Combronde

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Combronde
Combronde
Vue générale de Combronde.
Blason de Combronde
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Combrailles Sioule et Morge
Maire
Mandat
Alain Espagnol
2020-2026
Code postal 63460
Code commune 63116
Démographie
Population
municipale
2 148 hab. (2021 en diminution de 1,01 % par rapport à 2015)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 58′ 55″ nord, 3° 05′ 20″ est
Altitude Min. 356 m
Max. 701 m
Superficie 18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Georges-de-Mons
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Combronde
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Combronde
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Combronde
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Combronde
Liens
Site web http://www.combronde.fr/

Combronde est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Combronde est située au nord du département du Puy-de-Dôme[1].

Sept communes sont limitrophes[2] :

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route départementale 2144, anciennement route nationale 144, sur l'axe MontluçonRiom, à 12 km de cette dernière.

La bifurcation entre les autoroutes A71 et A89, située au sud-est de la commune, est nommée la bifurcation de Combronde. Ces autoroutes sont accessibles depuis la sortie 12.1 de l'A71.

Elle est aussi desservie par d'autres routes départementales[2] :

  • la D 19, reliant l'échangeur 12.1 de l'autoroute et la D 2144 à Charbonnières-les-Vieilles et Saint-Georges-de-Mons ; elle comprend une antenne créée à la suite de la création de la déviation nord (qui prend le nom de D 19), la D 19d ;
  • la D 122, reliant la D 19 sur le contournement, à Montcel ; elle comprend deux antennes : la D 122a desservant le lieu-dit des Jouffrets et la D 122d reliant la D 2144 au contournement ;
  • la D 223, reliant les D 2144 et 19d à Aigueperse ; elle comprend une antenne : la D 223a, reliant Petit Combronde au carrefour giratoire de l'accès à l'autoroute ;
  • la D 412 vers Teilhède.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Combronde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,6 %), terres arables (21,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), prairies (18,8 %), zones urbanisées (6,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Combronde est citée sous la forme Combronita au VIIIe siècle. La forme Cumbidobrense, d'origine gauloise latinisée se retrouve souvent. Son origine vient peut-être du gaulois Comboronate désignant un confluent. Dès le milieu du Moyen Âge, la forme Combronde est déjà installée[15].

Le nom occitan est donc le même qu'en français : Combronde[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Grégoire de Tours parle à deux reprises du monasterium canbidobrense fondé vers 506, le siècle suivant le comte Genès en se retirant du monde se serait installé à Chavanon.

Dans le « Dictionnaire géographique portatif » des Libraires associés de Paris de 1784, vu par le censeur royal Riballier, il est dit peu de choses sinon que Combronde fut à l'origine oppidum candidobrinse et que pour l'heure c'est un marquisat. En effet, Combronde était une baronnie érigée en marquisat en mai 1637 en faveur de René du Puy-du-Fou (René II du Puy du Fou, 1595-1642, qu'on retrouvera ci-dessous).

Combronde appartenait aux comptours d'Apchon aux XIIe – XIIIe siècles[17], puis passa à une branche cadette des dauphins d'Auvergne par le mariage d'Almodie d'Apchon dame de Combronde, fille du comptour Etienne (1258-1322), avec Robert Ier Dauphin de Saint-Ilpize et de Jaligny-sur-Besbre (1290-1330), fils cadet du dauphin Robert III. On suivra à l'article Jaligny les méandres de la succession de Combronde parmi les familles delphinale, de L'Espinasse (Saint-Forgeux, Saint-Germain, Noailly), d'Amboise de Ravel (cf. Antoinette d'Amboise, dame de Chaumont, 1495-1552[18]), de La Rochefoucauld-Barbezieux[19], et du Puy du Fou. Notamment, Catherine (vers 1528-1577), fille d'Antoine de La Rochefoucauld-Barbezieux — fils cadet de François Ier de La Rochefoucauld — et d'Antoinette de Chaumont d'Amboise, épouse 1° 1545 Charles de Chabannes fils du maréchal de La Palice (d'où la succession de La Palisse et Jaligny), puis 2° 1559 René Ier du Puy-du-Fou : parents entre autres enfants de Gilbert le Jeune du Puy-du-Fou, † 1609, dont le frère, autre Gilbert du Puy-du-Fou dit l'Aîné (1558 - 1597), continue les dauphins de Combronde en mariant Philippe/Philippa de Champagne dame de Parcé, Avoise et Pescheseul, fille de Philippe Ier de Châteaubriant des Roches-Baritaut comte de Grassay.

