Coq dans la culture

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Le coq, symbole solaire.

Le coq, animal familier qui sait se faire entendre, a trouvé une place importante dans de nombreuses religions et traditions. Symbole universel, les vertus qu'on prête à ces animaux, qualifiés de solaire, sont en effet innombrables. Porte-bonheur, prophète guérisseur, le coq incarne souvent le courage, l'intelligence, et on l'associe volontiers à la résurrection.

Un animal à forte personnalité[modifier | modifier le code]

On attribue au coq de nombreuses qualités en rapport avec ses caractéristiques physiques ou son comportement.

Un symbole de virilité[modifier | modifier le code]

Coq gaulois, monument dédié aux Girondins, Esplanade des Quinconces, Bordeaux. Œuvre signée Achille Dumilâtre et Victor Rich, réalisée entre 1893 et 1902

Sa démarche, le buste en avant, le fait passer pour fier. Parce qu'il a pour lui seul de nombreuses poules, on en a fait un symbole de virilité : il est d'usage de dire d'un homme qui cherche à séduire les femmes qu'il fait le coq.

Un symbole de bravoure : les combats de coq[modifier | modifier le code]

Parce qu'il porte à ses pattes de dangereux ergots et qu'il ne rechigne pas à se battre dans des combats à mort, on a fait du coq un symbole de bravoure. Dans l'Antiquité grecque, le coq représentait le courage militaire. Les Romaines sacrifiaient un coq à Mars, le dieu de la guerre, chaque premier jour du mois qui porte son nom. La plume de coq noir était, en Chine, l'emblème du guerrier courageux et intrépide.

Dans le monde indien, le coq est associé au dieu de la guerre Karttikeya, dont l'iconographie comporte souvent l'oiseau à ses côtés ou en tant qu'emblème sur son drapeau (connu sous les noms de कुक्कुटध्वज (Kukkuṭadhvaja) en sanskrit et de சேவல் கொடி (Seval kŏḍi) en tamoul, soit « Drapeau au coq » dans les deux langues)[1].

Un symbole identitaire[modifier | modifier le code]

Monument aux morts d'Évaux-les-Bains (Creuse)

Signe astrologique chinois[modifier | modifier le code]

Mythologie grecque[modifier | modifier le code]

Attribut traditionnel d'Asclépios : fin de l'Apologie de Socrate.

Un symbole religieux en tant qu'animal solaire[modifier | modifier le code]

Coqs sur une mosaïque à Madaba en Jordanie
Les deux coqs romains de Nabeul en Tunisie

Le coq est universellement un symbole solaire parce que son chant annonce le lever du soleil, l'arrivée du jour si bien qu'on a pu croire que c'était lui qui le faisait naître. Cette tradition est explicite dans la pièce de théâtre le Chantecler d'Edmond Rostand (1910).

Symbolique chrétienne[modifier | modifier le code]

Coq sur la cathédrale St Guy a Prague, Tchéquie.

Pour les chrétiens, le coq est l'emblème du Christ (on le retrouve dans la forme donnée aux lampes des potiers chrétiens de Grèce et de Rome[2] et oiseau de résurrection[3]) et symbole de l'intelligence venue de Dieu[réf. nécessaire]. On lui prête le pouvoir de chasser les démons[3].

Au Moyen Âge, le coq symbolise le prédicateur qui doit réveiller ceux qui sont endormis[3].

Le coq est aussi le symbole du reniement de saint Pierre (il est un attribut récurrent du saint) qui, selon l'Évangile, aurait renié Jésus trois fois avant que le coq chante deux fois. Par la suite, chaque chant du coq rappelle au saint sa trahison[3]. Le coq, témoin de la trahison de Pierre, serait placé sur les clochers pour rappeler aux hommes leur faiblesse[4]. Comme le Christ, il annonce l'arrivée du jour après la nuit, c'est-à-dire, symboliquement, celle du bien après le mal. Le coq-girouette du clocher, toujours face au vent, symboliserait ainsi le Christ rédempteur qui protège le chrétien des péchés et dangers[5]. Toujours est-il que la tradition du coq de clocher est attestée au IXe siècle, puisque le plus ancien coq de clocher connu, qui se trouve à Brescia, en Italie, date de 820[6],[7], et qu'une bulle pontificale du Xe siècle aurait imposé le coq sur les clochers en souvenir de saint Pierre[8].

