Cocotier

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Le Cocotier (Cocos nucifera) est une espèce de palmiers de la famille des Cocoeae, décrite par Carl Linné. Le cocotier n'est donc pas un arbre mais une plante monocotylédone. Il s'agit de la seule espèce du genre Cocos. Son fruit est la noix de coco. Ce palmier est présent dans toute la zone intertropicale humide. Surtout cultivé le long des côtes, il n'y reste pas confiné. En Inde, il est planté jusqu'à mille mètres d'altitude. La longévité de la plante dépasse un siècle. Sa durée de vie économique est estimée entre 50 ans et 80 ans, mais certains cocotiers bien plus âgés sont encore couverts de fruits.

Étymologie

Noix de coco décortiqué de Côte d'Ivoire montrant les marques à la base qui évoquent un visage.


Une des premières mentions de la noix de coco remonte au conte des Mille et Une Nuits de Sinbad le Marin ; on sait qu'il a acheté et vendu des noix de coco au cours de son cinquième voyage[1].

Tenga, son nom malayalam et tamoul, était employé dans la description détaillée de la noix de coco qui figure dans l' Itinerario du voyageur italien, Ludovico di Varthema, publié en 1510 ainsi que dans l' Hortus Indicus Malabaricus publié ultérieurement[2].

Antérieurement, elle était appelée nux indica, nom employé par Marco Polo en 1280 alors qu'il voyageait à Sumatra, emprunté aux Arabes qui l'appellaient جوز هندي, jawz hindī. Les deux noms ont été traduits en « noix indienne »[3]. Dans la première description connue du cocotier, due à Cosmos d'Alexandrie dans sa Topographie chrétienne écrite vers 545 avant J.-C., il y a une référence à l'arbre d'Argell et à sa drupe, la « grande noix d'Inde »[2],[4].

Des preuves historiques confortent l'origine européenne du terme « coco » dans « noix de coco », car il n'existe pas de nom similaire dans aucune des langues de l'Inde, où les Portugais ont découvert ce fruit ; et en effet les chroniqueurs portugais Barbosa, Barros et Garcia, en mentionnant les noms malayalam, tenga, et cannara, narle, disent expressément, « nous appelons ces fruits quoquos », « nos gens lui ont donné le nom de coco », et « ce que nous appelons coco, et les Malabars temga ».

Selon l' Oxford English Dictionary (OED), « les auteurs portugais et espagnols du xvie siècle s'accordent à identifier ce terme avec le mot portugais et espagnol coco, visage souriant, sourire, grimace, et aussi épouvantail, bête noire », apparenté avec le verbe cocar, sourire, faire une grimace ; le nom est censé se référer à l'apparence d'un visage que donne la base de la coque avec ses trois trous ».

Selon Losada, le nom vient des explorateurs portugais, des marins de Vasco de Gama en Inde, qui les premiers ont rapporté des noix de coco en Europe.

La noix de coco leur rappelait un fantôme ou une sorcière du folklore portugais appelé coco (également, Coca)[5],[6].

La première utilisation attestée du terme remonte à 1555[7],[8].

L'épithète spécifique nucifera est un terme de latin botanique signifiant « qui porte des noix ».

Description

Cocotiers sur la plage de Puerto Vallarta, Mexique.

Le cocotier est formé d'un stipe (ou faux-tronc) surmonté d'une large couronne de feuilles. À l'aisselle de chaque feuille se trouve généralement une inflorescence qui se développe en un régime chargé de noix de coco.

Le stipe s'élargit quelquefois à la base et forme un bulbe qui augmente sa résistance, notamment aux cyclones. D'aspect relativement lisse et de couleur claire, le stipe porte des marques régulières : chaque feuille produite par la plante laisse une cicatrice en forme de croissant. L'écart entre ces cicatrices permet de distinguer les deux types de cocotier : les Grands et les Nains. Chez les Grands, l'écart entre deux cicatrices foliaires est supérieur à 5 cm. Chez les Nains, il ne dépasse pas 2,5 cm.

