Communauté de communes de l'Orée de la Brie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Communauté de communes de l'Orée de la Brie
Blason de
Communauté de communes de l'Orée de la Brie
Siège de la communauté de communes
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Essonne
Forme Communauté de communes
Siège Brie-Comte-Robert
Communes 4
Président Jean Laviolette (PS)
Date de création
Code SIREN 247700644
Démographie
Population 28 327 hab. (2019)
Densité 571 hab./km2
Géographie
Superficie 49,60 km2
Localisation
Localisation de
Localisation en Seine-et-Marne
Liens
Site web loreedelabrie.fr
Fiche Banatic Données en ligne
Fiche INSEE Dossier complet en ligne

La communauté de communes de l'Orée de la Brie est une communauté de communes française partagée entre les départements de Seine-et-Marne et de l'Essonne en région Île-de-France.

Historique[modifier | modifier le code]

La Communauté de communes de l'Orée de la Brie a été créée par arrêté préfectoral le 5 décembre 2003 [1],[2]. Avant même la mise en place de la communauté de communes, les trois communes étaient déjà réunies avec l’existence de plusieurs syndicats intercommunaux[3].

La commune de Varennes-Jarcy, jusqu’alors membre de la communauté de communes du Plateau Briard, après une consultation de ses habitants[4] qui s'est tenue en avril 2015[5], intègre la communauté de communes de l'Orée de la Brie le 1er janvier 2016, de manière à ne pas être concernée par la Métropole du Grand Paris[6],[7].

Des réflexions sont également engagées à moyen terme pour le rapprochement de l'Orée de la Brie avec la communauté de communes des Gués de l'Yerres[8].

Territoire communautaire[modifier | modifier le code]

Géographie[modifier | modifier le code]

L'intercommunalité est localisée sur la bordure du plateau de la Brie et une partie sud de la communauté de communes s'inscrit dans un méandre de l'Yerres. Elle est distante de la ville de Paris d'environ une trentaine de kilomètres, de dix-huit kilomètres de Melun (préfecture du département de Seine-et-Marne) et de vingt-trois kilomètres de Évry (préfecture du département de l'Essonne).

Sa superficie est de 4 956 hectares. Elle est traversée par trois cours d’eau qui sont l’Yerres, le Réveillon et la Barbançonne.

Bien que ne disposant pas de desserte ferroviaire directe, le territoire bénéficie de la proximité des gares de Combs-la-Ville (RER D), d'Ozoir-la-Ferrière (RER E) et Boissy-Saint-Léger (RER A), et d’un réseau de bus assez structuré.

Composition[modifier | modifier le code]

La communauté de communes est composée des 4 communes suivantes :

Liste des communes de l'intercommunalité
Nom Code
Insee
Gentilé Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Brie-Comte-Robert
(siège)
77053 Bricomtois 19,93 19 213 (2021) 964
Chevry-Cossigny 77114 Chevriards 16,75 3 904 (2021) 233
Servon 77450 Servonnais 7,4 3 396 (2021) 459
Varennes-Jarcy 91631 Varennois 5,48 2 296 (2021) 419

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique du territoire communautaire
tel qu'existant au
1968 1975 1982 1990 1999 2010 2015
8 92112 12114 83817 06621 41025 30426 071
(Source : Insee[9])


Économie[modifier | modifier le code]

Rue de l'Industrie, Brie-Comte-Robert (2009)

Au 1er janvier 2015, l'Orée de la Brie comptait 2 311 établissements sur son territoire. Entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014, il y a eu la création de 305 entreprises dont 238 dans le secteur tertiaire, 51 dans le secteur de la construction et 16 dans le secteur de l'industrie[10].

En 2013, le Pôle emploi services comptait 9 097 emplois salariés sur le territoire de la communauté de communes, soit une hausse de 6 % en 5 ans (482 salariés en plus). La même année, il a été enregistré 2 077 dans le secteur de la construction, 1 085 salariés dans le secteur de l'industrie et enfin 5 935 salariés dans le secteur tertiaire[10].

