Communauté de communes du Pays du Coquelicot

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Communauté de communes
du Pays du Coquelicot
Communauté de communes du Pays du Coquelicot
Localisation de l'EPCI dans le département de la Somme
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Forme Communauté de communes
Siège Albert
Communes 65
Président Michel Watelain (DVD)
Date de création 26 décembre 2001
Code SIREN 248000747
Démographie
Population 28 229 hab. (2019)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Superficie 464,0 km2
Localisation
Localisation de Communauté de communesdu Pays du Coquelicot
Localisation de l'EPCI dans le département de la Somme
Liens
Site web http://www.paysducoquelicot.com/
Fiche Banatic Données en ligne
Fiche INSEE Dossier complet en ligne

La communauté de communes du Pays du Coquelicot est une communauté de communes française, située dans l'est du département de la Somme.

Historique[modifier | modifier le code]

La communauté de communes créée par un arrêté préfectoral du [1] s'appelait Communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme avant l'intervention de l'arrêté préfectoral du 29 octobre 2004[2]. Le nouveau nom rappelle que le territoire de la Communauté se trouve au cœur du territoire de la Bataille de la Somme de 1916.

Le , Carnoy et Mametz (Somme) fusionnent pour former la commune nouvelle de Carnoy-Mametz[3], réduisant ainsi à 65 le nombre de communes regroupées dans l'intercommunalité.

Territoire communautaire[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Au , le territoire couvre 464 km2[4]

Composition[modifier | modifier le code]

La communauté de communes est composée des 65 communes suivantes :

Liste des communes de l'intercommunalité
Nom Code
Insee
Gentilé Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Albert
(siège)
80016 Albertins 13,8 9 781 (2021) 709
Acheux-en-Amiénois 80003 Achéens 7,07 578 (2021) 82
Arquèves 80028 Arquevois 7,64 153 (2021) 20
Auchonvillers 80038 Auchonvillois 5,72 130 (2021) 23
Authie 80043 9,93 261 (2021) 26
Authuille 80045 Authuillois 3,58 160 (2021) 45
Aveluy 80047 Abelloluciens 6,64 534 (2021) 80
Bayencourt 80057 Bayencourtois 1,84 74 (2021) 40
Bazentin 80059 Bazentinois 5,1 80 (2021) 16
Beaucourt-sur-l'Ancre 80065 3,51 88 (2021) 25
Beaumont-Hamel 80069 8,31 202 (2021) 24
Bécordel-Bécourt 80073 3,57 153 (2021) 43
Bertrancourt 80095 Bertrancourtois 6,09 213 (2021) 35
Bouzincourt 80129 Bouzincourtois 8,11 536 (2021) 66
Bray-sur-Somme 80136 16,81 1 219 (2021) 73
Buire-sur-l'Ancre 80151 5,28 300 (2021) 57
Bus-lès-Artois 80153 Buséens 6,74 135 (2021) 20
Cappy 80172 Cappitois 11,91 551 (2021) 46
Carnoy-Mametz 80505 10,25 280 (2021) 27
Chuignolles 80195 4,86 148 (2021) 30
Coigneux 80201 2,88 53 (2021) 18
Colincamps 80203 4,38 87 (2021) 20
Contalmaison 80206 Contalmaisonais 5,67 120 (2021) 21
Courcelette 80216 Courcelettois 4,66 152 (2021) 33
Courcelles-au-Bois 80217 2,02 71 (2021) 35
Curlu 80231 Curvelogiens 5,89 166 (2021) 28
Dernancourt 80238 Dernancourtois 6,63 534 (2021) 81
Éclusier-Vaux 80264 6,34 86 (2021) 14
Englebelmer 80266 9,41 301 (2021) 32
Étinehem-Méricourt 80295 18,22 595 (2021) 33
Forceville 80329 7,57 169 (2021) 22
Fricourt 80366 Fricourtois 11,3 481 (2021) 43
Frise 80367 6,15 176 (2021) 29
Grandcourt 80384 8,38 177 (2021) 21
Harponville 80420 Harponvillois 2,75 174 (2021) 63
Hédauville 80425 Hédauvillois 4,04 110 (2021) 27
Hérissart 80431 Hérissartois 7,39 743 (2021) 101
Irles 80451 Irlois 5,38 130 (2021) 24
Laviéville 80468 2,15 167 (2021) 78
Léalvillers 80470 2,23 161 (2021) 72
Louvencourt 80493 Louvencourtois 7,74 302 (2021) 39
Mailly-Maillet 80498 Maillotins 11,14 647 (2021) 58
Maricourt 80513 7,52 179 (2021) 24
Marieux 80514 4,07 133 (2021) 33
Méaulte 80523 Méaultois 10,75 1 266 (2021) 118
Mesnil-Martinsart 80540 8,76 236 (2021) 27
Millencourt 80547 Millencourtois 5,79 205 (2021) 35
Miraumont 80549 Miraumontois 13,96 639 (2021) 46
Montauban-de-Picardie 80560 Montalbanais 7,67 215 (2021) 28
Morlancourt 80572 Morlancourtois 11,87 373 (2021) 31
La Neuville-lès-Bray 80593 4,03 256 (2021) 64
Ovillers-la-Boisselle 80615 9,61 431 (2021) 45
Pozières 80640 Poziérois 3,24 263 (2021) 81
Puchevillers 80645 Puchévillois 14,24 555 (2021) 39
Pys 80648 Pyssois 5,05 124 (2021) 25
Raincheval 80659 6,8 266 (2021) 39
Saint-Léger-lès-Authie 80705 4,29 76 (2021) 18
Senlis-le-Sec 80733 Senlisiens 8,28 317 (2021) 38
Suzanne 80743 8,66 192 (2021) 22
Thiepval 80753 4,4 123 (2021) 28
Thièvres 80756 3,67 61 (2021) 17
Toutencourt 80766 Toutencourtois 14,37 429 (2021) 30
Varennes 80776 7,24 220 (2021) 30
Vauchelles-lès-Authie 80777 4,7 136 (2021) 29
Ville-sur-Ancre 80807 Villains 5,95 268 (2021) 45