Dans le sol, le stipe prend l'aspect d'un cône renversé, dénommé bulbe radiculaire. De toute la surface du bulbe partent plusieurs milliers de racines assez fines qui forment un matelas dense, réparti essentiellement dans le premier mètre du sol. Certaines racines atteignent cependant 4 à 5 mètres de profondeur.

La couronne foliaire compte une trentaine de feuilles, dépassant quelquefois six mètres de long. Un bourgeon unique fabrique l'ensemble des feuilles et des fleurs. Ce bourgeon fonctionne en continu : le cocotier pousse donc inexorablement, et cela jusqu’à sa mort. Bien que le bourgeon soit très protégé, son unicité donne à la plante une certaine fragilité. Lorsqu'un insecte réussit à pénétrer dans le cœur et dévore le bourgeon, le cocotier est condamné.

À l'aisselle de chaque feuille apparaît généralement une spathe pointue qui grandit et finit souvent par dépasser un mètre de longueur. Arrivée à terme, la spathe se fend et libère l'inflorescence. Cette dernière est formée d'un axe sur lequel s'insèrent des épillets. Les fleurs femelles, situées au bas des épillets, sont des globules de deux à trois centimètres de diamètre. Leur nombre est généralement de 20 à 30, mais peut atteindre plusieurs centaines. Les fleurs mâles, plus nombreuses, occupent la partie supérieure des épillets. Encore fermées, leur forme rappelle celle d'un grain de riz.

Pour toutes les variétés de cocotier, l'organisation des fruits est similaire. Un épiderme, d'abord coloré, puis gris-brun à maturité, entoure une enveloppe coriace et fibreuse appelée « bourre ». Les noix vendues sur les marchés ont déjà été débourrées pour réduire leur poids et leur volume.

Ensuite vient la coque, brun sombre et très résistante, qui adhère fortement à la bourre. De forme oblongue à sphérique, elle se renforce de trois côtes longitudinales plus ou moins marquées. Une fine pellicule d'un brun rougeâtre, le tégument séminal, forme un lien entre la coque et un albumen blanc, brillant, de 10 à 15 mm d'épaisseur.

L’albumen est communément désigné sous le terme d'amande. Inséré sous l'un des trois pores germinatifs, se trouve un embryon d'environ 5 mm de long.

Un liquide opalescent et sucré occupe jusqu'àux trois quarts de la cavité interne. On l'appelle communément « eau de coco », le terme « lait de coco » étant de préférence réservé à des préparations à base d'amande broyée.

Origine et distribution

Diversité des fruits du cocotier dans la collection internationale de Côte d'Ivoire
Plantation de cocotiers en Inde à l'intérieur des terres

L’histoire du cocotier au cours des millénaires reste encore mystérieuse. Nul ne sait précisément dans quelle région est apparu le premier cocotier. À partir de l’océan Pacifique ou de l’Extrême-Orient, le cocotier s'est disséminé dans l’océan Indien et jusqu’en Afrique. Sa présence en Amérique est due à une double introduction plus récente, à la fois par l’est et par l’ouest.

La dissémination du cocotier est due à la flottaison des fruits au gré des courants marins et, beaucoup plus tardivement, aux voyages et migrations humaines. Les fruits, disséminés par la mer ou apportés par des marins, furent probablement introduits de lieu en lieu en nombre très réduit. De nombreuses cocoteraies se sont constituées à partir de seulement un ou deux fruits apportés par la mer, et qui ont réussi à se fixer sur une île. Les marins Austronésiens (dont les Polynésiens) ont colonisé la plupart des îles tropicales du Pacifique. Diverses découvertes archéologiques permettent de dater certaines étapes de leur voyage. Vraisemblablement partis du Sud-Est asiatique, on les retrouve aux Fidji vers 2500 avant notre ère, et environ un millénaire plus tard aux Tonga et dans les Samoa. Puis, au IVe siècle ils s'installent aux îles Marquises, au siècle suivant à l’île de Pâques et 100 ans plus tard à Hawaï. Sur les canoës, des noix de coco étaient toujours emportées. Transportées par la mer ou par les marins, ces noix ont atteint la côte ouest du Panama, en Amérique centrale. La première mention du cocotier sur ce continent date de la période 1514-1525. Le cocotier était déjà connu en Inde au VIe siècle, en Chine au IXe siècle et sur la côte Est de l’Afrique au Xe siècle. À partir du XVIe siècle, les navigateurs portugais et espagnols l'ont introduit en Afrique de l'ouest et en Amérique. En 1569, des cocotiers en provenance des îles Salomon sont plantés à Colima, sur la côte est du Mexique. D'autres cocotiers, originaires cette fois des Philippines, sont introduits au Mexique entre 1571 et 1816. Dans la Caraïbe, les premières noix originaires du Cap-Vert sont plantées à Puerto Rico en 1625, par un père espagnol nommé Diego Lorenzo.

