Cissac-Médoc

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Cissac-Médoc
Cissac-Médoc
Église de Cissac-Médoc.
Blason de Cissac-Médoc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Lesparre-Médoc
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Cœur de Presqu'île
Maire
Mandat
Jean Mincoy
2020-2026
Code postal 33250
Code commune 33125
Démographie
Gentilé Cissacais
Population
municipale
2 262 hab. (2021 en augmentation de 9,38 % par rapport à 2015)
Densité 96 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 40″ nord, 0° 49′ 48″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 33 m
Superficie 23,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pauillac
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Nord-Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Cissac-Médoc
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Cissac-Médoc
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Cissac-Médoc
Liens
Site web www.cissac-medoc.fr

Cissac-Médoc est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Les habitants en sont les Cissacais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Une entrée de la commune.

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune du Médoc située dans le vignoble de Pauillac.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Vertheuil, Saint-Estèphe, Pauillac, Saint-Sauveur, Saint-Laurent-Médoc et Saint-Germain-d'Esteuil.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 917 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pauillac à 7,08 km à vol d'oiseau[5], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cissac-Médoc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pauillac, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (51,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34 %), cultures permanentes (22,7 %), terres arables (13,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), zones urbanisées (8,2 %), prairies (1,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Cissac-Médoc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Jalle du Breuil et . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1993, 1999, 2009 et 2020[17],[15].

Cissac-Médoc est exposée au risque de feu de forêt. Un incendie important s'est notamment produit en 2017. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[18]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[21]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cissac-Médoc.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 998 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 998 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 3]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 4],[24],[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune de Cissac-Médoc est occupée de façon certaine depuis la période préhistorique. Une station de taille de silex a ainsi été découverte à proximité du château de Lamothe-Cissac. À partir de cette période, l'occupation est continue, comme l'atteste le tumulus présent à proximité de ce château datant de 35000 ans. Des vestiges sont encore présents bien que profondément altérés par des travaux au XIXe siècle pour y construire une glacière[26].

Située sur le chemin de la Levade, voie romaine qui traverse le Médoc, Cissac est également une implantation romaine en raison de sa situation favorable composée d'affleurements rocheux. Des excavations autour de 1880 ont mis au jour une villa importante (24 m sur 17 m).

Cette situation sera également favorable à l'installation de maisons nobles et de châteaux forts. On en compte au moins trois sur la commune datant majoritairement des XIIe et XIIIe siècles.

C'est en 1936 que la commune, jusqu'alors appelée simplement Cissac, ajoute à son nom la terminaison spécifique de -Médoc[27].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Cissac-Médoc se blasonnent ainsi :

D’azur à la fasce de sinople chargée d’un château fort stylisé d’argent, surmontée d’un léopard d’or, soutenue d’une grappe de raisin de gueules feuillée de deux pièces de sinople ; à la filière d’or.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Le monument aux morts.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Cissac-Médoc appartient à l'arrondissement de Lesparre-Médoc et au canton du Nord-Médoc depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Pauillac.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Benoît Simian (MRSL, ex-LREM).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

De 2001 jusqu'à sa dissolution, Cissac-Médoc faisait partie de la communauté de communes du Centre Médoc. Le , elle intègre la communauté de communes Médoc Cœur de Presqu'île.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 En cours
(au 26 mai 2020)
Jean Mincoy[29] DVD Menuisier retraité
7e vice-président de la CC Médoc Cœur de Presqu'île (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 2 262 habitants[Note 5], en augmentation de 9,38 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9158299198509339589601 0451 091
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1001 0771 1181 1461 1271 2231 1881 2021 215
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1981 2121 0419991 0219991 054961889
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8778829411 2511 4721 5361 6941 7091 772
2015 2020 2021 - - - - - -
2 0682 2132 262------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Festivités[modifier | modifier le code]

De 2003 à 2009, la ville a accueilli le Reggae Sun Ska Festival.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne) : article 1.XXVII, pages 196-201.
  • Docteur Ernest Berchon, Etudes paléolithiques sur l'age du Bronze, IV Examen et résumé des collections de l'âge du Bronze en Gironde, Bordeaux, (lire en ligne).
  • Docteur Ernest Berchon, Une station préhistorique et une habitation Gallo-Romaine au Château Lamotte, près CISSAC, Bordeaux, (lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  4. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Nom des habitants de Cissac-Médoc sur habitants.fr, consulté le 19 janvier 2013.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Cissac-Médoc et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Cissac-Médoc », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cissac-Médoc », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  26. Docteur Ernest Berchon, Une station préhistorique et une habitation Gallo-Romaine au Château Lamotte, Bordeaux, Société Archeologique de Bordeaux, (lire en ligne).
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  29. Cissac-Médoc sur le site de l'Association des Maires de France (consulté le 20 octobre 2019)
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Eglise Notre-Dame », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Jumelage(s) de Cissac-Médoc », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).