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique du territoire communautaire
tel qu'existant au
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
28 24628 47027 70926 84126 91127 50128 06128 499
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
(Source : INSEE RGP 2016[5])

Administration[modifier | modifier le code]

Siège[modifier | modifier le code]

La communauté a emménagé en 2008 dans son nouveau siège, constitué par les locaux construits en 1947 et 1971 pour la coopérative La Solidaire et ont été réhabilités à cette occasion. Ils sont situés 6 rue Émile Zola à Albert[1].

Élus[modifier | modifier le code]

L'intercommunalité est administrée par un conseil communautaire constitué, en 2020, de 92 délégués représentant chacune des communes membres, répartis en fonction sensiblement de leur population[6] :
- 24 délégués pour Albert ;
- 3 délégués pour Bray-sur-Somme et Méaulte ;
- 1 délégué ou son suppléant, pour les autres communes.

À la suite des élections municipales dont le second tour s'est déroulé le 28 juin 2020, le conseil communautaire a réélu le son président, Michel Watelain, maire de Laviéville , ainsi que ses 9 vice-présidents qui sont[7]:

  1. Anna-Maria Lemaire, maire d'Acheux-en-Amiénois, chargée de la culture, la jeunesse et latransition numérique
  2. Franck Beauvarlet, maire d'Etinehem Méricourt et vice-président du conseil départemental de la Somme, chargé du tourisme
  3. Virginie Caron-Decroix, conseillère municipale d'Albert, chargée de l'aménagement du territoire et proximité
  4. Claude Cliquet, maire d'Albert, chargé de l'habitat et l'urbanisme
  5. Jean-Luc Fourdinier, maire de Bazentin, chargé de l'administration générale, des ressources humaines, de la commande publique et de la mutualisation
  6. Geneviève Lebailly, maire de Senlis-le-Sec, chargée des bâtiments
  7. Christophe Buisset, maire d'Aveluy, chargé du développement économique
  8. Michel Destombes, maire de Morlancourt, chargé de l'environnement (petit et grand cycles de l’eau, prévention et gestion de déchets)
  9. Sylvie Brood, maire de Varennes-en-Croix, chargée de la voirie et des espaces verts