Une seule théorie botanique tente d’expliquer l’histoire de la diversification du cocotier en la multitude de formes et de couleurs que l’on observe parmi les variétés actuelles. Elle repose sur l'observation de la forme et de la composition des fruits. Selon cette théorie, l'ensemble des cocotiers dériverait de deux grands types :

  • le type ancestral « Niu Kafa » résulte d'une évolution liée à la dissémination naturelle par voie marine. Ses fruits, allongés et riches en bourre, flottent et dérivent facilement au gré des courants marins. Une germination tardive leur permet de supporter de longs séjours dans l'eau, avant de trouver un lieu où se fixer ;
  • le type « Niu Vaï » a été sélectionné par l'homme en Asie ou dans le Pacifique. Ses gros fruits ronds sont riches en eau et germent plus rapidement. Des marins voyageant d'îles en îles auraient sélectionné ces fruits, emportés comme boisson sur l'océan.

Des mélanges répétés entre cocotiers de type « Niu Kafa » (présents avant l'arrivée de l'homme) et cocotiers de type « Niu Vaï » (créés et importés par l'homme) auraient abouti à la diversité actuelle. Cette théorie est probablement en grande partie exacte. Mais elle ne suffit pas à résumer l'histoire du cocotier qui a sans doute connu nombre d’autres péripéties. Toute la diversité actuelle du cocotier ne se résume pas à ces deux types, Niu Kafa » et« Niu Vaï », et à des mélanges ponctuels entre ces deux types. Cependant, à l'heure actuelle, personne n'a été en mesure de proposer un autre modèle de diversification pour le cocotier.

Biologie de la reproduction

Les deux modes d'autofécondation possibles chez le cocotier, Côte d'Ivoire.

Le cocotier est monoïque et produit des inflorescences avec des fleurs femelles et des fleurs mâles. Il peut donc se féconder lui-même ; la plupart des cocotiers nains se reproduisent d’ailleurs de cette façon.

Chez les grands cocotiers, les mécanismes de la fécondation sont plus complexes. Pour les décrire, il faut commencer par deux définitions : la phase femelle d'une inflorescence correspond à la période pendant laquelle les fleurs femelles sont réceptives ; la phase mâle commence dès l'ouverture de l'inflorescence et s'achève à la chute de la dernière fleur mâle. Chez certaines variétés, toutes les fleurs mâles mûrissent et tombent avant que les fleurs femelles ne soient réceptives. Dans ce cas, la fécondation est croisée : elle fait nécessairement intervenir deux parents différents. Mais un autre phénomène complique encore ce mécanisme. Il existe aussi des possibilités de fécondation entre les deux inflorescences successives d'une même plante. La phase femelle d'une inflorescence donnée peut coïncider partiellement avec la phase mâle de l'inflorescence suivante. Le cocotier est donc une espèce où coexistent différents modes de reproduction.

Utilisations

Beurre de coco
Grelin en fibre de coco.
Coir (Sri Lanka).