Répartition de l'emploi en 2015[10]
Tertiaire Industrie Construction
Orée de la Brie 65 % 12 % 23 %
Moyenne nationale 71,5 % 18,3 % 6,1 %

Le taux de chômage était de 8,5 % en 2012[11].

La communauté de communes comprend plusieurs zones industrielles, elles sont situées principalement sur la commune de Brie-Comte-Robert, puis Servon et enfin Chevry-Cossigny, commune qui possède une seule industrielle[pas clair].

C'est à la fin des années 1950, que les champs situés au nord de la commune de Brie-Comte-Robert vont laisser place à la première zone industrielle, en 1958, la Pierre Blanche, qui s'étend sur 8 hectares[12]. Puis dans les années 1980, la même commune réalise la zone de la Haie Passart, celle-ci regroupe une zone industrielle et une zone commerciale avec le principal centre commercial de la ville, Hyper U et les commerces secondaires (alimentaires…)[12]. La zone de la Haie Passart a permis dans les années 1980 de créer environ 800 emplois ; cette industrialisation, dont la taxe professionnelle qui chaque année voit son chiffre augmenter, a permis à la commune et la communauté de communes de se développer, de créer de nouveaux services et ainsi d'avoir de nouveaux équipements. La ville de Brie-Comte-Robert eut du succès avec cette nouvelle zone industrielle : en 1988, elle voit l'arrivée du TGV, qui donna l'idée de créer une nouvelle zone, Le Tubœuf[12].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'Église Saint-Étienne de Brie-Comte-Robert
    :L'église Saint-Étienne est située sur la commune de Brie-Comte-Robert, elle fut construite au XIIIe siècle[13] sous la demande de Robert II de Dreux, elle est dédiée à saint Étienne, le premier martyr de la chrétienté. De style gothique et romantique, elle comporte une rosace du XIIIe siècle au-dessus du chœur, de superbes sculptures et boiseries du XVe siècle ; à l'extérieur ses arcs-boutants sont ornés de gargouilles, et une tour complète sa façade. Sa flèche, qui domine la ville, peut être aperçue à des kilomètres sur le plateau de la Brie. L'église Saint-Étienne a été classée au titre des monuments historiques le [14]. En 1886, le clergé prit la décision de vendre le grand buffet d'orgue des XVIIe et XVIIIe siècles.
Au début du XXe siècle, quelques parties de l'édifice étaient en mauvais état. On répara, entre autres, la toiture en 1905. Après la Première Guerre mondiale, un comité franco-américain se constitua pour participer à la restauration de l'église Saint-Étienne. Le , le premier office à la mémoire des combattants américains morts pour la France a été célébré. Cette cérémonie eut lieu en présence du maréchal Joffre, qui scella une plaque commémorative sur un des piliers de l'église, près de l'autel[13].
  • Église Sainte-Colombe de Servon
    L'église date du XIIIe siècle, selon une plaque commémorative qui indique son inauguration le 25 août 1394[15]. Elle a pour patrons Sainte Colombe et Saint Louis. Elle est classée monument historique depuis 1939[16].
  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Chevry-Cossigny
L’Église de Chevry-Cossigny ne conserve que quelques vestiges du XIIe et du XIIIe siècle, entre autres une arcade conduisant au clocher. L'Église Notre-Dame-de-l'Assomption est partiellement reconstruite au XIXe siècle[17]. La cloche de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption date de 1534. De plus, depuis 1942, elle est classée Monument Historique[18].
  • Église Saint Sulpice de Varennes Jarcy
  • Abbaye Notre-Dame de Jarcy
    L'Abbaye de Notre-Dame de Jarcy a été fondée en 1269, sous la demande de la comtesse de Toulouse et de Poitiers, belle-sœur de Saint-Louis.
Jeanne d'Évreux, qui tenait la châtellenie de Brie-Comte-Robert par héritage, devint l'épouse du dernier roi capétien direct, Charles IV le Bel. À la mort de celui-ci (1328), elle bénéficia de confortables revenus (douaire royal assis sur de nombreux fiefs en Brie et en Champagne), qui lui permirent de consacrer des sommes importantes à l'entretien et à l'amélioration de ses possessions propres, dont Brie-Comte-Robert. Elle fit faire d'importants travaux au château, comme l'attestent ses comptes conservés aux Archives nationales.