Le coq des clochers, girouettes
Le coq de Saint Pierre

Dans la culture islamique. Il est comparé au muezzin, le religieux chargé d'appeler aux cinq prières quotidiennes de l'islam : comme lui, il réveille les croyants et les invite à la prière. Le muezzin remplit son devoir depuis une tour de la mosquée appelée minaret.

Un animal sacrifié dans les rites païens[modifier | modifier le code]

Symbole solaire adoré par de nombreuses civilisations, le coq est aussi l'objet de rituels sanglants.

Rituels protecteurs[modifier | modifier le code]

Ganymède sur l'Olympe, entouré de Zeus qui lui a offert un coq, une déesse le couronnant et Hébé.

Les sacrifices d'animaux, en particulier de volailles, sont fort nombreux dans l'histoire de l'humanité. Ils ont pour but de s'attirer la faveur des dieux. Les Romains sacrifiaient des coqs aux dieux pour obtenir la protection de leur maison. Au XVIIe siècle, les marins de l'île de Ceylan, au sud de l'Inde, offraient des coqs au roi des vents pour s'assurer une navigation sans encombre. En Algérie, avaient lieu des sacrifices rituels de milliers coqs, le mercredi, dans le lieu-dit des Sept-Sources ou Sept-Fontaines, Seba-Aïoun, aux sept Djinns [9]

Cadeau pédérastique[modifier | modifier le code]

Le coq s'associe au thème de l'enlèvement de Ganymède par Zeus.

Symbole de vie dans les rites vaudou[modifier | modifier le code]

Au Bénin où l'on pratique un culte appelé Vodoun, le coq est un symbole de vie. Selon la tradition, pour faire revenir à la vie quelqu'un qui est mort violemment, il convient de faire tournoyer un coq vivant par les pattes au-dessus de la dépouille. L'animal est ensuite sacrifié, et son foie est mangé cru. Ces rites ont traversé l'Atlantique avec les esclaves africains et survivent, en Haïti notamment, sous le nom de Vaudou.

Messager des dieux[modifier | modifier le code]

En Guinée-Bissau, au sud du Sénégal, le peuple des Bijogos se sert de poulets pour savoir si les étrangers sont les bienvenus. Leur roi ne peut décider seul d'accueillir un visiteur : il doit demander à l'esprit protecteur du village sa bienveillance. Pour cela, il saisit un poulet et lui tranche le cou d'un geste sûr. Quand le poulet s'immobilise, le roi verse les dernières gouttes de son sang sur une statuette représentant l'esprit protecteur. Une prêtresse l'aide à interpréter la réaction de l'esprit.

Un animal fabuleux et de légende[modifier | modifier le code]

Chimères[modifier | modifier le code]

Le coq a donné naissance à des chimères, monstres à l'aspect composite.

Le basilic[modifier | modifier le code]

Basilic représenté par Hungary Német Fametszet (1510).

Le basilic est un animal fabuleux qui a l'apparence d'un coq à queue de dragon ou d'un serpent aux ailes de coq. Pour le voir naître, il faut qu'un coq âgé de sept ans ponde un œuf, le dépose dans du fumier et le fasse couver par un crapaud ou une grenouille. La bête qui en sort, mi-coq, mi-reptile est redoutable : son regard ou son souffle suffit à tuer quiconque l'approche.

Le cocatrix[modifier | modifier le code]

Un cocatrix est un animal fabuleux qui possèderait une tête de coq, des ailes de chauve-souris et un corps de serpent.

L'hippalectryon[modifier | modifier le code]

L'hippalectryon est un animal fabuleux de l'antiquité grecque, qui possède l'avant d'un cheval et l'arrière d'un coq.

Contes et légendes[modifier | modifier le code]

Le Roman de Renart[modifier | modifier le code]

L'un des personnages du Roman de Renart est un coq, nommé Chantecler, ou Chanteclerc.