Le cocotier compte parmi les plus anciennes plantes utiles, et on l'exploite de multiples façons :

  • la pulpe séchée, se composant à 60-70 % de lipides, est appelée coprah. Celui-ci sert à la fabrication d'huile utilisée dans la confection de margarine, de savon et de monoï ;
  • le « bois » de la tige (ce n'est pas du vrai bois comme pour tout Monocotylédone angiosperme) est utilisé pour la construction, il présente un grain très fin et présente un aspect marbré très décoratif ;
  • la sève est consommée fraîche ou sous forme de sirop[9] (respectivement kareve et kaimaimai aux Kiribati) par les habitants des Kiribati, du littoral ivoirien et des îles Marshall. Fermentée, elle peut se conserver et devenir une sorte d'alcool, appelé en anglais toddy. La sève concentrée et séchée est utilisée pour produire un sucre appelé jaggery en Inde ;
  • la fibre de coco, ou bourre de coco, fibres entourant la coque de la noix de coco, est utilisé pour faire des brosses, des paillassons, des matelas et des cordes ;
  • les noix de coco immatures contiennent un liquide sucré, l'eau de coco, qui est une boisson rafraîchissante ;
  • la pulpe de la noix de coco est comestible. Elle peut également être râpée puis pressée pour en extraire le lait de coco ;
  • le bourgeon terminal ou « chou » du cocotier est comestible ;
  • le fruit est parfois coupé transversalement et entièrement laqué pour servir de cendrier, bac à glaçon ou petit accessoire de rangement décoratif ;
  • la noix de coco débourrée, coupée en deux demi-sphères et laquée, sert de soutien-gorge aux danseuses polynésiennes ;
  • la palme de cocotier est tressée et plongée dans l'eau de mer salée pour la conserver, puis séchée au soleil. Elle servait comme matériaux de construction en Océanie, pour les murs et les toits d'habitations. Divers objets peuvent être également tressés : chapeaux, sacs, ou servir de décoration de fête ;
  • la tige centrale de la feuille est séparée et séchée, appelée niau par les polynésiens, elle sert notamment à la confection de balais ou de décorations comme les costumes de danse traditionnelle.

Les variétés traditionnelles de cocotier

Pendant des millénaires, les hommes ont tenté de créer et de conserver les variétés de cocotier qui répondaient au mieux à leurs besoins. Ce travail empirique demande un suivi sur plusieurs années : les cocotiers Grands fleurissent souvent après cinq ans, période suffisante pour risquer d’oublier d’où provient la semence. Le cocotier sélectionné pour la reproduction se croise sans contrôle avec n’importe lequel de ses voisins ; bien souvent, à moins d’avoir de la chance, les caractéristiques recherchées ne se retrouvent pas dans la descendance. Malgré ces difficultés, grâce à ce travail réalisé au fil des siècles, plusieurs centaines de variétés ont été créées en Asie et dans le Pacifique.

À la fin du XIXe siècle, les grandes plantations étaient réalisées en important des noix de coco d'un endroit réputé pour sa production. Dans la plupart des cas, ces semences étaient sélectionnées selon leur aspect : certains préféraient des fruits gros et lourds, d'autres des fruits de taille moyenne et de forme plutôt sphérique.

Les variétés hybrides de cocotier

Les recherches scientifiques sur le cocotier ont débuté vers 1920, d'abord en Inde, puis aux Fidji, au Sri Lanka et en Indonésie. Les premiers travaux de génétique ont surtout porté sur l'amélioration des variétés de cocotiers Grands présents autour des stations de recherche. Les premières fécondations contrôlées ont été réalisées en Inde. La paternité des premiers hybrides de cocotier est attribuée à M. Marechal qui, dès 1926, croisa le Nain Rouge de Malaisie et le Nain Niu Leka, aux îles Fidji. En Inde, en 1938, M. Patel créa les premiers hybrides entre cocotiers Grands et Nains. Ces hybrides, bien que plantés dans de mauvaises conditions, s'avérèrent plus précoces et productifs que leur parent Grand.