Le bureau communautaire pour la mandature 2020-2026 est constituée du président, des vice-présidents et de trois conseillers communautaires délégués[7] :

  1. Myriam Demailly, maire de Fricourt, chargée de l'économie de proximité et aux circuits courts
  2. Christophe Deloraine, maire d'Arquèves, chargée de la modernisation et l'optimisation des réseaux d’eau et d’assainissement
  3. Jean-Pierre Carnat, conseller délégué de Bray-sur-Somme, chargé de la mise en place et au suivi de la tarification incitative en matière de collecte des déchets

Liste des présidents[modifier | modifier le code]

Liste des présidents successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2002 juillet 2017[8] Stéphane Demilly UDF Conseiller en communication
Maire d'Albert (1989 → 2017)
Député de la Somme (5e circ.) (2002 → )
Démissionnaire à la suite de sa réélection comme député.
juillet 2017[9] En cours
(au 16 juillet 2020)
Michel Watelain[10] DVD Exploitant agricole
Maire de Laviéville (2001 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[7]

Compétences[modifier | modifier le code]

L'intercommunalité exerce les compétences que lui ont transférées les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Il s'agit de[réf. nécessaire] :

  • Aménagement de l'espace
    • Mise en place du SCoT et toute étude globale d'intérêt communautaire.
    • Mise en place de Zone d'aménagement concerté
    • Accompagnement des Communes dans l'élaboration de leurs documents d'urbanisme.
  • Développement économique
    • Animation économique et aménagement du territoire
    • Études, programmation, acquisitions foncières et création de la plate-forme aéro-industrielle de Haute Picardie et d'un espace économique à proximité de Méaulte.
    • Acquisition foncière, aménagement et gestion des zones d'intérêt communautaire de plus d'un hectare.
  • Protection de l'environnement
    • Études concernant l'assainissement : Schémas directeurs
    • Études permettant la recherche d'eau.
    • Études concernant la lutte contre les inondations
    • Collecte, traitement et valorisation des déchets des ménages
  • Logement et cadre de vie
    • Études et actions d'animations auprès des habitants, de type OPAH
    • Permanences d'information auprès des propriétaires et locataires, notamment avec l'ADIL (Association Départementale d'Information sur le Logement).
    • Programme local de l'habitat
  • Voirie
    • Création ou aménagement et entretien de la voirie du domaine public dite "intercommunale" définie à partir de critères notamment : Circuit scolaire - Zone d'activités d'intérêt communautaire - Voie touristique - Autre voie structurante[11]
    • Déneigement de la voirie
  • Jeunesse
    • Financement de la mission locale
    • Ateliers ados pendant les petites vacances.
    • Centre de loisirs sans hébergement ou centres d'animation jeunesse
  • Culture & Communication
  • Transports
    • Transport collectif à la demande
  • Tourisme de Loisirs
    • Écoles de pêche
    • Promotion touristique et accueil des visiteurs.
    • Entretien des circuits de randonnées labellisés par le Département
  • Rôle de Conseil auprès des communes

Les élus ont décidé d'anticiper dès 2018 le transfert obligatoire en 2020 de la compétence eau et assainissement[12]. De même, l'intercommunalité exerce dès 2018 les compétences gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI) et la lutte contre le ruissellement et l’érosion des sols[13].

Budget et fiscalité[modifier | modifier le code]

La Communauté de communes est un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre.

Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[1] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.

Elle perçoit également une bonification de la dotation globale de fonctionnement (DGF) et collecte une taxe d'enlèvement des ordures ménagères[1] (TEOM), qui finance le fonctionnement de ce service public. Le taux de cette taxe est de 13,40 % en 2016 et 2017[14].

Le budget 2017 s'élève à 13,5 millions d'euros en fonctionnement et 2,2 millions d'euros en investissement, auquel s'ajoutent les budgets annexes des zones d'activité (0,5 million d'euros) et du service public d'assainissement non-collectif ou SPANC (0,4 million d'euros)[14].