Le château devint une résidence de prestige où tous les grands seigneurs du royaume, notamment les ducs de Bourgogne, n'hésitèrent pas à séjourner. On y vit aussi, en 1349, le mariage de Philippe VI de Valois et de Blanche d'Évreux-Navarre, nièce de la reine Jeanne. La dame de Brie fit, en particulier, aménager luxueusement la demeure seigneuriale située contre les courtines sud-ouest, sud-est et surtout nord-est. Elle fit construire une chapelle dédiée à saint Denis, accolée à la tour Saint-Jean, et dessiner de vastes jardins d'agrément. Jeanne d’Évreux mourut au château en 1371, à l'âge de 69 ans.
À la fin du XIVe siècle, le château revint au domaine royal, puis à la famille d'Orléans. La commune achète le château en 1803 et le revend dix ans plus tard, en 1813. La municipalité finira par le racheter en 1923. Les ruines ont été classées au titre des monuments historiques en 1925[20].
  • Château de Villemenon à Servon
    Le château de Villemenon est situé à la sortie de Servon, en direction de la commune de Lésigny. L'actuel bâtiment a été reconstruit en 1852.
  • Château de la Marsaudière de Chevry-Cossigny
  • Hôtel-Dieu de Brie-Comte-Robert
    Comme tous les hôtels-Dieu, c'était un lieu de repos pour les marchands et voyageurs traversant la ville[b 1], et non pour soigner les malades[b 2] ; il a probablement été construit au XIIIe siècle par Robert II de Dreux[b 1], peut-être en 1208[22]. L'hôtel-Dieu était tenu par un groupe de charitables, sous la direction d’un prêtre[23]. Au XVIe siècle, l'hôtel-Dieu est transformé en chapelle, dédiée à saint Éloi[24],[25]. Il y a deux pierres tombales dans cet édifice, la première est celle d'Antoinette du Tertre, qui fut sœur à l'hôtel-Dieu de Brie de 1515 à 1557, et la seconde est celle d'Agnès de Lozanne, qui fut aussi une sœur de 1557 à 1566[b 3].
La façade du rez-de-chaussée du bâtiment était composée d'une grande porte ainsi que de six arcs brisés reposant sur des colonnes à chapiteaux ; de plus, le tympan central est entouré de figures humaines[23]. Le premier étage était composé de trois ou quatre fenêtres géminées (selon les documents d'époques). Le bâtiment perdit ses voûtes en 1831[b 1]. En 1840, le bâtiment devint une école de filles, mais dix ans plus tard, en 1850, l'édifice a été transformé en une chapelle dédiée à sainte Justine[b 4]. L'hôtel-Dieu fondé par Robert II de Dreux fut de nouveau utilisé comme hôpital pendant la Première Guerre mondiale. Le bâtiment est utilisé comme salle d'exposition depuis 1995, après rénovation : un deuxième étage a été reconstruit en respectant la façade de style gothique[26].
Il s'agrémente aussi petit jardin de type médiéval, où ont été plantées des herbes aromatiques et médicinales.
L'hôtel-Dieu de Brie-Comte-Robert a été classé au titre des monuments historiques en 1840[27]. Un deuxième hôtel-Dieu ouvrit[Quand ?], situé dans l'actuel hôpital local de Brie-Comte-Robert. De nos jours, il est utilisé par l'association de lutte contre le cancer de Seine-et-Marne.
La commune fut longtemps desservie par la ligne de Vincennes, qui reliait la gare de la Bastille à la gare de Verneuil-l'Étang. La gare de Brie-Comte-Robert était entourée des gares de Grisy-Suisnes et celle de Santeny - Servon. La ligne de Vincennes a été reprise jusqu'à Boissy-Saint-Léger par le RER A, et la plate-forme qui supportait la ligne de Limeil-Brévannes à Brie-Comte-Robert a été partiellement reprise par la LGV Sud-Est.
Jusqu'en 2009, la gare ferroviaire de Brie fut désaffectée. Elle a fait l'objet d'un programme expérimental de restauration lié au développement durable et aux économies d'énergies[28]. Les travaux ont été achevés en 2010[29]. Depuis le début de l'année 2013 , l'ancienne gare accueille le siège de la communauté de communes de l'Orée de la Brie.