Vidofnir[modifier | modifier le code]

Vidofnir est, dans la mythologie nordique, un coq perché au sommet de l'arbre Yggdrasil.

La légende de St Tropez, en France[modifier | modifier le code]

Blason de la ville de Saint-Tropez

Caïus Silvius Torpetius, né à Pise, grand officier de la cour de Néron, fut séduit par les idéaux pacifistes. Converti par Saint Paul en l'an 68, il engendra la colère de l'empereur par son refus d'abjurer sa foi chrétienne. Il fut torturé, martyrisé et décapité à Pise et son corps jeté dans une barque sur l'Arno en compagnie d'un coq et d'un chien censés se nourrir du cadavre. Le courant Ligure ramena la barque jusqu'au rivage de l'actuel Saint-Tropez, autrefois appelé Héraclès. Les moines de l’Abbaye de Saint-Victor de Marseille, propriétaires au XIe siècle de la presqu'île, et de toutes les terres adjacentes, trouvèrent la barque, cachèrent le corps du saint martyr et élevèrent une chapelle qu'ils baptisèrent « Ecclesia Sancti Torpetis ». Torpes devint finalement Tropez. On raconte que le coq s'arrêta dans un champ de lin à quelques kilomètres de là et il se dit parfois (mais c'est une étymologie fantaisiste) que le « coq au lin » donna son nom au village de Cogolin. Quant au chien, il se serait nommé Grimaud (« chien » en ancien français)[réf. nécessaire]. La tête de Torpetius est encore conservée et vénérée à Pise.

Le coq de Barcelos, au Portugal[modifier | modifier le code]

Représentation caractéristique du coq de Barcelos

Durant le XVIe siècle, un crime fut commis à Barcelos sans que le coupable soit démasqué. Les habitants étaient donc sur le qui-vive. Un jour apparut un homme de Galice sur lequel se portèrent tous les soupçons. Malgré les protestations de son innocence, il fut immédiatement arrêté par les autorités. Personne ne voulait croire que cet homme se rendait à Saint-Jacques-de-Compostelle pour remplir un vœu ; qu'il était un fervent dévot du saint que l'on vénérait à Compostelle, ainsi que de saint Paul et de Notre-Dame. C'est pourquoi il fut condamné à être pendu… Au moment où on le conduisait à l'échafaud, il demanda à être présenté devant le juge qui l'avait condamné. On l'emmena alors à la résidence du magistrat qui, à ce moment même, était en train de festoyer avec quelques amis. Devant eux, il réaffirma son innocence, montra un coq rôti sur la table et s'exclama : « il est aussi sûr que je suis innocent qu'il est sûr que ce coq chantera au moment où on me pendra ». Toute la salle éclata de rire, mais personne ne toucha au coq. Et ce qui semblait impossible arriva. Au moment où le pèlerin allait être pendu, le coq rôti se dressa sur la table et chanta. Personne ne doutait plus de l'innocence du condamné. Le juge courut à la potence et quelle ne fut pas sa stupéfaction quand il vit le pauvre homme la corde au cou, mais le nœud refusant absolument de se serrer. Immédiatement délivré, on le renvoya en paix. Quelques années plus tard, il revint à Barcelos et il fit ériger un monument en hommage à la Vierge et à saint Jacques.

Le coq de Munster, en Allemagne[modifier | modifier le code]

Le coq de Ceska Trebova, en République tchèque[modifier | modifier le code]

Armes de la ville de Ceska Trebova

Dans la ville de Česká Třebová en Bohême-Moravie (actuelle République tchèque), dans un temps reculé, un magistrat eu le malheur d'égarer le sceau de la ville. En colère, les habitants s'accordèrent pour le pendre. La potence fut dressée et le prêtre accompagna le condamné au supplice. Jusqu'à ce qu'un coq se mit à chanter et à gratter le fumier sur lequel il se tenait, mettant à jour le sceau égaré. Depuis cet événement, le coq figure dans les armes de la ville.