Remarquons en passant qu'une part secondaire de la seigneurie de Combronde échut à une fille cadette de Catherine de La Rochefoucauld-Barbezieux et Charles de Chabannes : Marie de Chabannes (dont la sœur aînée Eléonore de Chabannes reçut La Palice et Jaligny), épouse de Jean II de Langeac, et mère de Françoise de Langeac qui convola avec son cousin Jacques de La Rochefoucauld-Barbezieux baron de Chaumont-sur-Loire et Saint-Ilpize, petit-fils d'Antoinette d'Amboise-Chaumont et d'Antoine de La Rochefoucauld-Barbezieux, et neveu de Catherine de La Rochefoucauld ; une de leurs filles, Isabelle-Gabrielle de La Rochefoucauld, dame en partie de Combronde, fut l'épouse de 1° Pierre-Jean du Quesnel de Coupigny (en Normandie ; à Heubécourt ?) de Saint-Just (postérité) et 2° Louis d'Urgel de Saint-Priest.

Pour revenir à la seigneurie principale de Combronde, le fils de Gilbert l'Aîné et Philippe de Châteaubriand est René II du Puy-du-Fou (1595-1642), évoqué plus haut, père du dauphin-marquis de Combronde Gabriel du Puy-du-Fou, lui-même époux en 1635 de Madeleine de Bellièvre, fille de Nicolas de Bellièvre et de Claude Brulart, fille du chancelier Nicolas Brulart de Sillery, d'où Madeleine du Puy-du-Fou (1637-1717) qui se marie en 1657 avec Gaston Jean-Baptiste de Lévis-Mirepoix (1636-1687) : postérité, dont leur petit-fils le maréchal Gaston-Pierre.

Mais cette postérité n'eut pas Combronde : sur Gabriel ou sa fille Madeleine du Puy-du-Fou, le marquisat de Combronde fut acquis par Jean de Brion, conseiller au Parlement de Paris en 1654, † 1684, époux en 1658 d'Anne-Marie de La Barde de Marolles de Motteux : d'où leur fille Antoinette de La Barde-Brion (1672-1747), femme (x 1692) sans postérité de Charles Amelot (1644-1726). Puis Combronde est légué par testament à Jean-Jacques Amelot de Chaillou(x) (né en 1689 et mort le 7 mai 1749), arrière-cousin de Charles Amelot et père d'Antoine-Jean Amelot de Chaillou (1732-1795), parlementaire, intendant de La Rochelle, ministre d'État aux Affaires étrangères en 1737-44, académicien français, baron de Châtillon-sur-Indre (cf. Louis Chasot de Nantigny, Tablettes historiques, généalogiques et chronologiques ; ouvrage vérifié par Louis Pierre d'Hozier, juge d'armes de France et généalogiste du roi, qui rédigea avec son fils Antoine Marie d'Hozier de Sérigny, l'Armorial de France entre 1738 et 1786).

Enfin Combronde est vendu en 1764 par Antoine-Jean Amelot à Gilbert François de Capponi (1730-1788), major général de la Martinique, qui fut le dernier marquis de Combronde.

Au renvoi de Turgot Nicolas Baudeau, chanoine théologien et économiste fut exilé quelques mois à Combronde.

A la révolution la veuve de Gilbert François de Capponi s'enfuit, ses biens sont confisqués et mis en vente aux enchères.

Il y a une « société des amis de la Constitution » après la fuite du roi cette société demande que le roi soit mis en jugement.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Combronde est membre de la communauté de communes Combrailles Sioule et Morge[20], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Manzat. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21]. Jusqu'en 2016, elle était le siège de la communauté de communes des Côtes de Combrailles[22].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[20]. Jusqu'en , elle était chef-lieu de canton[23].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Georges-de-Mons pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[20], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[23].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Combronde, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[24], pour un mandat de six ans renouvelable[25]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 19[26]. Les dix-neuf conseillers municipaux sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 51,33 %, se répartissant en : dix-sept sièges issus de la liste d'Alain Espagnol et deux sièges issus de la liste de Patrick Laparrat[27].

Les cinq sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Combrailles Sioule et Morge sont issus de la liste d'Alain Espagnol[27].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 mars 1983 Robert Mansat PS Instituteur
mars 1983 octobre 1986 Lucy Borot SE Pharmacien
octobre 1986 mars 2001 Yvan Delaspre UDF Chef d'entreprise
mars 2001 mars 2008 Raoul Lanore SE  
mars 2008 5 mars 2010 Thierry Onzon SE Sapeur-pompier professionnel
Bernard Lambert[28],[29] SE-DVG Cadre commercial
En cours
(au [30])
Alain Espagnol SE Gérant commerce de gros

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 2 148 habitants[Note 3], en diminution de 1,01 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5141 5681 8381 7581 9552 1232 2032 0602 162
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0671 9682 0352 0742 0802 0442 0452 0412 048
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9911 9011 7981 4481 4051 3661 3391 2261 182
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5481 9501 9491 9751 8431 8681 9101 9302 030
2015 2020 2021 - - - - - -
2 1702 1432 148------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Combronde dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école maternelle et une école élémentaire publiques[35].