Organisation[modifier | modifier le code]

Ancienne gare de Brie-Comte-Robert, siège de la CCOB

Siège[modifier | modifier le code]

Le siège de l'intercommunalité est situé depuis le 1er janvier 2013 dans l'ancienne gare de Brie-Comte-Robert au 1, place de la Gare[2] (anciennement 35, rue de l'Industrie), avant cette date, le siège était situé au 59, rue Pasteur, toujours à Brie-Comte-Robert.

Élus[modifier | modifier le code]

La communauté de communes est administrée par son conseil communautaire, composé de 30 conseillers communautaires, qui sont des conseillers municipaux représentant chaque commune membre et répartis comme suit en 2020[30] :
- Brie-Comte-Robert : 15 délégués ;
- Chevry-Cossigny : 6 délégués ;
- Servon : 5 délégués ;
- Varennes-Jarcy : 4 délégués.

Le conseil communautaire a élu son nouvel exécutif pour la mandature 2020-2026, avec, comme président, Jean Laviolette, maire de Brie-Comte-Robert, et huit vice-présidents, à raison de deux par commune membre :

  1. Jonathan Wofsy, maire de Chevry-Cossigny
  2. Marcel Villaça, maire de Servon
  3. Bruno Bezot, maire de Varennes-Jarcy
  4. Eliane Ferrer, conseillère municipale de Brie-Comte-Robert
  5. Oriana Labruyère, conseillère municipale de Chevry-Cossigny
  6. Jean-Rémi Bertrand, premier adjoint au maire de Servon
  7. Charles Darmon, conseiller municipal de Varennes-Jarcy
  8. Dulce Brochard, conseillère municipale de Brie-Comte-Robert

Liste des présidents[modifier | modifier le code]

Liste des présidents successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2003 2014 André Aubert PS Conseiller principal d'éducation en lycée agricole
Conseiller général de Brie-Comte-Robert (1988 → 1994 et 2001 → 2015 )
Maire de Brie-Comte-Robert (1979 → 2013)
2014 En cours
(au 8 juillet 2015)
Jean Laviolette PS Conseiller départemental de Combs-la-Ville (2015 → )
Maire de Brie-Comte-Robert (2013 → )

Compétences[modifier | modifier le code]

La communauté de communes de l'Orée de la Brie exerce les compétenvces qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Il s'agit de [31] :

  • Aménagement de l'espace
  • Développement économique
  • Logement
  • Cadre de vie
  • Environnement
  • Organisation des transports en commun desservant l'agglomération et les différents équipements existants
  • Réalisation de toutes études ou services à caractère culturel, sportif ou social d'intérêt communautaire.

Régime fiscal et budget[modifier | modifier le code]

La Communauté de communes est un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre.

Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[2] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.

Elle bénéficie également d'une bonification de la dotation globale de fonctionnement[2] (DGF).

Projets et réalisations[modifier | modifier le code]

Le centre aquatique l'Oréade

Le centre aquatique de l'Orée de la Brie, situé en face de l'ancienne gare de Brie-Comte-Robert, a été inauguré le 26 juin 2014[32] et a ouvert au public le 28 juin 2014 à 10 heures[33]. L'ancienne piscine municipale a fermé ses portes le portes le 27 juin 2014[34].