Contes de Grimm[modifier | modifier le code]

Un coq intervient notamment dans les contes de Grimm suivants[10] :

  • La Racaille en guenilles (Das Lumpengesindel, KHM 10)
  • Les Musiciens de la ville de Brême (Die Bremer Stadtmusikanten, KHM 27)
  • Monsieur Korbès (Herr Korbes, KHM 41)
  • Les Trois Enfants chanceux (Die drei Glückskinder, KHM 70)
  • La Mort de la petite poule (Von dem Tode des Hühnchens, KHM 80)
  • Hans-mon-Hérisson (Hans mein Igel, KHM 108)
  • La Poutre du coq (Der Hahnenbalken, KHM 149)
  • La Maison dans la forêt (Das Waldhaus, KHM 169)
  • Les Miettes de pain sur la table (Die Brosamen auf dem Tisch, KHM 190).

Moitié de coq[modifier | modifier le code]

Moitié de coq, ou Moitié de poulet sont des intitulés habituels d'un conte-type (AT 715) fréquent notamment dans l'Ouest de la France. Une version de ce conte, intitulée Bout d'Canard, a été publiée en 1888 par Charles Marelle, puis, traduite en anglais, sous le titre Drakestail par Andrew Lang en 1890 dans The Red Fairy Book.

Le Coq d'or[modifier | modifier le code]

Le Coq d'or (en russe Сказка о золотом петушке, Skazka o zolotom petouchke) est un conte en vers d'Alexandre Pouchkine[11] qui a inspiré un opéra (Золотой Петушок, Zolotoï Petouchok) de Nikolai Rimski-Korsakov. Dans le conte, le coq surveille les frontières du royaume et annonce la guerre.

Un symbole héraldique[modifier | modifier le code]

Le coq est un meuble d'armoiries que l'on rencontre fréquemment[12].

Représentations[modifier | modifier le code]

On dit du Coq, armé de ses griffes, barbé de sa barbe, becqué de son bec, crêté de sa crête, membré de ses jambes, lorsqu'ils sont d'un autre émail que son corps.

On nomme aussi Coq chantant, celui qui a le bec ouvert et semble chanter ; hardi, celui qui a la patte dextre levée.

Le coq est représenté de profil, la tête levée, la queue retroussée, dont les plumes retombent en portions spirales et circulaires.

Un dragon à tête de coq est appelé basilic. Les ailes du basilic sont préférentiellement formées de plumes, et non membraneuses comme celles du dragon.

Significations[modifier | modifier le code]

Un coq :

  • crêté d'or symboliserait[évasif] la garde et la vigilance.
  • sur une branche d'amandier ou de mûrier, symboliserait[évasif] la diligence.
  • d'or sur champ d'azur symboliserait[évasif] l'empressement à jouir de la faveur du prince.
  • échiqueté, sur une terrasse de pourpre, symboliserait[évasif] la générosité après la bataille.

Robinet[modifier | modifier le code]

Le robinet se dit en allemand « Hahn », cock/(Wasser)-hahn, c'est-à-dire « coq » (également appelé robinet ou chanticleer). Les britanniques aussi quelquefois usent leur mot « cock » (« coq » en anglais) en combinaisons pour décrire quelques types de robinet ; sillcock, stopcock.

Blasons de villes[modifier | modifier le code]

Dans le sport[modifier | modifier le code]

Le club de football anglais Tottenham Hotspur a un coq comme son emblème. Il y a aussi une statue d'un coq à l'entrée de leur stade en Londres.

Dans les dessins animés[modifier | modifier le code]