Hors dérogations à la carte scolaire, les élèves poursuivent leur scolarité au collège Diderot, à Aigueperse[36], puis à Riom, au lycée Virlogeux ou Pierre-Joël-Bonté[37].

Économie[modifier | modifier le code]

Le parc d'activités départemental de l'Aize[38],[Note 4] a été implanté à Combronde, à proximité de l'échangeur autoroutier de l'A71 et de l'A89 qui représente pour lui un atout important. Ce pôle industriel, créé en 2007, qui accueille déjà le logisticien allemand Dachser et l'entreprise de transport (messagerie) française MTA, monte en puissance avec la construction de l'usine de production de bois massif reconstitué de BCA (Bois Collé d'Auvergne)[39][réf. incomplète] et l'annonce de l'arrivée en 2012 d'un fabricant d'isolants, le canadien IKO[40][réf. incomplète],[Note 5]. Le parc est géré par le Syndicat mixte du parc de l'Aize qui associe le conseil général du Puy-de-Dôme et la communauté de communes des Côtes de Combrailles.

Une mine de fluorine située à l'ouest de Combronde a été exploitée en 1958 et 1959, elle livra environ 1 000 tonnes de minerai.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La pierre branlante.
  • Église Saint-Genès-le-Comte, XIIe et XIXe siècles.
  • Prieuré grandmontain de Chavanon, XIIe siècle.
  • Le château des Capponi où est installée la mairie. Les Capponi étaient un rameau installé en France d'une grande famille florentine ; Lorenzo Capponi († 1573 à Lyon) s'installa comme banquier à Lyon. Son descendant Gilbert François de Capponi (1730-1788) acheta le marquisat de Combronde le 14 juin 1764 à la succession du ministre Jean-Jacques Amelot de Chaillou.
  • La fontaine Desaix, de style égyptien, réalisée par le sculpteur Michel Channeboux, inaugurée en 1849.
  • La pierre branlante, près du hameau des Ballages ; cette pierre bouge lorsqu'on lui applique une poussée.
  • Le château de Banson[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

D'azur semé de fleurs de lis d'or à la lettre gothique C du même brochant sur le tout.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Le parc tire son nom du ruisseau qui le borde, l'Aize, affluent de la Morge.
  5. L'usine de Combronde sera la deuxième usine de ce groupe en Europe, la première étant implantée aux Pays-Bas.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Combronde », sur Lion 1906.
  2. a et b Carte de Combronde sur Géoportail.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Combronde et Charmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Emmanuel Grélois, Bernard Clémençon, « Notes de toponymie auvergnate (III) », Nouvelle revue d'onomastique, Paris, Société française d'onomastique, vol. 55,‎ , p. 167-189 (e-ISSN 2647-8463, lire en ligne)
  16. Anthony Lodge, Les comptes des consuls de Montferrand (1273–1319), vol. 16, Ecole nationale des chartes, Paris, [lire en ligne]
  17. Louis Lainé, « Nobiliaire de la province d'Auvergne, dressé d'après les jugements de maintenue de noblesse rendus par M. de Fortia, intendant de cette province, durant la recherche de 1666 et années suivantes », dans Archives généalogiques et historiques de la Noblesse de France, vol. 7, Paris, Imprimerie de Moquet et compagnie, (lire en ligne).
  18. « Maison d'Amboise & Clermont d'Amboise, Bussy, Aubijoux, etc. » [PDF], sur Racines & Histoire (consulté le ), p. 11.
  19. « Maison de La Rochefoucauld » [PDF], sur Racines & Histoire (consulté le ), p. 6 et 16.
  20. a b et c « Commune de Combronde (63116) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. « CC Combrailles Sioule et Morge (No SIREN : 200072098) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  22. « CC des Côtes de Combrailles (No SIREN : 246300800) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  23. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  24. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
  25. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
  26. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  27. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  28. « Bernard Lambert élu maire de Combronde », sur La Montagne, .
  29. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  30. « Alain Espagnol, nouveau maire de Combronde (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Annuaire : Résultats de recherche », sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  36. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « COMBRONDE » dans le formulaire de saisie.
  37. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 5.
  38. Ludovic Gerardi, « Parc d'activités départemental de l'Aize », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ).
  39. La Montagne, 6 septembre 2011.
  40. La Montagne, 22 septembre 2011.
  41. J.-G. De Guérines, « Banson, un château détruit et oublié », Le Gonfanon, Association de recherches généalogiques et historiques sur l'Auvergne, no 67,‎ s.d..
  42. « Max Menut », sur ajpn.org, (consulté le ).
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