L'Oréade est un complexe aquatique de 4 200 m2. Il comporte un espace aquatique, un espace fitness et un espace détente. Le centre aquatique comporte un grand bassin intérieur de 312,5 m2 et d'une longueur de 25 mètres, un deuxième bassin en extérieur de 150 m2 et d'une longueur de 12 mètres avec sa terrasse de 400 m2, un bassin spécialement destiné à la fitness, un bassin ludique, une pataugeoire, une aire de jeux extérieure ainsi qu'un solarium. Mais il comporte également deux saunas, un hammam, une salle de cours collectifs ainsi qu'une salle de cardio-traning[35],[32] et a ouvert au public le 28 juin 2014 à 10 heures[35].

Le coût du complexe aquatique représente un montant de 9,5 millions d’euros. Celui-ci emploi actuellement 18 personnes[35].

Transports et déplacements

En 2008, un projet est créé pour la création de liaisons douces sur le territoire de l'Orée de la Brie. Le projet consiste à relier les trois communes en créant des pistes cyclables et de chemins verts afin de favoriser les déplacements alternatifs à la voiture. Il a donc été créé une liaison entre Brie-Comte-Robert et Chevry-Cossigny, une jonction entre Servon et Chevry-Cossigny, une desserte de la zone d'activité du Tubœuf et enfin la desserte du lycée Blaise Pascal et de ses gymnases[36].

La liaison entre Brie-Comte-Robert et Chevry-Cossigny a été inauguré en septembre 2008, les autres ont été opérationnelles au cours de l'année 2011. Le coût du projet représente un montant total de 1,3 million d'euros, la région a financé 542 000 euros et le département 122 000 euros, le reste étant à la charge de la communauté de communes[36].

La communauté de communes expérimente à l'automne 2018 Chronopro, un service de transport à la demande afin de desservir les zones d'activités de Brie-Comte-Robert et faciliter le déplacement des salariés, afin de pallier l'inadaptation de l'offre par les lignes de transport en commun[37].