Organismes de regroupement[modifier | modifier le code]

L'intercommunalité est membre, en 2020, des organismes publics suivants[1] :

  • SM Canche et Authie
  • SM de l'aéroport d'Albert-Picardie
  • Pôle Métropolitain du Grand Amiénois
  • SM de production et d'adduction d'eau potable du bois-Saint-Pierre
  • Syndicat mixte Somme numérique ;
  • SIEP du Santerre
  • Syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA).

Réalisations et projets[modifier | modifier le code]

Conformément aux dispositions légales, une communauté de communes a pour objet d'associer des « communes au sein d'un espace de solidarité, en vue de l'élaboration d'un projet commun de développement et d'aménagement de l'espace[15] ».

Enjeux du territoire[modifier | modifier le code]

Le projet de plan d'aménagement et de développement durable (PADD) du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de 2016-17 fixe les orientations suivantes au développement de l'intercommunalité[16] :

  1. Conforter une activité économique basée sur la performance industrielle et l’économie présentielle ;
  2. Soutenir l’agriculture, pilier de l’économie ;
  3. Asseoir le tourisme comme l’un des moteurs de l’économie locale ;
  4. Gérer une consommation foncière respectueuse des milieux agricoles, naturels et forestiers ;
  5. S’appuyer sur une mobilité durable exemplaire ;
  6. Répondre au besoin en logements ;
  7. Faciliter la réalisation de bons parcours résidentiels par la diversification de l’offre de logements ;
  8. Garantir les bonnes conditions d’habitation au sein du parc existant ;
  9. Faire des logements du Pays du Coquelicot un vecteur d’attractivité ;
  10. Répondre aux besoins en matière d’hébergement et d’accès au logement ;
  11. Créer des équipements complémentaires et de proximité ;
  12. Valoriser les secteurs reconnus pour leur biodiversité remarquable ;
  13. Prévenir et gérer les risques pour le bien des personnes et des constructions ;
  14. Projeter des constructions durables et respectueuses de l’Environnement ;
  15. Valoriser le patrimoine paysager, bâti et naturel du territoire ;
  16. Piloter et animer le PLUi.

Développement économique[modifier | modifier le code]

  • la plate-forme aéro-industrielle réalisée dans le cadre d'un syndicat mixte avec le Département de la Somme. Ce projet de 40 millions d'euros est financé par l'Union Européenne (22,5 %), la Région Picardie (30 %), le Département (30 %), Airbus (11,25 %) et la Communauté de Communes (6,25 %). À ce titre, la communauté versera en 2008 468.000 €.
  • Le parc d'activité Henry-Potez à Albert
  • Le projet de ZAC du Coquelicot située à Méaulte et Bécordel-Bécourt, entre Airbus et l'Aéroport Albert-Picardie

Zone de développement de l'éolien (ZDET)[modifier | modifier le code]

Le Conseil communautaire du a approuvé un projet de ZDE portant sur 19 communes, principalement situées au nord du territoire communautaire, qui pourraient donc accueillir des éoliennes, si le Préfet approuve le dossier.

Habitat[modifier | modifier le code]

La communauté a mené une OPAH de 2005 à 2008 qui a permis d'améliorer 371 logements sur 54 des communes de la Communauté. 46 logements vacants ont été remis sur le marché[17]. Compte tenu de ces résultats, une nouvelle OPAH sera lancée en 2008 pour 3 ans.

Aménagement numérique du territoire[modifier | modifier le code]

Les habitants d’Albert, Bouzincourt, Hénencourt, Laviéville, Millencourt, Senlis-le-Sec et Bécordel-Bécourt sont les premiers à avoir été raccordés à la fibre optique du Pays du coquelicot en 2018.

Les habitants de Méaulte, Dernancourt, Buire-sur-l’Ancre, Ville-sur-Ancre, Fricourt, Mametz, Ovillers-la-Boisselle, Pozières, Contalmaison, Aveluy, Mesnil-Martinsart et Authuille devront patienter au moins jusqu’au mois de juillet. Courcelette devra attendre 2019 et les autres communes devront laisser passer encore quelques années[18],[19].

