siècle et sa chapelle[43].
  • Ruines du château du XIVe siècle au lieu-dit Maison Comte.
  • Fouilles archéologiques de la maison de l'Huis l'Abbé

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Lucien Olivier, (1919-1994), archéologue des fouilles de l'Huis l'Abbé.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
« De gueules au bâton en barre cousu de sable accompagné, en chef, d'un arbre arraché d'or et, en pointe, d'une hure de sanglier cousue aussi de sable, défendue et allumée d'argent. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g « Corancy, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  2. « Corancy », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
  3. Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), « Château-Chinon », Carte géologique de la France à 1/50000, sur ficheinfoterre.brgm.fr (consulté le ), p. 53.
  4. « Corancy, carte interactive » sur Géoportail. Couche « Carte géologique » activée.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Corancy et Château-Chinon (Ville) », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Chateau Chinon », sur la commune de Château-Chinon (Ville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique du département de la Nièvre : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, vol. 18, Paris, Imprimerie impériale, , 246 p. (lire en ligne), p. 54.
  19. Anatole de Charmasse, Cartulaire de l'église d'Autun (1296), Première et deuxième parties, Paris / Autun, Auguste Durand / Michel Dejussieu, coll. « Publications de la Société Éduenne », , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 298.
  20. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 209b.
  21. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 551.
  22. [Saligny et al. 2011] Laure Saligny, Rémi Martineau, Jimmy Linton, Jehanne Affolter, Sébastien Francisco et Lyse Basset, « Le Néolithique du Morvan : état des connaissances », Revue archéologique de l'Est,‎ (lire en ligne [sur academia.edu], consulté le ), p. 12.
  23. Saligny et al. 2011, p. 16 ; et p. 17 fig. 16, nos 1-3.
  24. a et b « Site préhistorique de l'Huis l'Abbé (Corancy-58) », d'après la Société d'histoire Naturelle du Creusot(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur shnc.ifrance.com, (consulté le ).
  25. a b et c Saligny et al. 2011, p. 17.
  26. Roland Martin, « Bourgogne », Gallia, vol. 26, no 2,‎ , p. 473-513 (lire en ligne [sur persee], consulté le ), p. 490-496.
  27. Saligny et al. 2011, p. 16.
  28. a et b « Emplacement des Martins à Mouthiers-sur-Bouëme (Charente) », sur google.fr/maps.
  29. a b c et d Saligny et al. 2011, p. 18.
  30. [Gautherin 2009] Henri Gautherin, « Les eaux vives et dormantes du Morvan », dans Louis Courel (coord. et al., Des paysages à voir et à lire en Bourgogne, Dijon, Educagri éd., , sur books.google.fr (ISBN 978-2-84444-715-9, lire en ligne), p. 67.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Corancy (58082) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Nièvre (58) », (consulté le ).
  37. a et b [PDF] La chaufferie bois automatique de Corancy sur le site du Parc naturel régional du Morvan
  38. « Travaux réalisés depuis 2008 », (page en travaux, « prochainement disponible »), site de la commune de Corancy, sur communedecorancy.com (consulté le ).
  39. « Église paroissiale Saint-Euphrone », notice no IA00002187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. André Paris, Trésors cachés des églises de la Nièvre, notice n°29, Nevers, La Camosine, , 160 p. (Catalogue d'une exposition présentée par la Camosine de Nevers en 1990, qui avait réuni 135 objets religieux provenant des églises du département : statuaire, peintures, retables, objets et vêtements liturgiques, bannières et tapisserie), p. 45.
  41. a et b Dépliant touristique du diocèse de Nevers, « Visitez les églises de la Nièvre », Pastorale, Tourisme & Loisirs, 2013.
  42. « Chapelle (Faubouloin) », notice no IA00002188, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Château de Neuvelle », notice no IA00002191, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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