Équipements sportifs
  • Complexe sportif Blaise Pascal
    Le complexe sportif Blaise Pascal est situé sur la commune de Brie-Comte-Robert, à proximité du parc François Mitterrand et du Lycée Blaise Pascal. Inauguré le , il s'agit du première grande opération de la communauté de communes. Il comprend la salle multi-sports Patrice Conti, une salle de tennis de table, deux salles de tir, des vestiaires et une infirmerie. Le complexe est ouvert aux lycéens ainsi qu'aux associations des trois communes[38].
    Le complexe sportif a représenté un investissement de 1 572 742 euros, dont une subvention de la région Île-de-France d'un montant de 593 060 euros[39].
  • Équipement multisports
    L'équipement multisports est situé sur la commune de Chevry-Cossigny, à proximité du Réveillon et de l'école maternelle Porhen Hoisey. Elle a été inaugurée le 12 septembre 2008. Le complexe comprend une salle de réunion, des vestiaires, un local pour les joueurs de pétanque, une salle d'arts martiaux ainsi qu'une salle de musculation[40],[41].
    Le complexe sportif a représenté un investissement de 1 299 341 euros, dont une subvention de la région Île-de-France d'un montant de 542 500 euros[39].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Communauté de communes Orée de la Brie - 77 : Statuts en date du 24/12/2009, mise à jour: mars 2013 », sur iau-idf.fr, (consulté en ).
  2. a b c et d « CC l'Orée de la Brie (N° SIREN : 247700644) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  3. « Découvrir la Communauté de Communes de l'Orée de la Brie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur chevry-cossigny.com, (consulté le ).
  4. « Votez pour votre intercommunalité » [PDF], sur varennesjarcy.fr, (consulté le ).
  5. « Ils disent non à l’Essonne », Le Républicain de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  6. « Brie-Comte-Robert : Varennes-Jarcy (91) rejoint l’Orée de la Brie », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
  7. Jérôme Lemonnier, « Les villes orphelines en quête de leur agglo », Essonne Info,‎ (lire en ligne).
  8. « La Varennes-Jarcy veut s’allier avec des communes de Seine-et-Marne », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
  9. Séries historiques sur la population et le logement en 2015 - CC de l'Orée de la Brie (247700644)., sur le site de l'Insee (consulté le 21 mai 2019)
  10. a b et c « L'Orée de la Brie - Fiche territoire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur seine-et-marne-invest.com, (consulté le ).
  11. « EPCI de La CC l'Orée de la Brie (247700644) », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. a b et c « Zones d'activités de Brie-Comte-Robert »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la communauté de communes de l'Orée de la Brie (consulté le ).
  13. a et b « Page d'accueil »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur un site de l'association des amis du vieux château (consulté le ).
  14. « Église Saint-Étienne », notice no PA00086836, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 26 février 2013.
  15. Notice no PM77001672, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  16. Notice no PA00087285, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  17. Observatoire du Patrimoine Religieux, « Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption », sur patrimoine-religieux.fr, (consulté le ).
  18. Topic-Topos, « Église Notre-Dame-de-l'Assomption », sur fr.topic-topos.com, (consulté le ).
  19. a et b « Historique du château »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), association « Les Amis du Vieux Châteaux » (consulté le ).
  20. « Château (ruines du vieux) », notice no PA00086835, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 26 février 2013.
  21. Notice no IA77000353, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  22. Brie-Comte-Robert et le val d'Yerres à la Belle Époque, p. 35.
  23. a et b « AVAP »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Commune de Brie-Comte-Robert (consulté le ).
  24. « Tourisme et patrimoine »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la communauté de communes de l'Orée de la Brie (consulté le ).
  25. « Patrimoine historique », sur le site de la mairie de Brie-Comte-Robert (consulté le ).
  26. « L'Hôtel-Dieu »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du syndicat d'initiatives de Brie-Comte-Robert (consulté le ).
  27. « Hôtel-Dieu (ancien) », notice no PA00086836, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 26 février 2013.
  28. [PDF] [Rapport final de la mission d’accompagnement et de suivi du chantier BATIRECO (page consultée le 27 février 2013)].
  29. Batir-éco transforme la gare in Le Briard, no 147.
  30. « Les élus », sur loreedelabrie.fr (consulté le ).
  31. Union des Maires de Seine-et-Marne, « Communauté de Communes L'Orée de la Brie », sur um77.fr, (consulté le ).
  32. a et b « Réalisations - Oréade », sur loreedelabrie.fr, (consulté le ).
  33. « Dans les coulisses de l'Oréade, le nouveau complexe aquatique », sur larepublique77.fr, (consulté le ).
  34. « Découvrez la nouvelle piscine », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  35. a b et c « Centre aquatique l’Oréade »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur servon.fr, (consulté le ).
  36. a et b « Création d’un réseau intercommunal de liaisons douces sur la communauté de communes de l’Orée de la Brie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur reseaurural.fr, (consulté le ).
  37. Pascale De Souza, « Brie-Comte-Robert : une navette à la demande desservira les zones d’activité : L’Orée de la Brie va expérimenter un service de transport à la demande pour répondre aux besoins des salariés des zones d’activité de Brie. Faute de bus suffisants, ceux-ci prennent leurs voitures. Et les entreprises prennent à recruter », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Complexe sportif Blaise Pascal »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur loreedelabrie.fr, (consulté le ).
  39. a et b « Présentation - Orée de la Brie / Bilan 2004-2009 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur http:///loreedelabrie.fr (consulté le ).
  40. « Équipements sportifs »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur loreedelabrie.fr, (consulté le ).
  41. « COMPLEXE MULTISPORTS »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur chevry-cossigny.com, (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif, les Amis du Vieux Château, L'hôtel-Dieu de Brie-Comte-Robert, Histoire et Évolution, . Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • René-Charles Plancke (préf. Jean Gautier), Brie-Comte-Robert et le val d'Yerres à la Belle Époque, Le Mée-sur-Seine, Amattéis, coll. « Promenades dans le passé » (no 11), , 350 p. (ISBN 2-86849-129-4). Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]