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L'intercommunalité a pris en charge le la compétence « eau et assainissement » pour les 65 communes membres et a décidé de confier l’exploitation du service d’assainissement collectif et d’eau potable à des concessionnaires, et d'harmoniser sur 10 ans le prix de l'eau, qui variait jusqu'alors d'un facteur cinq entre la commune la plus chère et la moins chère[20].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références
  1. a b c d et e « CC du Pays du Coquelicot (N° SIREN : 248000747) », Fiche signamétique BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  2. SOURCE Arrêté préfectoral approuvant une modification statutaire du 29 octobre 2004 (page 21 du document)
  3. « Arrêté préfectoral du 26 octobre 2018 portant création de la commune nouvelle de Carnoy-Mametz au 1er janvier 2019 », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2018-076,‎ , p. 11-15 (lire en ligne [PDF])
  4. Communauté de Communes du Pays du Coquelicot, « Portail de la Communauté de Communes du Pays du Coquelicot - Les Communes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur paysducoquelicot.com, (consulté le ).
  5. INSEE, Recensement général de la population 2016, Document mentionné en liens externes.
  6. « Arrêté préfectoral du 3 octobre 2019 fixant la représentativité du conseil communautaire de la communauté de communes du Pays du Coquelicot à compter du prochain renouvellement général des conseils municipaux en mars 2020 » [PDF], EPCI à fiscalité propre de la Somme, sur Préfecture de la Somme (consulté le ).
  7. a b et c Emmanuelle Bobineau, « Michel Watelain est réélu à la tête du Pays du coquelicot, mais ne fait pas l’unanimité : Le président sortant, maire de Laviéville, a été réélu avec 60 voix sur 90 votants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Stéphane Demilly n’est plus maire d’Albert », Courrier Picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. Aude Collina, « Le 1er vice- président du Pays du coquelicot passe au 1er plan : Michel Watelain a saisi la place fournie par Stéphane Demilly mercredi 12 juillet. Seule anicroche  : des délégués auraient préféré que le président et ses huit bras-droit diminuent leurs indemnités. », Courrier Picard,‎ (lire en ligne).
  10. Vincent Hery, « Michel Watelain, président du Pays du coquelicot: «J’aimoins tendance à respecter le politiquement correct» : Premier vice-président de l’intercommunalité, le maire de Laviéville en a pris les commandes début juillet. Il fait le point sur sa prise de fonction et ses ambitions », Courrier Picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. NOTA : La liste de la voirie dite "intercommunale" d'intérêt communautaire est annexée à l'arrêté préfectoral approuvant les statuts.
  12. Benjamin Mérieau, « Les élus du Pays du coquelicot lâchent l’eau avec regret : La prise de compétence eau par l’intercommunalité inquiète des maires », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « L’eau et l’assainissement changent d’échelle : promulguée le 7 août 2015, la loi portant Nouvelle Organisation Territoriale de la République (dite loi “ NOTRé ”) confie de nouvelles compétences aux régions et redéfinit clairement les compétences attribuées à chaque collectivité territorial », LE MAG’ du Pays du Coquelicot, no 32,‎ , p. 8-9 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  14. a et b « Le budget 2017 », LE MAG’ du Pays du Coquelicot, no 31,‎ , p. 2 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  15. Article L. 5214-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  16. Bureau d’études Environnement Conseil - Groupe Auddicé, « Réunions publiques de présentation du PADD » [PDF], Communauté de communes du Pays du coquelicot, (consulté le ).
  17. Chiffres arrêtés au 30 juin 2007, publiés dans le Magazine du Pays du Coquelicot No 12 de janvier 2008.
  18. Courrier picard, édition Picardie maritime, 3 juin 2018, page C.
  19. « cinq questions sur l'arrivee de la fibre autour d'albert », sur courrier-picard.fr (consulté le ).
  20. Vincent Hery, « Un nouveau pas franchi vers une uniformisation du prix de l’eau au Pays du coquelicot », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).