En peinture[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Nanditha Krishna, Sacred animals of India, Penguin Books, (ISBN 978-81-8475-182-6 et 81-8475-182-6, OCLC 953576656, lire en ligne)
  2. Louis Charbonneau-Lassay, Le bestiaire du Christ : la mystérieuse emblématique de Jésus-Christ, Archè, , p. 632
  3. a b c et d Sandrine Restelli-Imbert, Marie-Christine Braillard, Hélène Cavalié, Des oiseaux… de la fin du Moyen Âge au XXIe siècle, Digne-les-Bains, Musée départemental d’art religieux, 2011, catalogue de l’exposition Des oiseaux, cathédrale Saint-Jérôme de Digne-les-Bains et prieuré de Salagon, Mane, juillet 2011-avril 2012. (ISBN 978-2-86004-005-1). p. 29
  4. « Ils se saisirent de Jésus pour l’emmener et ils le firent entrer dans la maison du grand prêtre. Pierre suivait de loin. Ils avaient allumé un feu au milieu de la cour et ils s’étaient tous assis là. Pierre était parmi eux. Une servante le vit assis près du feu ; elle le dévisagea et dit : « Celui-là aussi était avec lui. » Mais il nia : « Femme, je ne le connais pas. » Peu après, un autre dit en le voyant : « Toi aussi, tu en fais partie. » Pierre répondit : « Non, je n’en suis pas. » Environ une heure plus tard, un autre insistait : « C’est sûr : celui-là était avec lui, et d’ailleurs il est Galiléen. » Pierre répondit : « Je ne vois pas ce que tu veux dire. » Et à l’instant même, comme il parlait encore, un coq chanta. Le Seigneur, se retournant, posa son regard sur Pierre ; et Pierre se rappela la parole que le Seigneur lui avait dit : « Avant que le coq chante aujourd’hui, tu m’auras renié trois fois. » Il sortit et pleura amèrement. (Lc 22,54-62)
  5. Louis Arnould de Grémilly, Le coq, Flammarion, , p. 50
  6. Rossana Prestini, "Vicende faustiniane", in AA.VV., "La chiesa e il monastero benedettino di San Faustino Maggiore in Brescia", Gruppo Banca Lombarda, La Scuola, Brescia 1999, p. 243
  7. Fedele Savio, "Gli antichi vescovi d'Italia. La Lombardia", Bergamo 1929, p. 188
  8. Marcel Pierre, Clochers de Basse-Auvergne, Éditions Créer, , p. 22
  9. .Mentionné ici : [1] et description précise de cette cérémonie et Revue de l'histoire des religions, Volumes 49-50 Par Paul Alphandéry, Les fontaines des génies (Seba Aioun): croyances soudanaises à Alger Par James B. Andrews et Seba Aïoun ALGÉRIE CONTEMPORAINE ILLUSTRÉE
  10. Les Frères Grimm, Contes pour les enfants et la maison, trad. Natacha Rimasson-Fertin, José Corti, 2009 (ISBN 978-2-7143-1000-2) (index en fin du tome II).
  11. Texte en russe.
  12. Foulques-Delanos, L. Manuel héraldique ou clef de l'art du blason. Limoges, 1816.
  13. Coq de bruyère, ou tétras.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Centre de recherches sur les monuments historiques (France). Coqs de clochers : de la fin du XVIe au XIXe siècle. Paris : Ministère de l'éducation et de la culture, Direction du patrimoine, 1992, XXII p.- 72 f. de pl. (ISBN 2-11-086073-1)
  • Coussée, Bernard. Le coq : folklore et mythologie d'un oiseau. Lille : B. Coussée, 1992, 90 p. (ISBN 2-905131-11-X)
  • Girard, André. Le Coq, personnage de l'histoire. Bourges : A. Girard, 1976, 129 p.
  • Papin, Yves Denis. Le Coq : histoire, symbole, art, littérature. Paris : Hervas, 1993, 134 p. (ISBN 2-903118-69-8)
  • Périquet, Jean-Claude. Des poules : l'histoire, l'anatomie, l'élevage et la diversité / ill. de Yann Le Bris, Isabelle Arslanian et Michel Sinier. Nantes : Éd. du Gulf Stream ; Paris : France UPRA sélection, 2003, 67 p. (Sauvegarde). (ISBN 2-909421-24-4)
  • Regnier, Rita-H. Oiseaux : héros et devins. Paris : l'Harmattan, 2008, 275 p. (ISBN 978-2-296-04973-4)
  • Saint-Hilaire, Paul de. Le coq. Paris : P. Lebaud, 1995, 147 p. (Les Symboles). (ISBN 2-86645-203-8)
  • Saint-Hilaire, Paul de. Le coq. Escalquens : Oxus, 2007, 154 p. (ISBN 978-2-84898-073-7)

Liens externes[modifier | modifier le code]

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