Presque tous ces programmes de recherches ont été interrompus soit par l'une des guerres mondiales, soit par la crise économique de 1929. La plupart des stations expérimentales furent laissées à l'abandon et les généalogies des cocotiers sélectionnés furent perdues. L'amélioration « moderne » du cocotier n’a vraiment repris qu’après la Seconde Guerre mondiale, avec les premières collectes et l'étude systématique des variétés de cocotiers cultivées dans le monde. Ces recherches ont fourni une première approche de la diversité génétique de l'espèce. En particulier, l'originalité des variétés de type Nain a été mise en évidence : les Nains se caractérisent par une floraison précoce, une faible croissance en hauteur, mais aussi une tendance à l'autofécondation, une sensibilité à la sécheresse et aux attaques d'insectes.

De nombreux tests d’hybrides de cocotier ont été mis en place dans les années 1945 à 1960. Ils consistaient à croiser entre elles diverses variétés locales, de type Nain ou Grand. Ces travaux se caractérisent en général par des effectifs expérimentaux faibles. La plupart des résultats ont montré la supériorité des hybrides sur leurs parents.

Ces études restèrent longtemps essentiellement théoriques. Même si les hybrides de cocotiers présentaient un potentiel de production élevé, on ne savait pas comment les reproduire à grande échelle. L’absence de technique fiable de production de semences empêchait la vulgarisation de ces hybrides auprès des planteurs. Certains pays se détournèrent même de cette voie de recherche qui ne semblait pas déboucher sur des applications pratiques. La mise au point des techniques de production de semences date des années 1970. En offrant des semences à coût raisonnable et de bonne légitimité, ces techniques ont permis l’avènement des hybrides de cocotier.

Culture

Cocos nucifera, illustration extraite de Flora de Filipinas de Francisco Manuel Blanco.

Les principales régions de culture du cocotier se trouvent en Asie du Sud-Est, mais on trouve de vastes plantations (cocoteraies) dans l'espace caraïbe notamment en Jamaïque, dans le Yucatan au Mexique et dans les îles de la Caraïbe orientale. Sur la seule île Christmas, le plus grand atoll terrestre au monde, 800 000 cocotiers ont été plantés entre les deux guerres.

Noms vernaculaires

  • Créole guadeloupéen et martiniquais : pyé-koko
  • Anglais : coconut palm
  • Espagnol : cocotero
  • Allemand : Kokospalme
  • Télougou : Cobbari Chettu
  • Tamoul : Thennai maram
  • Chinois : 椰果
  • Français : cocotier
  • Comorien : mnadzi (cocotier), nadzi (coco)
  • Créole haïtien : pye kokoye
  • Créole réunionnais : pied coco


Notes et références

  1. (en) « The Fifth Voyage of Sindbad the Seaman – The Arabian Nights – The Thousand and One Nights – Sir Richard Burton translator », Classiclit.about.com, (consulté le ).
  2. a et b Grimwood 1975, p. 1.
  3. (en) Elzebroek, A.T.G. and Koop Wind (Eds.). (2008). Guide to Cultivated Plants. CABI. pp. 186–192. ISBN 978-1-84593-356-2.
  4. (en) Rosengarten, Frederic, Jr. (2004). The Book of Edible Nuts. Dover Publications. pp. 65–93. ISBN 978-0-486-43499-5.
  5. (es) Losada, Fernando Díez. (2004). La tribuna del idioma. Editorial Tecnologica de CR. p. 481. ISBN 978-9977-66-161-2.
  6. (pt) Figueiredo, Cândido. (1940). Pequeno Dicionário da Lingua Portuguesa. Livraria Bertrand. Lisboa.
  7. (en) « Coco », Merriam-Webster (consulté le ).
  8. (en) « Coco », Online Etymology Dictionary (consulté le ).
  9. FAO Fiche N° 8 - 1983 - La noix de coco. Commission du Pacifique Sud - Services de santé publique - Aliments du Pacifique Sud. 1983-1995 South Pacific Commission. ISBN 982-203-391-5

Voir aussi

Jeunes cocotiers dans le port de Puerto de Tazacorte, île de la Palma, (îles Canaries)

Articles connexes

Entre autres, deux insectes ravageurs de palmiers :

Un palmier proche :


Liens externes

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Références taxinomiques sur le genre Cocos

Références taxinomiques sur l'espèce Cocos nucifera

Généralités

Utilisation